La racaille tue : l'épouvantable assassinat d'Axelle... D'accord avec André Bercoff (et tous les autres !)...
Elle s’appelait #axelle Axelle Dorier, elle avait 23 ans était aide-soignante, mais à #Lyon en promenant son chien elle a croisé des barbares qui l’ont lâchement assassinée en traînant son corps sur 800 mètres après avoir écrasé son chien ! #JusticePourAxelle
Nous sommes 66 millions de victimes potentielles de ces assassins, comme Philippen, Mélanie, Thomas, tant d'autres avant, aujourd'hui Axelle, demain, nous ?...
Nous voulons les noms de ces bêtes fauves. Et, puisque la peine de mort n'existe plus, soit une perpétuité réelle, soit une déchéance de nationalité/expulsion immédiate
André Bercoff
Si la mort de #Axelle ne suscite pas au moins autant de réactions que celle de #adamatraoré, c’est que la #France est devenue, dans les faits, un terrain vague. Une maison de passe. Un open bar. Un permis de tuer. Un stand de tir. Une feuille morte scotchée à la poubelle Justice.
G-William Goldnadel
La radio active de sevice public n’a pas soufflé mot ce matin du meurtre sauvage d’Axelle, précisément parce qu’il ne s’agit pas d’un fait divers mais d’un fait de société qui dérange son petit confort moral. #JusticePourAxelle #LaRacailleTue
Commentaires
Je suis plus qu'horrifiée par cette double nouvelle mortelle. Evidemment, ce n'était qu'une petite blanche tranquille, qui ne demandait qu'à vivre normalement. avec son chien. Demandons la perpétuité réelle et une déchéance de nationalité avec expulsion immédiate. Dommage qu'on ne puisse rétablir le bagne. Mais que ce double crime ne reste pas impuni.
Pas de pitié pour ces monstres. Si l'on ne peut rétablir le bagne, que des travaux d’utilité publique soient appliqués. Maintenant.
Qu'il est triste et malheureux d'apprendre ce double meurtre. La peine de mort n'existe plus, les galères non plus, les prisons sont pleines, que pouvons-nous attendre comme punition, châtiment ? Prions, prions, que les barbares prennent conscience des larmes et des douleurs qu'ils provoquent et se repentent, plutôt que de récidiver.