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Rechercher : qu'est ce que le système ?

  • L’impasse libanaise, par Christian Vanneste.

    1A.jpgSource : https://www.christianvanneste.fr/

    Amin Maalouf est un écrivain franco-libanais, prix Goncourt 1993 pour le Rocher de Tanios et membre de l’Académie française depuis 2011. Son regard sur le Liban est utile pour comprendre la situation dramatique que connaît son pays d’origine. La comparaison entre ses deux essais, « Les Identités meurtrières » de 1998 et « Le Dérèglement du monde » jette une lumière sur l’évolution du Liban.

    christian vanneste.jpgDans le premier essai, il écrit notamment : « Je continue et continuerai à dire que l’expérience libanaise, en dépit de ses échecs, demeure à mes yeux bien plus honorable que d’autres expériences du Proche-Orient, et d’ailleurs, qui n’ont pas débouché sur une guerre civile, ou pis encore, mais qui ont bâti leur relative stabilité sur la répression, l’oppression, la « purification » sournoise et la discrimination de fait. Dans le second, son jugement est devenu plus pessimiste : « Pour l’avoir observé au Liban … , je puis témoigner que le communautarisme ne favorise nullement l’épanouissement de la démocratie… Le communautarisme est une négation de l’idée de citoyenneté…. Il est pernicieux, et même destructeur, d’instaurer un système de quotas qui partage durablement la nation en tribus rivales ». Et plus loin, « Mon Liban est probablement l’exemple emblématique d’un pays disloqué par le « confessionnalisme » et je n’éprouve de ce fait aucune sympathie pour ce système pernicieux ». Ce qui était un moindre mal, malgré des échecs, est devenu un système qui va s’auto-détruire. Amin Maalouf, profondément marqué par sa culture d’origine, arabe, mais chrétienne, puis française, est devenu un intellectuel cosmopolite qui avoue avoir « bien plus de choses en commun avec un passant choisi au hasard dans une rue de Prague, de Séoul ou de San Francisco qu’avec mon propre arrière-grand-père. » On pourrait lui faire remarquer que l’intérêt qu’on trouve à lire ses romans vient justement de ce qui le différencie des passants anonymes des grandes villes du monde. Il n’est pas une « particule élémentaire ». Mais surtout, à le voir opposer la langue qui peut être un pont entre les hommes à condition d’en parler plusieurs et la religion qui est un mur qui enferme chacun dans sa foi et son héritage, on perçoit les limites de son analyse.

    Le Liban a été créé entre les années 1920 et les années 1950, sous le mandat français. Les liens profonds et anciens entre la France et les maronites, ces catholiques d’Orient qui ont toujours été fidèles à Rome, datent des croisades et se sont renforcés quand notre pays, malgré ses changements de régime, a protégé particulièrement cette communauté religieuse, alors sous domination ottomane. Dès le début du mandat, le Liban a été séparé de la Syrie en tant qu’Etat distinct et lors de l’indépendance effective entre 1943 et 1946, il est devenu une entité politique originale puisque le système reposait sur les 18 communautés religieuses reconnues. Les chrétiens y étaient alors majoritaires, et les maronites représentaient 30% de la population. Ils constituaient la clef de voûte du pays et détenaient de droit la Présidence de la République, tandis que les Sunnites avaient le poste de Premier ministre, et les chiites la présidence de l’Assemblée. Cette étrange et complexe construction résultait de l’histoire : le mont Liban avait accueilli au cours du temps toutes les minorités chrétiennes et musulmanes, maronite, melkite, grecque-orthodoxe, arménienne, syriaque pour les premières, chiite, alaouïte, druze pour les secondes. Les sunnites sont les seuls à ne pas être issus de groupes persécutés. Ils forment aujourd’hui le groupe le plus important de la majorité musulmane. Le rapport démographique s’est inversé à leur profit dans un pays surchargé de réfugiés palestiniens puis syriens, majoritairement sunnites. La guerre civile a également renversé le rapport de forces au détriment des maronites qui ont du affronter la coalition de gauche des musulmans libanais et palestiniens. En 1989-1990, l’accord de Taëf entérina en grande partie cette évolution : certes les maronites gardaient la Présidence, mais ses pouvoirs étaient diminués. La Syrie qui occupe une part importante du territoire a un rôle déterminant. L’Arabie saoudite, le Maroc et l’Algérie sont les parrains de l’accord avec la bénédiction des Etats-Unis en plein tropisme islamique.

