Les voeux présidentiels ? Citrons pressés, oranges pressées... et "Français pressés" !...
Regardez-bien cet homme : il fait partie d'une "espèce" en voie de disparition : il "y croit", il croit qu'il a raison et qu'il va dans la bonne direction, alors que tout, dans la simple observation de la situation, lui crie le contraire... Rien n'y fait, il fonce droit dans le mur, et nous emmène, nous et la France, avec lui. Comme on dit à Marseille, "Sian poulit" (traduction libre, mais fidèle : "on est mal barrés !", ou : "On va déguster !"). Et, de fait, on déguste déjà...
Commentaires
Le problème majeur de M. Hollande, comme de ses comparses, est qu'il est totalement déconnecté de la réalité. Celle-ci le gêne comme une mouche ou un bourdon qui virevolte incessamment autour de son visage. Il la chasse, mais elle revient avec une ténacité exaspérante. L'ENA, hélas !, n'est plus que l'ombre d'elle- même. Elle est devenue une pépinière d'arrivistes, de fats et d'êtres immatures. Elle n'a plus rien à voir avec l'ENA du grand serviteur de l'Etat qu'était M. Michel Debré. A l'époque, il y avait des idéaux à mettre en oeuvre. Aujourd'hui, il n'y a plus que des ambitions personnelles dérisoires au vu du naufrage de l'Etat. La priorité, en ce domaine, est bien une réforme en profondeur de cette école qui ne devrait plus être accessible qu'à des candidats ayant au moins dix ans d'expériences dans le public, le privé et à l'international. En quelque sorte, un système proche de celui de la défunte école de guerre. Il y a plusieurs raisons à cela : en premier lieu le bon sens à l'aune du vieux proverbe anglais suivant lequel :" Avant d'être amiral, il faut avoir été matelot".
Avis partagé avec @De Wargny. Debré n’a rien inventé mais s’est inspiré de l’École des Cadres d’Uriage. Il est évidemment interdit de la rappeler …