UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : radio ville marie

  • Banlieues et antifas: à Villeneuve-la-Garenne, la convergence des luttes n’a pas eu lieu, par Edouard Chanot.

    Source : https://fr.sputniknews.com/

    La nuit du 21 avril, une vingtaine de militants «black bloc» se sont rendus à Villeneuve-la-Garenne pour s’attaquer aux policiers avec les émeutiers. L’alliance a tourné court. Une petite histoire qui en dit long sur l’impossible union de la gauche radicale et des banlieues. L’essayiste Anne-Sophie Nogaret analyse la situation pour Sputnik.

    2.pngIls espéraient une convergence des luttes. Ils voulaient aider. Cette nuit-là, entre le 21 et le 22 avril à Villeneuve-la-Garenne, une vingtaine d’antifas ont voulu apporter aux émeutiers des zones sensibles leur connaissance des confrontations avec les forces de l’ordre. «Nul besoin d’être un expert en mouvements sociaux pour les distinguer», précise le Bondy blog pour Mediapart: «Ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue

    «Morts aux porcs», scandent les jeunes de banlieue aux policiers, une insulte propre aux cultures musulmanes. Les antifas la crient à leur tour, mais les banlieusards et les militants de la gauche radicale ne parviendront pas à s’entendre. Un leader leur reproche d’aller au contact avec les forces de l’ordre. On leur reproche d’être des journalistes. L’incompréhension et le ton montent. Déçus, les antifas quittent alors le champ de bataille. L’histoire semble tirée d’un roman de Laurent Obertone, mais les faits sont pourtant bien réels.

    Déception amoureuse?

    Certes, l’événement est marginal. Mais il en dit long sur l’attirance de la gauche radicale pour les émeutiers des zones sensibles. D’ailleurs, le 24 avril, une trentaine d’organisations politiques de cette frange publiait une tribune afin de reconnaître que «ces révoltes sont l’expression d’une colère légitime, car les violences policières ne cessent pas», et d’appeler au combat contre «les inégalités et les discriminations.» Parmi les signataires cohabitaient la CGT, le NPA, Solidaires ou encore le comité Adama. Mais l’entente sur le papier ne trouve pas d’écho dans les rues des territoires perdus de la République.

    Une affaire qui n’a guère étonné Anne-Sophie Nogaret, ancienne enseignante de philosophie en ZEP, qui a signé avec Sami Biasoni l’essai Français malgré eux. Racialistes, décolonialistes, indigénistes: ceux qui veulent déconstruire la France (L’Artilleur, 2020). «Les antifas restent des bourgeois blancs extérieurs à la cité», rappelle l’essayiste, qui souligne d’emblée l’importance des perceptions ethnoculturelles dans les zones sensibles:

    «Ils méprisent les blancs, et de surcroît les antifas sont souvent d’origine bourgeoise.»

    L’ennemi commun qu’est la police n’a alors plus la moindre importance. L’antagonisme avec la «population blanche» semble trop puissant: l’antifa sera toujours davantage «un blanc» qu’un possible allié de circonstance.

    «Ils sont complètement paranoïaques!»

    Même chez les militants issus des banlieues, cette ligne de fond semble prédominer. Pour son enquête, Anne-Sophie Nogaret a suivi les activités de dizaines de groupuscules militants, traversés par l’idéologie «indigéniste» et affirmant lutter contre le «colonialisme». Alors, la convergence des luttes, un mythe ou une réalité à venir?

     

    «Ça ne peut pas marcher. Les indigénistes ont un mode d’action destructif, ils sont dans une optique d’opposition systématique», répond l’essayiste sans hésiter.

    Dès lors, la mésentente ne manque jamais d’advenir. Les précédents sont d’ailleurs nombreux, notamment celui de la France insoumise: «au niveau local, la tentative d’alliance avec LFI n’a pas marché. Corbière et Garrido ont été accusés de racisme, ils ont repris leurs billes.» Autre anecdote: le militant des banlieues Taha Bouhafs, remarqué pour ses vidéos contre la police sur les réseaux sociaux, était candidat aux élections législatives en 2017 (en Isère) pour le parti de Jean-Luc Mélenchon, avant de quitter LFI en février 2019.

    Un discours victimaire?

    Anne Sophie Nogaret ironise: dans l’absolu, rapprocher une gauche traversée par le militantisme LGBT et des indigénistes, qui le sont par l’islamisme, reste pour le moins «acrobatique.» Rien de neuf après tout, diraient les historiens… la logique de la révolution permanente ne manque jamais de dévorer les enfants qu’elle engendre:

    «Ils sont complètement paranoïaques, ils ont toujours besoin d’un persécuteur. S’il n’y en a pas, leur logique s’effondre. Alors il faut constamment en créer un. Et c’est ainsi que les alliés d’un jour peuvent devenir à leur tour les persécuteurs à combattre.»

    Pourtant, l’indigénisme n’en est pas moins dangereux selon elle, tant cette pulsion destructrice se marie sans peine avec le discours victimaire omniprésent dans les «banlieues populaires».

    Pacifier les zones sensibles, est-ce possible?

    «Il n’est pas difficile de les convaincre un public jeune et en déshérence que c’est à cause du méchant État raciste s’ils en sont là…», estime-t-elle. Or, prétendre que l’État est coupable reviendrait à fermer les yeux sur d’autres maux:

     

    «Quand on parle avec les gens de ces quartiers, ils se passeraient bien des islamistes, des trafics de drogue ou des indigénistes… ils sont contraints de les supporter et de s’écraser.»

    À Villeneuve-la-Garenne, la convergence des luttes n’a pas eu lieu. Rappelés au secours alors que les mesures sanitaires avaient provoqué l’arrêt de leur activité, les médiateurs auraient permis un retour au calme:

     

    «Ce n’est pas la police qui intervient, ce sont les médiateurs, et il faut dire que ça fonctionne. Les grands frères calment les petits.»

    Les voitures des voisins s’éteignent et les antifas violents sont renvoyés chez eux, en centre-ville. Mais cette pacification a aussi un coût: un emploi pour la municipalité ou une place sur les listes municipales. Utilisée à travers à travers la France, cette solution reste imparfaite. Car si certains sont exemplaires, d’autres sont loin d'être sans lien avec la délinquance. Alors en fin de compte, pour Anne-Sophie Nogaret l’État semble aussi coupable. Mais d’un autre chef d’accusation: pour elle, il l’est de «ne pas faire le ménage

    Les opinions exprimées dans cet article n'engagent que la responsabilité de son auteur. Elles ne reflètent pas nécessairement la position de la rédaction de Sputnik.

    Edouard Chanot

  • Quand le gouvernement jette de l'huile sur le feu... par Jean-Philippe Chauvin

    Le débat sur la question des retraites sert-il encore à quelque chose ? C’est la réaction désabusée de quelques uns des acteurs de la scène politique et syndicale quand ils ont appris, par des indiscrétions vite dévoilées par la presse de ce lundi soir, que le projet de loi  a déjà été envoyé au Conseil d’Etat, avant même que les partenaires sociaux soient reçus mardi par le gouvernement au ministère du Travail…

    396556_jean-philippe-chauvincorr.jpgUne façon de dire aux grévistes et aux opposants à la réforme que contester celle-ci n’a aucun sens et que, en définitive, la cause est entendue : en fait, si l’on en croit Yves Veyrier, secrétaire général de Force Ouvrière, mais aussi les responsables de la CFTC, le projet devait déjà être écrit avant même les vacances de Noël, ce qui, si cela se confirme, montre le bien peu de cas que le gouvernement fait des partenaires sociaux et de l’idée même de négociation… Bien sûr, les aménagements (considérés comme des concessions coûteuses par les plus libéraux) à la réforme démontrent que celle-ci n’est plus tout à fait universelle puisque les militaires, les policiers, les personnels du secteur aéronautique, etc., conserveront des régimes particuliers (preuve s’il en est que la logique corporative n’est pas tout à fait négligée par le gouvernement, sans doute par la simple force des choses…).

     

     

    Ainsi, le gouvernement, pressé par la Commission européenne qui appelle à la poursuite des réformes (celle des retraites étant une étape majeure), veut accélérer et ne rien céder désormais à la grève elle-même, et cela passe par une forme d’assurance affirmée qui semble confiner au mépris de toute position ou événement protestataire, au risque d’agacer un peu plus les syndicalistes et nombre de salariés, voire de les « radicaliser ». Mais n’y a-t-il pas une sorte de jeu dangereux de la République, une sorte de « stratégie du choc » (dénoncée il y a quelques années par Naomie Klein dans un ouvrage homonyme) qui creuserait un peu plus le fossé entre les différentes classes et « blocs » (élitaire contre populaire, ou populiste), selon la terminologie de Jérôme Sainte-Marie ? Je le crois et je le crains ! La même stratégie a été largement utilisée depuis le début du soulèvement des Gilets Jaunes, avec les provocations verbales des partisans du pouvoir en place (contre ceux « qui fument des clopes et roulent au diesel », comme le clamait M. Griveaux, alors porte-parole du gouvernement), et la violence d’une répression qui n’a pas pour vocation de rétablir l’ordre, mais de maintenir le « désordre établi », ce qui n’a pas exactement le même sens.

     

     

     

    Alors même que l’insécurité progresse et que le nombre d’incivilités et d’actes de délinquance ne cesse d’augmenter dans notre pays, autant que la violence des agressions de rue, les forces de l’ordre sont « monopolisées » par le gouvernement pour empêcher l’accès des manifestants aux centres de la République métropolisée : les hypercentres sont désormais interdits aux manifestations politiques dans de nombreuses villes, ce qui n’empêche pas, d’ailleurs, la dévastation par des bandes organisées (et peu inquiétées, en définitive, ce qui peut amener à se poser quelques questions…) de nombreux commerces sur les parcours forcés et balisés par les autorités préfectorales, au grand dam de leurs gérants, impuissants et, eux, mal protégés par des forces de l’ordre qui semblent n’intervenir « qu’après coup », comme me le confiaient, dépités, des commerçants de l’avenue de la Liberté à Rennes… « Pourquoi la police ne protège-t-elle pas nos boutiques alors que nous payons aussi nos impôts et de lourdes charges ? », m’a-t-on dit l’autre jour, devant les panneaux de bois qui remplaçaient les vitrines défoncées d’une petite agence immobilière ? Et le marchand de journaux d’à côté me confiait que lui et ses voisins s’étaient sentis abandonnés face à la horde de casseurs qui, de noir vêtus, n’avaient plus grand-chose à voir avec une contestation politique, mais bien plutôt nihiliste. Or, toute contestation, si elle veut être reconnue légitime, doit aussi proposer, prôner, discuter, et c’est cela qui lui donnera ses lettres de noblesse ou la condamnera, selon les arguments et les fondations idéologiques qu’elle valorisera : toute contestation n’est pas légitime en soi, mais elle doit pouvoir s’exprimer et chercher à convaincre pour vaincre, sinon elle n’est qu’une usurpation supplémentaire, et doit être, à son tour, dénoncée et éventuellement combattue en politique.

     

     

    Cette stratégie gouvernementale du pourrissement de la situation et de l’exacerbation des conflits et des violences (soit par la répression politique, soit par le laisser-aller sécuritaire) est néfaste pour l’unité du pays et je le constate chaque jour dans les discussions au comptoir ou sur les forums électroniques : là où il faudrait parler avec mesure et discuter sans forcément abandonner la passion mais en cherchant la raison, le gouvernement préfère passer en force et brusquer ses adversaires quand il faudrait les amadouer et leur reconnaître quelques bonnes raisons de contester le projet de réforme des retraites. Là où il devrait y avoir vrai débat et confrontation des propositions et projets, il n’y a que la logique de l’affrontement et de la mauvaise foi qui, d’ailleurs, n’est pas que l’apanage du gouvernement et de ses partisans, certains syndicats s’enfonçant dans une démagogie qui n’est pas plus honorable que les mensonges ou les approximations gouvernementales et présidentielles.

