Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...
1. Christophe Amuntzateguy est un procureur imaginatif : il a saisi "l’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre" (sic) pour enquêter sur l’action symbolique de contrôle des frontières de Génération Identitaire ! Et pour les assassins de Poissy, qui criaient "TUEZ-LES ! TUEZ-LES !" en attaquant des policiers au mortier d'artifice, il va saisir qui ?
2. L'entêtement d'@EmmanuelMacron sur la #PMAsansPère, dans le silence et malgré la crise, révèle sa vraie priorité : celle de plaire à son aile progressiste en vue de 2022. Mais c'est oublier la réalité de l'opinion, y compris celle de ses propres sympathisants.
NON #PJLBioéthique
3. Dimanche matin, Jean-Marc Morandini a présenté une longue émission sur la ville de Trappes, en direct. Il raconte les coulisses, l'attitude du Maire et "des siens" (!) : c'est, disons... édifiant !
4. Jean Messiha reçoit des menaces de mort, depuis plusieurs mois. Il a alerté le sinistre de l'Intérieur : en vain. Il attend quoi, Darmanin ? Un drame ? Une agression ? Ah, mais oui, c'est vrai ! Qu'on est bête ! Il est occupé, Darmanin ! Il veut dissoudre Génération identitaire ! Il ne peut pas tout faire à la fois, "le pauvre homme !", comme dit Orgon dans le Tartufe !...
5. Huit mois après, la vérité sur le score de LaRem aux Municipales... : à peine plus de 2% !
6. En Turquie, la jeunesse se dresse contre Erdogan. Malgré la répression implacable, les étudiants se mobilisent contre la mainmise du pouvoir sur leurs facultés. Partie de l’université du Bosphore à Istanbul, la fronde se propage à Ankara, Izmir et Adana, et les jeunes scandent le slogan "Nous ne baisserons pas les yeux". La grogne a débuté début janvier, à la suite du soudain parachutage d’un recteur pro-Erdogan à la tête de la prestigieuse université Bogazici ("Bosphore", en turc)...
7. Vu sur tweeter : une carte diffusée par l'ambassade japonaise en France pour informer les Japonais qui voyageraient à Paris de la dangerosité de certains quartiers. Aucun rapport entre l'immigration et les zones rouges ?