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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Une soirée formation/militantisme réussie avec nos amis de l'Action française Toulon

    Hier soir nous  nous sommes retrouvés pour notre Cercle de formation Pierre Debray; nous avons abordé un élément essentiel de la doctrine d'Action française : la Politique narturelle.  Questionnements et réactions étaient au rendez-vous.
    "Le petit poussin brise sa coquille et se met à courir. Peu de choses lui manque pour crier : « Je suis libre … » Mais le petit homme ?..."
    Si vous souhaitez participer, nous vous invitons à nous contacter par mail toulon@actionfrancaise.net ou en MP.
     
    Je vous remercie chaleureusement, chers amis Toulonnais, de m'avoir demandé d'être parmi vous pour évoquer ce sujet fondamental. L'échange fut en effet si important (et si intéressant) que je n'ai pu "prononcer" que la première des trois parties que j'avais préparées; il vous faudra donc me supporter encore deux fois ! Tant mieux pour les amis qui n'étaient pas là hier, retenus par des empêchements de dernière minute : ils auront ainsi droit à une sorte de séance de rattrapage avec le rappel de cette première partie, la prochaine fois !
    Encore merci,
    François Davin, Blogmestre de lafauteraousseau
    lafautearousseau
  • Sur le site officiel de l'Action française, lâcheté et autoritarisme, l’éditorial de François Marcilhac.

    Malheureusement, les légitimes critiques que le Prince a formulées le 24 avril dernier à l’encontre de l’action gouvernementale n’ont pas été prises en compte par celui-ci [1]. Ces critiques constituaient pourtant autant de fanaux dans l’épais brouillard qui ressort de la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir depuis deux mois. Oui, le Prince a eu raison de noter « un clair manque de stratégie générale. J’ai le sentiment qu’aucune anticipation n’est de mise et que le gouvernement navigue à vue. » Le Premier ministre aurait dû — il en avait le temps — faire preuve de modestie en se laissant guider par les propos du Prince pour dresser son cap et présenter, le 28 avril, son plan de déconfinement, plutôt que de s’enfermer dans sa morgue.

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    Une morgue à laquelle Macron nous avait davantage habitués que son premier ministre. En tout cas, entendre Edouard Philippe proférer les paroles suivantes devant les députés ne manque pas de sel  : «  J’ai été frappé, depuis le début de cette crise, par le nombre de commentateurs ayant une vision parfaitement claire de ce qu’il aurait fallu faire selon eux à chaque instant. La modernité les a souvent fait passer du café du commerce à certains plateaux de télévision. Les courbes d’audience y gagnent ce que la convivialité des bistrots y perd, mais cela ne grandit pas, je le crains, le débat public.  » Outre que la convivialité des bistrots a beaucoup perdu depuis la mi-mars pour une raison bien plus importante, dont celle relevée par le Premier ministre n’est que la conséquence, comment en rajouter sur les «  gens qui ne sont rien  » ou les «  Jojo gilet jaune  » de son supérieur  hiérarchique, quand on a été incapable, depuis le début de la crise, d’inspirer la confiance des Français, et qu’on les a pris ouvertement pour des imbéciles, notamment par l’intermédiaire d’une porte-parole dont les propos auraient fait rougir de honte le dernier des piliers de café, si du moins les cafés étaient encore ouverts  ? Oui, le Prince a eu raison de noter qu’ «  au-delà même de la nature hasardeuse des décisions successives, la manière dont elles sont annoncées relève plus de la communication que de l’information  », ajoutant, notamment à propos de l’affaire des masques : «  Comment ne pas comprendre que de nombreux Français se sentent manipulés  »  ? 

