UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Histoire & Enseignement • Affaire Lorànt Deutsch : quand les enseignants s'érigent en grands prêtres de l'Histoire

     

    Par Philippe Delorme      

    Deux professeurs d'Histoire ont mis leur veto à la tenue d'une conférence de Lorànt Deutsch. Philippe Delorme expose ici [Figarovox, 26.10] que si les enseignants considèrent ne pas devoir « faire aimer la France » - « position surprenante » - ils ne doivent pas transformer son histoire en « cauchemar national ». Il a raison.  LFAR

     

    3038070342.jpg« Nous ne sommes pas là pour faire aimer la France à nos élèves ». Telle est la déclaration surprenante que viennent de faire deux professeurs d'Histoire de Trappes, dans les Yvelines. Ils cherchaient par là à justifier leur veto à la tenue d'une conférence de Lorànt Deutsch dans leur ville. Accusé de trop aimer « les rois et les grands personnages », le comédien s'est donc vu interdire l'accès de cette cité de la banlieue parisienne, dont la majorité des habitants sont issus de l'immigration. Pourtant, à travers ses livres à succès - dont ses deux Métronome -, Lorànt Deutsch a prouvé que les Français ont soif de connaître leur passé. Et cette évidence seule devrait interpeller nos deux censeurs trappistes…

    Le rôle d'un professeur d'Histoire est-il de « faire aimer la France » ? Peut-être pas en effet. Et personnellement, je suis farouchement opposé à la réécriture d'un « roman national » comme celui de Jules Ferry, au nom duquel ont été formatées des générations de jeunes patriotes républicains, prêts à se sacrifier la fleur au fusil. Mais la mission d'un professeur n'est pas non plus d'entretenir la détestation ni la haine du pays où - quelles que soient leurs origines - ses élèves sont appelés à grandir et à vivre. Or, depuis plusieurs décennies, l'Histoire de France telle qu'elle est transmise, apparaît comme une inexpiable repentance, battant inlassablement la coulpe sur la poitrine de nos ancêtres. Inquisition, traite négrière, colonialisme, régime de Vichy, guerres d'Indochine et d'Algérie… Le « roman national » d'autrefois s'est transformé en un véritable « cauchemar national ». Le professeur d'Histoire n'est ni le grand prêtre d'une liturgie officielle, ni le juge des actions passées.

    Devoir de mémoire: voilà le maître-mot de ces contempteurs de notre héritage. Mais la mémoire n'est pas l'Histoire. Car elle est sujette à manipulation, à déformation. Elle est pétrie de sentiments, de parti-pris manichéen et d'affectivité, et elle pêche souvent par anachronisme. Cette mémoire doit donc être « digérée » par les historiens, dont la tâche est d'abord d'établir les faits dans leur vérité. Cependant, si nos contemporains chérissent la « mémoire », ils se hérissent devant la notion de « vérité ». Pour beaucoup d'entre eux, tout est relatif et question de point de vue. Toutefois, sans établir préalablement les « faits têtus » du passé - selon l'expression de Lénine -, comment prétendre ensuite les analyser ou les comprendre ? Certes, l'Histoire n'est pas une science, mais c'est un art délicat qui exige une méthodologie scientifique.

    Ainsi, s'il ne doit pas « faire aimer » la France - ni la faire détester bien sûr -, le professeur d'Histoire digne de sa fonction aura pour premier devoir d'en éclairer la réalité et la complexité, dans une exigence d'objectivité, même si cela reste un but inatteignable. Or, il faut bien convenir que la vision véhiculée aujourd'hui par nombre d'enseignants est non seulement biaisée, mais également tronquée. Pour beaucoup d'entre eux, la nation française naît en 1789. Auparavant, tout ne serait qu'obscurité et oppression. À cet égard, il est dommageable que les nouveaux programmes scolaires insistent à l'excès sur l'époque contemporaine, et particulièrement sur les épisodes les plus sombres de la Seconde guerre mondiale.

    L'authentique « récit national », qui reste à composer devra s'inscrire dans la longue durée. Assurément chronologique, sinon strictement linéaire. Certes, le destin de la France n'était pas établi depuis l'éternité des siècles. Il doit être largement ouvert sur l'universel, et parler de « nos ancêtres les Gaulois » n'a guère de signification. Il n'empêche que notre présent est le résultat de deux millénaires et davantage d'une lente maturation, d'une aventure commune où se sont succédé les pages de gloire et celle d'infamie, une Histoire avec ses grandeurs et ses faiblesses, à l'image de ce qu'est la nature humaine. Car toute Histoire est avant tout Histoire des hommes. Des humbles, des anonymes qui ont tissé la trame des jours. Mais aussi de ces « grands hommes » - chefs d'État, capitaines illustres, savants et religieux, découvreurs, femmes d'exception -, qui peuvent offrir autant d'exemples à méditer.

