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Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le Jeune Karl Marx.

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Le Jeune Karl Marx, un biopic de Raoul Peck avec August Diehl, Stefan Konarske, Olivier Gourme

guilhem de tarlé.jpgOui, j’ai osé y aller !

Le spectacle était d’abord dans la salle où se retrouvaient, apparemment, si je me permets ce délit de sale gueule, le Parti Communiste de La Ciotat et la section locale de la MGEN… 17 personnes exactement… à côté desquelles mon épouse et moi-même avions pris place, 17 personnes dont certaines ont applaudi ce film élogieux, panégyrique, à la gloire de Karl Marx et du communisme !

Ils ont osé applaudir ! alors que le scénario fait un silence total sur les cent millions de morts de cette idéologie totalitaire, à laquelle continuent de faire allégeance encore cinq pays dans le monde  : la Chine, Cuba, le Vietnam, le Laos et la Corée du Nord dont on ne parle que trop actuellement.

Commençons évidemment par regretter que je n’avais certainement pas la culture nécessaire et suffisante pour ce film…  je n’ai pas tout compris, je n’avais jamais entendu parler de certains intervenants et je ne peux pas y distinguer le vrai du faux… Ce film m’a néanmoins intéressé et j’aimerais sans doute pouvoir en lire les dialogues « en même temps » (comme dirait Macron) qu’ une analyse critique, que j’espère bien trouver, dans les jours ou semaines qui viennent, dans la presse écrite, ou internet, de ce que les bobos appelle la « réacosphère » ou la « fachosphère ».

Je me suis toujours affirmé anticommuniste primaire, mais j’ai quand même apprécié la scène du putsch à l’intérieur de la Ligue des Justes pour devenir la Ligue communiste ; j’ai surtout donné raison à Engels (pardonnez-moi !) lorsqu’il harangue la foule en disant qu’on ne fait pas la guerre avec des bisounours…

Je suis de ceux, par exemple, qu’insupportent les bougies, les larmes, les « marches blanches », les minutes de silence  et les mots doux, alors qu’il est urgent de déclarer véritablement  la guerre aux islamistes, en commençant par rétablir la peine de mort pour les terroristes ;

je pense, de la même façon, que l’échec de La Manif Pour Tous vient précisément d’une attitude insuffisamment belliqueuse… Elle a eu tort notamment de ne pas envahir les Champs Élysées.

 

En ce centenaire de la révolution de 1917, ce film hagiographique sur Karl Marx mériterait une riposte :

quand réalisera-t-on, en vrai, et filmera-t-on, un Nuremberg du communisme ? Un biopic sur Soljenitsyne et l’archipel du Goulag ?

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