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A la découverte de l'homme Maurras : Une pause dans notre visite, pour rappeler un fait digne de l'être : 1952 : Sous la Coupole, Jules Romain rend hommage à Charles Maurras...

C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

Aujourd'hui : Une pause dans notre visite, pour rappeler un fait digne de l'être : 1952 : Sous la Coupole, Jules Romain rend hommage à Charles Maurras...

1952 : Sous la Coupole, Jules Romain rend hommage à Charles Maurras

 

Injustement condamné en 1945 pour "intelligence avec l'ennemi" ("la seule forme d'intelligence qu'il n'ait jamais eue", devait déclarer François Mauriac), Charles Maurras était, à partir de ce jour-là, automatiquement exclu de l'Académie (voir l'Ephéméride du 28 janvier).

Celle-ci se grandit une première fois le 1er février 1945, en l'excluant - puisqu'elle ne pouvait s'opposer à la force brute... - mais en refusant de le radier et de lui élire un remplaçant, déclarant simplement son siège vacant. Elle attendit sa mort pour élire son successeur (ce sera le duc de Lévis Mirepoix, le 29 janvier 1953, voir l'Ephéméride du 29 janvier).

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L'Académie se grandit encore, une seconde fois, ce 20 novembre 1952, lorsque, quatre jours à peine après la mort de Maurras, Jules Romains (ci-dessus), devant tous les académiciens debout, lui rendit un hommage solennel (seul Claudel se discrédita lui-même, en restant ostensiblement assis...).

Jules Romain déclara, entre autre :

"...Il a exercé une réelle influence sur la pensée de notre pays, précisément à une époque où la France en avait besoin pour se ressaisir elle-même..." 

lafautearousseau

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