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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • La Semaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique

    MAGISTROAdossée à des fondamentaux politiques avérés, Magistro, une tribune critique de bon sens, raisonnée et libre, d'information civique et politique.         

    A tout un chacun

    Jacques BICHOT  Economiste, Professeur émérite à l'Université Lyon 3  Inégalités de richesse, inégalités de pouvoir Qui cotise à la sécurité sociale ? Une question de citoyenneté

    Du côté des 'élites' 

    "L'ambition dont on n'a pas les talents est un crime" Chateaubriand (Lettre à Madame Récamier)

    Philippe BILGER  Magistrat honoraire, président de l'Institut de la parole 

    Finkielkraut interpellé à DPDA : le silence gêné face aux idéologues de banlieue

    Il sera impossible de faire pire que Taubira

    Ivan RIOUFOL  Journaliste politique  Démission de Taubira : l'échec des utopies

    Avec l'Europe

    Charles GAVE  Economiste et financier  Enfin une bonne nouvelle : Contre coup d’État en Pologne ?

    Roland HUREAUX  Essayiste  Le bilan très contestable d'Angela Merkel

    Devant l'histoire

    Maxime TANDONNET  Haut fonctionnaire, ancien conseiller pour les affaires intérieures et l’immigration au cabinet du Président de la République  Reagan
                                                                                          
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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Scandale

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    A l’affiche : Scandale,  un film de Jay Roach, avec John Lithgow (Roger Ailes, le fondateur et PDG de Fox News), Nicole Kidman et Charlize Theron (Gretchen Carlson et Megyn Kelly, journalistes à Fox News).

    3107438373.2.jpgScandale, c’est une histoire de « poupées Barbie » dont le synopsis dit qu’elles ont « réussi à briser la loi du silence pour dénoncer l’inacceptable ». Il n’empêche que cet « inacceptable », elles l’avaient accepté pour assouvir leur carriérisme professionnel et c’est quand Gretchen Carlson a été congédiée, suite à une interview  anti Trump dérogeant à la ligne éditoriale de la chaîne, qu’elle a décidé de « briser la loi du silence »… Toutes blondes qu’elles sont, ces bégueules effarouchées ne sont pas des oies blanches.

    En outre quand, comme moi, on n’est pas physionomiste, elles se ressemblent toutes… d’où un long-métrage qui n’est pas évident à suivre mais néanmoins, après, précisément, Toute ressemblance… de Michel Denisot, un nouveau film d’ambiance qui donne à vomir sur le milieu délétère des médias. A vrai dire je n’en avais pas besoin pour penser ce que je pense.

     

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.
    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    Sol

    Non

    12/01/2020

    Un très bon film

    Noura rêve

    oui

    17/01/2020

    Un bon film

    Scandale

    Propos scabreux

    28/01/2020

    (Très) intéressant

    Un monde plus grand

    non

    28/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    j’aurais pu et dû ne pas le voir

    Lillian

    non

    14/01/2020

    Je m’y suis ennuyé

    Un Vrai bonhomme

    non

    23/01/2020

    Je n’ai pas aimé du tout

    Chanson douce

    oui

    10/12/2019

    S’il faut retenir un film depuis le 1er janvier

    Une vie cachée

    oui

    05/01/2020

  • Libye : la solution n’est pas démocratique, par Bernard Lugan.

    Les-uns après les autres, les sommets internationaux sur la Libye échouent à réparer les conséquences de l’injustifiable guerre faite au colonel Kadhafi.
    Ils échouent parce que, comme le disait Albert Einstein : « On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui l’a généré ». Or, la guerre contre le colonel Kadhafi fut officiellement déclenchée au nom de la démocratie et toutes les solutions proposées sont démocratiques ou d’ordre démocratique…

    AVT_Bernard-Lugan_2614.jpgDe plus, comment prétendre mettre un terme au conflit quand :

    1) Les tribus, pourtant les seules vraies forces politiques du pays sont écartées, alors que la solution passe précisément par la reconstitution des alliances tribales[1] forgées par le colonel Kadhafi ?

    2) Reconnu depuis le 14 septembre 2015 par le Conseil suprême des tribus comme son représentant légal, Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi qui représente une des solutions, est systématiquement écarté par les Européens. Or, il est l’un des très rares leaders libyens en mesure de pouvoir faire cohabiter centre et périphérie, comme l’avait fait son père, en articulant les pouvoirs et la rente des hydrocarbures sur les réalités locales, avec un minimum de présence du pouvoir central.