    Le recul des maronites et l’éloignement des Occidentaux sont parallèles. En 1983, une dernière intervention s’était terminée par deux attentats ravageurs qui tuaient 58 parachutistes français et 241 marines américains. Mais les interventions étrangères des « voisins » vont se multiplier : Israël occupera le Sud-Liban jusqu’en 2000, et les Syriens ne repasseront la frontière qu’en 2005. Bientôt le pays sera l’un des enjeux de la rivalité entre l’Iran chiite et l’Arabie saoudite. Le Hezbollah chiite jouera un rôle de plus en plus grand jusqu’à posséder une force militaire supérieure à l’armée libanaise. A l’origine du Liban, il y avait certes les communautés confessionnelles, mais aussi un nationalisme fédérateur jaloux de l’identité du pays, fort de sa différence et de sa prospérité. Nationalisme ambigu, arabe pour l’indépendance, puis contre Israël, pour les uns, nationalisme « phénicien » pour les chrétiens phalangistes, cet élément politique hérité des années 1930 joue un rôle dans la création des partis. Au lendemain de la guerre civile, ceux-ci ne forment plus qu’une mosaïque qui morcelle encore davantage le paysage confessionnel en de multiples clans dominés par un chef, issu d’une famille la plupart du temps, et adossé à un fief géographique. Le jeu compliqué des alliances et des séparations, l’appui des puissances étrangères aux différentes factions semble un moment laisser place à une sorte de bipartisme, lorsque la Révolution du Cèdre au lendemain de l’assassinat de Rafiq Hariri oppose l’Alliance du 14 Mars pro-occidentale et hostile à la Syrie et celle du 8 Mars dont le fer de lance est le Hezbollah. Le Général Aoun qui se voulait le « de Gaulle » libanais à travers sa résistance désespérée contre les Syriens est à la tête du Courant patriotique. Séparé des Forces libanaises, il renverse sa position et s’allie au 8 Mars. Grâce à ce retournement, il atteint ensuite son but : maronite nationaliste compatible avec le hezbollah, il devient Président. Malheureusement, il incarne aujourd’hui, contre son voeu le plus cher, l’impuissance politique de la caste au pouvoir et doit faire face à la pire crise économique et financière que subit le Liban : effondrement de la monnaie, inflation, grande pauvreté, chômage. Celui qui était, il y a bien longtemps, la Suisse du Moyen-Orient n’en est plus que le squelette, obligé de tout importer sans en avoir les moyens, affaibli par la longue guerre en Syrie, le million et demi de réfugiés sur son sol qui s’ajoute aux Palestiniens, la diminution des aides iranienne et saoudienne à cause des sanctions américaines et de la baisse des ressources pétrolières. On peut certes accuser l’incurie du personnel politique, mais les « généreux donateurs » qui se pressent au chevet du malade ont créé le contexte géopolitique qui explique en grande partie la crise libanaise.

    Le « peuple » descend dans la rue mais y a-t-il un peuple libanais qui transcende des communautés qui se sont déchirées durant des siècles ? Le communautarisme était évidemment un moindre mal, mais il condamne aujourd’hui le pays à l’impuissance du consensus impossible. Ce ne sont pas les rodomontades du président français qui tireront le Liban d’une impasse structurelle : une nation ne peut être constituée de tribus rivales. C’est une évidence que les Français devraient méditer…

  • Après le virus biologique, les virus intellectuels : connivence, vacuité, ignorance, défaitisme, par Henri Temple.

    Les Français se croient libres, intelligents et instruits. Si tel était le cas, notre système politique, économique, juridique, de santé auraient été bien conçus, et nos résultats seraient bons en tous domaines. 

    L’admirable et héroïque Marc Bloch (L’étrange défaite) constatait déjà en 1940 que c’est la chaîne du commandement qui avait failli, et causé la débâcle. Il préconisait de supprimer les Grandes Écoles (dont il était lui-même sorti).

    Pourtant, peu de médias et de politiques le suivent et font la relation des conséquences (la calamiteuse préparation et gestion de la crise épidémique et économique), avec leur cause (les failles béantes de notre système d’instruction). Or, toute erreur de décision est le résultat d’un défaut de méthode (ou d’une compromission). Le défaut de méthode provient d’un système d’instruction détruit  : école abaissée par les ”pédagogistes”, enseignement supérieur effondré sous le poids d’effectifs artificiellement massifs, dont 80  % ne terminent pas leur cursus, mise à sac des programmes d’histoire et de littérature, abandon du latin et du grec, le tout maths et techniques, et surtout l’abandon des disciplines essentielles à la pensée et à son expression (dialectique, sémantique, rhétorique). 