    L’exercice auquel s’est livré Edouard Philippe ce mardi n’aura convaincu personne. Trop de palinodies, trop de contradictions, trop de mépris auront marqué l’action gouvernementale depuis un mois et demi pour que les Français puissent encore faire «  confiance  » dans l’équipe actuelle. Et c’est sur ce mot que le Premier ministre a osé terminer son allocution ! Comme s’il avait encore l’autorité morale pour proclamer sa confiance dans le civisme des Français, un civisme que le catastrophique ministre de l’intérieur aura mis à rude épreuve, notamment par ses consignes de laxisme dans les quartiers dits «  sensibles  » (manifestement au sens n° 6 du Littré  : «  qui cause un impression pénible  »), quartiers devenus ouvertement, voire officiellement des zones de non-droit. «  Au même moment, note encore le Prince, dans des lieux respectueux de la loi et écartés des principaux foyers de contamination, on a pu relever ce qui s’apparente à des atteintes à nos libertés fondamentales, à travers certains contrôles policiers vétilleux… » 

    Que retenir des propos du premier ministre, outre le détail des mesures ? Le refus, pour le pouvoir, d’assumer pleinement ses responsabilités vis-à-vis des familles comme des responsables locaux, sociaux et économiques. Car, si on ne peut qu’être satisfait de sa volonté de discuter de l’application et de l’adaptation des mesures avec les responsables locaux, après avoir fait preuve d’autoritarisme, notamment sur la gestion des masques, pour dissimuler sa criminelle incurie, comment ne pas noter aussi que sa volonté de gérer au cas par cas, d’être au plus près du terrain, lui permet surtout de se défausser de ses responsabilités ? Ainsi, en matière d’éducation, s’agissant du primaire et du secondaire, sur les maires et le personnel enseignant au sens large. Une tradition de lâcheté, il est vrai : s’agissant du voile islamique, depuis des décennies, nos ministres de l’éducation nationale successifs ont le plus souvent laissé se dépatouiller tout seuls les principaux et les proviseurs avec les provocateurs. Le gouvernement se défausse aussi sur les parents (le «  volontariat  » pour le retour à l’école), partagés entre les desiderata de leur employeur et le légitime souci de préserver la santé de leurs enfants. Le Prince a raison de parler d’ «  une certaine philosophie “utilitariste” guid[ant] plusieurs décisions  »,  notamment  «  le fait de renvoyer les enfants à l’école, au risque d’une seconde vague, pour remettre les “utiles” au travail.  »

    Autre exemple de lâcheté gouvernementale  : refuser de rendre le masque obligatoire dans les commerces, alors qu’il le sera dans les transports. Il appartiendra dès lors aux commerçants de s’occuper de la gestion, qui se révélera souvent incertaine et douloureuse, de la prévention sanitaire. Sans avoir l’autorité pour cela, ni, surtout, sans pouvoir se fonder sur des textes précis, ils devront faire la police, en devant concilier les réactions divergentes, parfois agressives, des clients. Les grandes surfaces auront les moyens d’imposer une politique sanitaire, notamment par l’emploi de vigiles. Il n’en sera pas de même des petites commerces, déjà fragilisés par une fermeture de deux mois ! Le premier ministre a déclaré ce mardi qu’il y aurait «  assez de masques dans le pays pour faire face aux besoins à partir du 11 mai  »  : nous le croyons d’autant plus volontiers qu’il définit les besoins au plus juste ! Quant à la sécurité sanitaire dans les transports, on voit à quel point le pays légal est déconnecté du pays réel… en ne prenant jamais le métro ! On aimerait voir Edouard Philippe, avec toute sa morgue, faire appliquer la distanciation sociale et autres gestes barrières aux heures d’affluence  ! Quant à imposer qu’on ne s’assoie qu’un siège sur deux… Les syndicats de conducteurs s’interrogent  : on les comprend  !