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    Le littoral urbanisé de Tripoli constitue un cas particulier. Ici, le pouvoir appartient aux milices dont seule une infime minorité se revendique de l’islam jihadiste. Nous sommes dans le monde des trafics qui permettent aux miliciens de faire vivre leurs familles. Or, ils auraient tout à perdre d’une victoire du général Haftar puisque ce dernier a promis de les mettre au pas. Voilà pourquoi ils soutiennent le pseudo-gouvernement de Tripoli, lui-même porté par la Turquie.
    La situation en Tripolitaine est donc très claire : si le général Haftar ne réussit pas à s’y imposer militairement, Tripoli et les villes littorales demeureront donc au pouvoir des milices.

    Pour espérer l’emporter le général Haftar devrait donc proposer à certains chefs miliciens une porte de sortie qui en ferait de futurs acteurs politiques dans les régions qu’ils contrôlent et dans lesquelles ils ont acquis une réelle légitimité.
    Là est la seule solution qui pourrait les détacher de la Turquie. Le but de cette dernière est de maintenir à Tripoli un pouvoir lui devant sa survie et lui permettant de justifier l’extension de ses eaux territoriales aux dépens de la Grèce et de Chypre. Ce thème est expliqué et cartographié à l’intérieur de la revue.

    libye-696x494.jpg

    [1] Pour tout ce qui concerne les tribus et leurs alliances, voir mon livre Histoire et géopolitique de la Libye des origines à nos jours.

    Plus d’informations sur le blog de Bernard Lugan

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Martin Eden

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    Art et EssaiMartin Eden, un film italien (vostf) de Pietro Marcello, avec Lucas Marinelli,
    adapté du roman éponyme de Jack London (1909).

    1398014206.jpgJe n’ai pas lu le roman, et ce que j’ai vu du film me donne à penser qu’il pourrait m’intéresser… Ce qui ne fut pas le cas de ce long (très long)-métrage en vostf dans lequel je n’ai pas pu entrer.

    Une fois de plus je m’interroge sur cette manie de nous faire lire au cinéma… 

    L’histoire, apparemment, aborde trois questions à savoir l’amour d’un prolétaire pour une jeune bourgeoise, le temps trop long que met l’artiste à faire reconnaître son talent, l’individualisme et le socialisme…


    Sans doute est-ce trop ?  et je partage l’avis de Raphaëlle Lenoir dans le quotidien Présent : « le cocktail donne un résultat assez moyen ».

    En revanche Anne Brassié sur TV Liberté a beaucoup aimé, et mon épouse comme Félicie… aussi… Pour ma part, même en VF je n’irai pas le revoir.

     

     

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    Fête de famille

    non

    12/09/2019

    Un très bon film

    Midway

    non

    11/11/2019

    Un bon film

    La Belle Époque

    Oui

    09/11/2019

    Très intéressant

    Le Retour des Poilus

    non

    13/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    J’aurais pu  ne pas le voir

    Martin Eden

    non

    17/11/2019

    Je m’y suis ennuyé

    Shaun le Mouton LE FILM,
    La ferme contre-attaque

    non

    29/10/2019

    Je n’ai pas aimé du tout

    Nous finirons ensemble

    non

    12/05/2019

    Le film à retenir depuis le 1er janvier

    Le chant du loup

     
  • Notre-Dame • Le Comte de Paris à l'Écho républicain : « Le génie français a bâti la cathédrale et peut la remettre en ét

    Le Comte de Paris très touché par l'incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris : "J'y était encore il y a quinze jours pour une cérémonie pour les pères de familles". © Agence DREUX

    3187409308.jpgLe prince Jean de France, comte de Paris, exprime toute sa tristesse, depuis la chapelle royale de Dreux, devant l'incendie qui a ravagé la cathédrale. Mais, il y voit aussi « un élan national ».

    Le prince Jean, Comte de Paris a la voix blanche, ce mardi 16 avril 2019 au matin, lorsqu'il évoque l'incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris, la veille : « Je suis encore très secoué. C'est d'une grande tristesse. On assiste à cet incendie en direct, on voit la violence des flammes qui s'attaquent à la flèche, sans pouvoir rien faire ».

