UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : qu'est ce que le système ?

  • Noël tragique

     

    par Hilaire de Crémiers

     

    2771589182.jpgBerlin est en deuil. Un lourd camion pris en main par un djihadiste a semé la mort le 19 décembre dernier dans le plus fameux marché de Noël de la ville. Un attentat islamiste qui est en lui-même un signe évident, signé Daech, revendiqué comme tel.

    Oui, l’acte est conçu, voulu en lui-même. Comme en France, à Nice, le jour du 14 juillet. Comme toutes les fois précédentes. Les circonlocutions ne servent plus à rien. L’ennemi est connu. Il fait la guerre comme il l’a toujours faite, y compris et surtout sur ses propres territoires – les pauvres gens, du Proche-Orient au Maghreb et au Sahel, en savent quelque chose – par la terreur, l’arme des faibles qui jouent aux forts.

    L’ambassadeur de Russie à Ankara, Andreï Karlov, le même jour a été assassiné à bout portant au cri de « Allahou Akbar » et « N’oubliez pas Alep ». L’assassinat est pareillement signé. En dépit des discours larmoyants et lénifiants des Occidentaux, la Russie menait la guerre où il fallait pour liquider une poche terroriste et assainir le nord-ouest de la Syrie. Toutes les composantes de l’islamisme terroriste représentent le même danger, d’Al Qaida, al-Nosra, Fatah al-Cham et autres à Daech.

    Elles pratiquent, toutes, la même stratégie de l’enfermement des civils dans leurs bastions. Partout les mêmes tactiques en Asie comme en Afrique : l’utilisation des gosses comme bombes vivantes, des femmes comme esclaves sexuelles ou comme instruments guerriers et des populations tantôt comme boucliers, tantôt comme champs de batailles. Il en est et sera à Mossoul, bientôt à Idlib, comme à Alep. Refuser de voir la réalité comme le font bureaucrates et politiciens de nos prétendues diplomaties et gouvernances européennes, c’est être complice actif de ces « salopards ».

    D’où les réactions. Comment ne pas être lassé, exaspéré par les commentaires indéfinis de nos commentateurs patentés aux ordres de la gouvernance officielle de la mondialisation heureuse ? Ils auront beau dire ce qu’ils veulent de Poutine, les Russes préfèreront pour leur part Poutine qui, du moins, est un chef d’État qui sait ce qu’il doit et veut faire.

    Et la même chose pour Trump : l’homme a su se choisir une équipe de fortes personnalités, hommes d’entreprise, de combat, de conviction, généraux éprouvés au feu de la guerre ; l’Amérique se sent à nouveau elle-même, grande et déterminée, comme le proclamait le slogan de campagne du nouveau président.

    Les peuples européens frémissent : ils en ont assez des gnomes qui leur dictent leur loi. Qu’est-ce que Juncker et sa commission de grands benêts qui n’ont de ruse que pour leur carrière ? Loin de faire l’Europe, ces bureaucrates et technocrates l’ont détruite, en la saccageant à l’intérieur et en l’ouvrant, désarmée, à tous les vents financiers, à toutes les compétitions sauvages et à tous les flux migratoires.

    L’Angleterre s’en est retirée pour se sauver. La Pologne qui renoue avec son passé et qui s’est publiquement et en foule vouée, le 19 décembre, au Christ-Roi (personne n’en a parlé !), ne se laissera pas anéantir. La Hongrie a décidé d’être elle-même.

    Il s’en est fallu de peu que l’Autriche reprenne son destin en main. Demain, les Pays-Bas ? Et les pays du Sud minés d’absurde démocratie qui littéralement les tue ? Et, peut-être, l’Allemagne ?

    Et la France ? Elle qui a subi déjà tant d’attentats ? Et qui est visée plus particulièrement ? Alors que tout la fragilise : une économie en berne, une agriculture sinistrée, une industrie en grave déclin, des finances publiques grevées de dettes insupportables, un système de santé au bord de la faillite, une immigration incontrôlable, des territoires hors la loi. Eh bien, ses politiciens en sont à jouer comme des gosses à celui qui aura la place, à ceux qui auront les places. Spectacle ridicule dont les honnêtes gens ne peuvent être que dégoûtés.

    Que nous réserve 2017 ? Ceux qui ont le sens de la patrie, savent bien qu’au-delà des jeux stériles et des oppositions vaines, la France n’a d’avenir comme toute nation qui se respecte, que si elle retrouve son esprit. Un Français sait quel il est ? Noël ne peut que le lui rappeler. 