    Oui, c’est bien le manque de courage qui caractérise encore l’exécutif, lequel s’accompagne toujours d’autoritarisme. Notons ainsi l’atteinte frontale à la liberté religieuse : en ne prévoyant un retour à la messe publique que le 2 juin, Macron et Philippe avouent qu’ils instrumentalisent l’épidémie pour priver les chrétiens, après Pâques, d’Ascension et de Pentecôte… Les évêques ont réagi : rappelant que «  la liberté de culte est un élément constitutif de la vie démocratique  » — nous dirions plus simplement que la liberté de culte est une liberté non négociable —, ils ont remarqué avec raison  : «  Nous voyons mal comment la pratique ordinaire de la messe favorise la propagation du virus et gène le respect des gestes barrières plus que bien des activités qui reprendront bientôt. La dimension spirituelle et religieuse de l’être humain contribue, nous en sommes persuadés, à la paix des cœurs, à la force dans l’épreuve, à la fraternité entre les personnes, et à toute la vie sociale.  » Mais l’exécutif n’en aura certainement pas cure… Et il n’est même pas certain que l’électorat catholique saura s’en souvenir en 2022  !

    Quant au recul provisoire sur le traçage numérique — il aurait dû faire l’objet du débat ce même 28 avril —, il ne laisse pas d’inquiéter, d’autant que le pouvoir semble prévoir, pour accompagner sa mise en place, la création d’une milice sanitaire dont on voudrait être certain que son existence sera provisoire et qu’elle aura pour seul objet la santé des Français. Le saurons-nous dès samedi, où le projet de loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire de deux mois, jusqu’au 24 juillet, sera présenté en Conseil des ministres avant d’être examiné la semaine prochaine au Parlement ? Dans un courrier adressé dimanche aux députés de La République en marche, le président du groupe, Gilles Le Gendre, avait souligné que ce projet de loi contiendrait «  aussi les dispositions d’ordre législatif indispensables à la mise en œuvre du plan de déconfinement  » qu’a dévoilé mardi après-midi Edouard Philippe à l’Assemblée. Méfiance, donc  ! Les mauvaises surprises sont certainement loin d’être finies.

    Oui, comme le souligne cruellement le Prince  : «  Il est temps que nos gouvernants prennent conscience de ce qui est leur responsabilité : le service de la France et des Français.  »

    François Marcilhac

    En Post scirptum

    Le communiqué du comte de Paris

    A l’heure où nous écrivions, nous ne connaissions pas encore les trois tweets que le Prince a publiés après la déclaration du premier ministre. Nous les livrons à nos lecteurs.

    « La liberté de culte est une liberté fondamentale de notre pays. Laissons, comme le propose Jean-Christophe Fromantin les maires et les responsables religieux s’entendre de manière raisonnable sur le sujet.

    Tout le monde s’accorde pour un retour à la normale de façon progressive, mais pas de façon partiale comme proposé par le gouvernement hier.  Tout ce qui ajoute de l’humain à l’Homme et qui fait appel à notre responsabilité nous reste interdit (culte, culture, cafés, …).

    C’est contre la maladie qu’il faut se battre et non contre les hommes. Prenons garde à ne pas céder à une infantilisation digne des régimes autoritaires.  »

    Ils se suffisent évidemment à eux-mêmes.

  • Sur le site officiel de l'Action française, Dieu, que la pandémie est jolie, l’éditorial de François Marcilhac.

    LE JOUR D’APRÈS est un de ces films américains, mêlant, comme souvent, catastrophe et science-fiction, l’avenir, surtout inventé, n’étant plus depuis longtemps aux jours radieux. Le film est de 2004. Il avait été assez amusant, en 2007, de voir Sarkozy qui, pourtant, devait s’y connaître en films américains, reprendre le titre comme slogan de campagne. Car ce «  jour d’après  » décrit un monde «  d’après  » bouleversé, anéanti. Que le climat soit responsable, en grande partie, de cette destruction, ne fait que rendre le film toujours plus actuel, du moins auprès d’un certain public. Macron, renouant avec le progressisme, avait, lui, préféré parler, en 2017, de «  nouveau monde  ». Était-ce plus judicieux ?

    françois marcilhac.jpgCar ce « nouveau monde  » pouvait, comme le «  jour d’après  » sarkozyste, se retourner contre son auteur, ce « nouveau monde  » se voulant meilleur, voire le meilleur des mondes…(d’Huxley) Et si le  «  jour d’après  », en raison du coronavirus, réalisait une synthèse réussie avec un autre ouvrage d’anticipation  : 1984…  : l’instauration du meilleur des mondes supposant celle d’un État totalitaire… ?

