UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Grandes "Une" de L'Action française - Page 2

  • Grandes "Une" de L'Action française : Critique littéraire, Léon Daudet a aimé : Paul Morand...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Pour Léon Daudet - qui, en littérature, ne "faisait" que de la littérature et se moquait de tout le reste - aucun doute : Paul Morand est "une personnalité vigoureuse et séduisante" que d'ailleurs, dit-il, "je tiens à signaler, dès aujourd'hui à mes lecteurs"...

    Et Daudet ne ménage pas ses éloges, comme on le voit dans ces quatre extraits de l'article que l'on va lire plus bas :

    I.

    1A.png

    II. 

    1A.png

    III.

    1A.png

    IV.

    1A.png

    Voici donc le lien conduisant à la "Une" du Lundi 27 Mars 1922...

    (ndlr : né le 13 Mars 1888, Paul Morand a 34 ans lorsque Daudet rédige cet article)

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Le dépeuplement des campagnes, par Léon Daudet...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    1A.png

    1A.png

    "Paris et le désert français", ouvrage fort intéressant publié par Jean-François Gravier en 1947, eut le mérite de bien montrer au grand public l'inégale répartition des ressources entre l'Île-de-France et le reste du pays au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

    Depuis Jean-François Gravier, la "macrocéphalie" parisienne (c'est-à dire le gonflement disproportionné de la capitale mais aussi d'un certain nombre de métropoles dans le pays, opposé à des campagnes de plus en plus anémiées) ne fit que s'accroître.

    Cette évolution terriblement négative fut déjà ressentie, commentée et expliquée, dès 1922, par Léon Daudet et par L'Action française.

    Voici ce que Daudet en dit, dans L'Action française du Dimanche du Dimanche 26 Février 1922...

    • Début de l'article, sur les deux premières colonnes de gauche... :

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : (4/4) La juste analyse du "Stupide...", par Paul Bourget...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    À partir de la parution du "Stupide...", L'Action française et/ou Léon Daudet lui consacrèrent encore plusieurs "Une"; nous ne les mettrons pas toutes, ici, pour ne pas surcharger le sujet, et nous nous contenterons de signaler au lecteur qui souhaite en lire davantage de se reporter aux "Une" suivantes :

    • celle du Samedi 17 Juin (sur "L'abaissement du niveau académique");

    • celle du Samedi 24 Juin (sur "La Pléiade provençale");

    • et celle du Mardi 27 Juin (sur "Difficulté de se faire entendre")... )

    Et nous arrêterons, aujourd'hui, cette suite de "Une" avec la fine analyse de Paul Bourget, dans L'Illustration, dont le journal donne quelques passages, qu'il qualifie de "saisissants". Bourget y étrille l'idée de Progrès indéfini, promis par les scientistes; et note le bilan désastreux de ce siècle, qui ne s'achève qu'en 1914, avec le cataclysme que l'on sait, à opposer à la délirante "prophétie" (!) de Hugo que l'on a lue dans la note précédente...

    Voici donc "L'avis de Paul Bourget, en "Une" du numéro du Mardi 13 Juin 1922...

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : (3/4) Le stupide XIXème siècle, de Léon Daudet. Le livre vient de paraître...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Le livre "tant attendu" de Daudet, dont on parle depuis plusieurs mois déjà (et "déjà passionnément discuté") est enfin paru, la veille...

    Le succès est immédiat :

    • dans le numéro du Samedi 17 Juin :

    1A.png

    • et, dans le numéro du Samedi 24 Juin :

    1A.png

    Voici le lien conduisant à la "Une" du lendemain, Dimanche 11 Juin 1922..., qui en donne quelques extraits (sur l'intégralité des deux premières colonnes, avec les dix lignes de fin en haut de la troisième) :

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : (2/4) Le stupide XIXème siècle, de Léon Daudet...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    On a peine à croire que Victor Hugo ait pu écrire une telle niaiserie (ce qu'on va lire ci-après).

    Et, plus dur à croire encore, que des personnes vraiment intelligentes et cultivées aient pu apporter quelque crédit à cette accumulation de stupidités et d'aberrations...

    Et pourtant, c'est bien vrai.

    On commence à mieux comprendre pourquoi Daudet parle de "stupide" pour ce siècle de tous les rêves, de toutes les utopies - plus loufoques et exterminatrices les unes que les autres... -  venant après les deux grands siècles : le XVIIème et le XVIIIème...

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Vendredi 26 Mai 1922... et le lecteur n'aura plus qu'à juger !

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : (1/4) Le stupide XIXème siècle, de Léon Daudet...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Avant même de lire ce qui suit, le lecteur sera très certainement surpris de découvrir ces très courts extraits, autour du Stupide XIXème siècle...

    -------------------------

    C'est en 1922 que parut "Le stupide XIXème siècle", dont L'Action française annonce la prochaine parution, ce Lundi 19 Décembre 1921 :

    1A.png

    Daudet, avec sa verve inimitable, y fait preuve d'un sens aigu du raccourci, aussi saisissant que lumineux. Ainsi que d'un brillant esprit de synthèse.

