Marseille : l'écoeurante "tambouille Rubirola", qui discrédite encore un peu plus "classe politique" et Pays légal...
Avez-vous lu Elle, cette semaine ?
Nous non plus !
Il nous a suffi de lire l'article indigné (et il a raison !) de François Tonneau, dans le quotidien La Provence de ce samedi pour n'avoir nulle envie (et, de toutes façons, nul besoin) de lire les confidences de celle qui a commis une "trahison démocratique", un "scandale", dit Tonneau, qui explique l'essentiel de l'entretien :
Michèle Rubirola, et dès le premier tour, a proposé à Benoît Payan de "switcher" avec lui (elle ne parle même pas Français !), "pressentant les difficultés", dit-elle, mais "je ne voulais pas faire perdre mon camp", ajoute-t-elle, avec une consternante naïveté !
Donc, les deux complices de l'escroquerie démocratique se sont entendus, et dès les débuts, pour tromper l'opinion marseillaise, et même leurs propres électeurs. D'une façon parfaitement légale, certes (mais Hitler aussi, était "légal" !...) mais bien sûr commettant une tromperie qui rend parfaitement illégitime l'élection de ce maire de rencontre et de tambouille qu'est Benoît Payan.
"Légèreté", "insincérité", dit encore François Tonneau, qui affirme, avec raison, que les Marseillais souhaitaient autre chose que cette "arnaque démocratique" qu'on leur a sciemment proposée sous le nom fallacieux de "Printemps marseillais".
Et de conclure - nous conclurons comme lui - : "...Ce n'est pas sérieux. On peut comprendre Michèle. Mais pas une candidate dont les états d'âme marquent une tromperie. Ils ne sont pas à la hauteur de la deuxième ville de France".
C'est sûr : François Tonneau mériterait d'écrire dans... lafautearousseau !
PS : Benoit Payan a déclaré que la Ville "ne fermera jamais son port aux réfugiés". On est prévenus !...