     

     

    Il y aurait tant à dire, pourtant, et tant à proposer : non pas un régime universel mais bien plutôt un régime juste qui reconnaîtrait les particularités propres à chaque métier et secteur socio-professionnel, sans méconnaître les traditions sociales et sans négliger les questions financières ; un système qui autorise et valorise l’existence des caisses autonomes par profession au lieu de vouloir les confisquer pour des raisons purement financières ; un Etat qui prône une politique de soutien à la natalité et d’intégration au Travail de tous quand le chômage reste un mal récurrent, et qui valorise le travailleur plutôt que le spéculateur… Surtout, un Etat qui joue son rôle de grand arbitre au-dessus des groupes de pression et celui de fédérateur des énergies sociales françaises, et qui ne mette pas constamment de l’huile sur le feu ; un Etat qui pense aux hommes et au bien commun du pays, au lieu de jeter les uns contre les autres au bénéfice des grandes féodalités financières et économiques ; un Etat qui pense France avant de parler Monde…

     

     

     

    Car le mépris des « princes qui nous gouvernent » (le « pays légal ») à l’égard des travailleurs, des métiers et des peuples de France (le « pays réel ») pourrait bien, en versant dans cette démesure (1) qui caractérise désormais les jeux pervers de la mondialisation et les rétributions des plus riches, alimenter une colère difficile à éteindre et dont les effets pourraient être encore plus dévastateurs que les feux du 1er décembre 2018 ! N’oublions jamais, et le gouvernement ferait bien aussi de s’en rappeler, que la politique du pire est souvent la pire des politiques, et qu’elle ouvre parfois des boîtes de Pandore qu’il est difficile de refermer. Cela mérite justement une réponse éminemment politique, dont il n’est pas sûr qu’elle soit ou, même, qu’elle puisse être institutionnellement « républicaine »…

     

     


     

     

     

     

    Notes : (1) : l’hubris dénoncée par les Grecs anciens, et qui aveugle ceux qu’elle veut perdre, en fait…

  • Louis XVI, roi de France, par Clo­tilde Schneider-Maunoury.

     Clo­tilde Schnei­der-Mau­nou­ry nous rap­pelle quelques ini­tia­tives royales qui montrent que par­mi les rois de France louis XVI fut l’un de ceux qui mani­fes­ta la plus grande com­pas­sion pour les mal­heurs du peuple et ten­ta d’y appor­ter des remèdes per­ti­nents et effi­caces. (NDLR)

    Il est mon­té à l’échafaud à 38 ans, en priant pour que son sang ne retombe jamais sur la France… Quelques aspects de son règne dont on ne vous parle jamais :

    - Il a sou­la­gé son peuple en le dis­pen­sant du « droit de joyeux avè­ne­ment », impôt per­çu à chaque chan­ge­ment de règne.

    - Créé le corps des pompiers.

    - Favo­ri­sé l’installation de pompes à feu, pour appro­vi­sion­ner Paris en eau de manière régulière.

    - Créé un mont-de-pié­té à Paris pour décou­ra­ger l’usure et venir en aide aux petites gens.

    - Aban­don­né aux équi­pages de ses vais­seaux le tiers de la valeur des prises qui lui était réser­vé en temps de guerre.

    - Ver­sé 6000 livres sur sa propre cas­sette à l’abbé de L’E­pée pour son œuvre pour l’éducation des « Sourds-muets sans for­tune » (aux­quels il ensei­gnait un lan­gage par signes de son inven­tion.) Cela contre l’avis de l’archevêché qui soup­çon­nait cet homme de jansénisme.

    - Doté l’école de Valen­tin Hauÿ pour les aveugles.

    - Don­né l’ordre à ses com­man­dants de vais­seaux de ne point inquié­ter les pêcheurs anglais, obte­nant ain­si du gou­ver­ne­ment anglais la réci­pro­ci­té pour les pêcheurs français.

    - Accor­dé aux femmes mariées et aux mineurs de tou­cher eux-mêmes leurs pen­sions, sans avoir à deman­der l’autorisation de leur mari ou tuteur.

    - Ordon­né aux hôpi­taux mili­taires de trai­ter les bles­sés enne­mis  » comme les propres sujets du Roi « , 90 ans avant la pre­mière Conven­tion de Genève.

    - Abo­li la pra­tique de la ques­tion pré­pa­ra­toire et préa­lable (tor­ture).

    - Accor­dé le pre­mier le droit de vote aux femmes dans le cadre de l’élection des dépu­tés de l’assemblée des Etats-Généraux.

    - Fait construire à ses frais des infir­me­ries « claires et aérées » dans les prisons.

    - S’est inquié­té du sort réser­vé aux pri­son­niers déte­nus en pré­ven­tive de par leur incul­pa­tion ; leur accor­dant une indem­ni­té ain­si qu’un droit d’annonce dans le cas où leur inno­cence serait recon­nue après leur pro­cès. (sujet d’une éton­nante actualité).

    - Sup­pri­mé de très nom­breuses charges de la mai­son du Roi (plus d’un tiers).

    - Per­mis aux femmes d’accéder à toutes les maîtrises.

    - Finan­cé tous les amé­na­ge­ments de l’Hôtel-Dieu pour que chaque malade ait son propre lit.

    - Employé le pre­mier l’expression de « jus­tice sociale ».

    - Fon­dé un hôpi­tal pour les enfants atteints de mala­dies conta­gieuses, aujourd’hui Hôpi­tal des Enfants-Malades.

    - Créé le Musée des Sciences et Tech­niques, futur centre natio­nal des Arts et Métiers.

    - Fon­dé l’école des Mines.

    - Finan­cé sur ses propres fonds les expé­riences d’aérostation des frères Mont­gol­fier ain­si que les expé­riences de Jouf­froy d’Abbans pour l’adaptation de la machine à vapeur à la navigation.

    - Exemp­té les juifs du péage cor­po­rel et autres droits humi­liants ; fait construire les syna­gogues de Nan­cy et de Luné­ville et per­mis aux juifs l’accès à toutes les maî­trises dans tout le res­sort du Par­le­ment de Nancy.

    - Accor­dé sept mil­lions aux vic­times du froid exces­sif en 1784.

    - Accor­dé des pen­sions de retraite à tous ceux qui exer­çaient une pro­fes­sion maritime.

    - Deman­dé l’établissement annuel de la balance du commerce.

    - Créé le droit de pro­prié­té des auteurs et com­po­si­teurs de musique.

    ETC.

    C’é­tait un temps où le pou­voir était reçu comme une charge, un ser­vice, exer­cé par sens du devoir.…

    (Via Clo­tilde Schneider-Maunoury)-

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

    En cette période de com­mé­mo­ra­tion de la mort du roi de France il convient de reve­nir sur les écrits du grand écri­vain Albert Camus qui rap­pe­la à quel point elle lui parais­sait igno­mi­nieuse dans cet ouvrage essen­tiel « l’homme révol­té » : « Le 21 jan­vier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appe­lé signi­fi­ca­ti­ve­ment la pas­sion de Louis XVI. Certes, c’est un répu­gnant scan­dale d’avoir pré­sen­té, comme un grand moment de notre his­toire, l’assassinat public d’un homme faible et bon »

  • Les réseaux sociaux ont privatisé la liberté d’expression (Editorial du Courrier des Amériques), par Gwendal Gauthier.

    Les réseaux sociaux ont privatisé la liberté d'expression (peinture "Free Speech" réalisée par Maynard Dixon en 1934). 

    Les Etats-Unis ont connu un mois de janvier on ne peut plus agité. Parmi les sujets majeurs de l’actualité, l’un d’entre eux à malheureusement été moins traité aux Etats-Unis qu’à l’étranger : la censure exercée par les réseaux sociaux. Le Courrier ayant consacré toute sa page 2 du mois de janvier aux monopoles des GAFAM, il était bien évident que nous allions aussi, cette fois, parler de la censure qu’ils exercent. Voici mon analyse.

    2.jpgAutrefois, la parole du citoyen était naturellement limitée : elle pouvait s’exprimer dans la rue, au café, plus rarement dans une interview que vous offrait le journal local et, s’il le fallait, parfois devant un juge. La démocratie représentative permettait de combler le problème : des élus vous représentaient et pouvaient exprimer vos opinions collectives.

    Puis Internet est arrivé, permettant à tout le monde – pour le meilleur et pour le pire – de pouvoir directement s’exprimer et de bénéficier d’une audience. Sur ce champ vierge qu’était internet, les GAFAM ont créé des monopoles restreignant l’expression à leurs propres espaces privés : à l’heure actuelle, Facebook, Twitter et Youtube composent l’essentiel de ces espaces où la parole s’exprime dans le monde occidental.

    Le problème de la censure n’y est pas nouveau et, quand il se pose publiquement, les réseaux sociaux répondent : « vous êtes ici chez nous, si vous n’êtes pas content de notre règlement, lancez votre propre réseau social ». Mais quand le milliardaire Donald Trump est interdit de réseaux sociaux, pas même lui n’est capable de lutter ; il est réduit au silence. Certains supporters de Trump sont alors partis sur le réseau « Parler » (que j’ai découvert à cette occasion, et qui techniquement ressemble un peu à Twitter) : mais en quelques heures les GAFAM ont assuré leur survie et leur monopole en faisant interdire ce réseau social Parler. Il est tellement impossible de faire fonctionner un concurrent contre le monopoles des GAFAM que même Google (qui est pourtant le « G » de « GAFAM) n’avait pas réussi en huit ans (2011 à 2018) à rendre compétitif son propre réseau social « Google+ » qui n’existe plus depuis lors.

    3.jpg

    Il était une fois… la liberté d’expression aux Etats-Unis !

    Au XXIème siècle, l’endroit où l’expression des personnes a cours, c’est essentiellement les réseaux sociaux, chacun en conviendra, et pas sous le platane du coin de la rue. Si, en théorie, le premier amendement de la constitution américaine assure que la liberté d’expression est garantie aux Etats-Unis, dans la réalité, c’est désormais faux. L’expression a aujourd’hui cours dans des espaces privés où elle n’est pas libre. Il convient de noter que certains pays, comme par exemple la France et l’Allemagne, poussent justement les réseaux sociaux à pratiquer plus de censure : sous la menace ils obligent Zuckerberg et ses amis à faire leur travail de service public, tout à la fois celui de censeur, de policier, de juge, ce qui fait au final de lui une sorte de « Dieu ». Ca tombe bien, rappelons que toute entreprise a pour essence de vouloir contrôler son environnement (et de gagner de l’argent). En conséquence de ces exigences gouvernementales, le futur proche des réseaux sociaux, ce sera d’aller vers plus de censure, c’est totalement certain.

    Les mêmes réseaux qui ont été si peu rapides à censurer les terroristes ou les pédophiles tombent désormais aussi bien sur le président des Etats-Unis, que sur l’humoriste Jean-Marie Bigard, ou le député (macroniste quand il a été élu) Joachim Son-Forget. Pour eux (entre autres) il n’y a pas d’appel possible. Et pour vous, ceux de nos lecteurs qui n’ont pas l’influence des personnes citées ? Y aura-t-il un appel le jour où les GAFAM auront décidé de vous réduire au silence ? Qui prendra votre défense ? Quand une personne est expulsée de Facebook, elle n’a pas même moyen de discuter avec quelqu’un pour faire valoir ses droits : aucun contact possible, pas de numéro de téléphone, pas d’email pour correspondre : rien ! Et c’est déjà arrivé à des dizaines de milliers ou des centaines de milliers de personnes !