    Nous ne sommes d’ailleurs pas le premier à faire remarquer que la limite de 100 kilomètres autour de chez soi pour circuler, prévue par le gouvernement, est tirée du roman de George Orwell… Nous ferons également remarquer que le premier texte législatif, en quelque sorte ordinaire, c’est-à-dire qui ne soit plus lié à la pandémie, sur laquelle l’Assemblée se penchera, cette semaine, dans un retour progressif à la normale, est la lecture définitive de la proposition de loi de la macronienne Laetitia Avia visant à lutter contre les contenus haineux sur Internet, texte qui est à lui seul …un contenu haineux contre la liberté d’expression.

    Et pourtant, nous n’en sommes pas encore au jour d’après. Le gouvernement nous l’a assez répété  : le retour à la normale n’est pas pour sitôt et sa date, encore inconnue, pourrait même être repoussée si nous ne sommes pas sages. Et si, justement, la nouvelle normalité était ce que nous vivons d’ores et déjà  ? Et si le gouvernement, comme il l’a fait pour le terrorisme dès 2017, faisait de l’état d’exception la nouvelle norme ? Et si, s’appuyant sur le sentiment de peur, il en profitait pour brider toujours davantage les libertés publiques ?

    Le comte de Paris, dans son premier journal de bord du dé confinement est la seule voix autorisée à s’en inquiéter, peut-être parce qu’il appartient à une longue lignée dont la préoccupation constante fut d’assurer aux Français en même temps — redonnons à cette expression galvaudée toute sa noblesse —, justice, liberté et sécurité. «  Notre système, note-t-il, s’est appuyé sur la coercition (sommes-nous tous des criminels en puissance  ?) plutôt que sur la responsabilité des personnes ou des corps intermédiaires, avec un contrôle quasi inexistant du Parlement et des ministres adeptes du “faites ce que je dis et non ce que je fais”  ! Nos institutions, par l’absence de tout principe supérieur, poussent chacun à se défausser de sa responsabilité sur d’autres, ou sur des sciences qui sont par définition inexactes. 

    Ce qui m’inquiète encore plus, c’est que je n’ai vu ni entendu quasiment aucun homme politique évoquer cette question des libertés et droits fondamentaux. Si personne ne les défend, pourquoi ceux qui les restreignent se gêneraient-ils  ? Pourquoi n’envisageraient-ils pas demain un état d’urgence environnemental, social, etc.  ? Cette crise a de toute façon déjà changé le sens des mots, puisque jusqu’à maintenant l’état d’urgence n’était employé qu’en temps de guerre alors que nous ne sommes pas en guerre  !  »

    Oui, le sens des mots est changé : on sait même que ce changement est une des bases du système totalitaire anticipé dans 1984. Et malheureusement, cela n’a pas commencé avec le coronavirus, ni même avec Macron. Sur le plan sociétal, comme on dit désormais, le sens des mots a changé depuis plus longtemps encore. Ainsi du mariage dès 2013…

    Il est un fait, en tout cas  : le gouvernement n’a pas chômé depuis deux mois. Qu’il s’agisse de la privatisation accélérée de la Poste ou de l’Office nationale des forêts, de l’aggravation du libre-échange aux dépens notamment de nos agriculteurs, dans le cadre d’un traité européen avec le Mexique, de l’ouverture par l’UE de négociations avec la Macédoine et l’Albanie, de la subvention par l’argent de nos impôts d’entreprises françaises établies dans les paradis fiscaux au prétexte de la pandémie (la liste est loin d’être exhaustive)  : le gouvernement a travaillé, agissant par lui-même ou avalisant ce que l’UE décidait, prenant bien soin, comme à l’accoutumée, que ce soit au détriment des Français, au détriment de l’intérêt national.