    Sens du raccourci ? "...la révélation d’Aristote par saint Thomas n’est-elle pas l’origine de la Renaissance ?"...

    Art de la synthèse ? "...les Croisades, dont l’aboutissement est Jeanne d’Arc. Car la vierge héroïque est issue de cet immense frisson fidèle.". Ou bien encore : 

    1A.png

    Ces lignes, qui seront "Avant propos" de l'ouvrage final, sont un survol brillant, autant qu'érudit, de quinze siècles d'Histoire et de ces quatre époques que furent les si mal nommés  "Moyen-äge" et "Renaissance" (Daudet explique bien pourquoi, on le lira plus bas...), puis les deux "grands siècles" :

    • le XVIIème siècle, d'abord, celui du Roi-Soleil, "Louis, le grand en tout", disait Pierre Puget (que Daudet cite, dans ces lignes);

    • puis le XVIIIème, celui de Louis XV (et, là, on renverra le lecteur au remarquable "Le siècle de Louis XV", de Pierre Gaxotte).

    Et c'est en se bornant à constater la rupture totale entre le XIXème siècle et les époques fécondes qui l'ont précédé que Daudet emploie le terme de "stupide" : terme, certes, polémique, mais Daudet n'est-il pas, aussi, un polémiste ? Et redoutable...

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Lundi 19 Décembre 1921

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : L'Hérédo, de Léon Daudet (4) : La vieillesse et l'hérédité...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Nouvel extrait de L'Héredo, en "Une" du 21 Novembre 1916 (première colonne et deux tiers supérieurs de la deuxième) :

    1A.png

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Mardi 21 Novembre 1916...

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : L'Hérédo, de Léon Daudet (3) : "Hérédité et matérialisme"...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Encore six jours après, le Samedi 4 Novembre, nouvel extrait de L'Hérédo : "Hérédité et matérialisme" (l'extrait est un peu plus court que le précédent : la première colonne et les deux tiers supérieurs de la deuxième) :

    1A.png

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Samedi 4 Novembre 1916...

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : L'Hérédo, de Léon Daudet (2) : " La victoire du soi - Le héros et l'hérédité"...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Cinq jours après la première présentation de L'Hérédo, L'Action française publie, le dimanche 29 Octobre, un nouveau passage du livre (sur ses deux premières colonnes, avec huit lignes de "suite et fin" tout en haut de la troisième) :

    1A.png

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Dimanche 29 Octobre 1916...

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Le "moi" et le "soi" shakespearien (1) : "L'Hérédo, Essai sur le drame intérieur"de Léon Daudet...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

     L'Hérédo est publié dans un moment particulier de l'histoire de la psychanalyse, même si Léon Daudet n'y fait aucune mention. Jung et Freud se livrent - depuis quatre ans - à une controverse sur l'hypothèse d'un inconscient collectif, défendue par Jung dans son ouvrage "Métamorphoses et symboles de la libido". 

    Laissons Daudet expliquer lui-même ce qu'il se propose, dans L'Hérédo, cette "étude critique, médicale et littéraire sur la personnalité humaine" :

    " Ce livre, et celui qui suivra sans doute, se proposent un double but : d'abord, montrer comment, contrairement à un préjugé courant, la personnalité humaine tend à se réaliser pleinement au cours de la vie et à échapper à la servitude héréditaire. Ensuite, aider à cette réalisation et à cette délivrance. Ainsi se trouvera établi le fondement psychologique et physiologique de la responsabilité morale. Ainsi seront, je l'espère du moins, dissipées les tenaces erreurs que le fatalisme scientifique et le déterminisme son compère avaient, depuis une soixantaine d'années surtout, accréditées contre la liberté intérieure. Nos ascendants pèsent sur nous, mais nous pouvons secouer leurs chaînes. Chaque homme porte en lui la possibilité d'un chef-d'oeuvre, ou plus exactement du chef-d'oeuvre ici-bas : l'épanouissement de sa conscience propre, hors des entraves congénitales. L'outil de ce splendide résultat, c'est la volonté dans l'effort.
    Dès le début de ma carrière littéraire, ce grand problème m'avait attiré. On en trouvera la preuve dans Hoerès, mon second volume paru en 1893. Depuis lors, un quart de siècle s'est écoulé. La Lutte, qui date de 1907, porte la trace de la même préoccupation. J'ai vécu, j'ai agi, j'ai réfléchi. J'apporte aujourd'hui à mes lecteurs le fruit de mon expérience et de ma réflexion..."

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Mardi 24 Octobre 1916, dans laquelle le journal présente l'ouvrage à ses lecteurs :

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Critique littéraire, Léon Daudet a aimé..."Le Maître de Ballantrae"

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Il était de notoriété publique que la critique littéraire dans L'Action française - tenue par Léon Daudet - était la seule qui "fît vendre"; et qu'un article élogieux de Daudet dans le journal assurait le succès à un nouvel auteur, non encore connu (et, souvent, découvert par Daudet lui-même, et, justement, dans L'Action française...)