    L’état des capacités intellectuelles nationales est désormais désastreux. 

    Des médecins ont étalé  : ignorance pontifiante, contradictions, jalousies et animosités. Les politiciens aux affaires ont donné un spectacle d’indécision, d’incompétence et même d’absence de simple bon sens. Le masque, à lui seul, est le symbole de cette faillite. 

    Effarés, les Français découvrent que leur industrie, délocalisée, éparpillée, vendue au plus offrant, a perdu en 20 ans la moitié de sa part du PIB, et des millions d’emplois. Le journalisme est bâclé, pipolisé, la bien-pensance unique est toujours prête à lyncher les dissidents, et la finance exerce des pressions souterraines (sur les médias, les économistes, les juristes, le corps médical)  : la crise sanitaire, comme auparavant les guerres perdues, met à nu notre indigence intellectuelle. Cependant l’opinion sent bien que désormais l’enjeu vital, est de remettre l’économie sur ses rails. 

    Mais déjà les virus intellectuels sont à l’œuvre. 

    Certes, les médias, les politiques, Bruxelles, s’affairent au sujet du ”tsunami économique” qui vient. Toutefois, on est catastrophé de la teneur de certaines réponses à l’effondrement économique et social qui va frapper notre pays. Les complexés du showbiz, s’imaginent en graves penseurs  : Hulot en appelle à un ”lobby des consciences” ( ?), faisant écho à son ancien patron (”sachons nous réinventer” sic). La culmination vient d’un tutti frutti de 200 artistes et quelques scientifiques ( ?) qui en appellent à la ”fin du consumérisme” (dont ils n’ont qu’une compréhension vague)  ; comme si le consumérisme avait fabriqué et répandu le virus. Consternant que Le Monde édite un tel texte alors qu’il censure des économistes dissidents de très haut niveau. 

    La griffe de la Finance  ? Les lobbys appointés, d’Euronews au Cercle des économistes, en passant par la Fondation Schuman, ressassent leurs antiennes, comme les duettistes Cohn-Bendit et Ferry, en sinécure sur LCI. Pour que rien ne change, et surtout pas la mondialisation, Bruxelles et la finance. Certes, certains accusent le libéralisme mondialiste. Certes, Onfray fait œuvre salutaire avec son cercle de réflexion souverainiste, droite et gauche. S’agissant de la thérapeutique, et non plus du diagnostic, l’impensable Trichet ressasse ses mantras de directeur de la BCE  : le multilatéralisme, la gestion budgétaire ”sage” (restreindre la dépense publique et sociale, augmenter la fiscalité, rembourser la dette). Soit continuer à chaud la politique qui a déjà tellement échoué à froid… 

    C’est bien à sa racine qu’il faudra tuer le mal  : le système d’instruction devra développer la technique de raisonnement et diffuser les principes de l’intérêt supérieur de la nation et de la liberté de choisir démocratiquement son destin. 

    Alors que les Français découvrent que leur pays est incapable de produire des masques, des tests, des médicaments, des respirateurs, il est odieux de lire ici ou là que les relocalisations seraient un ”mirage”, une ”illusion”. 

    Dans la France d’avant-guerre, un virus incapacitant avait déjà attaqué le cerveau national. Lire, sur ces sujets essentiels, les opinions scientifiques de Lafay, Gréau, J.Sapir, Werrebrouck, P-Y Gomez et du regretté Allais (Nobel d’économie).

    Après le virus biologique, les virus intellectuels : connivence, vacuité, ignorance, défaitisme

  • Barbarie, massacre, lynchage : Macron a parlé d' ”incivilités”, et... ça ne passe pas !

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    Il est absolument impossible de reprendre l'intégralité du raz-de-marée d'indignation et de révolte suscité par le scandaleux "incivilités" macronien pour parler de la mise à mort quasi quotidienne, dans des circonstances de plus en plus souvent atroces, d'honnêtes citoyens français. Demain, ce sera nous ! Par la folie migratoire criminelle du Système, qui laisse entrer en France n'importe qui depuis près de cinquante ans, nous sommes 66 millions de condamnés potentiels, en danger vingt quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et trois cent soixante cinq jours par an !

    Voici cependant quelques uns des messages postés depuis ce scandaleux "incivilités"...

     
     
      Gilbert Collard
     
    #Chauffeur de bus lynché, #gendarme tué, #pompier agressé, jeune aide-soignante écrasée : pour #Macron, il ne s'agit que « d'#incivilités ». Comment lutter contre le réel quand on a peur des mots ?
     