    Les discours n’y feront rien : seuls comptent les actes. Nous avons dit dans un précédent éditorial ce qu’il fallait penser de la souveraineté européenne, concept creux ou monstrueux, selon qu’on l’envisage. Dieu, que la pandémie est jolie  ! Voilà ce que doit penser un gouvernement qui, détournant depuis deux mois, grâce à des médias d’une servilité exemplaire, l’attention des Français de sa politique générale, en profite pour l’aggraver à petits traits, sans qu’on y prenne garde, tout en faisant adopter des législations d’exception qui laisseront des traces. Le pire est que cela se fait avec la complicité de Français apeurés ou qui croient encore que le pouvoir est au service de l’intérêt général, ou ne le croient plus, mais accélèrent le mouvement avec cynisme. Des médecins sont prêts à violer le secret médical auprès de l’Etat sans garantie aucune denon-réutilisation et de destruction des données une fois la pandémie devenue un mauvais souvenir — mais on nous fait bien comprendre qu’il faudra «  vivre longtemps avec  », comme on nous l’a déjà dit pour le terrorisme  ; des opérateurs numériques, dont on sait le peu d’appétence pour la liberté réelle et le goût prononcé pour la bien-pensance généralisée, s’apprêtent à aider le pouvoir dans son flicage généralisé de la population, entre deux «  trackings  » de discours haineux sur les réseaux sociaux  ; les banques et Bercy, dans un ensemble émouvant, espèrent quant à eux que la promotion «  sanitaire  » du paiement par carte bancaire finira de convaincre les Français que les espèces, et, surtout, la non-traçabilité des achats et la maîtrise de ses comptes bancaires,  bref sa vie privée et la garantie de son avenir, ce n’est pas seulement ringard, c’est surtout dangereux pour la santé… Petit à petit, le pouvoir et l’ensemble du pays légal redessinent la figure du bon citoyen, du citoyen vertueux, du bon Troglodyte… Qui ne se souvient que, dans un de ces premiers textes totalitaires de notre philosophie politique, Montesquieu justifiait qu’on traitât «  comme des bêtes  » ceux qui ne se conformaient pas au modèle dont il avait lui-même dessiné les contours ? A quand la mise dans des réserves de sauvages des mauvais Troglodytes ? La synthèse de 1984 et du Meilleur des mondes… Sommes-nous déjà au Jour d’après  ?

    François Marcilhac

  • Communiqué de l'Action française Bordeaux : Sauvons l'église Saint-Jacques.

    Bordeaux, dimanche 31 Mai 2020,
    A l’attention du service politique.

    Ce matin des militants de l’Action française-Bordeaux se sont rendus devant l’hôtel de ville et devant l’ancienne église pour interpeller les Bordelais sur les risques pesant sur un élément méconnu du patrimoine bordelais.

    Alors que la préservation du patrimoine est une grande préoccupation des Français, l’église Saint-Jacques de Bordeaux court un grave danger. Située au 10 rue du Mirail à Bordeaux, cette église fut fondée il y a maintenant 900 ans le 1er Mars 1120. C'était une étape du célèbre pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Abandonnée par les pouvoirs publics, sa transmission aux générations futures est grandement en péril.

    Aujourd’hui, l’église est réduite à un garage pour voitures, chose inadmissible pour un tel fruit de notre civilisation. Malgré sa présence et son importance sur le chemin de Compostelle, malgré sa grande valeur historique, ce monument n’a jamais été intégré au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il ne bénéficie donc pas de la protection due à un tel édifice et malgré les nobles efforts de sa propriétaire pour maintenir son intégrité, l’église fait face à un risque de disparition.

    Cette situation n’est plus tenable : il faut agir afin que ce monument ne soit pas évincé de notre riche patrimoine bordelais.

    L’Action Française, consciente des difficultés économiques que rencontrent et que vont rencontrer les Bordelais, s'adresse donc à monsieur Nicolas Florian, en lui demandant de bien vouloir faire tout son possible pour sauver cette église, symbole de notre civilisation et de notre culture.

    La section bordelaise de l’Action française.

