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Éducation - Page 21

  • Que devient l'Education nationale ? De Peillon à Hamon, elle est seulement passée de la révolution à la démagogie...

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    Telle est, du moins, sur cette importante question, l'analyse de la Lettre trimestrielle (n°124) d'Enseignement & Liberté, dont l'objet est de "signaler l’essentiel de ce qui concerne la liberté d’enseignement et la politique de l’école.". Nous croyons utile de mettre en ligne l'éditorial de cette dernière parution; éditorial signé du recteur Armel Pécheul. Pour être complets, nous signalons en fin de texte les coordonnées d'Enseignement & Liberté.  

    Dans l’éditorial du numéro daté de mars, je constatais, sans grand mérite, qu’à un ministre entreprenant succédait à l’Education nationale un ministre temporisateur qui se garderait bien de troubler l’équilibre du pouvoir entre les deux forces qui dirigent cette institution : l’administration et les syndicats. 

    Le discours révolutionnaire de M. Peillon, sa prétention affichée de créer un homme nouveau et le culte qu’il vouait à François Hollande, « Un homme d’Etat », paraissaient de plus en plus irréalistes au vu de la situation politique, économique et sociale de la France. 

    Là où la méthode Coué avait échoué, il ne restait plus comme recours que la démagogie. En s’attaquant à la notation des connaissances des élèves, Benoît Hamon s’est montré à la hauteur de la confiance que l’on pouvait lui faire en la matière. 

    La première réaction devant cette annonce est de la prendre pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une annonce gratuite, qui ne sera suivie que de vagues recommandations. Elle aura cependant pour résultat indirect de contribuer à la dégradation de notre système scolaire et d’être révélatrice d’un usage dévoyé de la belle notion d’égalité. 

    L’égalité des chances est celle qui permet à chacun de réussir en fonction de ses talents et de son travail, quelles que soient les conditions de sa naissance ; c’est celle dont nous avons choisi l’image pour notre site Internet, de Charlemagne récompensant les bons élèves d’origine modeste et punissant les fils de leudes mauvais élèves.  

    L’égalité prônée par M. Hamon, celle qui refuse de « souligner les lacunes et les échecs des élèves, ce qui peut être très décourageant pour certains » est caractéristique des régimes totalitaires qui préfèrent le conformisme au mérite et renouvellent les élites par cooptation. 

    Le fond du problème est évidemment celui de l’omnipotence et de l’impunité d’un clan ou, pour utiliser un langage plus moderne, de réseaux qui n’ont pour fin que la conservation de positions acquises. 

    Ces réseaux irriguent le corps de l’Inspection générale, la FCPE, principale association de parents d’élèves de l’enseignement public et les syndicats progressistes d’enseignants, c’est-à-dire tous, à l’exception du SNALC.  

    Le bon fonctionnement de ces réseaux et le maintien des privilèges, tels que le choix de l’école de leurs enfants hors carte scolaire dont bénéficient leurs membres, nécessitent que l’ordre établi ne soit jamais remis en cause. Il ne faut pas chercher plus loin l’explication du maintien de la carte scolaire et celle du rejet de toute sélection à l’école. 

    L’enquête administrative déclenchée sans fondement sérieux à l’encontre du lycée sous contrat Gerson et la suspension de la subvention qu’il recevait de la région Ile de France, le test ADN sans résultat imposé, ce qui ne s’était jamais vu, à 539 professeurs et élèves du lycée Fénelon de La Rochelle, relèvent plus de l’intimidation et de la volonté de créer une suspicion envers l’enseignement libre que d’une saine administration de la justice.  

    La programmation du film Tomboy par la direction diocésaine d’Angers montre que les attaques ne viennent pas que de l’extérieur. 

    Recteur Armel Pécheul

     

    CHARLE~1.pngEnseignement & Liberté

    141 rue de Rennes

    75006 Paris

    Tel : 01 45 49 05 95

    www.enseignementliberte.org

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  • SOS Education et "l'interminable bouffonnerie de la réforme des rythmes scolaires"

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    Va-t-on en finir avec cette interminable bouffonnerie de la réforme des rythmes scolaires ? Ateliers relaxation, scoubidous, ou comptines, deux jours par semaine ou regroupés sur un après-midi, cela fait un an que l’on nous rabat les oreilles avec cette polémique insensée qui concerne exclusivement l’organisation d’activités péri-scolaires !