    Car en définitive, à quoi sert l'enseignement de l'Histoire ? Certainement pas à soumettre de jeunes cerveaux à l'inutile apprentissage de listes de dates qu'ils s'empresseront d'effacer. Encore moins à cultiver les antagonismes communautaires, non plus d'ailleurs qu'à distiller une propagande en faveur d'un hypothétique « vivre ensemble ». À l'instar des sciences exactes - comme les mathématiques ou la physique -, l'Histoire servira d'abord à faire acquérir aux élèves les bases d'un raisonnement rigoureux, les outils nécessaires pour jeter un regard critique sur les informations contradictoires dont l'univers médiatique les abreuve. La capacité de trier le bon grain de l'ivraie, la vérité du mensonge.   

    Philippe Delorme      

    XVMe1338c4c-9a9e-11e6-9cc3-b255a704759d-100x161.jpg

    Historien et journaliste, auteur de nombreux ouvrages, Philippe Delorme vient de publier Théories folles de l'Histoire (éd. Les Presses de la Cité, 2016).     

  • Sur ”Dieu merci !” : ”Sinistre Révolution” : la Révolution française, anti-chrétienne ?

            Le vendredi12 novembre, à 9h sur Direct 8, ne manquez pas "Dieu merci !" ( http://dieumerci.direct8.fr/ ), la première émission religieuse de la TNT :

             Révolution Française : anti-chrétienne ?

             En moins de 10 années, les révolutionnaires ont voulu faire disparaître du paysage et même du calendrier toute référence chrétienne. Analyse de l'un des épisodes les plus dramatiques de l’Histoire du Christianisme.....

              Avec : Xavier MARTIN, Professeur émérite des Universités, historien des idées politiques 

              DM!12XI2010.pdf

  • À la découverte de huit français(e)s ”illustres et méconnus”...

    28 février 2007/28 février 2021 : lafautearousseau fête ses quatorze ans !

    Pour célébrer cet évènement d'une façon un peu originale, nous avons choisi d'extraire huit passage de nos Éphémérides, qui vous emmèneront, pendant une semaine, à la découverte de huit personnes éminentes de notre Histoire mais qui, pourtant, sont peu ou pas du tout connues, du moins du grand public...

    Aujourd'hui (2/7) : Jacques Cassard...

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

    14 ans ! Un anniversaire célébré en rappelant nos Racines, notre Culture, notre Histoire et ceux qui l'ont faite : Frédéric Mistral ne disait-il pas "Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut" ?...

    (Extrait de notre Ephéméride du 29 avril)

     

    1709 : La Provence sauvée de la faim par Jacques Cassard...

     

    La Guerre de Succession d'Espagne dure depuis neuf ans déjà. Depuis ses débuts, elle ne tourne pas à l'avantage de la France, c'est le moins que l'on puisse dire... La défaite pure et simple est frôlée à plusieurs reprises, et il faudra attendre encore trois longues années pour que, en 1712, le sort des armes tourne enfin - et, cette fois, définitivement... - en  notre faveur. De plus, en cette année 1709, un hiver d'une rudesse terrible vient ajouter les drames qu'il provoque aux maux d'une guerre qui semble en train d'être perdue...

    1AA.jpg

    Comme l'explique très bien François Bluche, dans son magistral Louis XIV (page 791), la préoccupation principale de Louis XIV, outre la conduite de la guerre, est d'éviter famine et disette partout en France. Pour cela, les marins, sur toutes les mers du globe sont sollicités, et répondent avec audace, brio et... succès ! :

    "...Aussi bien qu'en 1693 et 1694, la tactique navale est désormais tout axée sur l'acheminement des grains. On traite avec Gênes. On coupe aux Anglais le retour de la route de Smyrne. On achemine du blé africain. Le comte de Pontchartrain n'a peut-être pas tous les navires de guerre qu'il conviendrait, mais il est admirablement secondé par des capitaines entreprenants, comme le chevalier de Pas, ou comme Cassard. D'avril 1709 à l'automne de 1710, c'est à Toulon un perpétuel branlebas. En 1709 Jacques Cassard, vainqueur à un contre cinq d'une croisière anglaise (29 avril), ramène à Marseille vingt-cinq navires céréaliers venus de Tunisie. L'année suivante, il dégage du Golfe Juan quatre-vingt quatre bâtiments du convoi de Smyrne et les conduit jusqu'à Toulon, s'emparant chemin faisant de deux vaisseaux britanniques. La Provence est sauvée de la famine..." 