    Vous pensez que les réseaux sociaux ne s’en prennent qu’au plus fort ? Avec la manifestation au Capitole, Donald Trump a certes donné un prétexte parfait aux GAFAM pour le mettre dehors. Néanmoins, chacun aura pu noter qu’ils ont censuré Trump quelques heures seulement APRES que le nom du nouveau président (Biden) ait été prononcé par le Congrès. Ce n’est donc pas au « Trump-tout-puissant » qu’ils s’en sont pris : c’est au perdant de l’élection présidentielle ! Jamais ils ne s’en seraient pris à lui la veille ! Et il s’agit aussi d’une vengeance, car le 28 mai 2020 Trump avait signé un décret interdisant la censure sur les réseaux sociaux.

    Mais jusqu’à cette date Donald Trump et les Républicains n’avaient pas vraiment jugé utile de débuter une vraie réflexion sur les GAFAM. Au nom d’une autre liberté, celle du marché, il ne fallait pas les toucher. Quand la France avait voulu taxer ces GAFAM, la seule chose que Trump avait trouvé à faire, c’était une mesure de rétorsion contre les produits français arrivant aux USA. Les Démocrates semblaient jusqu’alors beaucoup plus soucieux du problème… Ils vont avoir l’occasion de le prouver, mais pour le moment ils semblent surtout se réjouir que leur adversaire ait ainsi été muselé.

    Certes, l’économie du numérique est immense pour les Etats-Unis, et il est difficile pour les élus d’envisager de nuire à leurs entreprises emblématiques. Mais les bonnes questions à se poser sont les suivantes : Est-ce que l’air qu’on respire doit être privatisé ? Est ce que les rues de nos villes doivent être privatisées ? Est-ce que l’expression des citoyens peut être privatisée ?

    Dans quelques années (ou dizaines d’années) la plupart des pays auront répondu « non » à cette question. Après la censure de Trump, le Mexique (pays socialiste) a décidé de lancer son propre réseau social. La Russie et la Pologne ont pour leur part décidé d’interdire les réseaux sociaux qui pratiqueraient de telles censures politiques dans le futur. Facebook et Twitter ne sont déjà plus, loin de là, des normes universelles. Et, on vous l’annonce, Donald Trump ou Donald Trump Jr (ou un de leurs amis) seront élus aux Etats-Unis dans quatre ans, dans huit ans ou dans douze ans. Ce jour-là, aux Etats-Unis aussi, les réseaux sociaux ne seront plus ce qu’ils sont. Plutôt que d’attendre une fatalité brutale, il serait peut-être sage d’envisager d’ores et déjà des alternatives intelligentes : l’enjeu est trop important pour que les gouvernements continuent de fermer les yeux et demandent à des sociétés privées de garantir nos droits.

     

    Le Courrier des Amériques est le journal des francophones vivant (ou séjournant) aux Etats-Unis

     

    Gwendal Gauthier

    Directeur du Courrier des Amériques

    5.jpg

    Source : https://courrierdesameriques.com/

    8.jpg

  • Décès du Docteur Pierre Navarranne, royaliste, d'Action française, et simplement un grand monsieur

    Au centre, Pierre Navarranne récite la Prière de la fin, sur la tombe de Maurras, à Roquevaire. A droite et à gauche, il préside la conférence du Prince Jean de France du 22 janvier 2010 à Toulon 

     

    Nous avons appris avec une vraie et grande tristesse le décès de Pierre Navarranne à qui tant de liens anciens nous rattachaient, tant de souvenirs, de goûts partagés, et surtout notre commun attachement à Charles Maurras et à l'Action française. Pourtant, nous nous effacerons comme il se doit devant ses amis toulonnais pour évoquer et saluer sa mémoire, en publiant les lignes qui suivent - qui nous sont parvenues de leur part ... Lafautearousseau

       

    Notre fidèle ami toulonnais Pierre Navarranne s'est éteint paisiblement le 24 mars 2017.

    Il était né le 7 décembre 1920 à Pau (Béarn) de filiation « d'Henry IV par les bergères » comme l'on dit là-bas. Orphelin très jeune, il vivra chez son oncle, pharmacien dans cette ville où Charles Maurras en 1890, devant le château d'Henry IV, eut la « révélation » de la nécessité de la soumission pour l'ordre et la beauté du monde.

    Dans le sillage des émeutes du 6 février 1934 et grâce à son tuteur le docteur Vidouze, très jeune il lit l'Action Française. Il participe aux activités de la fédération régionale des Etudiants, Collégiens et Lycéens d'Action française des Basses-Pyrénées, à la permanence de la rue du Maréchal Foch de Pau. Il entre à Santé Navale Bordeaux au début de la seconde Guerre Mondiale. Lors de ses visites au travers de la zone libre, Maurras aime rencontrer les jeunes talents et Pierre Navarranne a la joie de pouvoir dîner avec lui. De Santé Navale, Pierre Navarranne sort médecin dans un régiment de fusiliers-marins avec lequel il partira pour la libération sur la route de l'Allemagne et sera décoré de la croix de guerre en Alsace. Il revient à Bordeaux soutenir sa thèse de neuropsychiatrie puis rejoint un groupe aéronaval en Indochine.

    Son arrivée à Toulon en 1949 le voit embarquer sur l'Emile Bertin, la Gloire puis la Lorraine et le Montcalm. A terre, il intègre l’hôpital militaire Saint-Anne au service de neuropsychiatrie. Il devient professeur agrégé de médecine générale, puis titulaire de la chaire de médecine navale de l'Ecole d'application du service de santé de la Marine et médecin-chef des services médicaux de Saint-Anne. Il s'installera ensuite un quart de siècle dans la médecine civile à Toulon toujours, pour un cabinet de neuropsychiatrie. Maurrassien, fidèle de l'Action Française, il partageait sa passion pour LA politique avec un engagement militant constant. Il participa activement, dans les années 80, à l'organisation des rendez-vous des Baux-de-Provence ou d'autres journées d'amitiés françaises. Sur la demande de Pierre Chauvet, président de l'Union Royaliste Provençale, Pierre Navaranne fut pendant plus de deux décennies président de la Fédération Royaliste du Var. Ses visites à la maison de Maurras à Martigues ou au cimetière de Roquevaire étaient des rendez-vous qu'il aimait tant honorer, comme celui de la Messe du 21 janvier pour le Bon Roi Louis XVI. Deux citations le touchaient particulièrement. La conclusion de la lettre de rupture de Bernanos à Maurras : « Adieu Maurras, à la douce pitié de Dieu » et les premiers vers de la Prière de la fin du maitre de Martigues :

    « Seigneur endormez moi dans votre paix certaine

    Entre les bras de l'espérance et de l'amour. 

    Ce vieux cœur de soldat n'a pas connu la haine

    Et pour vos seuls vrais biens à battu sans retour "

    A sa retraite il intégra l'Académie du Var dont il fut le président de 1995 à 1999. Il fut l'orateur de nombreuses conférences comme sur l'écrivain Jacques Perret, ou son intouchable héroïne Marie-Caroline de Naples, la duchesse de Berry. On se souvient de sa thèse sur l'assassinat du roi Henry IV qui fut publiée dans la Nouvelle Revue Universelle. Passionné de rugby, tirant un fil rouge du Béarn à Toulon, il n'avait que deux amours disait de lui le Sénateur-Maire de Toulon, François Trucy, « le lys et le muguet ». Pilier et mémoire du royalisme varois, il présida la belle conférence du Prince Jean de France, lors de sa visite à Toulon en 2010.

    Catholique pratiquant, très attaché aux exercices de St Ignace des pères de Chabeuil, il a rejoint son épouse et ses trois fils partis avant lui. Pour ses amis royalistes provençaux, ce fidèle maurrassien aux yeux bleus purs, puits de science toujours souriant, dont l'érudition ne le cédait qu'à son grand respect des traditions et des bonnes manières, conteur inégalable de la mémoire monarchiste, laisse l'image d'un grand « blanc du Midi ».

    A Dieu Docteur, à la douce pitié de Dieu... 

    Les obsèques seront célébrées mardi 28 mars à 9h30 en l'église Saint-Georges à Toulon.

  • Patrimoine cinématographique • La révolution française

    Le procès du Roi 

    Par Pierre Builly

    La révolution française de Robert Enrico et de Richard T. Heffron (1989)

    20525593_1529036520490493_4184281983923317414_n.jpgLes buveurs de sang 

    C’est la Mission de commémoration officielle de 1789 qui, deux siècles après La révolution française a commandé à deux réalisateurs, le français Robert Enrico (Les aventuriers, Le vieux fusil) et plus bizarrement à un Étasunien, Richard T. Heffron une longue fresque en deux époques, Les années lumière et Les années terribles. 

    71MtHt8N3SL._SY445_.jpgCraignant que le film soit un panégyrique bêlant, je ne l’avais pas vu à l’époque. Je l’ai enregistré un jour par hasard sur une chaîne de télévision et, le regardant, j’ai été tout de suite heureusement surpris. Mais – malédiction ! - mon enregistrement s’arrêtait malencontreusement au milieu des Années terribles avec le départ de la Reine vers l’échafaud le 16 octobre 1793. Autant dire que je n’avais pu voir, après cette immolation, ce qui m’aurait fait plaisir : le découpage sur ce même échafaud de toutes les canailles dont trop de nos places et nos rues portent le nom. Car il y a, en France des rues Danton, Robespierre et même Marat (oui, des rues Marat : à Ivry sur Seine et à Decines, dans la banlieue lyonnaise ; pourquoi pas des rues Alfred Goebbels ou Heinrich Himmler du côté de Stuttgart et de Munich ?)… 

    Heureusement, le DVD existe qui permet de rattraper les balourdises et de découvrir un film de six heures qui, sans être une œuvre de propagande me paraît montrer assez bien la logique implacable du déroulement des événements, de l'entraînement vers la Terreur des apprentis sorciers. Sans doute le film, qui aurait dû alors s’enfler dans des dimensions trop importantes, ne peut naturellement pas évoquer les vingt dernières années de l'Ancien régime, marquées par l'effort désespéré de briser les rigidités et les blocages du pays (réformes Maupéou de 1771) et la coalition contre nature de la bourgeoisie, classe montante et de la noblesse, classe figée. (On voit bien avec le regard d’aujourd’hui que réformer la France a toujours été aussi compliqué). C'est dommage, d'une certaine façon, parce que la Révolution paraît surgir ex nihilo d'un mécontentement presque conjoncturel (les très mauvaises récoltes des années 87/88/89), alors qu'elle émerge des fariboles idéologiques des Encyclopédistes et de l'avidité des marchands. 

    Dès la mise à sac des Tuileries, en août 1792 et le carnage de la garde suisse, on voit bien qu'il y a de la part des Révolutionnaires une course effrénée vers l'effusion de la plus grande quantité de sang : Faites tomber 100.000 têtes, et la Révolution sera sauvée comme dit plaisamment Marat (Vittorio Mezzogiorno). 

    desmoulins_robespierre.jpgLe deuxième segment du film montre de façon très convaincante l'engloutissement, la course à l'abîme de tous ces fous furieux qui ont déchaîné les enfers et qui seront tous, ou presque, avalés par leur folie. Si la terreur cesse, tout ce que nous avons construit s'écroulera ! assène Robespierre (Andrzej Seweryn) à Camille Desmoulins (François Cluzet) (photo) qui commence - bien tard ! - à s'inquiéter des flots de sang versés. Et Desmoulins, brusquement conscient, éveillé du cauchemar Peut-être n'avons-nous rien construit : c'est juste un rêve... 

