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Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Grand froid.

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Grand froid, une comédie dramatique (2017) de Gérard Pautonnier, avec Jean-Pierre Bacri, Olivier Gourmet et Arthur Dupont

guilhem de tarlé.jpg« Mais, si l’on ne mourrait plus
J’crèv’rais d’faim sur mon talus :

J’suis un pauvre fossoyeur ».

 

Selon Zweck (Olivier Gourmet)  il s’agit là de l’un des deux personnages essentiels dans l’existence, celui qui gagne « (son) pain sur l’dos des morts ». Je n’ai malheureusement pas vu l’autre, Sage-femme, dans lequel jouait déjà Olivier Gourmet.

Cette comédie, Grand froid, n’est pas à mourir de rire, mais elle nous réchauffe quand même le cœur, malgré quelques longueurs, en nous faisant sourire et parfois rigoler, comme autrefois Brassens, sur un sujet que l’on qualifie aujourd’hui de « glauque » .

Coïncidence ? 15 jours avant, nous étions allés voir Tunnel, et ce corbillard nous conduit maintenant au bout du tunnel. Le héros de l’histoire s’en réjouit comme du  « plus beau jour de (sa) vie »… 

 

« Elles sont révolues
Elles ont fait leur temps
Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres ».

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