    En littérature, Daudet était absolument libre, impartial et sans aucun préjugé : on connaît son mot fameux :

    "Maurras, quelle tête politique ! Mais ses idées littéraires, ah, ça, non !"

     Membre de l'Académie Goncourt, c'est Léon Daudet qui fit obtenir - en 1919 - le Prix Goncourt à Marcel Proust (de mère juive et "dreyfusard"); Proust lui dédia "Le côté de Guermantes", écrivant que, pour lui, Proust, la lecture de L'Action française était (citant nommément Maurras, Bainville et Daudet) "une cure d'altitude mentale" ! Plus tard, Daudet tenta, mais sans succès, de faire attribuer le même prix à Céline pour son "Voyage au bout de la nuit"; il écrivit un article élogieux sur André Gide, loua Picasso et confia qu'il n'avait pas connu "d'idéaliste plus complet que Marcel Schwob" (lui aussi juif et dreyfusard); il "lança" la carrière de Bernanos...

    Il arrivait donc régulièrement à Léon Daudet de consacrer son article quotidien à des critiques littéraires, comme on va le voir ici, avec le lien conduisant à la "Une" du Mardi 4 Janvier 1921, dans lequel Daudet parle du "génie de Stevenson", et de son "Maître de Ballantrae", "ce chef d'oeuvre"...

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Critique littéraire, Léon Daudet a aimé..."Les Hauts de Hurlevent"

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Il était de notoriété publique que la critique littéraire dans L'Action française - tenue par Léon Daudet - était la seule qui "fît vendre"; et qu'un article élogieux de Daudet dans le journal assurait le succès à un nouvel auteur, non encore connu (et, souvent, découvert par Daudet lui-même, et, justement, dans L'Action française...)

    En littérature, Daudet était absolument libre, impartial et sans aucun préjugé : on connaît son mot fameux :

    "Maurras, quelle tête politique ! Mais ses idées littéraires, ah, ça, non !"

     Membre de l'Académie Goncourt, c'est Léon Daudet qui fit obtenir - en 1919 - le Prix Goncourt à Marcel Proust (de mère juive et "dreyfusard"); Proust lui dédia "Le côté de Guermantes", écrivant que, pour lui, Proust, la lecture de L'Action française était (citant nommément Maurras, Bainville et Daudet) "une cure d'altitude mentale" ! Plus tard, Daudet tenta, mais sans succès, de faire attribuer le même prix à Céline pour son "Voyage au bout de la nuit"; il écrivit un article élogieux sur André Gide, loua Picasso et confia qu'il n'avait pas connu "d'idéaliste plus complet que Marcel Schwob" (lui aussi juif et dreyfusard); il "lança" la carrière de Bernanos...

    Il arrivait donc régulièrement à Léon Daudet de consacrer son article quotidien à des critiques littéraires, comme on va le voir, ici, avec le lien conduisant à la "Une" du Samedi 6 Juin 1925, dans laquelle Daudet donne son avis - fort hélogieux ! - sur "Les Hauts de Hurlevent", qui est tout simplement, pour lui,

    "l'un des plus beaux livres de la littérature anglaise" :

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Dimanche 17 Novembre 1918 : l'Action française présente Ès-qualités dans le Cortège de la Victoire, "immédiatement après les troupes françaises et étrangères et les délégations de la Croix Rouge"...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    1A.png

    Voici le lien conduisant à la "Une" du lendemain, Lundi 18 Novembre, qui relate l'évènement grandiose...

    Le compte-rendu commence en "Une" (moitié inférieure des deux dernières colonnes de droites), et se poursuit sur la page deux (intégralité des deux premières colonnes et partie supérieure des colonnes trois et quatre)

    1A.png

    • Pour une fois, nous ne commencerons pas par le début, en page une, mais par le passage racontant notre présence dans le Défilé, en page deux (moitié inférieure de la deuxième colonne et douze premières lignes supérieures de la troisième colonne) :

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Sur Anatole France (2/2)... "Sceptiques et hésitants", l'hommage de Léon Daudet, après la mort de l'écrivain...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Hélas, six mois après cette brillante analyse de Maurras, Anatole France est mort (le 12 Octobre).

    Et, cette fois, c'est Léon Daudet qui prend la plume, pour évoquer le disparu, d'une façon tout à fait inhabituelle et originale, avec - en plus - un style qui n'appartient qu'à lui...

    Comme Maurras six mois avant, l'article de Daudet occupe les deux premières colonnes...

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Mercredi 15 Oc tobre 1924...

    1A.png

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Sur Anatole France (1/2)... Sa personnalité double, par Charles Mauurras...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Samedi 19 Avril 1924... C'est Maurras qui parle, ce jour-là, à l'occasion du quatre-vingtième anniversaire de la naissance de l'écrivain; nul ne sait, alors, que, six mois plus tard, ce sera Daudet qui écrira l'éloge funèbre de France (de son vrai nom, François Anatole Thibault), décédé le 12 Octobre...

    L'article de Maurras occupe l'intégralité de la première colonne et quasiment toute la deuxième...

    1A.png

    Lire la suite