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Éric Zemmour : « Léon Trotsky serait fier de ses élèves français »

 

Lors du Grand Débat, mardi 4 avril, ce sont surtout les deux candidats trotskistes, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou, qui ont crevé l'écran. Que peut signifier aujourd'hui cet engagement ? Eric Zemmour répond à la question par une courte analyse, petit chef d'œuvre de lucidité, de science politique et d'esprit. LFAR 

 

 

Retranscription par  Éric Zemmour et Loïc Farge ...

« C'est encore une exception française. Une exception que l’on croyait disparue, ensevelie dans les poubelles de l’Histoire. Une exception qui a fait le spectacle. Une exception qui a sauté comme un bouchon de champagne, et a bien arrosé François Fillon et Marine Le Pen », décrypte Éric Zemmour. « Plus grand monde ne connaît Léon Trotsky », constate le journaliste, « mais la France est pourtant le dernier pays au monde où des groupuscules trotskistes parviennent à subsister et même à présenter deux candidats à la présidentielle ». Il fait référence à Philippe Poutou et Nathalie Arthaud, mais n'oublie pas Jean-Luc Mélenchon, qui « a fait ses classes dans sa jeunesse à l’école trotskiste ».

« Poutou et sa gouaille d’ouvrier gréviste, Arthaud et sa hargne de tricoteuse au tribunal révolutionnaire, Mélenchon et son onctuosité souveraine de professeur à l’ancienne : de la belle ouvrage, du travail soigné », juge Éric Zemmour, qui ajoute : « Léon Trotsky serait fier de ses élèves français ».  •        

Éric Zemmour

Commentaires

  • Sur la photo en tête de l'article, on voit Nathalie Arthaud sourire, de travers il est vrai. Lors du Grand Débat, à aucun moment elle n'a esquissé l'ombre d'un soupçon de sourire. Son visage reflétait juste la vieille haine communiste révolutionnaire contre tout ce qui n'est pas de son bord idéologique.

  • On peut ajouter que les candidats à la présidentielle étaient invités à exposer leurs idées, à répondre aux questions posées par les journalistes. En bonne petite élève bien disciplinée de ses maîtres, Nathalie Arthaud s'est contentée d'exprimer violemment sa haine sans jamais, à aucun moment, exposer ce qu'elle préconiserait pour changer ce qu'elle estime ne pas aller dans le bon sens.

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