    1A.jpg

    Il eut une vie glorieuse et, hélas, une fin de vie malheureuse :

    http://lemondecorsaire.free.fr/cassard.htm

  • SOLIDARITÉ KOSOVO !... :  L’incroyable histoire d’un humanitaire français devenu ministre en Serbie

    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

    lfar kosovo.jpg

    Arnaud Gouillon a d’abord été reponsable de l’ONG Solidarité Kosovo avant d’être nommé ce jeudi 26 novembre Secrétaire d’Etat pour les Serbes de la diaspora, au sein du gouvernement de Belgrade. L’ancien journaliste Pierre-Alexandre Bouclay nous raconte cette singulière trajectoire. Portrait.
     

    1A.jpg

     
     
    La vie réserve de ces surprises. Prenez Arnaud Gouillon. En 2004, ce Grenoblois de 19 ans débarquait au Kosovo avec ses valises d’humanitaire. Dans sa tête, un objectif : secourir les chrétiens serbes persécutés par les Albanais musulmans. Avec sa camionnette, slalomant entre nids de poule et obus, il partait dans de petits villages de montagnes escarpées pour livrer des cadeaux de Noël aux enfants. Si on lui avait dit qu’il finirait ministre, il aurait sans doute bien rigolé.
     
    Cela lui est tombé dessus comme une roquette sur un monastère. Il y a quelques jours, le président de la République de Serbie, Aleksandr Vukic, et le ministre des Affaires étrangères Nikola Selakovic, l’ont contacté. Résultat, ce jeudi 26 novembre à 14h, M. Arnaud Gouillon, président de l’ONG française Solidarité Kosovo, a été nommé secrétaire d’Etat pour les Serbes de la diaspora.
     
    Un humanitaire français qui devient ministre serbe, ce n’est pas si courant. Son but sera de "préserver l’identité culturelle, religieuse et nationale du peuple serbe dans les Balkans et la diaspora". Il devra aussi développer les relations économiques et culturelles entre la Serbie et les populations serbes émigrées.
     
    Gouillon est un idéaliste plein de fougue. La politique ne lui est pas tout à fait inconnue. Comme beaucoup de ses homologues à droite ou à gauche, en France ou dans le monde, il s’est formé dans un groupe aux idées bien affirmées. Pour lui, ce fut le Bloc identitaire. Il a même endossé, le temps de quelques semaines, le rôle de candidat à la présidentielle. Déçu par les coulisses politiciennes, il a raccroché les gants dès 2011.
     
    La cause des chrétiens serbes du Kosovo, désintéressée, sans arrière-pensée, sans double jeu, était sa véritable vocation. Il est parti vivre en Serbie. A appris la langue. S’est marié. Il a repris sa camionnette, puis d’autres encore, jusqu’à devenir l’acteur central de l’action humanitaire dans la région.
     
    Si on veut faire un reportage au Kosovo, on finit forcément par croiser son chemin. Parfois dès l’aéroport, car il est le meilleur guide pour découvrir la réalité et les profondeurs de cette zone grise. En 2015, il a été classé parmi les 20 personnalités les plus importantes de Serbie. Depuis, il est numéro trois, derrière le géant du tennis Novak Djokovic et l’archimandrite du monastère de Visoki Decani (cœur spirituel de l’Eglise orthodoxe serbe), Sava Janjic – mélange d’abbé Pierre pour la popularité et de Jean Moulin pour l’esprit de résistance.
     
    Arnaud a appris à vivre avec la célébrité sans en faire un plat. Dans les rues, les restaurants, à la douane, des inconnus viennent le saluer ou se faire photographier avec lui. Même des policiers ! Presque gêné, il explique : "Disons que les Serbes ont été touchés de voir un Français prendre leur défense. Je suis souvent invité dans les médias."
     
    Pas seulement. Avec son ONG, Gouillon fournit de l’aide d’urgence aux plus démunis et multiplie les opérations d’aide à l’enfance : "Le convoi de Noël et les classes d’été, au cours desquels nous emmenons de petits Serbes du Kosovo en vacances, restent les temps forts de notre année". Mais son objectif principal est de permettre à ceux qui le souhaitent de s’ancrer durablement : "Nous construisons des fermes, des serres, de petites entreprises artisanales, des écoles, nous aidons les monastères, nous fournissons du matériel agricole, tout ce qui peut permettre à une communauté de travailler et vivre dignement – éventuellement en autarcie".
     
    Ces dernières années, Arnaud Gouillon a reçu de nombreuses propositions politiques et a toujours refusé. "J’ai accepté celle là, dit-il, car elle a vraiment du sens avec mon engagement initial, qui est de protéger les minorités serbes, comme je le faisais depuis des années au Kosovo." Concernant le risque de se perdre à nouveau en politique, Gouillon, qui a été vacciné très jeune, se montre serein : "Le gouvernement que je rejoins est très populaire. Ils n’avaient pas besoin de moi pour "faire un coup" mais vraiment pour mener à bien une mission que j’estime taillée sur mesure. J’ai vu que je pouvais avoir un véritable impact. Ensuite, j’ai plusieurs boussoles : ma conscience, mon épouse et le regard des Serbes du Kosovo. Cela m’aide à garder le bon cap."
     
