A prendre avec le sourire : les deux contradictions de Renaudo...
L'horrible tête de veau du 21 janvier, une tradition républicaine, toujours en vigueur ...
Régulièrement, spécialement à chaque 21 janvier, un certain Renaudo surgit et ressurgit. Dans le langage ordurier qui est le sien, il accable Louis XVI d'insultes qui ne salissent et ne rabaissent que lui, Renaudo, avant de retomber dans une profonde absence, un profond silence, l'une et l'autre bienvenus, qu'il ne rompra que le 21 janvier suivant : nihil novi sub sole...
L'affaire est attristante, pour lui surtout, mais nos commentaires, libres, lui seront dorénavant fermés. Une dernière évocation, donc, de ce triste sire, avant que de le laisser à ses élucubrations, et, pour ce faire, adoptons le meilleur parti : celui d'en rire !...
Risible, en effet, et doublement, est l'argumentation (?) du citoyen Renaudo :
1. Il dit se réjouir de la mort du Roi, mais il est, évidemment, contre la peine de mort ! Logique, cohérence, quand tu nous tiens !...
2. Il déclare fonder son hostilité à la royauté - et donc son républicanisme - sur le refus de l'hérédité, de l'héritage, de tout ce qui est « reçu ». Fort bien. Mais, alors, qu'il mette ses actes en accord avec ses paroles, au lieu de, chaque année, venir nous casser les oreilles avec les mêmes propos orduriers : il refuse l'hérédité ? Mais, ses parents lui ont-ils demandé son avis avant de le mettre au monde ? Qu'il renonce donc à tout ce qu'il a reçu de ses parents, en commençant par les biens matériels, et, surtout, surtout, en finissant par renoncer à.… la vie !
Certes, cela s'appelle se suicider, et c'est interdit par l'Eglise, mais, l'Eglise, Renaudo n'en à que faire, il a sa Nouvelle Religion Républicaine ! Alors, chiche, en plein accord avec ses principes, au nom du refus de l'hérédité, que Renaudo refuse sa vie, horriblement héritée de ses parents, une bonne fois pour toutes, et qu'il y mette fin ! Cela nous fera des vacances, et puis, surtout, n'oublions pas que, comme on dit dans le jargon, ce sera un suicide, certes, mais un suicide « citoyen », un suicide... « républicain » !
Mais, comment saluer cet acte citoyen et républicain ? On ne pourra évidemment pas lui dire : « A Dieu Renaudo » (Dieu, quelle horreur !). Alors, « A l'Être suprême » ? Ou bien « A la Déesse Raison » ? Toute suggestion est la bienvenue.
En tout cas, dorénavant, pour cet énergumène, ce sera « porte close » ... •
Commentaires
Laissons Renaudo à son néant lyrique et à chanter sa propre mort comme le " divin marquis" qui se réjouissait d'être enfoui dans l a nature et disparaitre à la vue de tous. et au souvenir de tous .
Nous ne chantons pas la mort , mais la vie, que chaque instant a une valeur inestimable, . Nous ne crachons pas sur nos tombes; c'est à dire nous-mêmes. Nous nous ne haïssons pas. Pauvre Rnaudo, qui survit dans l'affirmation de son propre néant. Personne n'est néant, même pas lui;
Et si tout simplement nous lui disions : AU DIABLE ?
Bon séjour chez son Maître Satan!