    Pendant ce temps-là, on fabrique un million d’illettrés à chaque quinquennat, mais qui s’en soucie... Si ce n’était à pleurer, il y aurait pourtant de quoi rire, comme riaient les littérateurs russes de la bureaucratie soviétique : comment, à partir d’un constat quasiment unanime (la nécessité de 5 matinées de cours en primaire), arrive-t-on à une semblable cacophonie, sinon parce que notre système scolaire a atteint une taille critique telle qu’il n’est simplement plus du tout réformable ?

    Si le Ministère et les syndicats enseignants avaient voulu au départ faire preuve d’un peu de bon sens, d’un peu de bonne volonté, on serait tout simplement repassé de 24 à 27 heures de cours comme c'était l'usage il n'y a pas si longtemps. Ce qui aurait permis de profiter des fameux “pics d’attention” sur 5 matinées, de se redonner du temps pour les apprentissages fondamentaux, et de revaloriser la rémunération des professeurs, qui en a bien besoin.

    Au lieu de quoi, on a tronçonné les emplois du temps, levé une armée d’animateurs précaires, déchaîné le mécontentement des “gilets jaunes”,  glissé des peaux de bananes sous le pied des élus locaux, créé un imbroglio administratif, réformé la réforme par décret, pour finalement mettre en place une nouvelle usine à gaz : le site internet http://5matinees.education.gouv.fr/, où vous pouvez espérer prendre connaissance des horaires de classe de votre enfant, sous réserve de modification bien entendu. Par césarienne, le “mammouth” a enfin accouché de sa souris.  

    antoine.blondel.sos@gmail.com

     

  • SOS Education appuie les hauts fonctionnaires qui "tentent de garder un cap"...

    sos education.jpgOn s’occupe, au ministère. Alors que le bateau sombre, le ministre d’un jour décide de ranger des tonneaux sur les caisses à fond de cale, son prédécesseur ayant eu l'idée géniale de mettre les caisses sur les tonneaux. 

    Rien de nouveau sous le soleil.

    Mais il reste un espoir.

    À la manœuvre, une poignée de hauts fonctionnaires tente de garder un cap, contre vents et marées. Dans cette tribune publiée par l'Express, ils sonnent l’alarme avec une grande clairvoyance.

    SOS Éducation les encourage à continuer leur résistance ! Les vraies révolutions commencent à quelques uns....

  • SOS Education appuie les hauts fonctionnaires qui "tentent de garder un cap"...

    sos education.jpgOn s’occupe, au ministère. Alors que le bateau sombre, le ministre d’un jour décide de ranger des tonneaux sur les caisses à fond de cale, son prédécesseur ayant eu l'idée géniale de mettre les caisses sur les tonneaux. 

    Rien de nouveau sous le soleil.

    Mais il reste un espoir.

    À la manœuvre, une poignée de hauts fonctionnaires tente de garder un cap, contre vents et marées. Dans cette tribune publiée par l'Express, ils sonnent l’alarme avec une grande clairvoyance.

    SOS Éducation les encourage à continuer leur résistance ! Les vraies révolutions commencent à quelques uns....

  • (Communiqué) : Pétition de "L'AVENIR POUR TOUS", adressée à Benoît Hamon : Suspendez la réforme des rythmes scolaires et les ABCD de l'égalité !

  • (Communiqué) SOS Education : Idéologie du genre à l'école : non à l'ABCD, oui au B-A BA !

    (Reçu d'Antoine Blondel, de SOS Education)

    Depuis plusieurs semaines, l'école est le théâtre d'une polémique inacceptable. Avec les « ABCD de l'égalité », le gouvernement joue la division, ravive la guerre scolaire et évite de traiter les problèmes URGENTS de l'école.
    Arrêtons les frais !

    Vous trouverez en bas de ce message un lien direct vers la pétition de SOS Éducation demandant au Président de la République d'abroger ce dispositif coûteux, clivant et inutile, pour se concentrer sur la transmission du savoir !
     

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  • Le cannabis fait des ravages; Peillon/Dufflot en ont dit le plus grand bien : leur place est-elle au gouvernement ?...