    Pierre-Alexandre Bouclay
  • À la découverte de huit français(e)s ”illustres et méconnus”...

    28 février 2007/28 février 2021 : lafautearousseau fête ses quatorze ans !

    Pour célébrer cet évènement d'une façon un peu originale, nous avons choisi d'extraire huit passage de nos Éphémérides, qui vous emmèneront, pendant huit jours, à la découverte de huit personnes éminentes de notre Histoire mais qui, pourtant, sont peu ou pas du tout connues, du moins du grand public...

    Aujourd'hui (8/8) : Marie-Joseph Gilg, le curé qui sauva Chambord en 1944......

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

    14 ans ! Un anniversaire célébré en rappelant notre Histoire, notre Culture, ceux qui sont nos Racines : Frédéric Mistral ne disait-il pas "Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut" ?...

    (Extrait de notre Éphéméride du 18 février)

     

     

    1868 : Naissance de Marie-Joseph Gilg, le curé qui sauva Chambord en 1944...

    1A.jpg

    En août 1944, les nazis ont voulu détruire Chambord. Et c’est grâce à un curé alsacien, l’abbé Joseph Gilg (1868-1960), que cette catastrophe patrimoniale couplée à un drame humain ont été évités.

    Joseph Gilg est né à Guebwiller, et a été ordonné prêtre à Blois, en 1900. En 1944, il a déjà 76 ans. Le château de Chambord abrite à ce moment-là encore plus de trésors que d’ordinaire : des œuvres d’art venues des musées du Louvre et de Compiègne y ont été mises en sécurité (la Joconde elle-même y a séjourné : voir notre Éphéméride du 3 décembre, jour de la naissance de Jacques Jaujard, qui a organisé ce gigantesque "transfèrement"...).

    Mais son parc cache aussi des résistants, et les Allemands en ont été prévenus : "Furieux, le lundi 21 août 1944, de trois côtés à la fois, ils se dirigent vers Chambord, avec chars d’assaut et canons" , a raconté le curé Gilg après-guerre. Des combats ont lieu "sur la pelouse même du château historique". Des armes sont découvertes, un soldat allemand est tué. Des représailles sont décidées. Les nazis, poursuit l’abbé, "bondissent en criant : "Le château sera rasé, les demeures détruites, la population doit payer !" "

    La population est parquée dans le château, les hommes dans une cour, les femmes et les enfants dans une salle. Une quarantaine d’otages est saisie; ils doivent être traduits devant un conseil de guerre. Des incendies sont allumés. Le massacre et la destruction semblent en route quand le curé alsacien entre en scène.

    Il demande, en allemand, à parler "au chef", qui est le major Ley. L’Alsacien promet qu’il n’y a pas de terroristes à l’intérieur du château et que ceux-ci n’ont rien à voir avec la population. Comme le major ne le croit pas, le curé s’offusque : "Prendriez-vous le prêtre pour un menteur ?" Le major lui répond : "D’où vient que vous parlez si bien l’allemand ?" et le curé répond qu’il fut aumônier pour des prisonniers allemands en 14-18.

    Avec la discussion, la fureur s’estompe. Le major finit par ordonner : "On peut épargner !" Le château et les personnes sont fouillés : ne sont trouvés ni armes, ni suspects. Les départs d’incendie sont arrêtés.

    Mais tout danger n’est pas encore écarté : les otages doivent comparaître devant le Conseil de guerre. L’abbé sert alors d’interprète lors de la quarantaine d’interrogatoires. "Comme par miracle", dit-il, il trouve les réponses qui éteignent tous les soupçons. Il propose en outre de célébrer des obsèques religieuses pour le soldat allemand tué.

    Cinq maquisards seront, malgré tout, fusillés, et quelques maisons et bâtiments annexes du château - dont la ferme - brûlés. La "semaine martyre de Chambord", selon l’expression du curé, ne cesse que le vendredi 25 août, avec le départ des troupes allemandes vers l’Est.

    "Le bilan certes est désastreux : il y a des morts et des ruines. Mais en définitive, l’ensemble de la population, ainsi que le château et ses trésors, ont échappé à l’extermination", conclut l’abbé dans une brochure qu'il a consacrée à cet évènement : La tragique histoire de Chambord, vécue de 1941 à 1944, éditée en 1950.

    Son récit s'y achève par un vibrant : "Vive la France et vive l’Alsace ! Et revive Chambord, qui fut en si grand danger !"

    Pour cette action, l’abbé Gilg fut décoré de la Légion d’honneur, de la Croix de guerre et de la médaille d’argent de la Reconnaissance française, le 14 juillet 1949. 