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  • Communique de l'Action française Clermont-Ferrand : Soutien aux producteurs locaux !

    Car nous estimons qu’au-delà de la formation physique il y a la formation intellectuelle.
    Car nous pensons que théoriser c’est bien mais militer ardemment pour la défense de nos convictions c’est mieux.
    Car notre combat politique est un combat de tous les jours contre la République qui assassine les Français.
    Car le peuple de France n’est pas une masse informe à la botte du Capital mais riche de ses différences régionales qui font notre véritable diversité.
    Car la France c’est avant tout des Bretons, Auvergnats, Normands, Alsaciens et bien d’autres cultures locales avant d’être une terre d’accueil pour les premiers venus.
    Car la défense de ces différences passe par notre enracinement au quotidien et la connaissance des régions dont nous sommes issus.
    Alors Toi français, patriote, royaliste, régionaliste rend hommage à ta terre, mangez local et cet été privilégiez le tourisme de proximité !
    Et face à ce régime autodestructeur qui tue nos agriculteurs et vend ses joyaux au plus offrant, crions haut et fort :

    VIVE L’AUVERGNE, VIVE LA FRANCE !

  • Communiqué de l'Action française Toulouse : Hommage à Sainte Jeanne d'Arc.

    Il y a bientôt 600 ans, une jeune fille pétrie d'humilité, prit à bras le corps sa destiné. De Domrémy à Chinon, de Reims à Rouen, son dévouement fut entier à la France.

    L'an 1429, la nation s'est unie derrière une bannière : prophétesse pour les uns, envoyée de Dieu pour les autres. Tous se sont accordés, même ses ennemis confondus malgré eux dans leur orgueil, à donner la place qui revenait à cette jeune femme.

    Car Jeanne incarne une idée, Jeanne incarne une force de caractère, Jeanne incarne un sang qui ne faiblit pas, qui ne plie pas le genoux, même lorsque tout semble perdu, même lorsque les élites ont trahi.

    Jeanne, c'est une humilité et une fidélité, mais c'est aussi une unité. Une unité qui nous fait aujourd'hui cruellement défaut. Cette unité d'une nation derrière une figure que les républicains de tous bords s'échinent à rendre factice ou tyrannique. Cette unité d'un peuple qui, derrière un roi, a le pouvoir d'élever sa patrie jusqu'aux Cieux. L'an 1429, le soleil a reprit à luire sur les terres de France. Ces terres sont les mêmes. Son peuple demeure toujours. Il n'a simplement qu'à relever la tête.

    Sainte Jeanne d'Arc nous a montré l'exemple, il ne tient qu'à nous de suivre ce chemin !
    Action Française - Toulouse

  • Mauranne et Laura assassinées, c'était il y a deux ans... : sur la page facebook de l'Action française Toulon...

    Souvenons-nous, il y a maintenant deux ans jour pour jour, Mauranne et Laura mouraient devant la gare Saint Charles à Marseille dans un attentat perpétré par un tunisien en situation irrégulière.

    Les parents de Mauranne ont déposé une requête pour engager la responsabilité de l'État.

    Castaner avait déclaré : "On aurait pu éviter l'assassinat (des deux jeunes filles) s'il n'y avait pas eu de dysfonctionnements graves. Sur la base de ces constats, il faut modifier les règles."

    "En clinique, l’absence de réaction, c’est la mort. Il en est de même en politique." (Léon Daudet)

     

    https://www.laprovence.com/article/edition-marseille/5698984/attentat-gare-saint-charles-letat-doit-reconnaitre-sa-responsabilite.html?fbclid=IwAR3ZifsJcFkWFY02CrRXrWXCrNiCqfMBitKKEmQeCEEVxsIUNXDlfgbxleE

  • Partout en France l'Action française honore les morts de la Grande Guerre...

    Sonnerie "Aux Morts !" : Musique De La Garde Republicaine - Aux Morts.mp3

     

    Le 11 Novembre est traditionnellement la date d’une double commémoration pour l’Action française.