    Pour le Comte de Paris, la cathédrale Notre-Dame « est très symbolique, elle est le symbole de la présence chrétienne de la France mais elle fait partie aussi de l'inconscient collectif de tous les Français, elle fait partie de l'histoire ».

    La famille de France a un attachement particulier à la cathédrale de Paris : « Très souvent quand un fils de la famille de France meurt, une messe du bout de l'an est dite à Notre-Dame de Paris, pour lui ».

    11107101.jpgLe Comte de Paris y était encore lui-même, il y a une quinzaine de jours : « J'ai participé à une cérémonie des pères de famille, la cathédrale était pleine. Un moment très fort, très émouvant, au cours duquel on s'est recueilli devant la couronne d'épines ».

    Passé l'émotion, le Comte de Paris garde espoir « dans le génie français. C'est lui qui a construit cette cathédrale, il est capable de la remettre en état ». Dans la mobilisation de tous pour sauver Notre-Dame de Paris, il veut voir « un élan national, une unité nationale » qui existent encore. 

    En cette journée du mardi 16 avril, le Comte de Paris veut tenter d'aller prier au chevet de Notre-Dame de Paris « si elle est accessible. Je vais également écrire à l'archevêque de Paris pour lui apporter tout mon soutien dans cette épreuve ». 

    3187409308.jpg

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Un monde plus grand

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    Art et EssaiUn monde plus grand, un film français de Fabienne Berthaud, avec Cécile de France et Ludivine Sagnier (Corinne et sa sœur Louise),

    adapté du livre Mon initiation chez les Chamanes de Corinne Sombrun .

    1398014206.jpgUn monde plus grand… pas de quoi entrer en transes, même si ce film rapporte une histoire vraie.

    Le chamanisme, c’est la communication avec les esprits, les animaux, les morts, etc… et j’avoue partager devant cette aventure hallucinante (c’est le terme qui convient) la stupéfaction et l’incrédulité de Louise.

    Ce docufiction se passe en Mongolie et a le mérite de nous montrer un peuple sympathique, rieur, buveur et fumeur, qui n’était pas dans mon imaginaire.

     

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    Le Traitre

    oui

    19/11/2019

    Un très bon film

    Midway

    non

    11/11/2019

    Un bon film

    Les éblouis

    non

    24/11/2019

    (Très) intéressant

    Un monde plus grand

    non

    28/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    J’aurais pu  ne pas le voir

    Quinoa, prenez-en de la graine !

    non

    22/11/2019

    Je m’y suis ennuyé

    Shaun le Mouton LE FILM,
    La ferme contre-attaque

    non

    29/10/2019

    Je n’ai pas aimé du tout

    Nous finirons ensemble

    non

    12/05/2019

    Le film à retenir depuis le 1er janvier

    Le chant du loup

    Non

    15/03/2019

     

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Tu ne tueras point.

    (France 3 a rediffusé hier soir l'excellent film Tu ne tueras point et notre ami Guilhem de Tarlé, en prévision de cette rediffusion, nous a envoyé hier la chronique qu'il avait déjà rédigé en son temps sur ce film).

    3.jpg

     

     

    A la télé : Tu ne tueras point, un film de guerre (2016) de Mel Gibson, avec Andrew Garfield.

    D’après l’histoire vraie de Desmond Doss.

    guilhem de tarlé.jpgCe nouveau film de Mel Gibson renvoie à la violence de La Passion du christ.

    La boucherie de la bataille de l’île d’Okinawa qui opposa les Américains aux Japs, au 2ème trimestre 1945, n’a rien à envier apparemment à celle des tranchées de la 1ère guerre dont nous célébrons le centième anniversaire.

    L’objecteur de conscience Desmond Doss nous apparaît d’abord comme simplet, gentillet, illuminé, et l’on apprendra par la suite qu’il est végétarien. A vrai dire, comme ses camarades de chambrée, je n’ai éprouvé véritablement aucune empathie pour lui, et j’ai craint, malgré les critiques que j’avais lues ou entendues, un film bisounours américano-américain.

    Et puis l’infirmier Doss arrive, qui va prier avant la bataille et donne ensuite toute son énergie à secourir ses camarades déchiquetés, brûlés, rongés par les rats, armé de sa seule Bible, de plasma, de morphine et de sa science des garrots ; il mérite, par sa piété, son courage et son abnégation, la béatification immédiate. Dommage qu’il soit adventiste !