    1AA.jpg

    L'abbé Marie-Joseph Gilg ? L'un de ces "Français illustres et méconnus" dont parle François Bluche : que cette modeste Ephéméride contribue à lui rendre l'hommage qu'il mérite, amplement...

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : la parole est à Michel Déon, dernier secrétaire personnel de Charles Maurras...

    1997 : Jacques Maurras remet à la Ville de Martigues les clés de la bastide du Chemin de Paradis
     

    27 septembre,vercingetorix,alesia,guillaume le conquérant,bayeux,saint vincent de paul,bossuet,louis xiii,telle du conquest,tapisserie de la reine mathilde,degas,dugay trouin

    Lors de cette cérémonie, Michel Déon prononça le très beau discours suivant :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/11/03/discours-de-michel-deon-de-l-academie-francaise-a-martigues-6102247.html

     

     Sur cet évènement, dans notre album Une visite chez Charles Maurras , voir la photo "Donation de la Bastide à la Ville de Martigues"

     

    1A.jpg

    1A.png
  • Dimanche 11 novembre (Nîmes) : Le Cercle Saint-Charles rendra hommage aux morts d’Action française de la Grande Guerre d

    Rendez-vous devant l’entrée du cimetière Saint-Baudile à 11 heures. La cérénomie sera suivie d’un déjeuner à 12h30 au Palace (angle Esplanade-rue Régale). Inscription par téléphone au 06.83.71.67.70.

  • Nord-Picardie : Samedi 24 septembre, journée d’Action française ... C'est aujourd'hui !

     

    Samedi 24 septembre 2016 

    NORD-PICARDIE

    Journée d’Action française

    entre Doullens (Somme) et Arras (Pas-de-Calais) 

    La désinformation :

    des armes du faux aux instruments de la riposte

       par

    Aristide Leucate

    Journaliste à L’ACTION FRANÇAISE et BOULEVARD VOLTAIRE 

    L’actualité politique

       par

    Hilaire de Crémiers

    Délégué général de LA RESTAURATION NATIONALE

    Directeur de Politique Magazine et de la Nouvelle Revue Universelle. 

    Renseignements et inscriptions

    af.picardie@free.fr   06 65 53 63 93

  • Université d'été d'Action française, le Camp Maxime Real Del Sarte, se tiendra du 20 au 27 août 2017

     

    Voici donc le lieu, les dates, le thème du Camp Maxime Real del Sarte 2017.

    Le Camp Maxime Real del Sarte (CMRDS) est une université d’été d’Action française, surtout destinée aux jeunes Français soucieux de l'avenir de leur pays 

    Ainsi, après le colloque du 13 mai dernier, dont le thème était Refonder le Bien Commun, colloque dont l'invité d'honneur a été le Prince Jean de France, le Camp Maxime Real del Sarte 2017 s'est logiquement donné pour sujet : France d'abord, l'avènement du projet capétien pour la France 

    Le site du Centre Royaliste d'Acion Française donne le programme du CMRDS 2017. On a la possibilité de s'inscrire en ligne.  

  • Université d'été d'Action française, le Camp Maxime Real Del Sarte, se tient du 20 au 27 août 2017

    Programme de la journée portes ouvertes de ce samedi 26 août

     

    Voici donc le lieu, les dates, le thème du Camp Maxime Real del Sarte 2017.

    Le Camp Maxime Real del Sarte (CMRDS) est une université d’été d’Action française, surtout destinée aux jeunes Français soucieux de l'avenir de leur pays 

    Ainsi, après le colloque du 13 mai dernier, dont le thème était Refonder le Bien Commun, colloque dont l'invité d'honneur a été le Prince Jean de France, le Camp Maxime Real del Sarte 2017 s'est logiquement donné pour sujet : France d'abord, l'avènement du projet capétien pour la France.  

    Le site du Centre Royaliste d'Acion Française donne le programme du CMRDS 2017. On a la possibilité de s'inscrire en ligne.  

    3402254379.jpg

  • 20 Octobre 1914 ... Quand on pense que M. Millerand a été l'avocat de la société Maggi contre L'Action française !

     7483e78e15aa70e2e169a91dd53cff50.jpg

    Je suis venu passer quarante-huit heures en Normandie. La population est d'un calme magnifique et accepte  la guerre et les sacrifices en hommes avec une vaillance d'autant plus digne d'être admirée que la région a beaucoup souffert et que nombreux sont les morts, les blessés et les prisonniers. Cependant Perrette travaille et, avec ses vaches, son beurre et ses oeufs, reconstitue de la richesse. Il est bon de voir cette France rurale à l'oeuvre, tandis que les hommes se battent, pour comprendre comment notre pays a pu soutenir des efforts peut-être encore plus rudes que celui-ci.