    Politique magazine

  • L’âme de l’Europe

    Le pont Charles, à Prague, sur la Moldau

    par Louis-Joseph Delanglade

    [publié le 30.05.2016] 

    L’appellation « Union européenne » pourrait n’être bientôt plus qu’une simple alliance de mots, c’est-à-dire un excellent exemple d’oxymore, tant les pays semblent peu unis, tant les peuples semblent mécontents. Depuis des mois, le groupe de Visegrad (dénomination à forte connotation historique), qui réunit Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie, s’oppose résolument aux injonctions de Bruxelles et de Mme Merkel sur les migrants. Le 6 avril, les Pays-Bas ont rejeté par référendum l'accord d'association entre l’U.E. et l’Ukraine. Le 22 mai, le candidat des nationaux autrichiens a échoué d’un rien (trente mille voix) à l’élection présidentielle. Le 23 juin prochain, les Britanniques devront décider de leur maintien dans l’Union.  

    Les commentateurs patentés de la pensée politique correcte nous expliquent que les pays de l’ex-Europe de l’Est, toujours traumatisés par le joug soviétique, seraient trop sourcilleux sur leur indépendance et leur identité; que les Hollandais n’auraient été que 30% à voter; que les Autrichiens ont quand même élu celui que soutenaient tous les partis de l’extrême gauche à la droite mondialiste; et qu’en Grande-Bretagne enfin les sondages donnent le « oui » à l’Union en tête. Tout cela est vrai mais occulte l’essentiel : la vague qualifiée avec mépris et condescendance de « populiste », car jugée dangereuse pour la démocratie prétendument « représentative », monte et continuera sans doute de monter jusqu’à se transformer peut-être un jour en déferlante. 

    Le cas autrichien est exemplaire. Le Monde (22 mai) y voit «  la fin d’une ère pour les partis traditionnels ». M. Zemmour (R.T.L., 24 mai) entend sonner « le glas du clivage droite-gauche traditionnel tel qu'il s'était incarné depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ». Cette remise en cause des grands partis du système qui ne concerne pas que l’Autriche « précise les fondements économiques, géographiques, sociologiques, idéologiques de nos affrontements de demain ». Tout le monde ne fait pas preuve de la même lucidité. Ainsi M. Védrine, après avoir justement critiqué la « référence implicite aux années trente » lorsqu’il est question de populisme et admis que « le vrai problème en Europe aujourd’hui, c’est le décrochage des peuples » (France Inter, 24 mai), pense qu’« il faut parler aux 60% de déçus ». On peut s’étonner que lui, d’habitude mieux inspiré, ne comprenne pas que c’est l’Union en tant que telle qui est rejetée, l’Union en tant que négatrice de la véritable Europe, celle des mille et une diversités, celle qui n’apparaît même pas sur les billets de la monnaie commune. 

    Non, l’Union n’est pas l’Europe mais une caricature pitoyable, avant tout héritière de la CECA et de la C.E.E. Quand on entend, après tant d’autres du même tonneau, M. Moscovici, Commissaire européen, s’exprimer sur les ondes de France Inter (26 mai), on comprend vite ce qu’est, ou plutôt ce qu’a vocation à être cette Union européenne : un « euroland » fédéral et libéral, partenaire soumis des Etats-Unis d’Amérique et complètement déconnecté des réalités humaines, culturelles, religieuses et historiques de la vieille et authentique Europe. Cette Europe-là veut vivre. C’est ce que montre semaine après semaine une poussée populiste qui, malgré les inévitables excès et dérives, est l’expression de l’âme même de l’Europe.

     

  • Le prix des Impertinents contre l’hostilité médiatique : Entretien avec Jean Sévillia

    PHOab44d1a2-ad3b-11e3-ad8b-ab137d63f783-805x453.jpg

    La proclamation du prix des Impertinents 2014 aura lieu le 3 novembre.

     

     

    Vous êtes à l’origine du prix des Impertinents. Depuis combien de temps ce prix existe-t-il, et pourquoi l’avoir créé ?

    Nous avons créé le prix des Impertinents avec quelques amis, en 2009, avec une idée simple. Si la pensée dominante bénéficie du soutien du système médiatique, nombreux sont les francs-tireurs intellectuels qui sont édités sans difficulté – car il existe plus de liberté d’esprit qu’on le croit dans le monde de l’édition – mais dont les livres ont du mal à percer en raison de l’hostilité qu’ils rencontrent sur le plan médiatique.

