Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...
1. "Affaire Chalençon" : pour se défendre, ou défendre un gouvernement inquiet de la mauvaise tournure que prend cet évènement tragi-comique, certains disent que les ministres ne sont pas assez bêtes pour aller diner dans un restau clandestin.
Absurde ! Il y en a un qui a été suffisamment stupide pour filmer son sexe, et envoyer la photo à une jeune femme... Vous vous souvenez de qui il s'agit, bien sûr !...
1 BIS. Soyons sérieux : Marlène Schiappa affirme sentencieusement à la télé que Gabriel Attal a reçu une invitation à un dîner clandestin, mais que, bien évidemment, il n'y est pas allé. Elle ne se rend probablement pas compte de l'énormité qu'elle vient de lâcher : elle reconnaît donc que le gouvernement était au courant de la tenue de ces dîners; et qu'il a - pour quelles raisons ?... - fermé les yeux. Marlène vient de "lancer" le scandale d'Etat...
(sur France info, extrait vidéo 0'40)
3. Oui, Jean Messiha a raison, et il faut le dire et le redire sans cesse, à temps et à contre-temps :
LES VERTS SONT DANGEREUX !
4. L'Islamisme avance partout, et les "idiots utiles" qui le favorisent l'aident partout : en Alsace, il n'y a pas que Strasbourg, à Mulhouse aussi, Millî Görüs avance ses pions, et reçoit un "soutien de poids" (c'est le cas de le dire !!!) : Gérard Larcher soi-même !
5. Le mot dièse "Saccage Paris" fait un tabac. Hélas ! Oui, c'est vrai, l'équipe actuelle qui dirige la Mairie de Paris, pour le plus grand malheur de notre chère "Ville lumière", passe son temps à enlaidir la Ville comme jamais...
Dans Les Échos, la Tribune de Valérie Montandon, conseillère de Paris (droite), qui déplore l'avilissement de la Ville Lumière et propose des pistes pour "sortir de cette spirale infernale" :
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-pour-en-finir-avec-le-saccage-de-paris-1304905
6. On est "journaleux" et "de gôche" ou on ne l'est pas ! :
7. Et pour finir cette série d'aujourd'hui par un sourire... Ce n'est pas nous qui pleurerons sur ces minables représentants d'une Commission de Bruxelles qui ne représente rien, qui n'a aucune légitimité d'aucune sorte (ni démocratique ni autre) et qui attaque constamment nos intérêts fondamentaux. Si Madame Leyen a eu une "promotion canapé", elle l'a bien cherché : comme le dirait Molière s'il était là : "Qu'allait-elle faire dans cette galère !"
À DEMAIN !