    Le juge de paix m'apprend qu'il est chargé par le parquet de Saint-Lô d'une enquête sur les biens que la société Maggi pourrait posséder dans le canton. Maggi a en effet acheté dans ces derniers temps un terrain tout près du chemin de fer : c'est la confirmation éclatante de la campagne de Léon Daudet, le triomphe de son Avant-Guerre.

    - Et quand on pense que M. Millerand a été l'avocat de la société Maggi contre L'Action française ! s'écrie mon juge de paix, consterné...

    Evidemment il y aura des explications assez embarrassantes à fournir pour un certain nombre de personnes. Ainsi Marcel Sembat (cet ironiste et qui aime les plaisanteries même amères) vient, en sa qualité de ministre des Travaux publics, d'ordonner la mise sous séquestre des mines de Diélette*, propriété du conseiller de Guillaume II, Thyssen, solennellement inaugurées par son collègue dans le ministère actuel, Fernand David*. Diélette, Thyssen et Fernand David font également les frais d'un chapitre de L'Avant-Guerre.  

    Même aventure pour les mines de fer de Caen... Faut-il que nous ayons raison pour avoir à ce point raison ?  u  

     1914-le-destin-du-monde-de-max-gallo-927903138_ML copie.jpg

     

     

     

     

     

    * Les mines de fer de Diélette, dans le Cotentin, aujourd'hui site de la centrale nucléaire de Flamanville.

    ** Fernand David, ministre successivement des Travaux publics, du Commerce et de l'Agriculture entre 1913 et 1914.

  • Action française • Paris, week-end de Jeanne d'Arc : samedi 7 mai, colloque « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? »

     

    Rendez-vous le 7 MAI 2016 à 14h au forum de Grenelle, 5 rue de la Croix-Nivert - 75015 Paris. M° Cambronne

    Retrouvez toutes les informations sur le colloque du 7 mai sur le site internet de l’événement !

    Présentation, programme, plan d’accès, accès en streaming aux interventions, réservation de vos places...Vous n’avez aucune excuse !

    Pensez à acheter votre place pour le colloque ! 

     

    13062411_1006947592693209_5122025416177880485_n.jpg

     

    Liste non-exhaustive des intervenants

    Pierre de Meuse  Jean-Philippe Chauvin  Robert Ménard  Pierre-Yves Muller  Benoît Dakin  Yvan Rioufol  Guillaume de Premare  Frédéric Rouvillois  Charles de Meyer  Guillaume Bernard  Paul-François Paoli  Marion Maréchal - Le Pen  Yves-Marie Adeline   Antoine de Crémiers  Gérard Leclerc  François Marcilhac
     
    Accès au site internet de l’événement !
    Cliquez sur l'image ci-dessous 

     
    Bande-annonce colloque
     

     

  • Terrorisme & Société • Mobilisation lundi dernier à Marseille gare St-Charles à l'appel de l'Action Française

     

    Après l'attentat de Marseille, gare Saint- Charles, dimanche 1er octobre après-midi, un rassemblement s'est formé sur les lieux même, le lendemain lundi 2 au soir, à l'appel de l'Action française Provence, pour mobiliser les Marseillais contre les crimes islamistes.

    Le rassemblement sur le parvis de la gare a notamment réuni une soixantaine de jeunes prêts à défendre leur patrie, rapidement rejoints par bon nombre de passants touchés par leur détermination et tout aussi décidés à se défendre.

    Cela vaut mieux que les bougies, les peluches, la tristesse et les pleurs.  

    (Deux photos)

    22195942_1312700912173331_7131425025866960660_n.jpg

  • CACOPHONIE AU SOMMET DE L’ETAT, l'analyse de François Marcilhac, dans l'Action française 2000 *

    arton7720.jpg

    Nous avons apprécié cette vigoureuse analyse de la situation présente, parue dans l'Action française 2000, sous la signature de François Marcilhac. Elle fait ressortir par delà la gravissime question de l'immigration - clandestine et autre - et par delà bien d'autres problèmes majeurs, la faiblesse, la désorganisation et l'épuisement de l'Etat. Avec tous les risques que cette décomposition fait courir à la France et aux Français, dans un monde redevenu dangereux. Il nous souvient que Boutang, à son époque, qualifiait déjà ce régime de Semble-Etat. Que dirait-il, aujourd'hui, où même les apparences ne sont plus sauvées ? Restent ces signes bien réels d'un redressement des esprits, que François Marcilhac désigne, in fine. Ils sont une des raisons de garder courage.   Lafautearousseau
     
     
     
    Réduire à un simple signe d’exaspération la manifestation du lundi 13 octobre à Calais qui a rassemblé, à l’appel de FO Police, plusieurs centaines de policiers, mais aussi de commerçants, d’agriculteurs et de citoyens de toutes catégories serait une grave erreur. Elle traduit en effet, au plan local, le problème gravissime auquel toute la France est confrontée : l’explosion de l’immigration clandestine.  