    Il est très rare d’avoir envie d’applaudir à la fin d’un film ; je l’ai éprouvée cette fois-ci, non pas pour le film lui-même qui se complait peut-être un peu trop dans une violence extrême, mais applaudir le saint que celle-ci met en valeur.

    Cet objecteur de conscience, « Monsieur le Président » n’est pas un « déserteur » !

    Dommage, encore une fois, qu’il soit un adventiste que l’Église, à ce titre, ne peut certainement pas canoniser,

    mais la Communion des Saints nous enseigne que ce Desmond Doss, nouvelle et véritable « Jeanne d’Arc » américaine de la Guerre du Pacifique, est évidemment aujourd’hui au Paradis.

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.

  • Du nouveau dès ce lundi matin sur notre Page militante ”Soutenez ! Participez !”...

    lfar flamme.jpgVous l'avez suivi en direct, si je puis dire : dès la rentrée de septembre, nous avons eu l'idée de créer une Page dédiée au militantisme, qui annoncerait tout ce dont nous avions connaissance, partout en France, organisé par quelque groupe que ce soit, sans autre exclusive que celle de servir le Bien commun et de ne pas être en opposition avec l'héritage de notre famille de pensée et la fidélité aux représentants actuels de la Famille de France.

    Cette Page, SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITES DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS REEL DANS TOUTE LA FRANCE..., a tout de suite trouvé son public, et nous a permis de nouer, ou de réactiver, de nombreux contacts, sur tout le territoire, établissant ainsi un maillage serré de relations partout en France : c'est, d'ailleurs, l'une des causes du succès que rencontre lafautearousseau depuis septembre, et de son développement constant et important...

    Tout naturellement, l'idée nous est venue, très vite, de ne pas seulement annoncer une activité, mais aussi d'en rendre compte, une fois l'évènement passé : ce fut la seconde Page militante Formation et militantisme... qui permit à tous les groupes actifs en France de se voir connus et reconnus, de démultiplier leur bonne volonté et leurs efforts, dans la limite de nos moyens et autant que nous le pouvions, en faisant savoir à tous, et partout, ce que chacun faisait...

    A compter d'aujourd'hui, nous incluons d'une façon plus systématique le lien vers le site officiel, la page facebook et la chaîne vidéo de chacun des groupe ou entité dont nous annonçons les activités : CRAF/RN, Cercle de Flore Paris, Cercle de Flore Lyon, Mardi de Politique magazine, Café Actualité d'Aix-en-Provence, Café Histoire de Toulon, GAR, NAR, DEXTRA, Cercle Jean Bodin Lyon, Cercle Henri Lagrange, Centre Lesdiguières, Radio Courtoisie, Jeunesse si tu savais/Poussières d'étoiles, Collectif Némesis...

    Je profite de cette information pour remercier toute l'équipe de lfar et la féliciter du dynamisme dont elle fait preuve, au service de notre Cause commune...

    François Davin, Blogmestre

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Brooklyn Affairs

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    A l’affiche : Brooklyn Affairs, un film américain de Edward Norton, avec Edward Norton (le détective privé Lionel Essrog), Bruce Willis (Frank Minna, le mort), Gugu Mbatha-Raw (Laura Rose), Alec Baldwin et Wiillem Dafoe (le politicien Moses Randolph, et son frère Paul),

    d’après un roman Motherless Brooklyn, en français Les orphelins de Brooklyn, de Jonathan Lethem.

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    Brooklyn Affairs… Nous aurions mieux fait de nous occuper de nos propres Affair(e) ou d'aller voir un autre film plutôt que de perdre 2h1/2 à New York, dans ce très long-métrage. Une histoire compliquée avec des politiciens mafieux (mais n'est- ce pas un pléonasme ?) et des "privés" dont certains pourraient bien être ripoux. On s'amuse (mais n’est-ce pas malsain ?) du syndrome de Gilles de la Tourette. Heureusement il y a Gugu, agréable à regarder.

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.
    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    It Must Be Heaven

    Non

    06/12/2019

    Un très bon film

    Midway

    non

    11/11/2019

    Un bon film

    Une vie cachée

    oui

    05/01/2020

    (Très) intéressant

    Un monde plus grand

    non

    28/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    J’aurais pu et dû ne pas le voir

    Brooklyn Affairs

    non

    11/01/2020

    Je m’y suis ennuyé

    Le meilleur reste à venir

    non

    29/10/2019

    Je n’ai pas aimé du tout

    Chanson douce

    oui

    10/12/2019

    Le film à retenir depuis le 1er janvier

  • En librairie le 5 mars...