    Un rêve d'épouvante : horreur des Massacres de septembre, des prisonniers égorgés, éventrés, poignardés, saignés dans les cellules qui en portent encore aujourd'hui la marque comme à la prison des Carmes, rue de Vaugirard à Paris ; horreur des exécutions publiques place de la Concorde, de l'échafaud en perpétuel fonctionnement devant la foule avide, béate d'admiration devant le spectacle (ne noircissons pas trop le tableau : je gage qu'elle le serait à nouveau, ravie et complaisante, si ces holocaustes étaient à nouveau pratiqués).

    revolution-francaise-1989-15-g.jpgHorreur du sang, horreur de la haine : le chef des Enragés, Hébert (Georges Corraface) tentant d'accuser la reine Marie-Antoinette (Jane Seymour) d'avoir perverti et pollué le Dauphin Louis-Charles (Sean Flynn)... Abomination de ces gens... Au fait je lis sur Wikipédia que Dans les années 1980, la municipalité (alors socialiste) d'Alençon (...) a discrètement nommé en l'honneur de Hébert une cour piétonnière donnant accès à un groupe de maisons anciennes rénovées au centre du vieil Alençon, entre la Grande-Rue, la rue des Granges et la rue de Sarthe. Cette cour Jacques-René Hébert n'est signalée sur aucun plan de la ville. Il y a des canailles qui n'ont pas le courage de leurs immondes fiertés. 

    Des apprentis sorciers, donc. Des envieux et des aveugles qui ouvrent la boîte de Pandore et, pour le bonheur d'un peuple mythique (ce brave populo qui marche à tout et qui se fera consciencieusement massacrer pendant les guerres sanglantes de l'Empire) inventent, à la fin du siècle le plus civilisé de notre histoire, la loi des suspects et le premier génocide systématique, celui des Vendéens. 

    original-12598-1434028659-6.jpgLa révolution française fait malheureusement un peu l'impasse sur ce dernier point et ne l'évoque qu'allusivement, ce qui est bien dommage. Mais comment ne pas se féliciter de voir enfin évoqués les massacres de Septembre (92) leur sauvagerie, les bandes de canailles et de poissardes assassinant des prisonniers et demandant toujours plus de sang, le procès du Roi, ses dernières paroles d'apaisement couvertes par le roulement des tambours ordonné par l'infernal Santerre (Marc de Jonge), encore une de ces canailles dont une rue de Paris porte le nom ; et la merveilleuse, lumineuse idée d'avoir confié à Christopher Lee (photo) le rôle de Sanson ! Qui d'autre pouvait mieux incarner le bourreau que le plus grand des buveurs de sang du cinéma, immortel Dracula ? 

    Au fait, comment ne pas s'interroger sur l'esprit de cette Révolution française, financée dans les cadres du bicentenaire de 1789 ? Manifestement, compte tenu de l'éclat et de la qualité de la distribution, les moyens n'ont pas manqué à Robert Enrico et Richard T. Heffron (au fait, pourquoi cet inconnu ?). Et personne, au sommet de l'État, n'a lu le scénario, si manifestement contre-révolutionnaire ? 

    À moins que le président François Mitterrand, dont la jeunesse fut proche de L'Action française et qui avait pour la monarchie l'inclination de tous ceux qui connaissent un peu notre Histoire, n'ait voulu, en pied-de-nez qui lui ressemblerait assez, montrer le peu de goût qu'il avait pour l'affreuse période de la Terreur…   

    515Sd3oh4QL.jpg

    Le coffret DVD est d'un prix abordable, autour de 20 € et il vaut la peine de le posséder, de le diffuser, de le recommander, de le prêter pour que chacun puisse voir les affreuses origines de notre bel aujourd'hui, les crimes sur quoi il s'est constitué et les impostures sanglantes qui le fondent.......

    Retrouvez l'ensemble des chroniques hebdomadaires de Pierre Builly sur notre patrimoine cinématographique, publiées en principe le dimanche, dans notre catégorie Culture et Civilisation.
  • Paris Match de cette semaine informe ses lecteurs en 2 pleines pages sur le prince Jean d’Orléans, Comte de Paris

     

    Après avoir publié ce lundi sur son site internet, un article intitulé « Le prince Jean d’Orléans est officiellement le nouveau comte de Paris », le magazine populaire Paris Match continue de présenter le nouveau Chef de la Maison de France aux Français dans son édition papier sortie hier dans les kiosques.

    Dans cet article, en mode Paris-Match, Henry-Jean Servat présente aux lecteurs le nouveau comte de Paris, Jean d’Orléans, et son épouse Philoména, comtesse de Paris. Il revient sur les funérailles royales de son père qui ont eu lieu ce samedi à la Chapelle royale de Dreux.

    Un article sincère, qui vient donc se rajouter aux très nombreux articles consacrés à la famille royale de France, publiés ces trois dernières semaines dans la presse, tant nationale et locale que dans la presse internationale.

    Voici l'article en question paru hier. (Photo en en-tête). 

    DEPUIS LE DÉCÈS DE SON PÈRE, LE COMTE DE PARIS, IL EST LE NOUVEAU PRÉTENDANT AU TRÔNE DE DANCE

    JEAN D'ORLEANS
    LE ROI EST MORT VIVE LE ROI !

    Par Henry-Jean Servat - Photos Baptiste Giroudon

    « Nos relations ne furent pas toujours bonnes et, comme dans beaucoup de familles, nos rapports père et fils connurent frictions et tensions. Mais, ces derniers temps, depuis le décès de mon frère François, elles s'étaient améliorées et, aujourd'hui, le comte de Paris oublie et pardonne les avanies subies par le duc de Vendôme », déclare Son Altesse Royale, souriant à demi, avec des éclats de sincérité teintés de mélancolie.

    Au lendemain des obsèques d'Henri d'Orléans, le prince Jean, rencontré ce lundi à Dreux, annonce la couleur. L'héritier des rois qui régnèrent sur la France, descendant en ligne directe d'Henri IV, Louis XIII et Louis-Philippe 1er, souhaite faire vivre aux siens une époque apaisée. Celui qui est maintenant le chef de la famille de France, c'est-à-dire celui sans l'autorisation duquel les membres de cette famille ne peuvent se marier, précise que son père s'était levé de bonne heure, ce 21 janvier dernier. Il avait prévenu qu'il ne se rendrait pas à la cérémonie religieuse célébrée à la mémoire de son cousin Louis XVI, guillotiné deux cent vingt-six ans plus tôt. Une mauvaise bronchite l'épuisait. Il avait choisi, une fois habillé, de se recoucher et, s'étant rendormi sur son lit, ne s'était plus réveillé. La femme de ménage l'avait trouvé allongé au côté de sa femme, la duchesse de France. Les pompiers n'avaient pu le ranimer.

    Et Jean de France, duc de Vendôme, deuxième fils du prince défunt et dauphin, succédait à son père en devenant désormais Jean IV, nouveau comte de Paris. Déléguant à son frère Eudes et à son cousin Charles-Philippe d'Orléans l'organisation des funérailles en la chapelle royale de Dreux, nécropole des princes d'Orléans, il y accueillait, le week-end dernier, toute la parentèle et ses proches. A commencer par sa mère, la grande-duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg, née altesse royale, et sa soeur la princesse Blanche, handicapée de naissance. Son père, cela fit scandale, avait divorcé pour épouser l'Espagnole Micaela Cousino y Quinones de Leon, qui ne vint pas assister à l'enterrement, clouée au lit par une bronchite et les suites d'une opération de la hanche.

    Toutes ses tantes, son père étant issu d'une fratrie de onze enfants, trônaient en toques de fourrure au coude à coude sur des chaises de velours rouge dans le choeur de l'église baigné d'une humidité qui glaçait les sangs. Au premier rang, se trouvaient l'impératrice Farah, la reine Sofia d'Espagne, qui est une cousine, le prince Albert II de Monaco, les souverains du Liechtenstein, le prince héritier du Maroc, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie, les Bourbon-Siciles, les Bourbon-Parme. Le nouveau comte de Paris tint à réunir ensuite, pour une citronnade royale, parents et amis dans la demeure qui jouxte la maison de maître où il a élu domicile. La reine Sofia tomba en admiration devant le lieu, au beau milieu du parc surplombant la ville.

    IMG.jpgLe prince vit là depuis quelques années, en compagnie de la princesse Philo-mena, épousée il y a bientôt dix ans. Il a renoncé à travailler dans la finance (il était consultant à la banque Lazard) pour s'occuper des biens, avoirs, forêts et investissements de l'héritage qui est sien. Au milieu de souvenirs royaux, le prince et la princesse élèvent leurs cinq enfants, Gaston, Antoinette, Louise-Marguerite, Joseph et Jacinthe, plus préoccupés de jouer avec Léonore, l'imposante chienne terre-neuve noire, que de suivre les cours de flûte traversière voulus par leur mère et dispensés par Emmanuelle, l'organiste de la chapelle. Contrairement à son père et au prétendant dit légitimiste, Jean est fier d'être né en France et d'y avoir toujours vécu. Titulaire d'une maîtrise de philosophie sur le bien commun et d'autres maîtrises de droit et de gestion, colonel de réserve et parrain du 4e régiment de chasseurs de Gap, créé par son arrière-grand-oncle, le prince a rencontré des gilets jaunes et garde au coeur et à la raison l'idée de servir son pays. Il trouve le temps de conseiller à ses enfants de soigner les hérissons qu'ils découvrent blessés, tout en leur apprenant leur arbre généalogique qui remonte jusqu'à Saint Louis. 

    Le prince Jean d’Orléans est officiellement le nouveau comte de Paris

  • Laideur de la peinture dite moderne, beauté de la peinture classique, par Gilles Lenormand.

    5.jpg

    L’École de danse

     

    Hilaire Germain Edgar de Gas, dit Edgar Degas, est né le à Paris, où il est mort le Artiste peintre, il fut également graveur, sculpteur, photographe, naturaliste...

    11.jpg

    Aux courses en province

     

    Si Degas est un membre fondateur du groupe des impressionnistes, son œuvre est si variée par ses thèmes et sa pratique qu'il ne les rejoint pas dans leurs traits les plus connus. Sa situation d’exception n’échappe pas aux critiques d’alors, souvent déstabilisés par son avant-gardisme, qui fait, encore aujourd’hui, l’objet de nombreux débats auprès des historiens d’art.

    Edgar Degas était un aristocrate, fils d'Auguste de Gas, banquier, et de Célestine Musson, une créole américaine de La Nouvelle-Orléans. Son grand-père maternel, Germain Musson, d'origine française, est né à Port-au-Prince ( Haïti ) et s'est installé à La Nouvelle-Orléans en 1810.

    1.jpg

    Place de la Concorde

     

    Apprentissage entre classicisme et romantisme

    Issu d'un milieu bourgeois cultivé, Edgar Degas dessine sans cesse et se promet de devenir peintre. Au Louvre, il étudie entre autres Andrea Mantegna, le Véronèse, Albrecht Dürer et Rembrandt. En 1855, il entre aux Beaux-Arts ; mais il fréquente plus volontiers l'atelier privé de Louis Lamothe, un élève de Domniques Ingres qui le présente à ce dernier.

    Degas fait ensuite plusieurs séjours en Italie, non seulement à Naples, où il a une partie de sa famille, mais aussi à Florence et à Rome ; il y copie les maîtres de la Renaissance et découvre le mouvement des macchiaioli, qui entend rompre avec l'académisme.

    2.jpg

    Portrait d'Edouard Manet debout

     

    Malgré l'exemple d'Ingres, Degas admire Eugène Delacroix et aspire à conjuguer dans son art le classicisme du premier et le romantisme du second. De cette époque datent plusieurs portraits, comme celui de son grand-père Hilaire René de Gas (1857).

    3.jpg

    Les petites modistes

     

    Une nouvelle esthétique

    L' estampe japonaise, révélée depuis peu au monde occidental, l'enchante également et lui révèle de nouvelles possibilités (composition décentrée, raccourcis elliptiques, gros plans, contre-jours).

    Il s'essaie à la peinture d'histoire, qu'il voudrait rénover (Petites Filles spartiates provoquant des garçons, 1860 ; Scènes de guerre au Moyen Âge [ou les Malheurs de la ville d'Orléans], 1865). Il fait la connaissance du critique Louis Edmond Duranty et celle d' Édouard Manet, qui le qualifie de « grand esthéticien ». Il continue principalement à exécuter des portraits (une cinquantaine de 1865 à 1870), en plaçant ses modèles dans le « cadre de tous les jours » (Femme accoudée près d'un vase de fleurs, 1865).

