Gambetta en "pré-Défilé" : Grand guignol et mensonge officel aux Champs : c'est l'hommage à l'Armée qui en est sali...
Il y a peu, François Hollande a rendu un hommage appuyé à Jules Ferry, lequel ne craignait pas de tenir des propos ouvertement racistes à l'appui de sa politique colonialiste...
Le "président normal" livre-t-il, ainsi, peu à peu, par petites touches, les facettes de sa personnalité profonde et de son panthéon intime ? Pour le 14 juillet, il a "convoqué" Gambetta : quand on connaît le personnage, mélange d'illuminé excité et travestisseur de la réalité historique, on pouvait craindre le pire. Le pire a bien eu lieu, et ainsi donc, l'hommage à l'Armée française, qui est bien le temps fort et la chose la plus importante de cette Fête nationale ambigüe qu'est le 14 juillet, a été doublement terni, cette année : par le mensonge le plus éhonté, et le grand'guignol le plus grotesque, avec la lecture d'extraits de ce texte de Gambetta - prononcé à La Ferté-sous-Jouarre, le 14 juillet 1872 - où celui-ci proclame, contre toute vérité historique :