    Qu'on lise ces très courtes lignes de Jean-Pierre Olié, psychiatre à l'Hôplital parisien Sainte-Anne et membre de l'Académie de Médecine; et qu'on les compare aux déclarations irresponsables de Vincent Peillon (qui est "en charge" des enfants et des ados, un comble !...) et de Cécile Dufflot (vous savez, celle qui met le Japon dans l'hémisphère sud (1) : elle avait du, justement, "fumer, ce jour-là !...); la conclusion s'impose d'elle-même : leur place est-elle au gouvernement ? Dit plus crument : Peillon, Dufflot, démisssion !...

    CANNABIS OLIE.jpg

    (1) : Cecile Duflot le Japon est dans l'hemisphere sud_640x360.mp4 (On appréciera aussi le "...cet accident AYANT survenu..." !)

  • Ecole, l'essentiel : apprendre vraiment, et bien, et pour toujours, au lieu de "pédagogiser" et de "genderiser"!...

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    méthode syllabique.jpg

    http://www.editionsdelamartiniere.fr/ouvrage/les-methodes-de-lecture-de-notre-enfance/9782732455730 

  • Pervertir les enfants "dans" l'école, et "par" l'école" : c'est donc cela le "programme Peillon" !...

    ecole-en-danger.JPG(Billet de "F B B", paru sur la Une du n° 2877 de L'Action Française 2000 : Le monde à l'envers.)

      

    On devait s'y attendre : la sinistre théorie du genre, qui prône le nihilisme sexuel et la négation militante de tout ordre naturel, vient de devenir dogme officiel de notre non-monde dégénéré. L'OMS (Organisation mondiale de la santé) monte au créneau : son rapport intitulé «Normes d'éducation sexuelle en Europe» incite les gouvernements à promouvoir «une éducation sexuelle fondée sur l'égalité des sexes, l'autodétermination et l'acceptation de la diversité».

    Selon ce rapport, les enseignants devraient ainsi informer les enfants de zéro à quatre ans sur "la masturbation enfantine" et leur apprendre à exprimer leurs propres besoins, désirs, et limites, par exemple en "jouant au docteur".

    Les enfants de cette tranche d'âge doivent également être informés sur "le droit d'explorer les identités sexuelles". Les enfants de six à neuf ans ne sont pas en reste puisque le personnel éducatif devra leur parler "d'éjaculation", ainsi que les former aux "rôles socialement associés aux genres".

    De neuf à douze ans, les enfants seront appelés à échanger sur la "première expérience sexuelle, le plaisir, la masturbation, l'orgasme" ainsi que sur les "différences entre l'identité sexuelle et le sexe biologique" (l'idée que ces deux aspects sont distincts fait donc autorité).

    Pour les jeunes de douze à quinze ans, il s'agira enfin de promouvoir et de discuter des "déterminants historiques et sociaux des relations", en vue de "reconnaître des violations de droits et dénoncer les discriminations et la violence à caractère sexiste".» (Observatoire de la théorie du genre).

    Tout est dit : depuis que l'on a cessé de discuter du sexe des anges, on doute de celui de l'homme. On projette de décérébrer les bébés en projetant des films pornographiques dans les cours de maternelle, on veut inciter les jeunes enfants à devenir transsexuels, et, qui sait, à force de les intoxiquer du concept d'"homophobie", pourront-ils à quinze ans attaquer leurs enseignants de petite section pour pédophilie ou pire, hétérosexualité.

    F B B

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  • Les professeurs des classes prépas sacrifiés par le sinistre M. Peillon (Lu sur le Blog de Jean-Philippe Chauvin)

    classes prépas.jpg« Il n’y a que les Prépas qui ont encore de bons résultats », déclare une intervenante aux Grandes gueules sur RMC ce lundi 9 décembre, et poursuivant : « il faut que l’on arrête de niveler par le bas », à propos des projets de M. Peillon, ministre provisoire de l’Education nationale en attente d’un siège au Parlement européen en mai prochain… et dont la réforme est en train d’affaiblir les fameuses classes préparatoires françaises, au moment même où les classements internationaux comme « Pisa » montrent le déclin accéléré du niveau éducatif de notre pays !