     
    Damoclès
     
    Des #incivilités ? Non, des meurtres ! #LaRacailleTue #macron20h
     
     
     
     
    Guillaume Bigot
     
     
    Ils ont traîné sur 800 M cette aide soignante de 23 ans, comme si la vie n’avait plus aucune valeur. Les fabricants d’excuses devraient traîner, comme un boulet sur leur conscience, le poids de leur idéologie meurtrière.#justicepourAxelle
     
     
  • Parmi tant d'autres, une image de Rassemblement royaliste en Provence...

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    Notre Ephéméride d'hier évoquait le Rassemblement royaliste du Mont des Alouettes, en 1926, où l'Action française réunit plus de 60.000 participants.

    Elle évoquait aussi, à propos de ce Rassemblement, tous ceux qui ont suivi, et particulièrement en Provence, à Barbentane et Roquemartine, avant la guerre, et aux Baux de Provence (après Montmajour et Saint Martin de Crau) pendant une bonne trentaine d'années.

    Comme d'habitude, à chaque fois que nous parlons de ces Rassemblements, vous avez été nombreux à nous demander de vous en dire un peu plus, sur ces Rassemblements et aussi sur l'URP. Voici donc une première photo, de piètre qualité car prise avec un appareil très simple, qui sera comme une sorte de première "réponse groupée"...

    Au moment de cette photo (décennie 70/80) Pierre Chauvet - Président de l'URP - et Jean Lavoëgie - son Secrétaire général - m'avaient demandé de prendre régulièrement la parole aux Rassemblements : on voit ici, assez mal, Lavo à l'extrême droite (on le devine avec ses lunettes, en train de lire quelque chose)...

     Ici, Pierre Chauvet ouvrant le Rassemblement à Montmajour :

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    Nous reparlerons de tout cela prochainement, avec d'autres photos que je suis en train de numériser, et qui me permettront de saluer et rendre hommages à des amis disparus : Lavo, donc, mais aussi Philippe Legrand, Frank Lesteven (responsable de la Section d'Aix), Jean-Charles Masson, Jérôme Pignet, Guy de Balanda, bien sûr et d'autres encore...

    Merci pour l'intérêt que vous manifestez à ces activités, qui marquent la pérennité de notre Combat, qui a certes changé de forme aujourd'hui, mais sans rien céder sur le fond : une remise en cause radicale du Système, afin d'arriver à une remise en ordre du Pays ...

    François Davin

  • ”l'affaire Obono” ? D'accord avec Goldnadel !

    Aujourd'hui, en France, le Système laisse insulter n'importe qui, n'importe quoi, et par n'importe qui. On peut cracher à l'envi sur tout ce qui représente les fondements de notre Société, sur notre Héritage gréco-romain et judéo-chrétien, on peut raconter n'importe quelle cinglerie sur notre Peuple dont la stabilité démographique est évidente sur deux millénaires, la "greffe immigrationniste forcée" - qui, du reste, ne prend pas... - ne datant que de quelques décennies à peine...
    Mais pour Madame Obono - prise à partie d'une façon qui, d'ailleurs, à notre humble avis, ne s'imposait pas... - là, les micros se tendent, et à foison : tout ce que la presse pipeule et  bobo/gaucho/trotsko compte de journaleux/journaleuses confondant Carte de Presse et carte de Parti (de gôche, évidemment !) se presse goulûment à son chevet et hurle à la mort : ridicule ou pathétique ? Ou... les deux ?...
    Mais Goldnadel est là, et, une fois de plus, il a réagi, et bien réagi. Et Madame Obono, il ne l'a pas loupé, et il a bien fait ! Et, avec elle, la gauche "indignée à sens inique..."
    BRAVO GOLDNADEL !
     
     
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    G-William Goldnadel
    Et quand vous souteniez Nique la France, vous aviez mal où ?
     
  • Vive le Tour, quand même ! Et vive Julian, vainqueur de la deuxième étape !

    D'ordinaire, c'est bien connu, le Tour de France met la France sur le pas de sa porte. Là, il n'y avait personne à Nice, ni au départ ni à l'arrivée, et seulement un peu de monde par ci, par là, au sommet de quelques cols, pour la première et la deuxième étape.

    Et on ne sait même pas si le Tour ira jusqu'au bout...

    Il n'empêche : il vaut mieux que le Tour de France, Tour de "La" France, ait commencé, dans la sinistrose ambiante, alors que le pays gémit sous la houlette des incapables et des faillis qui nous gouvernent (?), eux qui sont responsables et coupables de la désastreuse gestion d'une épidémie dont ils avouent avoir été au courant dès le 20 décembre.

