L'idéologie immigrationniste a encore frappé...
Il fallait s'y attendre: la mise en place de réseaux d'exploitations en tous genres se poursuit....
Voici ce que l'on pouvait lire, le vendredi 11 Avril, sur le site de LCI (texte rédigé par Amélie Gautier):
Témoignage - Salima Sy, jeune Sénégalaise a passé cinq ans enfermée dans un appartement, à s'occuper d'enfants, à tenir une maison, sans contrepartie (1)......
Esclave ? Elle n'aime pas ce terme. Le mot la choque. Elle lui associe "colonie", "commerce", "traite des nègres". Non, elle lui préfère le qualificatif de "bonne à tout faire". Et d'emblée rajoute "une bonne à tout faire bien soumise", d'un sourire presque gêné. Bonne à tout faire, Salima Sy l'a été pendant près de cinq ans. Une bonne à tout faire dont les papiers avaient été confisqués, une bonne à tout faire travaillant tous les jours sans être payée, une bonne à tout faire séquestrée, loin de chez elle. En d'autres mots, elle a été une esclave des temps modernes en banlieue parisienne.
L'histoire de Salima Sy débute en 1996 à plus de 4.000 kilomètres de là, à Dakar, la capitale du Sénégal d'où elle est originaire. Elle a 17 ans. C'est une bonne élève, ses parents l'envoient étudier en France pour qu'elle y décroche son bac. Un ami de la famille propose de l'héberger. La France : "ce pays qui faire rêver le monde entier, celui où on peut trouver facilement du travail", se souvient Salima, aujourd'hui âgée de 29 ans. J'étais impressionnée, heureuse, excitée".
Du coup de main au quotidien.
A son arrivée à l'aéroport de Roissy, la jeune fille déchante déjà un peu. Tout est gris, tout est froid. Mais dans sa tête, il y a cette phrase "N'oublie jamais la chance que tu as". Alors, pleine d'illusions et de confiance, Salima se ressaisit. C'est l'arrivée chez l'amie de ses parents. Elle s'appelle Aïda et très vite Salima tombe sous le charme de cette femme "belle, élégante, travailleuse, indépendante, intelligente". En échange de cet hébergement, la jeune fille devra s'occuper de ses deux enfants, de temps en temps.
Aller les chercher à l'école, préparer à manger, faire le ménage... Du coup de main au quotidien, Salima se retrouve pris dans un engrenage. Subrepticement, les choses se compliquent ; le piège se referme. Aïda lui prend son passeport. "C'est plus sûr", explique-t-elle d'un sourire à Salima pleine de confiance. Et puis, Aïda devient moins polie, plus irascible. Le lycée ? "Il n'y a pas de place pour le moment", "je te propose des cours par correspondance", etc. "Et moi, je lui trouvais des excuses", se rappelle Salima. Perdue dans un pays étranger, la jeune femme ne voit rien ou refuse de voir. Dans sa tête, il y a toujours cette phrase "N'oublie jamais la chance que tu as".
Les mois passent. Puis les années. La prise de conscience est lente. Salima culpabilise, craint de décevoir sa famille. D'ailleurs que dire, à qui ? Ici, en France, la jeune femme ne connaît personne. Elle n'a pas d'argent, plus de papiers et Aïda lui répète assez souvent que les clandestins ne sont pas aimés en France. C'est l'impasse près de cinq ans durant, jusqu'à une bonne rencontre. Enfin, on l'écoute, on la croit et Salima décide de se battre, de dire non et refuser cet état d'esclave moderne.
(1): "Personne ne voulait me croire"de Salima Sy. Les éditions du Toucan. 16 euros.
Notre commentaire: Il fallait s'y attendre, disions-nous en commençant. En effet, voici une énième illustration de ce que nous ne cessons de constater et de dénoncer: la mise en place de réseaux d'exploitations en tous genres, dont l'actualité ne cesse de fournir des exemples, tous plus pénibles les uns que les autres. Mais qui ont cette particularité de se rattacher tous au même essentiel, de conduire et de ramener tous à la même source: l'idéologie funeste du parti immigrationniste. Celle qui -alors que la vraie solution est de les aider sur place, chez eux...- consiste à mentir aux pauvres du monde entier, en leur laissant croire qu'ils trouveront ici ce qu'ils n'y trouveront évidemment pas. Le résultat est souvent effroyable pour des milliers de ces pauvres, et le mirage se brise très vite, finissant ici dans les taudis, là dans la prostitution, là dans l'esclavage... ou la prison, ou l'exploitation économique.....