    Le prix des Impertinents se donne, par conséquent, pour but de soutenir des auteurs et des livres dont la pensée s’inscrit à contre-courant du politiquement correct et des tabous médiatiques. En 2009, notre premier prix a couronné Voyage au bout de la révolution, de Pékin à Sochaux (Fayard), les souvenirs de Claire Brière-Blanchet, une maoïste repentie. En 2010, nous avons donné le prix à Michèle Tribalat, la courageuse démographe, pour Les Yeux grand fermés (Denoël), un essai sur l’immigration. En 2011, un an avant qu’il ne soit la cible d’une campagne de diabolisation, à l’écrivain Richard Millet pour Fatigue du sens (Éditions Pierre-Guillaume de Roux). En 2012 à Denis Tillinac, qu’on ne présente pas, pour Considérations inactuelles (Plon). Et en 2013 à Shmuel Trigano, un universitaire auteur d’un livre qui a été une vraie découverte : La Nouvelle Idéologie dominante (Éditions Hermann).

     

    Qu’est-ce qui différencie ce prix des autres prix littéraires décernés chaque année ?

    Le prix des Impertinents est parfaitement indépendant, et échappe à toutes les combines et arrière-pensées commerciales qui caractérisent trop de prix. Il a surtout valeur de symbole, puisqu’il n’est pas doté. Comment évaluerait-on, d’ailleurs, la liberté d’esprit ? Notre seule aide matérielle vient du Montparnasse 1900, une sympathique brasserie parisienne qui accueille nos débats et nous reçoit chaque année avec le lauréat pour la remise du prix. Le prix des Impertinents est surtout le reflet de la qualité de son jury, que j’ai l’honneur de présider, et qui réunit des écrivains, des essayistes et des journalistes qui ont en commun de ne pas aimer les idées toutes faites, mais qui représentent autant de personnalités diverses, dont les avis peuvent diverger sur de nombreux sujets : Christian Authier, Jean-Marc Bastière, Bruno de Cessole, Jean Clair, Gabrielle Cluzel, Louis Daufresne, Chantal Delsol, Paul-François Paoli, Rémi Soulié, François Taillandier et Éric Zemmour.

     

    Quels sont les essais que vous avez retenus cette année et sur quels critères de sélection fondez-vous votre choix ?

    Chacun des membres du jury peut proposer un ou plusieurs titres qu’il a repérés. Nos avis se recoupent souvent, mais pas toujours. Nous visons à la fois le fond et la forme, en privilégiant quelque peu le fond toutefois, puisque nous récompensons des essais et non des romans. Nous venons d’arrêter notre première sélection. Je ne peux pas la commenter, car je laisserais deviner mes préférences. Je me contenterai donc de vous en donner la liste par ordre alphabétique d’auteur : Nicolas Baverez, Lettres béninoises (Albin Michel) ; François-Xavier Bellamy, Les Déshérités (Plon) ; Christophe Guilluy, La France périphérique (Flammarion) ; Pierre de La Coste, Apocalypse du progrès (Perspectives libres) ; Gabriel Matzneff, Les Nouveaux Émiles de Gab la Rafale (Léo Scheer) ; Denis Moreau, Pour la vie ? Court traité du mariage et des séparations (Seuil) ; Philippe Nemo, Ésthétique de la liberté (PUF). Le 20 octobre, nous arrêterons une liste de trois titres. Et le 3 novembre, ce sera le vote final et la proclamation du prix.  u

     

     

    Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel.

    Source : Boulevard Voltaire

     

  • La démocratie ne peut s’appuyer sur la peur !, par Christian Vanneste.

    La démocratie libérale, cet idéal dont la France s’éloigne chaque jour davantage, repose sur des équilibres. Le premier est celui entre la liberté individuelle et la solidarité avec la communauté qui est la base politique de la démocratie, la cité hier, la nation aujourd’hui. Cela suppose d’une part que je sois maître de ma pensée, libre de l’exprimer, suffisamment indépendant de toute puissance pour le faire sans contrainte, et que ces libertés soient garanties par le droit et par l’Etat à travers la Justice. Mais cela implique d’autre part que ma liberté de choix et d’opinion vise toujours le Bien Commun de la Cité dont je suis citoyen.

    christian vanneste.jpgCe double impératif des démocraties libérales devrait évidemment exclure la possibilité d’appartenir à deux cités dont les intérêts peuvent être contradictoires, et a fortiori sanctionner durement les trahisons envers la Cité. Le droit garantit la liberté des citoyens dans l’enceinte de la Cité. Il peut aussi comprendre la possibilité de la quitter, non de la trahir. Concrètement, la double-nationalité, le refus de déchoir de leur nationalité les traîtres, la reconnaissance d’un droit quelconque pour des non-citoyens de pénétrer illégalement sur le territoire d’une démocratie, et d’y perturber la vie des citoyens sont des aberrations qui ruinent la démocratie.