    D’une part, elle marque le souvenir de l’armistice du 11 novembre 1918 et des camelots tombés au champ d’honneur lors de la Grande Guerre.

    D’autre part, elle est l’occasion d’un hommage aux lycéens et aux étudiants du 11 novembre 1940 qui défièrent l’envahisseur allemand en défilant malgré l’interdit de célébrer la victoire de 1918.

    Entrainés par la Corpo de Droit (alors sous influence royaliste), plusieurs milliers de manifestants (parmi lesquels se trouvaient Alain Griotteray ou Roger Nimier) marchèrent sur la place de l’Étoile, convergeant vers la tombe du Soldat Inconnu. 155 d’entre eux furent incarcérés.

    Honneur à tous les soldats de la Première Guerre Mondiale morts pour que la France reste la France.

    Il se sont battus pour la défendre, nous nous battrons pour la reprendre !

    Partout aujourd'hui nos militants leur rendent hommage.

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    Ce Lundi 11 Novembre, la Fédération d’Ile de France de l’Action française invite les Parisiens à se rassembler à 19h30 devant la plaque commémorative située en haut des Champs-Élysées (côté pair) pour célébrer la mémoire de ces premiers résistants.

    La voix des anciens, la voie de la résistance !

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    Lundi 11 Novembre, l'Action française Bordeaux rendra hommage à tous ceux qui se sont sacrifiés pour la France.

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    Lundi 11 Novembre, l'Action Française Toulouse rendra hommage aux soldats morts pour la France afin de ne jamais oublier ceux qui ont combattu pour que notre patrie reste libre.

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    Lundi 11 Novembre dès 18h30, place Carnot, l'Action française Lyon au coté de leurs amis serbes vous attendent nombreux afin de célébrer l'amitié franco-serbe en commémorant nos ancètres lors de l'hommage aux morts de 14-18.

    A cette occasion, une messe, un souvenir du poilu (rassemblement avec flambeaux) et un banquet (PAF : 10 ) auront lieu.

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    Lundi 11 Novembre à 20h00, l'Action Française Clermont Ferrand rendra hommage à tous ceux qui sont tombés pour préserver notre France.

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    Et à Marseille, toujours fidèles au poste, le drapeau historique de la Section (ci dessus) et le non moins historique de l'Association Marius Plateau (ci dessous)...

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  • Sur CNews : les sept minutes où Eric Zemmour défend l'Action française face à Bernard Henry Lévy...


     

    Nous avons passé dès mardi matin l'intégralité du débat passionnant de la veille au soir, sur CNews, entre Eric Zemmour et BHL : voici, extraites de ce long débat, les sept minutes où Zemmour défend l'Action française, parle de Bainville, remet les idées à l'endroit et la vérité à sa place...

      


    (Vidéo complète)

  • Action Française • Honneur aux jeunes qui savent se souvenir du sacrifice de nos héros !

     

    Pour tous nos Morts.

    Hier, les militants de l'Action française rendaient hommage simultanément dans leurs villes respectives aux morts de la Grande Guerre.

    A Marseille, une banderole a été déployée place Castellane et une gerbe déposée devant le monument aux morts de la Ville.

    Aux défenseurs de la Patrie, les jeunes nationalistes reconnaissants.

    Quelques photos valent mieux qu'un long discours ...

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  • Réunion de rentrée de la section d'Action Française de Toulon, ce samedi 22 septembre

     

    La jeune section d'Action Française de Toulon vient d'annoncer sa prochaine réunion de rentrée en ces termes pleins d'allant qui devraient mobiliser jeunes et anciens :  

    C'est avec joie et enthousiasme que l'Action Française de Toulon vous convie à sa première rentrée.

    C'est à cette occasion que sera lancé officiellement notre cercle de formation, Pierre DEBRAY. Nous vous attendons nombreux Toulonnais !

