UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« La forme républicaine de notre gouvernement ne peut être mise en cause », par Michel Janva.

Samedi 23 janvier en commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi confortant le respect des principes de la République, le député Emmanuelle Ménard a proposé de réécrire le premier article de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat, passant de

« La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public ».

A

: « L’Etat français, fort de son héritage chrétien, assure la liberté de culte et la liberté de conscience ».

Emmanuelle Ménard explique :

« ce n’est pas la République, simple régime politique, qui garantit la liberté de conscience, mais bien l’Etat français à travers tous les régimes politiques assumés ». « L’Eglise catholique ne peut être traitée tout à fait de la même manière que d’autres cultes arrivés plus récemment ».

La proposition a fait bondir les habituels députés hystériques, qui ont jugé que cet amendement remettait en cause à la fois la République et le principe neutralité envers tous les cultes. Gérald Darmanin a notamment fait remarquer que

« La forme républicaine de notre gouvernement ne peut être mise en cause ».

Et pourquoi pas ? Cette République étant incapable d’assurer notre sécurité, notre liberté, ni notre identité.

Source : https://www.lesalonbeige.fr/

Écrire un commentaire

NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.

Optionnel