     

    86969526_10158199617313304_7384732284449980416_o.jpg

    La France a sans doute atteint son apogée à la veille de la Révolution. Sous Louis XVI, demeuré dans les mémoires le roi faible, elle porte paradoxalement sa puissance à un niveau inégalé.
    Le système diplomatique français neutralise alors l’Europe par un jeu de bascule et d’équilibre qui assure la paix au détriment des ambitions territoriales. Bien équipées et entraînées, les armées du roi garantissent l’ordre international. Reconstituée après les désastres de la guerre de Sept Ans, la marine bouscule quant à elle les Anglais qui découvrent l’amertume de la défaite et apprennent à partager l’empire des mers. 
    Le commerce prospère. Les ports de l’Atlantique bruissent d’activité. À la tête de la seconde flotte commerciale du monde, les armateurs de Nantes, Bordeaux et Marseille élargissent les marchés régnicoles. Une proto-industrie prometteuse se développe. Les Français produisent alors plus de fer que l’Angleterre. L’État est endetté, mais la France est riche.
    Elle est aussi influente. Il n’est pas une personne de qualité dans l’ancien et le Nouveau Monde qui ne parle le français, langue de l’esprit assurément, mais aussi de ce badinage qui s’appelle l’art de vivre. Les sociétés scientifiques de Paris participent de plain-pied à la transformation du monde dont les rouages et les principes ouvrent à l’homme des perspectives nouvelles.
    Malgré des zones d’ombre trop connues, une population nombreuse et industrieuse peut alors regarder l’avenir avec confiance. Une vision stratégique à long terme ouvre des voies prometteuses. Inattendu, l’effondrement n’en sera que plus violent.
    Cette étude portant sur la France de Louis XVI jusqu’à la veille de la Révolution ne se contente pas d’explorer les arcanes d’une période charnière et d’en révéler les lignes de force. Elle développe une réflexion sur la notion de puissance ; dégage des principes et des constantes ; éclaire notre époque en resituant les événements et leur causalité dans le temps long. Livre d’histoire, assurément, il est plus encore un ouvrage de stratégie.
     
     
    1 vol. 16 x 24, 160 pages, 20 €
  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le chant du Danube.

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    En DVD : Le chant du Danube, d’Alfred Hitchcock (1934) avec Jessie Matthews (Rasi), Esmond Knight (Johann Strauss) et Edmund Gwenn (Johann Strauss senior)

    guilhem de tarlé.jpg« Oh tes flots merveilleux

    Oh beau Danube bleu ».

     

    Alors qu’avec Christophe, chacun fredonne Les mots bleus, moi, je crierais plutôt Aline, pour qu'elle revienne... mais non, c'est Le beau Danube bleu que j'ai découvert avec Hitchcock !
    Entendons nous,  je connaissais la valse, évidemment, mais je n'imaginais pas qu'Hitchcock ait pu réaliser une comédie musicale en biopic de Johann Strauss.
    Biopic ? Je ne sais pas, dans Le chant du Danube, ce qui relève de la réalité et ce qui relève de la fiction :
    A-t-il réellement envoyé valser la composition de viennoiseries au profit de la baguette... de chef d'orchestre ?
    Qu'importe ? Malgré les voix nasillardes et la BO de 1934... j'ai éprouvé une véritable émotion à l'écoute de cette symphonie finale et j'ai passé une bonne soirée.

     

     

    « Danube bleu
    Si, comme un dieu,
    On t'a chanté
    Cœur exalté.
    C'est que tes flots
    Rires ou sanglots,
    Portent la vie et l'amour
    Tout le long de ton parcours ! »

     


    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire : Pourquoi ne pas profiter de ce confinement cinématographique avec un nouveau tableau récapitulatif donnant, dans le désordre, un « top ten » des films vus au cinéma depuis le 1er janvier

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    La fille au bracelet

    Stéphane Demoustier

    Je recommande

    Drame, justice

    Français

    Février 2020

    de Gaulle

    Gabriel Le Bonin

    Un bon film, mais hagiographie

    Histoire

    Français

    Mars 2020

    Une vie cachée

    Terrence Malick

    Un bon film, discutable

    Faits réels

    Américain/allemand

    Décembre 2019

    Scandale

    Jay Roach

    Un bon film

    Biopic

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Noura rêve

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    Art et essai : Noura rêve, un film tunisien de Hinde Boujemaa, avec Hend Sabri (Noura), Lofti Abdell (Jamel), Hakim Massoudi, (Lassad).