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  • "Douce France...?", oui ! "Douce drogue... ?", non !

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    dans Le Figaro magazine du 18 octobre 2013 :

    Cécile Duflot (dite "du flot de cannabis") et Vincent Peillon (ministre de l'Instruction, mal nommée "Education nationale") ont l'un et l'autre "vanté" l'usage du cannabis. Question : ont-ils toujours leur place au gouvenement ?...

  • Vincent Peillon : ministre fasciste ? Chantal Delsol répond à Politique Magazine :

    Vincent-Peillon.jpg"...Quand le ministre de l'éducation nationale déclare « qu'il faut arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social », quand il concocte une charte de la laïcité obligatoire, est-il dans son rôle ?

    Il est dans le rôle parfait d'un idéologue un peu daté, persuadé que l'état peut éduquer les enfants à la place des parents et en faire un bataillon de petits soldats à son service et à sa solde. Il ne faut pas hésiter à le dire : c'est du fascisme. Ce n'est pas parce que Monsieur Peillon parle au nom des Lumières qu'il peut tout se permettre. Arracher l'enfant à l'influence de sa famille pour le mettre sous influence étatique, c'est meurtrier de toute façon, quelle que soit l'idéologie au nom de laquelle on le fait. Devant cela, nous n'avons plus qu'à entrer en dissidence...

    Les parents sont souvent absents en raison de cette idéologie de la toute-puissance républicaine qui prend les parents pour des demeurés auxquels il faudrait arracher les enfants pour que ceux-ci deviennent enfin modernes... L'idéologie républicaine est une pensée de la défiance : elle prend la majorité des citoyens pour des imbéciles et confère tout pouvoir à un petit groupe de sachants (c'est le « fer de lance » de Lénine) dont les professeurs laïcs. Ce serait une grande victoire d'entrer dans une pensée de la confiance (qui correspond, soit dit en passant, à notre culture chrétienne originelle et à la pensée démocratique en général), et de faire en sorte que les enseignants et les parents travaillent le plus possible ensemble." 

  • D'une lectrice, à François Bayrou...

    M. Bayrou, invité de Patrick Cohen ce matin sur France Inter, au sujet de la soi-disant "réforme" des rythmes scolaires : 

    "On s'est trompé en cherchant à instaurer des activités périscolaires (type fabrication de scoubidous dans une école de Pau …) 

    Non, M. Bayrou, "on" ne s'est pas trompé. M. Peillon veut faire des jeunes Français une bande de crétins ignares que la gauche, évidemment au pouvoir (!) pourra manipuler aisément. C'est l'idéologie socialo-communiste, tout simplement. 

    Il fallait, selon M. Bayrou - et là, nous sommes d'accord, ô combien ! apprendre réellement aux enfants à lire, écrire et compter ; bien ; mais que ne l'a-t-il fait lorsqu'il était ministre de "l'éducation" nationale ?

    Bien entendu, M. Cohen s'est gardé de le lui faire observer……

     Ariane

  • La fin de la possibilité de l'apprentissage dès 14 ans critiquée - à bon droit... - par SOS Education...

    Le gouvernement en général, Vincent Peillon en particulier, vient encore de prendre une très mauvaise décision.

    Conformément au précepte tiré de Montaigne, et que nous appliquons aussi souvent que nécessaire, nous n'allons pas chercher à redire - peut-être plus mal - ce qui a été fort bien dit ailleurs par d'autres : et nous laisserons donc, aujourd'hui, SOS Education "rédiger" notre page consacrée à l'Ecole, avec ses critiques justes et fondées sur la très mauvaise décision (une de plus !...) prise par ce très mauvais ministre qu'est Vincent Peillon.

    Idéologue dur et sectaire avant tout, et plus préoccupé de mener une "guerre d'extermination contre l'Eglise catholique" que de construire une saine Instruction publique (ce qui devrait être l'intitulé normal du Ministère...), Vincent Peillon vient, en effet, de retirer aux élèves qui le souhaitaient la possibilité, dès 14 ans, de se frotter aux réalités du monde et de "la vraie vie", pour eux : il préfère les garder prisonniers à l'école, pour mieux les formater, plus longtemps, et pour mieux leur remplir le crâne de son idéologie... 

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