    MANIFESTATION À CALAIS...

    « Les fonctionnaires de police n’arrivent plus à assurer la sécurité des Calaisiens et la leur », a simplement constaté — accusé ? — le responsable syndical. Bien évidemment, politiquement correct oblige, il a aussitôt souligné que « ce rassemblement se veut pacifiste, sans aucune connotation raciste » avant, toutefois, de reconnaître « une augmentation exponentielle de la criminalité », alors que « 2 000 à 2 500 migrants » sont déjà à Calais et que « des milliers attendent aux portes de l’Italie pour se diriger vers l’eldorado britannique »...

    ...Un eldorado qui ressemble à un club de plus en plus fermé ! Car ce n’est pas au moment où l’UKIP, l’équivalent anglais du FN, entre au parlement britannique que le gouvernement de Sa Gracieuse Majesté va ouvrir les vannes de l’immigration !

    Sarkozy avait fait mine de régler le problème en fermant les centres d’hébergement, ce qui avait encore aggravé l’insécurité. Hollande ne fait pas mieux, faute de mener une réelle politique de contrôle des flux migratoires... abandonnée par nos gouvernants à une Europe immigrationniste.

    Cette manifestation a exprimé le fossé existant entre des élites dénationalisées, et hyperprotégées, réfugiées dans leurs palais, et le pays réel, confronté chaque jour sans aucune protection aux conséquences catastrophiques des politiques menées par les premières. Le premier acte d’une révolte salutaire ?

    CACOPHONIE AU SOMMET DE L’ETAT

    Le gouvernement et l’Elysée ne savent apparemment plus quoi inventer pour faire parler d’eux, et si possible en mal. Comme si, la communication devenant une fin en soi, nos gouvernants finissaient par s’y empêtrer, brouillant les signaux que, paniqués, ils envoient, tantôt en direction du parti socialiste et, à l’intérieur du PS, en direction des loyalistes ou des frondeurs, tantôt en direction de leurs alliés politiques — les écolos ou, présentement, les radicaux qu’il convient de retenir désespérément pour assurer le vote du budget —, tantôt encore en direction du MEDEF, des syndicats, des agences de notation, des Allemands, des Britanniques — d’où les voyages humiliants de Valls à Berlin et à Londres — et, bien sûr, de Bruxelles. Quant aux signaux adressés aux Français, ils le sont par défaut, en termes d’insécurité, de chômage, d’immigration, de baisse du pouvoir d’achat, d’attaque frontale contre les familles...

    En quelques jours, et alors que nous ignorons toujours, à l’heure où nous écrivons, si Bruxelles aura la générosité de valider le projet de loi de finances pour 2015, qui lui sera présenté ce 15 octobre — puisque la France a perdu la souveraineté budgétaire en 2012 —, le gouvernement a multiplié des bévues apparentes qui ne sont, en fait, que les manifestations d’une navigation à vue.

    En plein débat parlementaire sur le projet de loi « relatif à la transition énergétique pour la croissance verte » (sic), Ségolène Royal supprime, sans savoir par quoi la remplacer, la taxe poids-lourds, encore présentée il y a quelques jours comme incontournable. Hollande, face à la fronde des transporteurs routiers, craignait-il de subir le sort d’Allende en 1973 ? Et Royal, avant d’être aussitôt désavouée, de demander la gratuité des autoroutes le week-end couplée à une baisse des prix du péage de 10%, comme si elle ne savait pas que l’Etat était pieds et poings liés par les cadeaux somptueux que Chirac et Villepin ont fait aux sociétés gestionnaires lors de la privatisation des autoroutes.

    A la veille de la discussion du projet de loi de finances, Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, à la demande d’un PS qui cherche à préserver son unité sur le dos des familles, accepte la mise sous conditions de ressources des allocations familiales ! Hollande croyait peut-être, sur le sujet, obtenir en prime et à bon compte le soutien de la droite molle. Bruno Lemaire et Alain Juppé, ses représentants autorisés, sentant que les classes moyennes, où se recrutent la majorité des électeurs de l’UMP, sont de plus en plus remontées contre de prétendues mesures de justice sociale dont elles font seules les frais, préfèrent prudemment renier leurs positions antérieures sur le sujet.