    En revoyant les paysages, les villes et monuments, les sites remarquables du cher et vieux pays, on oublie pour quelques instants ces charlots, guignols et compagnie qu'un Système en folie a fait arriver, pour notre malheur, au sommet du semble-Etat qu'il nous faut bien subir...

    Alors, même si on ne, sait pas s'il ira jusqu'au bout, même si, en plus, son parcours était de toutes façons un peu surprenant cette année, même si... même si... Vive le Tour quand même, le tour de notre France, qui nous la redonne à voir et à aimer, et nous rappelle que, malgré toutes les laideurs dont est peuplé notre quotidien, l'Héritage reste encore, ma foi, conséquent, et fort beau, malgré tout...

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    Tristesse pour Thibaut Pinot, qui est tombé samedi, à trois kilomètres de l'arrivée, mais grande joie pour la belle victoire de Julian Alaphilippe lors de la deuxième étape ! Très ému, Julian voulait dédier une victoire à son papa, décédé fin juin... voilà qui est fait ! Bravo, champion !

  • Verts = pastèques : vert dehors, rouge dedans ! Exemple Grégory Doucet, maire de Lyon grâce à l'abstention∗...

    Le maire EELV de Lyon Grégory Doucet a annoncé qu'il ne participerait pas demain à la cérémonie de renouvellement du Vœu des Échevins de 1643.
    "On" croit à tort qu'EELV est un parti écologiste, alors que n'en est pas un : c'est un parti de gauche radicale, qui se veut l'héritier de la Révolution, qui ne peut plus se présenter comme "communiste" après l'effondrement de l'URSS et qui s'est "rhabillé/maquillé" en soi-disant "verts"; et qui voit dans toute forme d'enracinement culturel ou spirituel un élément à détruire...
    Vive "le vert", la Nature, l'environnement ou - mieux nommée encore - la Création !
    Mais à bas les imposteurs/tartufes autoproclamés "verts"...
     

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    1. Municipales 2020 Lyon, taux d'abstention (tous quartiers confondus) : 62,3% au 2ème tour, 61,1% au 1er.

     

    2. Bruno Bernard, le candidat EELV élu à la présidence de la Métropole de Lyon, en dénonçant le "système" mis en place par Gérard Collomb, a pistonné son oncle à la tête de l'office HLM Grand Lyon Habitat : son oncle vient d'en être promu président !
     
    Yabon être "vert" !!!!!!!!
  • Les envahisseurs, rebaptisés ”migrants” ? D'accord avec...

    1. Gilbert Collard
    M. #Darmanin au lieu de pleurnicher sur vos propres ordres, la solution serait qu’il n’y ait pas de #migrants illégaux qu’on déplace ici pour remettre là en infligeant aux #policiers le mauvais rôle ! #Republique
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    4 millions de personnes qui vont perdre leur emploi mais on continue de laisser rentrer des milliers de migrants chaque jours. C’est criminel.
     
    Que ceux qui veulent accueillir encore plus de #migrants en France les hébergent chez eux. La France n'a ni pour vocation d'accueillir toute la misère du monde, ni pour destin de devenir le laboratoire multiculturel de la l'extrême gauche indigéniste !
     
     
    Ces #migrants doivent être expulsés dans leur pays. Les associations qui les défendent ont un agenda politique. Le problème, c'est qu'il faut arrêter cette #immigration de peuplement, il faut arrêter le regroupement familial" #République #hdespros
     
    5. Re Kevin Bossuet
     
    Ceux qui manquent le plus d'humanité ne sont pas ceux qui refusent d'accueillir toute "la #misère du monde"; mais les types qui veulent que nous recevions tous les jours des milliers de #migrants en étant dans l'incapacité matérielle de leur offrir une vie digne !
     
     
    La même place en 1900 et aujourd'hui : Le Système réussit bien son sale boulot, ce pourquoi il est fait : détruire la France !
    C'est lui qu'il faut abattre !

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  • Sur TV Libertés, covid, laïcité, Etats-Unis : Un monde devenu fou ? avec François Asselineau - Le Samedi Politique.


    Le président de l’UPR, François Asselineau, revient sur les principaux sujets d’actualité.

    Covid-19 : Jusqu’à quand ?

