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Vax et maison de “pass”, par Claude Wallaert.

Voici déjà le déclin de l’été… Si le beau temps nous a été chichement mesuré, nos pantins de gouvernants ont tenu à nous amuser de leurs distrayantes fantaisies ; le président a donné le ton dès le 12 juillet, sourcils froncés, regard à la fois menaçant et un brin halluciné, pour nous avertir de la suite de son grand spectacle : la nuit des libertés.

Et bien sûr, Leporello-Véran lui a emboîté le pas et le ton, tantôt à visage découvert, tantôt masqué, mais toujours grognon et méprisant à l’égard des non-aplatis.

La grande affaire de cet été en France aura été, en effet, le passe sanitaire tendant à rendre la vaccination obligatoire, avec en perspective la multiplication des injections pour les meilleurs et l’exil intérieur doublé de déconsidération pour les rétifs ; hélas, même des citoyens sérieux et honnêtes se laissent prendre au discours moralisant et culpabilisateur des autorités relayées par leurs médias-carpettes bien connues, bavardes ou griffonneuses ; je viens de lire un billet émanant d’une très respectable association convoquant Valmy, Bazeilles, Verdun et les poilus pour célébrer le bien-fondé des initiatives macrono-véraniennes et d’exhorter tous les citoyens à l’altruisme, la responsabilité et au sacrifice !

Je n’ai pu m’empêcher de lui répondre par le petit argumentaire que voici.

« Messieurs, fort impressionné par l’élévation de vos pensées qui ne craignent pas d’évoquer l’héroïsme de nos anciens dans la boue des tranchées, je me permets toutefois humblement de tempérer un si noble enthousiasme en vous soumettant quelques remarques.

Il me semble en effet que votre beau texte gagnerait en crédibilité,

– si les préconisateurs vaccinateurs et passeurs français et étrangers étaient totalement dignes de confiance ; avez-vous vraiment le sentiment que c’est le cas ?

– si la Covid 19, variant delta ou autre, était aussi mortelle que la peste ou une pluie d’obus de 155 ; la vérité est qu’elle ne tue que peu, et associée à un état de faiblesse antérieur ou à une autre affection ;

– si l’expérience de vaccination massive en Israël, à Malte et à Chypre n’était pas si décevante ; l’épidémie chez eux repart de plus belle !

– si des soins préventifs et/ou curatifs efficaces n’existaient pas ; or ce n’est pas le cas, ils existent bel et bien, mais ils sont méprisés, voire carrément interdits ; pourquoi ?

– si l’injection ARN était un vrai vaccin, et non une expérience génétique, certes ingénieuse et pourquoi pas de grand avenir, mais aujourd’hui non poussée à son terme expérimental ;

– si des effets secondaires indésirables n’étaient pas décelés et constatés, en particulier sur l’appareil génital féminin ;

– si aucune autre solution de type vaccinal n’était possible à court terme, alors que les laboratoires Sanofi annoncent pour décembre prochain la mise à disposition d’un vaccin de type « Pasteur », à virus atténué, stimulateur des défenses immunitaires ;

– si enfin une pression suspecte n’était exercée sur le personnel hospitalier pour surévaluer la gravité réelle de l’épidémie, selon le témoignage de certains d’entre eux, infirmières, médecins, chirurgiens. »

Non, nous ne sommes pas à Verdun, et la situation sanitaire ne justifie pas de piétiner les libertés en faisant de la France une maison de “pass”.

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Source : https://www.politiquemagazine.fr/

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