    4.jpg

    L'Attente

     

    Le mouvement et la vie

    Au lendemain de la guerre de 1870, Degas exécute, en compagnie de Manet, quelques toiles à Boulogne, aux environs de Trouville et de Saint-Valery-sur-Somme. Mais c'est avec celle que l'on connaît sous le titre de Chevaux de course devant les tribunes (1869-1872) qu'il affirme avec le plus d'originalité sa conception du paysage peuplé de figures prises sur le vif. Doué d'une remarquable mémoire visuelle, il organise, à l'atelier, le meilleur des sensations qu'il a recueillies sur place, en s'aidant parfois de photographies.

    Il se sent aussi inspiré par les univers de la musique (Musiciens à l'orchestre, plusieurs versions) et de la danse ( la Classe de danse, 1873-1876 ;le Foyer de la danse à l'Opéra, 1872 ; Répétition de ballet sur la scène, 1874).

    9.jpg

    La Classe de danse

     

    Naturalisme et impressionnisme

    Exceptionnellement, Degas pratique la peinture de genre, qui trahit une influence naturaliste (l'Absinthe, 1876 ;Intérieur, dit aussi le Viol, vers 1868-1869 ; Repasseuse à contre-jour (vers 1874).

    En 1872-1873, il séjourne à La Nouvelle-Orléans, où deux de ses oncles font le commerce du coton. Il en rapporte les Portraits dans un bureau, qui manifestent son goût pour la modernité en art et son aptitude à poétiser les scènes de la vie courante.

    De retour à Paris, il joue un rôle actif dans la genèse et dans l'histoire du groupe impressionniste. Il participe aux expositions de 1874 à 1886 (sauf en 1882) et y présente notamment ses célèbres pastels consacrés à des nus féminins (série des « Femmes à leur toilette », commencée vers 1883). Au Salon des impressionnistes de 1881, il expose une de ses premières sculptures : la Danseuse de quatorze ans en cire.

    10.jpg

    Trois Danseuses

     

    Le « terrible Monsieur Degas »

    Homme d'esprit, Degas a de ces traits qui lui valent d'être surnommé le « terrible Monsieur Degas » : ainsi, un jour où l'on lui demande s'il est fier que l'une de ses deux toiles de Danseuses à la barre ait atteint, lors d'une vente à l'hôtel Drouot, le prix le plus élevé jusque-là pour une peinture moderne, il répond : « À peu près comme le cheval qui vient de remporter le Grand Prix. »

    À propos des adversaires de l'impressionnisme, il dit : « Ils nous fusillent, mais ils fouillent nos poches » ou encore : « Ils volent de nos propres ailes ». Pour entendre ses bons mots, on fait cercle autour de lui au café de la Nouvelle-Athènes, qui avait succédé au café Guerbois, naguère point de ralliement des réalistes.

    14.jpg

    L'Orchestre de l'Opéra

     

    Les derniers chefs-d'œuvre

    D'autres œuvres d'Edgar Degas renouvellent le rendu de l'espace par d'étonnantes audaces dans les cadrages et les jeux de lumière (Café-Concert des Ambassadeurs, 1876-1877). Le peintre travaille alors en toute sécurité matérielle. La galerie Durand-Ruel lui a ouvert un compte d'avances, qu'il rembourse en œuvres qu'il appelle des « articles » (Miss Lola [dite aujourd'hui La La] au cirque Fernando, 1879 ; Chez la modiste, 1882 ; Repasseuses au travail, 1884).

    En 1893, Degas commence à se plaindre de sa vue. Il renonce peu à peu à la peinture à l'huile et se consacre à des techniques qui lui conviennent mieux : surtout fusains et pastels striés à la gouache (Après le bain, nombreuses versions).Il produit encore des chefs-d'œuvre :Danseuses à mi-corps , Danseuses bleues.

    Sur la fin de sa vie, il diversifie ses domaines d'expression artistique : sculpteur avec ses Danseuses (il est considéré par Auguste Renoir comme le premier de son temps) ; graveur à l'eau-forte (Portrait de Manet, Mary Cassatt au Louvre) et même poète.

    8.jpg

    Devant les tribunes

     

    Citations

    « Faire des portraits de gens dans des attitudes familières et typiques, et surtout donner à leur figure le même choix d'expressions que l'on donne à leur corps. »

    Edgar Degas

    « Aucun peintre depuis Delacroix […] qui est son véritable maître, n'a compris, comme M. Degas, le mariage et l'adultère des couleurs. »

    Joris-Karl Huysmans, dans l'article « L'exposition des indépendants en 1880 » (l'Art moderne , 1883).

    6.jpg

    Miss Lala au cirque Fernando

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    De Louis XVIII au renouveau du nucléaire, du progrès et du bien-être, de la puissance française qui vont avec !...

    Beaucoup l'ignorent : c'est Louis XVIII qui a créé le Livret A, en mai 1818, au moment de la création de la Caisse d'épargne. Il s'agissait alors, pour le très grand roi qu'il fut, de remettre debout une France que la Révolution, la Terreur et les massacres partout, le Génocide vendéen puis les folles guerres napoléoniennes avaient complètement mis à bas; une France qui venait de perdre 600.000 hommes à cause de la Révolution (Génocide inclus) et 1.500.000 à cause de la guerre déclarée à l'Europe; une France occupée pendant trois ans (jusqu'en novembre 1818, par près de 1.250.000 hommes, répartis dans 58 départements); une France condamnée à payer une "amende" de 700 millions de francs; une France amputée de territoires lui faisant perdre 500.000 habitants...

    Le très grand Louis XVIII sortit la France de cette misère et la releva partout et en tout s'acquitant à merveille du service dont la Nation avait alors le plus urgent besoin, elle qui, en plus de tout ce qui vient d'être signalé, était menacée d'être démembrée par nos plus féroces ennemis : les Prussiens, appuyés par les Autrichiens : encore et toujours la masse germanique contre nous !... Ce furent les Russes et les Anglais, qui - intelligents et voyant loin... - ne voulaient pas d'une trop grande puissance "germanique" au coeur de l'Europe, s'opposèrent à ce démembrement, aidés par la très habile diplomatie de Talleyrand et Louis XVIII...

    Ce petit rappel historique étant fait, revenons à Louis XVIII et au nucléaire, qui paraissent, à première vue, bien éloignés l'un de l'autre.

    Notre semble-président vient de déclarer qu'il envisageait de puiser dans le Livret A (dont la collecte de fonds s'envole ces derniers temps : tant mieux !) afin de financer la construction de six centrales nucléaires.

    Pour une fois que l'on peut applaudir à une décision de Macron, on ne va pas bouder notre plaisir. Non sans exprimer, cependant, notre gratitude et reconnaissance à Louis XVIII qui nous a laissé ce bel outil de souveraineté nationale qu'est, finalement, "son" Livret A...

    https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/exclusif-le-livret-a-en-lice-pour-financer-les-nouveaux-reacteurs-nucleaires-en-france-1904910

     

    lfar espace.jpg

     

    1. De Yako Elish (sur tweeter) :

    "Merci au Sénat qui a voté hier la résolution visant la reconnaissance du #génocide Assyro-Chaldeen 1915/1918 par les Ottomans. Merci, au noms des 250 000 victimes, dont ma grand-mère Alfo et mon grand-père Habib.  #ChretiensdOrient"

    1A.jpg

     

    1 BIS. De François DEVEDJIAN (sur tweeter) :

    "#ArtsakhBlockade - Jour 61.  La dictature azerbaïdjanaise poursuit sa guerre silencieuse contre la population civile arménienne  d’#Artsakh qui reste sous blocus.  • réouverture sans délai ni condition du #LachinCorridor, • interposition d’une force de paix,  • sanctions contre le régime Aliyev"

    1A.jpg

     

    3.

    1A.jpg

    C'est "ça" ce que l'on appelle "la gauche et l'extrême-gauche", les cagoules noires, les faux "antifas/vrais terroristes" qui se drapent dans de grands mots creux pour pratiquer leur sport favori (qui est leur essence même) : massacrer, guillotiner, exterminer, terroriser... Nées de la Révolution haineuse, terroriste et guillotineuse, xénophobe ("À mort l'Autrichienne !", pour l'assassinat de la Reine Marie-Antoinette) gauche et extrême gauche, violentes par essence, par nature, veulent encore, aujourd'hui comme hier et toujours, jusqu'à la fin des temps, tuer tout ce qui n'est pas elle, appliquant le mot horrible de Staline, le fils de Robespierre et de la Convention : "Le problème c'est les hommes, pas d'hommes pas de problème". En Russie, cela a donné l'Holodomor pour les Ukrainiens et le Goulag pour les autres; en France le Génocide vendéen (le problème c'est les Vendéens : plus de Vendéens, plus de problèmes !")... C'est cette "bête immonde-là" qu'il faut combattre, et tuer...

    Mais attention ! Ne jamais oublier ce qu'a si bien résumé Thibon : "le chaos explosif des révolutionnaires" d'hier, de 89/93, du Génocide vendéen a été, formellement, remisé au placard, puisqu'il est installé au pouvoir; mais ce pouvoir, en costard/cravate de Macron, son actuel représentant, n'est rien d'autre que "le chaos figé des conservateurs du désordre" hérité de la Révolution...

    En somme, "sans-culottes" et "costard/cravate"

    à la Macron : même combat !

    LFAR PHRYGIEN.jpg

     

    4. Pour une fois que le groupe "Les Républicains", à l'Assemblée, fait quelque chose de bien, il convient de le signaler, non ? Face à la trahison des sénateurs "Les Republicains" au Sénat, les députés du même parti sauvent l'honneur en déposant un recours au conseil constitutionnel contre la loi scélérate très largement votée par le-dit Senat. Le groupe "Les Républicains"  à l’Assemblée nationale vient de déposer un recours au Conseil constitutionnel pour faire censurer la loi d’accélération de la production d’énergies renouvelables, adoptée ce mardi 7 février 2023 au Parlement...

    1A.jpg

     

    5. Dans Chrétiens magazine : Fin de Vie 85 : % des professionnels de santé (et 82 % des bénévoles) au contact de personnes en fin de vie, sont opposés à une évolution de la législation sur la fin de vie (Source OpinionWay,13 oct. 2022)... :

    https://chretiensmagazine.fr/deshumaniser-par-leuthanasie/

    1A.jpg

     

    6. "relooker" Paris ? Ce serait doublement horrible :

    • et pour le mot (en bon français, on dit "donner une apparence nouvelle", "rafraîchir", moderniser, refaire....),

    • et pour Paris, dont la beauté unique attire le monde entier depuis des siècles. Dieu nous préserve d'une relookisation (!!!) de notre Ville lumière, en plus par cette massacreuse/saccageuse de Paris qu'est Anne Hidalgo, l'Attila de la beauté/propreté/sécurité de notre magnifique Capitale, la grande prêtresse du naufrage de quartiers entiers dans la saleté, l'insécurité, la laideur, tout simplement...

    Ce petit préambule où l'on s'est bien défoulés pour dire notre accord total avec Dominique Dupré-Henry :

    "LOOK ? #Paris n’a surtout pas besoin d’être "relooké" pour les JO 2024 ! Son #patrimoine, ses #jardins, sa beauté…ont besoin d’être mis en valeur, respectés et restaurés avec soin afin de donner au monde entier l’image de ce qui fait l’attrait de Paris depuis tant d’années."