    Depuis près d’un an, la France vit dans une camisole sanitaire. Confinés, assignés à résidence, ruinés, masqués et déprimés, les Français sont de plus en plus perdus au milieu des injonctions contradictoires du gouvernement. Suspendue au bon vouloir des dirigeants politiques, la population attend de se voir rendre ses libertés fondamentales. Un retour à la normale qui semble de plus en plus conditionné à l’arrivée de vaccins conçus à la va-vite dans une opacité inquiétante.

    Islam, séparatisme, blasphème et immigration, le grand écart de Macron

    Alors que la France a subi trois attaques terroristes en quelques mois, le président français a voulu faire du droit au blasphème le fer de lance de la liberté d’expression. Une obsession qui tranche avec l’ambiance de censure généralisée sur un nombre de sujets toujours grandissant.

    Etats-Unis : Une drôle d’élection présidentielle

    Le scrutin présidentiel américain tient toute la planète en haleine. Alors que le Système a proclamé Joe Biden gagnant, de nombreuses voix s’élèvent toujours pour dénoncer une fraude électorale massive en faveur des démocrates. Résultat des courses : une Amérique divisée au bord de l’explosion…

  • D'accord avec l'Église qui réagit fermement...

    Dans ce qu'il a fait de la France - notre pauvre et cher vieux pays, qu'on appelait jadis "Douce France"... - le Système laisse faire n'importe quoi à n'importe qui : vendre de la drogue en masse, trafiquer les êtres humains, faire des manifs en nombre comme le gang des Traoré... et il interdirait aux catholiques d'aller à la Messe ? Laïcards et "petit père Combes" pas mort ! 
     
    C'EST NON !
     DIMANCHE, TOUS CEUX QUI VEULENT VONT À LA MESSE !
    CASTEX OU PAS CASTEX !

    De nombreux évêques incitent les fidèles à se rendre à la messe dès dimanche 28... 
     
    aupetit.jpg
     
     
     
     
     
    "Peut-être que M Darmanin enverra de policiers pendant la messe, on va bien voir..."
     
     
     
     
    Bernard Ginoux
    #Messes dimanche. Retrouvons-les dans nos paroisses aux heures habituelles et comme je l'ai tweeté depuis le 29 octobre : la seule réponse au gouvernement est d'ENVAHIR nos églises à l'heure de la messe.
     
     
    Rappel intéressant de Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre :
     
    Parmi les 6250 foyers de contamination identifiés par le rapport de Santé Publique France @SantePubliqueFr du 26 octobre 2020, pas un seul lieu de culte n'est mentionné...
  • SOLIDARITÉ KOSOVO !... : RÉNOVATION DES ÉCOLES – CAMPAGNE 2021

    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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    Cette année encore, pour la neuvième année de suite, Solidarité Kosovo va investir plus de 100 000 euros dans la rénovation de 3 écoles du Kosovo-Métochie.

    2021 école Izvor - 1
     
    Comme chaque année, nous avons sélectionné 3 des écoles les plus vétustes que nous avons trouvées. Ces bâtiments, situées dans des enclaves isolées dans des régions difficiles, n’ont bénéficié d’aucun chantier de rénovation depuis la fin de la guerre en 1999.

    Ces écoles se trouvent dans les enclaves de Izvor, Pasjane et Kuzmin.

    Les travaux démarreront dans le courant du mois de février :

    • Rénovation des sanitaires
    • Réfection de l’électricité
    • Installation de nouveaux vitrages
    • Rénovation de l’isolation
    • Installation de systèmes de chauffage
    • etc.

    En rénovant ces écoles, nous offrons à leurs élèves la possibilité de travailler dans des conditions décentes et d’acquérir ainsi la formation intellectuelle et humaine dont ils auront particulièrement besoin une fois adultes. Les écoles des enclaves sont également des lieux de vie, où enfants et parents peuvent se retrouver pour des événements culturels, pour faire du sport, pour se soutenir dans les moments particulièrement difficiles.

    C’est pour toutes ces raisons que ces campagnes de rénovation d’écoles sont devenues un des piliers de notre action dans les enclaves.

    Vous pouvez encore nous aider à financer cette opération :

    Rénovation des écoles, campagne 2021

  • Sur Figaro Live, Zemmour: «La démographie revient au cœur de la politique française».


    Le chroniqueur revient sur la note du commissariat au plan réclamant une relance de la démographie française.

    «Avoir plus d'enfants» mais aussi «accueillir des personnes d'autres pays»: le haut-commissaire au Plan, François Bayrou, plaide dans une note transmise à l'AFP pour un «pacte national pour la démographie» afin de sauver le modèle social français. Avec la crise du Covid-19, «l'impensable étant survenu, il ne devient plus impensable. Dès lors, un climat pessimiste pourrait peser sur le désir d'enfant de nos concitoyens» mais «il faut se ressaisir», lit-on dans la note obtenue par l'AFP.