     

    3107438373.2.jpgNoura rêve, mais il est vrai qu’elle est dans de beaux draps... des draps qu'elle lave et qu' elle plie consciencieusement.


    "Toi la servante,  toi la Maria,
    Il va falloir changer nos draps
    Mathilde est revenue".

                                                                    (Jacques Brel).


    Une histoire d'amour et de désamour dans la Tunisie d'aujourd'hui.
    Un petit film poignant que je n'aurais sans doute pas vu sans la recommandation de Frédéric Pic sur TV Liberté.
    Un Vaudeville (la femme, le mari, l'amant) qui n'est pas une comédie.


    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog
    Je ciné mate.
    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    Sol

    Non

    12/01/2020

    Un très bon film

    Noura rêve

    oui

    17/01/2020

    Un bon film

    Sympathie pour le diable

    oui

    16/01/2020

    (Très) intéressant

    Un monde plus grand

    non

    28/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    j’aurais pu et dû ne pas le voir

    Lillian

    non

    14/01/2020

    Je m’y suis ennuyé

    Les filles du Docteur March

    non

    13/01/2020

    Je n’ai pas aimé du tout

    Chanson douce

    oui

    10/12/2019

    S’il faut retenir un film depuis le 1er janvier

    Une vie cachée

    oui

    05/01/2020

     

  • Une immense réciprocité de service, par Gérard Leclerc.

    © Julian Kumar / Godong

    À la une du Parisien d’hier, ce très beau titre : « Si on redémarre, c’est grâce à eux ! Karine, Yann, Lourdés, Abdelaadi… Gériatre, caissière, gardienne, brancardier, aide à domicile, porteur de journaux, bénévole. Nos héros du quotidien. Merci à vous. » Chaque soir, nous applaudissons à nos fenêtres les soignants, dont le dévouement, qui va jusqu’à l’héroïsme, se signale d’abord à notre reconnaissance.

    gerard leclerc.jpgMais la société n’aurait pu fonctionner ces dernières semaines sans toutes ces personnes que Le Parisien a bien raison de mettre en évidence. Une situation d’exception met en évidence ce qu’a d’exceptionnel le dévouement et l’engagement de toute cette armée qui a tenu devant l’adversité, avec une constance qui force notre admiration.

    Le plus souvent, on est enclin à se polariser sur ce qui ne marche pas. Mettre en accusation nous est plus familier que de dire merci. Et certes, une société se signale aussi à travers ses dysfonctionnements, ses injustices. Beaucoup de philosophes font de la violence des rapports sociaux le fondement du politique, qui intervient pour établir un équilibre et même la paix, en disposant du seul recours légitime à la force. Pour d’autres, c’est la lutte des classes qui est tout simplement le moteur de l’histoire. Ces dernières saisons, l’analyse des politologues a même eu tendance à remettre au premier plan ces antagonismes de classe, qui se seraient durcis avec certains processus de la mondialisation. La pandémie actuelle ne saurait nous faire oublier la révolte des Gilets jaunes qui n’est pas un simple épisode passager.

    Pourtant, tous ces antagonismes évidents ne sauraient nous faire oublier d’autres principes de philosophie politique. Si le corps social ne finit pas par éclater et si la révolution rédemptrice tarde à venir, c’est que les citoyens et les producteurs ont aussi besoin les uns des autres, et qu’une sorte de règle de réciprocité demeure sous-jacente au déséquilibre des processus sociaux. Toute société est fondée sur une immense réciprocité de services, sans laquelle elle s’effondrerait. Peut-être la situation exceptionnelle qui est la nôtre nous y rend en ce moment plus sensible. Puissions-nous rendre aux héros du jour l’équivalent des services qu’ils nous offrent si généreusement !

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 12 mai 2020.

  • Lourdes rouvert, par Gérard Leclerc.