    Ce système politique exige que l’individu jouisse de la première des libertés qui est la sûreté. Celle-ci a deux faces : d’abord elle correspond à la certitude que l’Etat ne pourra attenter à mes droits, et en second lieu que l’Etat protégera aussi ces droits contre les autres. Une société qui est incapable d’assurer l’ordre et la protection des citoyens est un Etat de non-droit. Une société qui pour protéger les individus suspend les droits individuels des citoyens est un Etat de police. La démocratie n’est ni la Terreur, ni la Jungle. Le véritable Etat de droit, et non celui qui avantage l’étranger au détriment du citoyen, est exactement entre les deux risques. Ceux-ci ont un seul nom : la peur, peur qu’au petit matin, le visiteur ne soit pas le laitier, mais la police ; peur que mon quartier envahi par de nouveaux venus qui y imposent leurs lois, fasse de moi un étranger chez moi, et m’oblige à « émigrer ».

    Le support de la démocratie libérale s’appelle la confiance, confiance en soi, c’est-à-dire courage, chez les citoyens comme chez les gouvernants, confiance dans les institutions les plus stables possibles, confiance en tous les détenteurs de pouvoir sous peine des plus lourdes sanctions à leur encontre, confiance dans le comportement des autres garanti par une homogénéité culturelle et morale, renforcée par une éducation stricte et des peines sévères à l’encontre des déviants, mais surtout confiance en l’avenir, le sien et aussi celui des enfants à l’intérieur de ce sas entre chaque personne et la communauté nationale, première sphère de solidarité et premier vecteur de transmission, qu’est la famille. Les premiers devoirs des politiques sont d’une part de conserver l’héritage, matériel et spirituel, d’autre part de susciter un espoir qui guide le peuple vers un avenir positif. « Garantir ses arrières et envisager l’avenir avec sérénité » sont les deux piliers psychologiques sur lesquels s’appuie le citoyen. Plus on s’éloigne de ce modèle, plus la peur remplace la confiance, plus la démocratie s’étiole et meurt.

    Or, notre propre pays passe d’une peur à l’autre, ballotté entre les inquiétudes et les angoisses, traversé par les frayeurs, envahi par la panique. Le président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace. Son espoir est évidemment d’améliorer son image. Mais plus profondément, comme Albert Camus le montrait, le risque de « La Peste » est l’un de ceux qui permettent d’aller du « chacun pour soi » à l’entraide, voire au sacrifice, de passer de l’exil au royaume, d’être solidaire plutôt que solitaire. Mais si la peur peut momentanément rassembler, elle ne peut consolider la démocratie : le pouvoir qui mobilisera contre elle s’empressera d’interdire, de contrôler, de faire reculer les libertés. Paradoxalement, l’Etat italien a du davantage restreindre les libertés de ses citoyens face aux virus qu’il ne le fait à ses frontières face à la vague migratoire. Face au terrorisme, et faute d’interdire l’entrée du pays aux islamistes, l’état d’urgence a, en France, surtout diminué les libertés publiques. Le comble de cette « politique de l’effroi » est atteint par l’idéologie soi-disant « écologique » qui ne cesse d’imposer des restrictions, des obligations, des interdictions au prétexte d’un danger planétaire imminent, qui n’est nullement prouvé.

    La démocratie libérale ne peut reposer sur la peur de la liberté. La pente entretenue par des politiciens irresponsables nous en éloigne sans que nous n’en prenions suffisamment conscience.

  • Nous rebâtirons Notre-Dame ? C’est plutôt elle qui nous rebâtira !

    Par Gabrielle Cluzel 

    2654943674.jpg

    Abandon. Il en va de l’incendie de Notre-Dame Paris comme du décès d’une grand-mère. Comme on l’a toujours connue, vaillante et debout, on a fini par la croire immortelle.