    «La France a sans doute plus besoin encore que ses voisins d'une démographie dynamique car son modèle social repose, pour beaucoup, sur la solidarité entre les générations», notamment à travers le système de financement par répartition des retraites et, au-delà, de l'action sociale et de tous les services publics. Ce modèle est une «singularité française» fondée sur le principe du «tous pour chacun», et «la démographie devient la clé même de la durabilité et de la générosité du contrat social», écrit François Bayrou.

    SUR LE MÊME SUJET :

    François Bayrou met en garde contre une chute de la démographie, danger pour le modèle social français

    https://www.lefigaro.fr/politique/bay...

    Démographie: «À long terme, une politique nataliste est plus efficace qu'une politique d'immigration»

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/d...

    La France se prépare-t-elle bien au vieillissement de sa population?

    https://www.lefigaro.fr/actualite-fra...

  • Sur Le Média Pour Tous, Cuba dans les griffes de l'impérialisme américain, avec Viktor Dedaj – EURÊKA.


    LA VIDÉO CHAPITRÉE :

    00:00:00 : Introduction

    00:00:51 : Pourquoi un embargo sur Cuba ?

    00:04:50 : L’embargo : sa nature, son application, son origine

    00:12:44 : Le processus révolutionnaire cubain

    00:25:58 : Les conséquences de la chute du bloc soviétique

    00:37:27 : Cuba précurseur en Amérique latine

    00:42:41 : Cuba dictature ?

    00:45:58 : L’épisode de la baie des cochons et les tentatives de renversements américaines

    00:50:06 : Le durcissement de l’embargo et la loi Helms Burton

    01:02:33 : L’excellence des médecins cubains

    01:08:18 : Le système politique cubain

    01:19:41 : Les médias et l’Internet cubains

    QUESTIONS CONTRIBUTEURS

    01:27:30 : Des sidaïques ont-ils été mis en prison à Cuba ? La propagande contre Cuba

    01:45:09 : La corruption des USA pour inciter les cerveaux cubains à fuir le pays

    01:51:25 : Pourquoi y a-t-il des endroits réservés aux touristes à Cuba ?

    01:55:12 : Quel avenir pour Guantanamo ?

    01:58:23 : Y a-t-il un espoir de levée de l’embargo et quel avenir pour Cuba ? 

    LE PITCH DE L'ÉMISSION

    Entre propagande occidentale et blocus américain, difficile de se faire un avis sur la situation réelle sur l'île de Cuba. Viktor Dedaj, fréquent visiteur du pays et de ses habitants, et auteur de "Cuba sous embargo", aux éditions Delga, nous livre son analyse sur la situation locale.

    LE NOUVEAU LIVRE DE VIKTOR DEDAJ :

    https://editionsdelga.fr/produit/cuba...

  • Les raisons de la crise franco-algérienne, par Bernard Lugan.

    L’Algérie vient de rappeler en consultation son ambassadeur à Paris, puis elle a décidé de fermer son espace aérien aux avions français  ravitaillant Barkhane. La raison ? Simple calcul électoral ou véritable et louable prise conscience, le président Macron qui, jusque-là, parlait de la colonisation comme d’un « crime contre l’humanité », vient étonnamment de faire preuve de « virilité » en dénonçant le cœur du « Système » qui pompe la substance de l’Algérie depuis 1962.

    bernard lugan.jpgDeux points de la déclaration présidentielle ont littéralement ulcéré les dirigeants algériens :
     
    1) Les prédateurs qui dirigent l’Algérie survivent à travers une rente mémorielle entretenue par une fausse histoire.
     
    2) L’existence de l’Algérie comme nation est discutable puisqu’elle est directement passée de la colonisation turque à la colonisation française. Or les dirigeants d’Alger ne dénoncent jamais la première.
     
    Le président Macron aurait-il donc lu mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit, un livre expédié à l’Elysée au moment de la publication du lamentable « rapport Stora », et dans lequel la fausse histoire algérienne est démontée en dix chapitres ? L’on pourrait en effet le penser puisque, l’Algérie vit effectivement au rythme d’une fausse histoire entretenue par une association sangsue, l’ « Organisation nationale des moudjahidines » (ONM), les « anciens combattants ». Or, comme l’a déclaré l’ancien ministre Abdeslam Ali Rachidi, « tout le monde sait que 90% des anciens combattants, les moudjahidine, sont des faux » (El Watan, 12 décembre 2015). J’ai ainsi démontré, toujours dans mon livre, que les moudjahidine furent en réalité cinq fois moins nombreux que les Algériens combattant dans les rangs de l’armée française.
     