    1A.jpg

    1AA.jpg

    1AAA.jpg

     

    7. Frédéric Ferlicot communique (et invite) : 

    1A.jpg

     

     

    LFAR FLEURS.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Nous en avons parlé ici-même, le jour où cet incroyable vrai/faux canular s'est produit : la cantatrice Veronica Antonelli a été importunée par des "agents" (?) et verbalisé sur le Parvis du Sacré Coeur de Montmartre, car elle chantait, gratuitement, pour offrir à tous les passants un peu de cette beauté qui sauvera le monde. On a été scandalisé, puis on s'est dit que, de toutes les façons, quelqu'un, en haut lieu arrêterait là l'affaire. Que nenni, comme dit le Z ! Veronica vient de recevoir son PV en bonne et dûe forme !

    Cliquez sur l'image pour l'agrandir, puis utilisez le zoom...

    1A.jpg

    Voilà bien une allégorie résumant parfaitement ce qu'est le Système : il a transformé la France en un foutoir, une pétaudière indescriptibles;  une gigantesque poubelle du monde, dans laquelle n'importe quel taré - assassin en puissance - fait des courses sauvages en pleine ville, mettant en danger des dizaines de vie; dans laquelle il y a 1 agression gratuite toutes les 44 secondes, 120 attaques au couteau par jour, une augmentation de 12 % des agressions physiques en 2021 et où nous sommes tous 66 millions de décapitables en sursis, victime du premier terroriste islamiste venu, qui sera, après son crime, déclaré "psychiatrique"...; mais dans laquelle une cantatrice de renom international qui offre à qui veut bien, seulement, écouter, un spectacle en plein air se voit réclamer... 68 euros !

    Il est vrai que ses chants se contentaient d'être magnifiques, mais n'appelaient pas à tuer les koufars ni à égorger les juifs et les chrétiens, au nom d'Allah : et ça, c'est grave, c'est même impardonnable !

    En guise de soutien amical à Veronica, nous donnons ci-dessous le très court Casta diva, par elle chanté - pardon, offert - sur le lieux même de son abominable forfait...

     

    lfar espace.jpg

     

    1. D'accord avec la réaction de Goldnadel, après qu'un Français se soit fait agresser dans le Métro - mais se soit bien défendu... - sans que personne ne réagisse... "Soumission", disait Houellebecq... La soumission commence, aussi, par la peur...

     

    1 BIS. Écrivain et psychologue, Marie-Estelle Dupont s'est montrée brillante, sur CNews, en évoquant, elle aussi "le" sujet :

    (extrait vidéo 1'44)

    https://twitter.com/verity_france/status/1559972101871878147?s=20&t=Z0XarMSILVEagqvmj3Q-5g

     

    3. "L'ambiance est anxyogène en France, et c'est de la faute des médias..." André Comte-Sponville s'en donne à coeur joie : réjouissant !

    (extrait vidéo 1'07)

    https://twitter.com/benoitm_mtl/status/1559653472965992458?s=20&t=Z0XarMSILVEagqvmj3Q-5g

    1A.jpg

     

    4. Incendies de Gascogne... Dans l'inoubliable scène d'anthologie "de la cuisine", dans Les Tontons flingueurs, qui ne se souvient que Lino Ventura (dans le film, "Monsieur Fernand"), dit, à propos du "bizarre", du "vitriol", qu'on a ressorti : "...faut quand même admettre que c'est plutôt une boisson d'homme...". Là, on pourrait dire (mais c'est, hélas, beaucoup moins drôle, et même pas drôle du tout...) : "...faut quand même admettre que c'est plutôt bizarre..."

    (extrait vidéo 0'36)

    https://twitter.com/JaimeHorta17/status/1559510721368657921?s=20&t=Z0XarMSILVEagqvmj3Q-5g

    1A.jpg

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/polemique-autour-du-parc-photovoltaique-geant-a-saucats-trop-grand-et-trop-risque-2490421.html

     

    5. Quand l'UE - pourtant avertie... - continue de subventionner les Frères musulmans (via un certain FEMYSO) ! :

    https://twitter.com/dobsky33/status/1560173871055208448?s=20&t=eFQLD7vpH96eOxYHqvBArQ

    1A.png

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/bruxelles-continue-la-promotion-d-une-association-proche-des-freres-musulmans-pourtant-denoncee-par-la-france-20220817

     

    6. La bonne idée de L'Union pour la Réintégration des Soignants, qui propose un nouveau mot dièse :

    "Je vous propose de remettre sur le devant de la scène les #SoignantsSuspendus avec un nouveau Hashtag #JusticePourLesSoignants  Les députés ont le pouvoir de faire une loi pour les réintégrer. Soutenez nos collectifs de l'Union en nous suivant sur Twitter" 

    1A.jpg

     

    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par un petit sourire (petit, ou énorme, ce sera selon...) avec ce grand, ce très grand moment de télévisison, qui, lui aussi, comme dans Les Tontons flingueurs, est "du bizarre" !

    https://twitter.com/CWeillRaynal/status/1560150865436180480?s=20&t=eFQLD7vpH96eOxYHqvBArQ

    lfar ane.jpg

     

     

     

    À DEMAIN !

    LFAR FLEURS.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Le nouveau gouvernement ? Vincent Trémolet de Villers en donne une très juste et très fine analyse, que nous faisons nôtre, entièrement... :

     "...Ça donne une impression de fin de cycle. Il n'y a pas de cap. La martingale du 'en même temps' est devenue une malédiction..."

    (extrait vidéo 2'19)

    https://twitter.com/JL7508/status/1543944469040562180?s=20&t=pK8jIYP_7vrXMsP_qq7VJg

    Ajoutons aux propos de Vincent Trémolet de Villers l'humour bienvenu de Jean Messiha (Président Association Apollon) :

    "Le nouveau gouvernement est très écologique : il fait dans le recyclage des anciens ministres éconduits comme Marlène #schiappa et Franck #Riester"

    1 animé 1.gif

     

    lfar espace.jpg

     

    • Un grand bravo à notre 13ème "médaille Fields" : Hugo Duminil-Copin !

    https://www.cnews.fr/science/2022-07-05/mathematiques-tout-savoir-sur-hugo-duminil-copin-qui-vient-de-remporter-la

    1AA.jpg

    Lorsqu'Alfred Nobel a institué son Prix, les mathématiques ne faisaient pas partie des domaines concernés. Pour pallier ce manque, on créa d'abord la Médaille Fields (équivalente, donc, au Prix Nobel, mais pour les mathématiques) puis la Médaille Abel.

    Pour ceux que le sujet intéresse, reportez-vous à notre Éphéméride du 10 décembre, dans laquelle vous trouverez la liste complète des Français ayant reçu un Nobel, la Médaille Fields ou la Médaille Abel...

    1A.jpg

     

    1. Le Bac et sa valeur aujourd'hui, au moment des résultats qui viennent de tomber ? Hélas, d'accord avec Brighelli...: "la réponse facile serait rien, mais c’est pire que rien. Le bac fabrique des illusions...". Brighellei a, bien sûr et hélas, raison. Mais il faut remonter aux sources du désastre actuel, et savoir ce qui s'est passé en cent ans, et pourquoi... Ce "rien" dont parle Brighelli, cette mort de la culture française dans les têtes vides de la plupart de nos ados, c'est le résultat du Collège unique, plan "de droite", mis en place en 1975 par René Haby, ministre de Chirac et Giscard, pour appliquer le plan marxiste Langevin-Wallon, élaboré dès 44, et qui n'était que la poursuite de l'entreprise de démolition commencée par Ferry dès l'instauration de la IIIème République en 1875, seulement interrompue par la Seconde guerre mondiale : ce plan de Ferry, c'était de créer un enfant "sans Roi et sans Dieu" : on y est ! Sauf qu'ils n'avaient pas pensé à une chose, cet insensé de Ferry et ces criminels de "hussards noirs de la République", qui ont décervelé les petits français qui leur étaient confiés : sans Roi et sans Dieu, sans colonne vertébrale, sans rien de transcendant dans leur tête, qui les pousse à monter vers les hauteurs, ils sont "horizontaux", désespérément attachés au matériel, "au ventre et au bas-ventre", sans horizons ni sommets ("no future !" chantent (?) des rappeurs...) amputés qu'ils sont de tout leur grandiose héritage gréco-romain et judéo-chrétien... 

    (extrait vidéo 2'15)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1544190040955568130?s=20&t=78AEiud3R3xIJwcPKNQnCA

     

    2. Un nouveau sinistre/ministre qui promet ! Olivier Klein (ex-PCF et PS), nouveau ministre de la Ville et du Logement, en 2016 déclare : "On a eu tort de ne pas mettre en place le droit de vote aux étrangers… il faut aller plus loin sur le financement des mosquées..." 

    1A.jpg

    Un commentaire ?

    1 animé 4.gif

     

    2 BIS. Et lui ! C'est le nouveau directeur de cabinet d’Élisabeth Borne, et le mari de Marguerite Cazeneuve, ex-McKinsey, qui est chargée par Macron de la réforme des retraites... Avec lui aussi, comme sinistre/ministre, ça promet !!!!!

    https://rmc.bfmtv.com/actualites/politique/aurelien-rousseau-le-nouveau-directeur-de-cabinet-d-elisabeth-borne-au-parcours-etonnant_AV-202205180134.html

    1A.jpg

    1A.jpg

     

    4. (Dans Planète 360Sophie Tissier a déposé plainte contre Éric Coquerel (LFI). Elle l’accuse d’ "agressions sexuelles". Plusieurs témoins confirment sa version des faits... On comprendrait mal pourquoi Damien Abad aurait quitté le gouvernement (ce qui nous paraît normal) si un tel individu pouvait rester président de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale...

    https://planetes360.fr/sophie-tissier-a-depose-plainte-ce-matin-contre-eric-coquerel-lfi-elle-laccuse-dagressions-sexuelles-plusieurs-temoins-confirment-sa-version-des-faits-maj/?feed_id=179929&_unique_id=62c2e5b55417f

    1A.jpeg

     

    4 BIS. Mais attention, ce "noble héros" de Coquerel, comme on ose l'appeler à LFI, va petre défendu bec et ongles par le parti islamo-gauchiste !

    https://www.lefigaro.fr/vox/politique/celina-pina-l-affaire-eric-coquerel-ou-la-drole-de-conception-de-la-justice-des-insoumis-20220704?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox&utm_source=Twitter&origine=VWT16001#Echobox=1657001983

    1A.jpg

    "...Il faut dire qu'il y a le feu à la maison LFI car celle-ci a donné tant de leçons, avec tellement d'arrogance, que regarder ses leaders trébucher sur ce qu'ils reprochent aux autres, est un retournement de situation assez cocasse..."

     

    6. À la question posée par Polemia : "Les extra européens sont-ils sur-représentés dans la pub", la réponse est, bien évidemment :

    OUI, ET ON EN A MARRE ! 

    Plus de 30% de non Européens dans les pubs, 1/3 des couples représentés ethniquement mixtes : les pubards promeuvent le Grand Remplacement... 

    https://www.polemia.com/les-extra-europeens-sont-ils-surrepresentes-dans-la-pub-video/

    1A.jpg

     

    7. L'armée française aurait besoin de 215 canons Caesar. Elle en possède seulement 76. A 5 millions l'unité, cela coûterait donc 695 millions... (source : zone militaire opex360.com) :

    http://www.opex360.com/2022/07/03/une-etude-plaide-pour-un-renouveau-de-lartillerie-francaise-avec-215-caesar-et-des-capacites-de-defense-sol-air/

    1A.jpeg

    ET NOUS, NOUS DEMANDONS UN BUDGET MILITAIRE ÉGAL A 5% DU PIB : 1% POUR CHACUNE DES TROIS ARMES (AIR, TERRE, MER) ET 1% POUR LE NUCLÉAIRE (TOUTES ARMES CONFONDUES)

     

     

     

    À DEMAIN !

    LFAR FLEURS.jpg

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Sur Versailles habité par le roi régnant, le soleil se lève pour la dernière fois...