    Comme le dit la devise de notre ville : « Concordia parva crescunt », « Par la concorde les petites choses deviennent grandes » !   ■ 

    Plus de détails suivront.
    En attendant, contact : 
    toulon@actionfrancaise.net

    Photo 

    Mercredi dernier, l'AF Toulon et Marseille distribuaient des flyers pour annoncer cette rentrée ! Bravo !

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  • Retour en images sur la commémoration faite par l'Action française Limoges pour les 100 ans de la canonisation de Jeanne

    La commémoration fut ouverte par un premier discours rappelant à quel prix les camelots d'AF imposèrent la fête patriotique de Sainte Jeanne à la république.

    Suite à cela, une gerbe de fleurs fut déposée et une minute de silence respectée.

    Un deuxième discours fut donné, annonçant l'engagement de l'AF Limoges à propos de l'entretien de cette statue de Jeanne sculptée par Maxime Real Del Sartre.

    Une remise de plaque blanche fut exécuté, décorant un militant méritant.

    Et pour clôturer la cérémonie, le chant de la royale fut entonné.

    La France est à nous, la France est à Jeanne d'Arc !

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  • Affaire Augustin : la réponse cinglante de l’Action française, par Marc Eynaud.

    1A.jpgOn a parfois l’impression qu’il est devenu plus criminel de nommer certains maux que de les commettre…

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Le mouvement nationaliste et royaliste fondé en 1898 a publié un communiqué lapidaire, suite aux torrents de boue qui se sont déversés sur lui et sur Augustin. 

    2.jpeg« Alors qu’Augustin faisait remarquer à des jeunes gens qu’ils étaient en train d’importuner des jeunes filles, l’un au moins de ces jeunes gens a décidé de l’attaquer par derrière en lui portant un coup à la tête. Puis Augustin a été ramassé, plus tard, la mâchoire brisée, les dents cassées et les cervicales déplacées », rappelle le mouvement, dans son communiqué. Une remise au point qui fait écho aux 21 jours d’ITT prescrits au jeune homme.

    Mais l’ ne s’arrête pas là. « Comme Augustin est blanc, français et de droite, comme ses agresseurs sont maghrébins (comme les jeunes filles à qui Augustin voulait venir en aide, sans attendre une hypothétique intervention d’une hypothétique police de proximité tentant hypothétiquement de faire respecter les chimériques lois de ), certains mettent en doute le fait qu’Augustin soit à l’hôpital, d’autres lui dénient le droit d’intervenir, d’autres enfin considèrent que frapper un militant de droite est en soi une bonne chose. »

    Puis les rédacteurs de ce communiqué ont répondu sèchement aux accusations d’instrumentalisation : « Il est légitime dans la France de 2020, pour une partie des militants et de la presse de gauche, de s’indigner que les amis et la famille d’Augustin – la « fachosphère », donc – aient l’air émus qu’Augustin se soit fait violemment tabasser par des voyous. Il est légitime, dans la France de M. Macron qui appelle « incivilités » des meurtres, de considérer qu’un militant de droite n’est bon qu’à se faire casser la gueule, surtout quand il joue civilement les cavaliers servants auprès de jeunes filles dont le sort est de moins en moins enviable, si l’on en croit les études et les faits divers. Il est légitime, dans la France rêvée de M. Macron, que le vivre ensemble se traduise par une violence omniprésente, et d’abord une violence politique faite à tous ceux dont on refuse de considérer les souffrances. »

    Pour rappel, l’agression du jeune Augustin a fait l’objet d’une campagne scandaleuse sur les réseaux sociaux. Où les accusations de récupération politique ont davantage eu d’écho que l’agression en elle-même. Certains, comme le journaliste « spécialisé dans l’extrême droite » Pierre Plottu, ont carrément insinué qu’il ne s’agissait que d’un prétexte de buzz.

    Augustin, Adrien Perez, Marin et Ange ne sont pas des influenceurs en quête de buzz. Ils sont morts ou blessés, victimes du laxisme et de la racaille. Victimes de maux dont on a parfois l’impression qu’il est devenu plus criminel de nommer que de commettre.

     

    Marc Eynaud

    Journaliste