     DES SIGNES D’ÉPUISEMENT PRÉCOCE

    Des négociations entre les partenaires sociaux se sont achevées en juin sur l’assurance-chômage ? Emmanuel Macron, « Young Leader » (comme en son temps Hollande) de la French American Foundation, et, accessoirement, ministre de l’économie, réclame, dans Le Journal du Dimanche du 12 octobre, un débat évidemment « sans tabou » sur le sujet, à la faveur d’un entretien dont on apprend qu’il a été avalisé par l’Elysée alors même qu’il contredit les propos tenus par le président une semaine plus tôt ! Pris en faute, l’Elysée rappelle, le soir même que, de toutes façons, les prochaines négociations entre les partenaires sociaux ne doivent pas avoir lieu avant 2016... avant que Pierre Gattaz, le patron du MEDEF, qui a, semble-t-il compris le signal — émis par qui ? —, ne réclame dès le lendemain leur réouverture en janvier !

    La réforme des professions réglementées, contenue dans le projet de loi sur "l’activité et l’égalité des chances économiques" présenté devant le conseil des ministres mercredi 15 octobre ? Si le même Macron assume la prétendue nécessité d’une réforme de fond, lancée par un Montebourg faux-nez, en cette affaire, des fonds de pension américains et du droit anglo-saxon — seuls bénéficiaires à terme d’une déréglementation réclamée par Bruxelles —, on commence à s’apercevoir qu’elle pourrait coûter plus cher aux Français qu’elle ne leur rapporterait ! Du reste, Macron n’a pas repris le chiffre de 6 milliards d’euros d’économies avancé démagogiquement par son prédécesseur. L’essentiel ? Détruite les structures de la société française, comme pour le travail du dimanche.

    Quant au BTP, ce ne sont pas moins de 60 000 emplois que la baisse des dotations des collectivités, qui se traduira par une baisse équivalente de l’investissement public, risque de faire perdre au secteur.

    S’il est vrai que, comme le prétend l’adage, quand le bâtiment va, tout va, alors, on est en droit de se demander si le gouvernement passera l’automne, lequel, rappelons-le, se termine avec la discussion budgétaire, juste avant Noël. Le gouvernement est pris en tenaille entre une majorité de plus en plus incertaine, ses propres contradictions internes dont sa communication contre-productive n’est que le reflet, des institutions européennes qui feront payer cher à la France la nomination de Moscovici au poste de commissaire européen à l’économie, et une Angela Merkel d’autant plus rigide qu’elle voit s’amonceler sur son Reich des jours mauvais dont sa politique prétendument vertueuse n’est pas totalement innocente — défaut d’investissement, vieillissement des infrastructures, démographie en berne. Le gouvernement donne en tout cas, à la veille du débat budgétaire, des signes d’un épuisement précoce.

    En revanche, plus grave pour le pays, il faut compter avec de possibles répercussions sur notre sol de la politique extérieure française : des attentats ne sont pas à écarter. Et si le gouvernement pourrait tenter, dans un premier temps, de resserrer autour de lui les Français en jouant sur la corde de l’unité nationale — un comble pour des européistes et communautaristes forcenés ! —, très vite nos compatriotes pourraient s’interroger à la fois sur la cohérence d’une politique initiée par Sarkozy et continuée par Hollande, qui a consisté à favoriser et à armer l’islamisme, notamment en Libye et en Syrie, pour le combattre en Irak, et sur la capacité de la République à prévenir de telles attaques au sein du pré carré.

    REDRESSEMENT DES ESPRITS

    Un pré carré qui n’a plus aucun sens pour ceux qui nous dirigent mais qui semble, au contraire, recouvrer une nouvelle jeunesse auprès d’un nombre croissant de Français. Des signes épars mais encourageants d’un redressement des esprits ? Le retour de Sarkozy manifestement moins attendu des Français que ne le croyait vaniteusement l’intéressé ; ou le succès non démenti de la Manif pour tous du 5 octobre dernier ; ou encore, le fait que Le Suicide français, le nouvel essai d’Eric Zemmour, diabolisé par les chiens de garde du système, dépasse les chiffres de vente quotidienne du brûlot politico-impudique de Valérie Trierweiler. Les Français sont de plus en plus nombreux à rejeter la chape de plomb d’un politiquement correct qui n’a eu de cesse de les anesthésier pour mieux les asservir et les faire disparaître comme nation. A nous de faire que leur réveil ne soit pas récupéré par les imposteurs d’une droite parlementaire politiquement et moralement complice de la gauche. Quand elle ne l’a pas précédé dans la voie du reniement de la France.  u

    François Marcilhac

    * Source : L’AF 2000 n° 2895 (Editorial)

     

  • Vu sur la page FB de nos amis de l'Action française Toulon : L'arnaque de l'énergie photovoltaïque.

    Jean-Marc Jancovici démontre à des sénateurs l'arnaque de l'énergie photovoltaïque.

    La quasi totalité des panneaux photovoltaïques posés en France sont de fabrication chinoise. Leur recyclage est impossible, leur durée de vie très courte et les matériaux qu'ils contiennent trop polluants.