    1789 : Sur Versailles habité par le roi régnant, le soleil se lève pour la dernière fois...

    6 octobre,louis philippe,sida,montagnier,francoise barré-senoussi,louis xviii,revolution,empire,napoleon,charles x,albert de mun

    1682 : Louis XIV s'installe définitivement à Versailles, le Roi, la Cour et le gouvernement quittent le Louvre et Saint-Germain-en-Laye pour s'installer là où, pendant tout son règne, le Roi-Soleil, va faire de son château un triple poème humaniste, politique et chrétien...

    Pendant un peu plus d'un siècle, jusqu'au 6 octobre 1789, Versailles abritera le roi régnant et sa famille, ne cessant d'être le siège du pouvoir que durant la courte éclipse de la Régence, de 1715 - date de la mort de Louis XIV - au 15 juin 1722 - date du retour de Louis XV dans le cher château de son enfance...

    Le 6 octobre 1789, à 13h25, le cortège royal quittera Versailles pour Paris. Louis XVI demandera, en partant, à La Tour du Pin, ministre de la Guerre, de lui "préserver son pauvre Versailles"...

     

    Pourtant, Chateaubriand l'a bien dit : "Le trône, si près de sa chute, semblait n’avoir jamais été plus solide."; et "Louis XVI a pu vingt fois sauver sa couronne et sa vie..." (Mémoires d'Outre-Tombe, Livre Quatrième).

    Que s'est-il donc passé, ce 6 octobre 1789, pour que Louis XVI accepte de se laisser emmener de force hors de son palais, pour n'y plus jamais revenir, et connaître le destin que l'on sait ?

    On serait tenté de répondre : presque rien.

    Sauf que Louis XVI, dans son obsession rousseauiste à ne voir que des "hommes bons" partout, et dans son refus persistant de faire usage de la force légitime, se refusa, ce jour-là comme les autres, à agir en roi, faisant acte d'autorité, et laissa la place libre à l'émeute de quelques centaines seulement d'agitateurs, alors que le peuple de France, aux dires de l'historien Alain Decaux, était de "vingt-six millions de royalistes"...

    En 1789, la France était la première puissance du monde et, bien que suivie de près par l'Angleterre, elle disposait de la prééminence absolue, dans les domaines démographiques et économiques, militaires, culturels. Elle était "la grande Nation", et démographiquement parlant, si l'on peut dire, "la Chine de l'Europe".

    Cependant, la révolution industrielle venant tout juste de commencer, elle était encore, essentiellement, un pays agricole, et les masses étaient paysannes, donc très concernées par les aléas climatiques.

    6 octobre,louis philippe,sida,montagnier,francoise barré-senoussi,louis xviii,revolution,empire,napoleon,charles x,albert de munOr, l'année 1789 fut très mauvaise, de ce point de vue : un hiver très rigoureux, et, au printemps et durant l'été, de mauvaises récoltes. La disette régna donc à Paris (illustration : Louis XVI distribuant des aumônes aux pauvres de Versailles, hiver 1788).

    Le 5 octobre, un groupe de femmes décida de se rendre à Versailles. Après quatre heures de marche, sous la pluie, les Parisiennes arrivèrent finalement sous les grilles du château. Un petit groupe se rendit à l’Assemblée constituante afin d’y faire une déclaration, et un premier affrontement se déroula à coup de pierres entre les femmes et les gardes de Versailles. Louis XVI, qui avait été prévenu alors qu’il chassait, rentra à Versailles en toute hâte. Le commandant des gardes du corps décida alors de laisser passer une délégation, composée de six femmes désarmées. Le roi, touché par la détresse des Parisiennes, accepta alors de distribuer de la farine dans la capitale. Les femmes se retirèrent soulagées, criant "Vive le roi !".

    Mais le 6 octobre, alors que le calme semblait être rétabli, une foule de quelques centaines d'émeutiers arriva après minuit à Versailles; vers six heures du matin, ils décidèrent d’envahir le château. Alors que les émeutiers cherchaient la chambre de la reine, tuant deux serviteurs, Marie Antoinette, réveillée en sursaut, se réfugia dans les appartements du roi. Au même moment, la foule massée sous les murs du château acclamait - comme par hasard - le duc d’Orléans. On sait que le cousin du roi le détestait, souhaitait ouvertement le remplacer sur le trône, et fomentait des émeutes contre lui. Des témoins oculaires rapportent que des hommes, même, s'étaient grossièrement déguisés en femmes pour exciter la petite foule...

    6 octobre,louis philippe,sida,montagnier,francoise barré-senoussi,louis xviii,revolution,empire,napoleon,charles x,albert de munInsultant d'abord la reine, cette petite foule réclama que le roi se rendît à Paris. Le couple royal, accompagné par La Fayette, apparut alors au balcon de la Cour de  marbre (ci contre), parvenant tant bien que mal à calmer les insurgés. Puis Louis XVI, après avoir longtemps hésité, et au lieu de réagir vigoureusement, accepta finalement de se rendre à Paris, où la famille royale arriva dans l'après-midi, après avoir quitté le palais à 13h25...

    Le roi fut - bien - accueilli par le maire, Bailly, qui lui remit les clefs de la ville sous les acclamations des Parisiens, et s’installa avec sa famille aux Tuileries. Mais il y était, de fait, prisonnier, même si, à de multiples occasions, il aurait pu, par la suite, se sortir du mauvais pas où l'avait placé sa trop grande confiance en la bonté humaine ...  

    Mieux que de longs discours, la lecture des deux courts textes suivants de Jacques Bainville éclairera - comme d'habitude avec cet immense historien - sur les raisons profondes de la catastrophe finale que fut la Révolution :

     

    1. L'erreur intériorisé de Louis XVI : ne pas croire au mal, croire que "l'homme nait bon", être, en somme, non pas "rousseauiste" - puisque Rousseau n'a jamais formulé de théorie philosophique ou politique - mais, si l'on peut dire, "rousseauisé" :

    Journal de Jacques Bainville

     

    2. Louis XVI, auteur de la Révolution : tel est le titre du chapitre VI du dernier livre de  Jacques  Bainville, Les moments décisifs de l'Histoire de France :

    Louis XVI auteur de la Révolution (I)

    Louis XVI auteur de la Révolution (II)

    Louis XVI auteur de la Révolution (III)

     

     À ces deux textes de Bainville, on pourra jouter, avec profit, la lecture du chapitre "Louis XVI" du court ouvrage écrit par Balzac en 1837, Rois de France :

    Les erreurs de Louis XVI face à la Révolution  

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "Ça", un "remaniement" ?

    La bonne blague ! (très mauvaise, en fait, et qui en dit long sur l'état de décrépitude plus que très avancé de notre Système, à bout de souffle...).

    Un remaniement à mi-chemin entre François Hollande et la IVème République..."

    Beaucoup de bruit pour rien… Et encore, la comédie de Shakespeare a un tout autre charme. Ici, les comédiens sont tellement inconnus qu’on risque à chaque instant de les confondre, l’intrigue est plus que poussive et le dénouement, terriblement décevant. Pourtant, Emmanuel Macron s’était donné du mal. Il avait même convoqué l’épopée napoléonienne. Mais les «cent jours» s’achèvent dans des combinaisons minuscules à mi-chemin entre François Hollande et la IVème République. «L’esprit de petite ville» (Marc Bloch) a encore triomphé...

    ...Le plus préoccupant dans cet épisode c'est la confusion qui règne au sommet de l'Etat. Image de désordre quand les Français veulent de l'ordre, indécision quand ils cherchent l'autorité, autosatisfaction quand l'inquiétude les dévore..."

    • Philippe Ballard, Député RN de l'Oise, a raison aussi : quand le film est mauvais, que le scénario est mauvais, on peut bien changer des acteurs, mauvais aussi, par d'autres, tout aussi mauvais, l'ensemble restera... mauvais !

    Pauvre Macron ! (de cela, on se fiche); mais, surtout, pauvre France ! (et, de cela, on ne se fiche pas !...)

     

    1AZZZ.jpg

     

    1. Toujours ce prix fou de l'électricité, à cause de la "politique" (?) folle suivie par notre gouvernement anti-national et "anti-peuple" (surtout le petit...). Entièrement d'accord avec Nicolas Meilhan :

    "...Le bouclier tarifaire est un bouclier artificiel pour compenser un prix artificiel... Si on revient à la situation avant que nous ne rejoignions le marché européen de l'électricité, nous retrouverons l'électricité la moins chère d'Europe... au lieu de subir l'ingérence allemande depuis 15 ans sans rien faire..."

    (extrait vidéo 0'53)

    https://twitter.com/NicolasMeilhan/status/1682045369381974016?s=20

    Augmentation du prix du gaz et de l'électricité - LE BOIS ÉNERGIE

     

    1 BIS. Et cette contradiction majeure, relevée par Gabrielle Cluzel :

    "Donner l’impression aux Français de les trahir et de les prendre pour des imbéciles : laisser filer le prix de l’électricité et en même temps les exhorter à acheter des voitures électriques…"

    (extrait vidéo 0'44)

    https://twitter.com/gabriellecluzel/status/1681983241085911040?s=20

    1A.jpg

     

    3. On le savait, mais il est toujours bon de le rappeler !... De William Thay, sur CNews :

    "...La France subit un déclassement économique. Les Français se sont appauvris depuis 40 ans et l'élection de Français Mitterrand. En 1980, la France produisait le même PIB par habitant que l'Allemagne et les États-Unis. Comparaison évolution du PIB par habitant entre 1980 vs 2021 :

    • France : 13 069 $ (2008) vs 44 995 $ (2021).

    •  Allemagne : 11 109 $ (2008) vs 51 860 $ (2021).

    • États-Unis : 12 552 $ (2008) vs 68 308 $ (2021)..." :

    (extrait vidéo 0'45)

    https://twitter.com/ThayWilliam/status/1681945113709166593?s=20

    La France en plein déclassement économique | VALEUR REFUGE - YouTube

     

    4. Bonne nouvelle, signalée par Fabien Bouglé (sur tweeter) :

    https://www.euractiv.fr/section/energie-climat/news/les-eurodeputes-reintegrent-le-nucleaire-dans-la-liste-des-technologies-pour-lindustrie-verte/

     

    5. "Où il y a une volonté, il y  a un chemin", disait de Gaulle. Robert Ménard, en refusant le mraige-bidon d'un envahisseur sous OQTF a montré que, si on veut, et quand on veut, on peut ! L'article amusé de Gabrielle Cluzel, dans Boulevard Voltaire :

    "Quand on veut, on peut : le "fiancé de Béziers" est en Algérie. Pas marié mais bien marri..."

    https://www.bvoltaire.fr/edito-quand-on-veut-on-peut-le-fiance-de-beziers-est-en-algerie/

     

    6. Le burkini, c'est non, et les Français n'en veulent pas ! Très juste déclaration d'Arthur de Watrigant, sur CNews :

    "On est dans l'institutionnalisation de l'islamisme... le seul moyen pour lutter contre ça, à long terme, c'est d'imposer une contre-civilisation, réaffirmer la nôtre..."

    Pierre Boutang le disait d'une autre façon : il y place pour plusieurs communautés, en France; il n'y a pas de place pour deux deux civilisations...

    (extrait vidéo 4'38)

    https://twitter.com/Fred_Marseille/status/1681964834743627777?s=20

    https://images.bfmtv.com/61mEAL931xIbAq00c57eIQN1D2s=/0x0:1280x720/images/Alpes-Maritimes-l-arrete-contre-le-burkini-a-Mandelieu-la-Napoule-valide-1670889.jpg

     

    7. Paris, Paroisse Saint Merry... Le tableau de St Pierre, de Joseph Marie Vien est de retour...

    Image

     

     

    À DEMAIN !

    1AZZ.jpg

  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (3)

    1AZZZZ.jpg

    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : "Navarre sans peur !", le régiment du jeune Chateaubriand...