    © Roland Darré / CC by-sa

    La réouverture des sanctuaires de Lourdes, même si elle s’opère dans des conditions forcément strictes, est pour les catholiques la bonne nouvelle tant attendue. Le caractère symbolique de la ville des apparitions mariales donne à cette décision une portée nationale et même internationale. Je ne voudrais pas opérer un rapprochement fâcheux, mais la fermeture des grilles des sanctuaires n’a qu’un précédent dans l’histoire : c’est lorsqu’au moment des apparitions à Bernadette, la grotte fut momentanément interdite à la population de Lourdes, me semble-t-il par arrêté préfectoral.

    gerard leclerc.jpgCela ne devait pas durer longtemps et les motifs n’ont d’évidence rien à voir avec ceux du confinement actuel. Mais il n’en reste pas moins qu’il y a quelque chose de douloureux, voire d’insupportable dans le fait de ne pas pouvoir accéder librement à un lieu dévolu à la prière, et qui plus est un lieu de manifestation collective.

    Le Conseil d’État, à sa façon, vient d’entériner ce droit impératif à prier et à prier ensemble, en jugeant que l’interdiction générale et absolue de tout rassemblement dans les lieux de culte était disproportionnée en période de déconfinement. Elle constituerait même une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de culte, une liberté définie comme fondamentale. Le Premier ministre a donc été enjoint, lundi dernier, à remplacer cette interdiction par « des mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires ». On peut donc espérer que nous pourrons célébrer, dans nos églises, la fête de la Pentecôte, le 31 mai prochain. Chaque diocèse prendra les dispositions nécessaires pour répondre aux normes sanitaires, et il est probable que le nombre des messes sera considérablement augmenté pour que les fidèles puissent être accueillis dans les conditions requises.

    Que le droit à la liberté de culte ait été réaffirmé ainsi avec vigueur constitue d’évidence une excellente nouvelle. Et même si la prière n’a jamais été interrompue, dans le cœur des chrétiens, il est heureux qu’ils puissent à nouveau se rassembler, à l’image de ce qui a été inauguré à Lourdes.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 20 mai 2020.

  • Cinéma • La lutte des classes

    Par Guilhem de Tarlé     

    A l’affiche : La lutte des classes, un film français de Michel Leclerc, avec Édouard Baer, Leila Bekhti et Tom Lévy (les parents Paul et Sofia du petit Corentin).

    GT Champagne !.JPG

    La lutte des classes… Mais quelle idée d'aller voir un tel film ?

    Le titre m'avait rebuté, et le synopsis n'avait rien d'attirant, mais on peut tout se permettre quand on a le plaisir de voir le patron Secrétaire général de la CGT exfiltré de son défilé du 1er mai.

    On peut tout se permettre quand on voit les syndicats relégués en fin de cortège et leur  « fête… volée » par les Gilets jaunes, même si à force de hurler à la récupération ceux-ci ont finalement été rougis et noircis par l'extrême gauche et les Blacks Blocs...

    On peut tout se permettre quand le Gouvernement qui a institué la Fête du Travail est banni de l'Histoire de France...

    En outre, de façon inattendue, j'ai entendu sur ce film une critique très positive qui, aujourd'hui, me rend songeur...

    Certes il y a des scènes plaisantes, des répliques d'anthologie comme la « rupture du pacte républicain » que constitue l'inscription des enfants dans une école privée. 

    Certes il y a des dénonciations bienvenues comme ces bobos qui trichent sur leur adresse pour fuir la carte scolaire.

    Certes il y a le constat du Grand Remplacement, même si l'expression n'est évidemment pas utilisée, quand Corentin se retrouve « le seul Blanc de sa classe ».

    2076351.jpg-c_215_290_x-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgN'est-ce pas Emmanuel Valls qui, dans une brocante à Evry, réclamait « quelques Blancs, quelques Whites, quelques blancos » ?

    Oui cette comédie affiche quelques vérités... Elle n'en reste pas moins une œuvre de propagande sur le « vivre ensemble » quand elle se conclut sur la « de souche » voilée qui assume, l'avocate maghrébine qui a raison contre son compagnon gauchiste mais « fâchiste », et enfin ce petit Corentin bien intégré dans son école...

    Permettez-moi de ne pas croire en cette fin bisounours...  Tout cela se terminera dans les larmes et le sang comme pour les chrétiens d'Orient.       

    la-lutte-des-classes.jpg

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.