C'est lassant, mais que faire d'autre ? On ne peut que répéter les évidences déjà redites mille fois, et remonter à l'une des principales source du mal, en dénonçant à nouveau, comme à chaque fois, les dérives funestes d'une idéologie funeste.....
Au Parti Immigrationniste on peut diviser les gens en deux: il y a les "idiots utiles" et ceux qui les manipulent, en sachant très bien ce qu'ils font. Ce sont les premiers qui ne comprennent rien à ce qui se passe, et à quoi ils prêtent la main sans comprendre les enjeux lointains. Par contre les trotskistes qui tirent les ficelles en coulisse, eux, savent très bien ce qu'ils font et pourquoi ils le font.
Ils s'en fichent des immigrés, en tant qu'êtres humains, en tant que personnes. Les immigrés ne les intéressent que dans la mesure ou -eux aussi manipulés et sans comprendre les enjeux de la bataille dans laquelle ils sont embringués- ils sont "la" solution trouvée pour faire disparaître la France historique et traditionnelle. Les trotskistes veulent en effet casser la France pour édifier à sa place leur utopie. Ils n'y arrivent pas, et ça ne marche pas depuis 1789 ? Ce n'est pas grave ! Ils vont continuer de plus belle et -avec l'immigration et son corollaire, l'antiracisme, trouvaille géniale...- ils pensent qu'ils arriveront enfin à changer ce maudit peuple qui décidément leur résiste encore et toujours. On ne sait pas trop comment d'ailleurs (et cela tient du miracle...) avec ce bombardement médiatique, cette intox et ce bourrage de crâne quotidien auquel il est soumis....
Et pour arriver à leurs fins, les trotskistes ne s'embarrassent pas de morale. A-t-on vu Robespierre ou la Convention avoir des scrupules ? Cela ne les gêne pas de mentir, ce n'est pas du tout leur problème. Ils s'en fichent bien pas mal de faire miroiter des mensonges, de faire croire à des braves types d'Afrique, dont le seul défaut est d'être pauvre ou misérable, qu'ils seront heureux ici et qu'ils y trouveront tout ce dont ils rêvent, alors qu'ils savent pertinemment qu'il n'en est et qu'il n'en sera rien. Et qu'ils ou elles seront en réalité, pour une très grande part, exploités ou esclaves, ou prostitués, ou squatters dans un taudis sordide et miteux, ou brûlés vifs dans un hôtel insalubre ou ils s'entasseront à cent vingt ou cent cinquante alors que, même neuf, il n'était prévu normalement que pour trente ou quarante....
Le parti Immigrationniste et ses relais (artistes, comédiens, RESF etc....) est un parti pourvoyeur de "chair à profits" pour des employeurs qui ne pensent qu'à se remplir les poches en sous-payant des esclaves, traités comme du bétail.... Le parti Immigrationniste est un parti "dégueulasse", comme dirait une ministre.......
Commentaires
Un jour j'ai fait partie d'une association s'occupant de Bébés. C'était répugnant, dégueulasse de voir ces troskystes dans leur vérité.
Les femmes françaises ne remplissait jamais les conditions il y avait toujours une raison inconnue qui faisait que leur dossier était refusé. Les autres avaient le droit mais.. elle devait accepter de prendre pour leur enfants ou bébés des chaussures même pas nettoyées dont les lacets étaient parfois cassés. Les chaussettes n'en parlons, pas mise ensemble une beige avec une blanche etc... Pour un bébé du 1er âge l'on donnait du lait pour enfant plus grand et pour les vêtements c'était la même chose. J'ai vu donner des couches pour bébé de 10 à 15 kg alors que le bébé venait de naître. Je faisais la remarque on me répondait que pour eux c'était bien bon. Je dois dire que l'on ne m'a pas gardé longtemps car je posais des questions. Et le jour ou j'ai rempli des sacs poubelles de chaussures sales pour les emmener chez moi afin de leur donner un aspect plus propre.
Ces gens qui aiment tellement les autres m'ont dit : Et bien dites donc vous n'avez pas dégout ! on leur les donne comme ça , pas question d'y toucher ! c'est trop sale !
15 jours plus tard on ne voulait plus de moi. La présidente m'ayant sortie : on ne peut vous garder vous êtes certainement catholique ! je pense que c'est l'histoire des chaussures !
Comment s'étonner de certaines haines ? Mais après tout peut être sont elles entretenues !