    En 2008, Nouredine Aït Hamouda, député du RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie), a lui-même pulvérisé cette fausse histoire et son mythe du 1,5 million morts causés par la guerre d’indépendance. Un chiffre que tous les Algériens sérieux considèrent comme totalement fantaisiste, mais qui permet au « Système » de justifier le nombre surréaliste des veuves et des orphelins, soit 2 millions de porteurs de la carte de moudjahidine et d’ayants-droit, dont les ¾ sont des faux…
    Ces faux moudjahidine qui vivent de la rente mémorielle née de la fausse histoire, bénéficient du 3° budget de l’Etat, juste derrière ceux de l’Education et de la Défense. Car, « originalité » algérienne, et contrairement à la loi naturelle voulant que plus on avance dans le temps, moins il y a de gens qui ont connu Abd el-Kader…, en Algérie, tout au contraire, plus les années passent, et plus le nombre des « anciens combattants » augmente…Ainsi, fin 1962-début 1963, l’Algérie comptait 6000 moudjahidine identifiés, 70.000 en 1972 et 200.000 en 2017…
     
    Comment regarder l’histoire en face quand, en Algérie, six décennies après l’indépendance, l’on obtient encore la carte d’ancien moudjahidine sur la simple déclaration de « faits d’armes » imaginaires ? La raison est que ses détenteurs ainsi que leurs ayants-droit touchent une rente de l’Etat, bénéficient de prérogatives, jouissent de prébendes et disposent de passe-droits. Cette carte permet également d’obtenir une licence de taxi ou de débit de boisson, des facilités d’importation, notamment de voitures hors taxes, des réductions du prix des billets d’avion, des facilités de crédit, des emplois réservés, des possibilités de départ à la retraite, des avancements plus rapides, des priorités au logement etc.
    Dans ces conditions, toute remise en question de la fausse histoire entrainerait la ruine des prébendiers et la mort du « Système ». Voilà donc pourquoi les dirigeants algériens se sont directement sentis visés par les propos du président Macron.
     
    La situation économique, sociale, politique et morale de l’Algérie est à ce point catastrophique que des milliers de jeunes sans espoir tentent l’aventure mortelle de la haraga, la traversée de la Méditerranée. Quant au « Système », totalitaire et impuissant tout à la fois, acculé par la rue dans une impasse, il est aux abois.  Réduit aux expédients et aux basses manœuvres, afin de tenter de faire diversion, voilà pourquoi, totalement isolé diplomatiquement et coupé de sa propre population, il a ordonné une double offensive, à la fois contre le Maroc, d’où la rupture des relations diplomatiques avec Rabat (voir le numéro d’octobre de l’Afrique Réelle), et  contre la France. Une fuite en avant suicidaire.

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    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/

  • Sur TV Libertés, Covid-19 : L’oligarchie démasquée, avec Florian Philippot.


    La crise sanitaire a agi comme un révélateur. Avec l’arrivée du Covid-19, les maux qui sommeillaient à bas bruit en France sont devenus criants. Au-delà de l’incompétence de ses dirigeants, le système mondialisé est apparu défaillant. La résilience de notre pays s’est évanouie en même temps que sa souveraineté. Les hôpitaux sont dépossédés, les anciens abandonnés.
    L’exemple le plus symbolique de cette crise sans précédent réside toujours dans les masques. Inutiles tant qu’introuvables, ils sont désormais obligatoires pour un peuple qui accepte docilement son nouveau confinement individuel.
    Englué dans une industrie démantelée, les conflits d’intérêts dénoncés par Didier Raoult, les pressions de l’OMS à la botte financière de Bill Gates ou de l’Union Européenne, le gouvernement français a montré et montre encore sa faillite. Une démonstration de faiblesse qui le pousse à avancer toujours plus loin dans les décisions liberticides en agitant les peurs à renfort de mensonges.
    Dans ce livre-synthèse "Covid-19 : L’oligarchie démasquée" (disponible ici : https://les-patriotes.fr/livre-loliga... ), Florian Philippot (ancien député européen et président des Patriotes) revient aux racines de cette crise dans un manifeste en forme de « Plus jamais ça » et propose des solutions pour sortir de l’impasse. Il plaide en faveur d’un rassemblement des patriotes et souverainistes pour sortir de l’engrenage Macron.