    1A.png

    Le Régiment de Navarre, régiment de Chateaubriand

     

    Le jeune vicomte François-René de Chateaubriand servit dans le prestigieux Régiment des Gardes du Roi de Navarre

    Le Régiment des Gardes du Roi de Navarre, aujourd'hui 5ème Régiment d’Infanterie, est un régiment d'infanterie du Royaume de France, créé en 1558.

    Il est l'une des plus anciennes unités militaires de France, l'un des "cinq Vieux".
    Nommé "de Navarre", il fut appelé quelques années à peine "de Valirault" avant de reprendre, définitivement, son nom de "Navarre"...

    Ce Régiment fut formé sous les guerres de religion à partir des bandes de Guyenne venues se ranger sous la bannière de la Maison d’Albret.
    Il est l'héritier des Basques et Gascons des vieilles « Bandes de Guyenne », qui s’illustrèrent à Marignan, et est devenu, il y a quatre siècles, « Régiment des Gardes du Roy de Navarre » (Henry IV).
    Actuel 5ème régiment d’infanterie, il est de toutes les formations de l’armée de terre, l’une des plus anciennes et des plus illustres.

    Redouté de l’Espagnol, surnommé « diabolique » par le Prussien, participant à plus de cinquante campagnes en France et en Europe, il se couvre de gloire durant trois siècles, témoigne de sa fidélité à nos Rois et contribue à faire l’unité de la France.

    Pendant la Révolution, il est à Valmy et charge à Jemmapes au cri de « Navarre sans peur ». Il combat sous Bonaparte à Lonato et Castiglione

    Sous l’Empire, il est présent en Italie, à Wagram, en Espagne et s’illustre lors de la retraite de Russie.
    Il meurt à Waterloo auprès de la Garde Impériale...

    Il lutte désespérément en 1870 et donne en 1914-1918 la mesure de son esprit de sacrifice : de la Belgique à Verdun, 9.000 des siens tombent au champ d’honneur.

    Au cours de la grande guerre, 1914-1918, le régiment, ne tenant compte ni des peines ni des sacrifices, a accompli vaillamment toutes les missions qui lui ont été confiées, aussi bien dans la zone des tranchées qu’en terrain libre.

    En 1939-1940, il résiste farouchement sur l’Aisne avant de succomber sous la pression ennemie.

    Il renaît en 1944, combat en Alsace et en Saintonge. Il stationne en Allemagne jusqu’en 1955, participe aux opérations de maintien de l’ordre au Maroc et débarque en Algérie en 1958 sur les traces de ses anciens qui ont pris Djijelli il y a trois siècles, vaincu Abd-el-Kader il y a 120 ans et pacifié l’Est Algérien 80 ans plus tôt.

    Très vite, il se distingue par sa pugnacité dans la réduction des bandes rebelles et dans la pacification de la zone ouest oranaise.

    Rapatrié en métropole en 1964, il tient garnison depuis cette date à Beynes.

    À la suite de son premier Chef de Corps, Henri IV, le Régiment de Navarre (5éme régiment d’infanterie) s’enorgueillit légitimement d’avoir compté dans ses rangs six Maréchaux de France :

    - Blaise de Monluc (1500-1577) fut soldat à 16 ans, servit sous les ordres de Bayard puis s'illustra dans l'infanterie avec le grade de colonel-général. Fait maréchal de France par Henry III, il laisse le souvenir d'un écrivain remarquable...
    - Jean de Lavardin (1551-1614) compagnon d'enfance du futur Henri IV, est promu maréchal de France en 1595. Il finit sa vie comme ambassadeur en Angleterre...
    - Pons de Thémines (1553-1627) combattit de bonne heure contre les Calvinistes puis contre la Ligue pour le compte du roi de France. Nommé maréchal de France en 1616, il meurt onze ans plus tard, devenu lieutenant-général de Guyenne et de Bretagne.
    - Jean d'Estrées (1624-1707) obtint la charge de colonel du régiment de Navarre à 23 ans. Fait prisonnier des Espagnols au siège de Valenciennes(1656), il reprend du service après onze ans de captivité en tant que lieutenant-général des armées navales, chargé de défendre les intérêts français en Amérique. Il devient maréchal de France en 1681 et vice-roi d'Amérique cinq ans plus tard...
    - Jean de Lattre de Tassigny (1889-1953) et Pierre-Marie Koenig (1898-1970) ont également servi au 5e, l'un comme chef de bataillon de 1930 à 1934, l'autre de 1929 à 1931, avant d'être élevés chacun à la dignité de maréchal à titre posthume...

    En outre, le régiment a compté dans ses rangs trois écrivains de renom :

    - Agrippa d'Aubiné (1552-1630),
    - François René de Chateaubriand,
    - Alfred de Vigny...

    Trois fois cité à l’ordre de l’armée en 1914-1918, une fois cité à l’ordre de l’armée en 1940, le régiment de Navarre, dont le drapeau n’est jamais tombé aux mains de l’ennemi, est décoré de la fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre 1914-1918. Il porte les noms de quelques unes de ses plus grands victoires :

    ■ Fleurus 1794
    ■ Castiglione 1796
    ■ Wagram 1809
    ■ Anvers 1832
    ■ l’Aisne 1914-1918
    ■ Verdun 1916
    ■ l’Ourcq 1918
    ■ La Lys 1918



    La devise du Régiment : "Navarre sans peur !"

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    1. En se brouillant avec la Russie, que tout nous désigne comme notre amie et alliée, pour faire contre-poids au marxisme-léninisme Chinois et à la toujours malfaisante Maison Blanche, Macron et le Système, tous deux insensés, font que nous allons manquer de gaz...

    2. En fermant Fessenheim avant que l'EPR de Flamanville ne soit entré en production, Macron et le Système, tous deux insensés, font que nous allons manquer d'électricité...

    3. Mais cela n'est rien face au monumental iceberg de "la voiture électrique" - l'utopie la plus folle du siècle - sur lequel Macron et le Système, toujours insensés, nous précipitent à toute allure...

    Écoutez François Lenglet : voitures électriques ? "...Le prix d'une recharge supérieur au prix d'un plein d'essence...", "injonctions pour ne recharger qu'en période creuse"... la voiture électrique que veulent nous imposer des dirigeants incompétents tournera, tourne déjà, au cauchemar...

    Lancer des voitures électriques quand on ferme Fessenheim (5% de la production d'EDF) c'est de l'incompétence + de la stupidité + jouer contre les intérêts supérieurs de la population : bref, c'est...

     

    LE SYSTÈME EN FOLIE !

    (extrait vidéo 2'14)

    https://twitter.com/JL7508/status/1566853836085596160?s=20&t=ifBgk6nSe2c95K51D12cQA

     

    lfar espace.jpg

     

    1. La révolte du Pays réel contre un Pays légal qui ne représente plus assez de citoyens pour être crédible, mais qui ne cesse pour autant d'être de plus en plus malfaisant... Avec les non inscrits, les "votes blancs et nuls" et surtout l'abstention himalayenne, un "khmaire vert" escrolo ne représente que la moitié d'un habitant de sa ville sur six ou sept ! Donc :

     

    ILLÉGITIMES !

    https://www.valeursactuelles.com/regions/auvergne-rhone-alpes/isere/no_agglomeration/societe/a-grenoble-le-maire-ecologiste-fait-le-choix-de-menus-standards-vegetariens

    1A.jpg

     

    2. Ils sont vraiment insensés, ces escrolos !

    • Hier, en 2015, ils demandaient et obtenaient l'abandon de la construction du très utile barrage de Sivens, qui aurait créé une réserve d'eau d'1,5 million de mètres cubes pour l'irrigation des terres agricoles; certes, il aurait entraîné la submersion de 12 hectares d'une zone humide, mais les mesures compensatoires prévoyaient d'en restaurer une d'une superficie totale de 19,5 hectares...

    • Aujourd'hui, ils demandent - et obtiennent - la destruction des "barrages du Sud Manche", qui produisaient 5 millions de kWh par an. Leur destruction a commencé cet été car, disent les escrolos, ces barrages empêchaient les poissons de circuler sur toute la rivière. Ces escrolos insensés sont de véritables dangers publics, une plaie, un fléau pour le Pays. Et les semble-gouvernants qui leur cèdent sont de mauvais gouvernants, qui vont à l'encontre des intérêts réels de la population et de la Nature, de la Création...

    1A.jpg

     

    3. Soutien total à nos policiers de terrain (rien à voir avec la police politique ou instrumentalisée du Système...) et à Matthieu Valet qui dénonce sans relâche la volonté de tuer des bandes de l'armée barbare d'invasion :

    "Un #policier traîné comme un chien par des barbares pour un refus d’obtempérer ! Ce père de famille s’en sort miraculeusement avec des blessures légères. Ce #Policier tentait d’interpeller un voyou qui refusait de s’arrêter aux #Mureaux. En #France c’est comme ça toutes les 19 mn !"

    (extrait vidéo 0'09)

    https://twitter.com/mvalet_officiel/status/1566920583849418752?s=20&t=U_7o_PlTRFU1sxDlJ_XWKw

    1A7.jpg

    Danc ce cas-là, la Racaille n'a pas tué, mais la volonté y était : alors,

    MESSIEURS LES POLICIERS, TIREZ LES PREMIERS !

     

    3 BIS. Et Matthieu Valet enfonce le clou :

    • "Un refus d’obtempérer toutes les 19 minutes en France ! Pourquoi s’arrêter quand le voyou qui refuse de s’arrêter sait qu’il n’ira pas en prison ? Pire, ils traînent, fauchent, blessent, tuent des policiers. Rassurez-vous le Char A voile est facile à arrêter, pas de Polémique !"

     
    • "Le vrai scandale est que le refus d’obtempérer aujourd’hui c’est un an d’emprisonnement, et un délinquant qui est condamné à une peine inférieure à un an ne va pas en prison, c’est ça la réalité"

    (extrait vidéo 0'27)

    https://twitter.com/mvalet_officiel/status/1567065068277321729?s=20&t=PpM44GYBzqHfObjkXRltjw

     

    5. Sur notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste :

    1A.jpg

    Après l'agression à Cannes d'une personne âgée par trois mineurs, le maire a demandé la fin du versement de leurs aides sociales. Pierre-Marie Sève, délégué général de l'Institut pour la Justice (IPJ), une association de citoyens mobilisés au côté des victimes, avance des pistes concrètes afin de retirer ces prestations aux personnes condamnées.
    «La nature même des aides sociales, comme des contrats de bail en HLM, suppose des devoirs chez leurs bénéficiaires. En effet, elles constituent des privilèges qu'offrent la France et ses contribuables aux personnes supposées les plus fragiles. Est-il juste d'offrir ce privilège à des personnes condamnées par la justice pour les violations graves des règles de la vie en société? Assurément, non.»

    1 animé 2.gif

     

    6. (Dans Figaro Vox, de Goldnadel) : "Ce n'est pas tant la droite qui progresse que la gauche qui régresse. Les extravagances de Rousseau, le pro-islamisme de FI, l’insécurité hors de contrôle des causes de l’immigration : les français quittent la gauche en criant "aux fous !"..."

    https://www.lefigaro.fr/vox/politique/goldnadel-ce-n-est-pas-tant-la-droite-qui-progresse-que-la-gauche-qui-regresse-20220905

    1A.jpg

     

    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par un mot d'Oscar Wilde, que nous dédions à notre semble-président Macron, Macron le "gamin" (dixit Luc Ferry), "Macron charbon" (qui a réouvert une centrale à charbon fermée et prolongé une autre qui allait fermer dans les prochains jours). Macron qui, du haut de son arrogance, ose nous appeler à la "sobriété" et nous explique que "la meilleure énergie c'est celle qu'on n'utilise pas" !...

    1A.jpg

     

     

    À DEMAIN !

    LFAR FLEURS.jpg