    On s’occupait à peine d’elle, la visitant distraitement de loin en loin. Et puis, soudain, on apprend, coup de tonnerre dans le ciel clair, qu’elle est en train de disparaître. On plaque tout pour aller la veiller. Comme des centaines de catholiques, je suis allée à Notre-Dame dans la nuit. Tout autour des cordons de policiers, des catholiques chantaient, récitaient le chapelet, debout ou agenouillés, les yeux rivés sur les points encore embrasés, ils ne se connaissaient pas mais ils partageaient leur écran de téléphone pour retrouver des couplets oubliés de vieux cantiques, ne s’interrompant que pour applaudir au passage des camions de pompiers. Une de ces soirées où le temps est suspendu et dont on se souvient trente ans après.

    Inquiétude. La rumeur a couru toute la soirée : avait-on eu le temps de mettre à l’abri la couronne d’épines ? Des informations contradictoires circulent. L’oncle du voisin de la belle-sœur de la cousine pense que oui, non, ne sait pas, ne sait plus.

    Cet incendie en début de Semaine sainte prend une dimension eschatologique. Si, en sus, cette relique de la Passion rapportée par Saint Louis et offerte à la vénération à cette période de l’année venait à disparaître, c’est toute notre génération qui semblerait maudite. On apprend, enfin, avec soulagement que le père Fournier, aumônier des pompiers de Paris, est allé sous bonne escorte sortir la couronne d’épines… et surtout le Saint-Sacrement. L’écrin est consumé mais le bijou est sauvé. Même le coq-reliquaire qui surplombait la flèche aurait été retrouvé.

    Interrogation. Pour tous les médias, l’origine ne fait pas un pli : accidentelle. Même le Parquet semble connaître la conclusion avant même le début de l’enquête évoquant un « incendie involontaire ». Sans doute a-t-il en sa possession des éléments que nous n’avons pas pour être aussi catégorique. Qu’il en fasse, dans ce cas, état pour rassurer les catholiques qui, eu égard aux multiples églises récemment vandalisées, sont légitimement en droit de se poser des questions.

    Honte. Pour notre temps, qui se croit si malin, si tatillon avec le sacro-saint principe de précaution, qui impose au moindre pavillon son détecteur de fumée, au plus petit hôtel ses extincteurs et son système de sécurité dûment contrôlés… et a été incapable de conserver, comme un enfant trop gâté qui ne prend pas garde à ses jouets, ce que huit siècles et demi lui avaient confié. Si la cause est bien accidentelle, il y a de lourdes responsabilités. Partagées, notamment, par des gouvernants bien négligents pour notre patrimoine. Et il se dit que ce sont les inénarrables embouteillages dans Paris qui auraient retardé l’intervention des pompiers…

    Évidence. On se grattait la tête, on dissertait à l’infini pour savoir comment recoller les morceaux d’un pays disloqué, pour faire France, comme on dit pour faire chic, à quelle « poudre de perlimpinpin » Emmanuel Macron allait accommoder les Français pour les rabibocher… C’est cette identité méprisée de fille aînée de l’Église, soudain ranimée, qui l’a doublé par la droite pour enfin rassembler. Qu’est-ce qu’être français ? C’est être meurtri par ce spectacle de Notre-Dame embrasée.

    Colère. Contre les remugles ricanants remontant des bas fonds des réseau sociaux. L’UNEF, notamment, rendra-t-elle des comptes ?

    Espérance. Les dons – modestes ou spectaculaires – affluent. On se sent pousser une âme de bâtisseur de cathédrale. C’est la matrice de notre culture, cette mission divine confiée « pour toujours » à l’Occident qu’évoquait, il y a quelques jours, sur Boulevard Voltaire, le cardinal Sarah. Lorsque les portes ont été poussées ce mardi matin, au loin, derrière les décombres, est apparue la Croix. Lumineuse, brillante, intacte. Après la Passion, la résurrection. Nous rebâtirons Notre-Dame… ou peut-être est-ce elle qui nous rebâtira. L’ami qui m’a soufflé ces mots se reconnaîtra.  

    Ecrivain, journaliste
  • Promotion bienvenue de l'apprentissage : ”On a dit à Martin...”, l'excellente pub de la Caisse d'Epargne

    La Caisse d'Epargne passe en ce moment une série d'excellentes pubs, dont une traite de l'apprentissage, à partir du cas d'un jeune, nommé ici Martin, qui veut devenir mécanicien. Tous (parents, amis, copine...) se moquent de lui et tentent de l'en dissuader, alors que, pour Martin, c'est une passion :

    Le jeune Martin veut devenir mécanicien. Mais on lui a dit plein de choses : tu plaisantes ou quoi ? qu'est-ce que tu vas devenir si tu deviens mécanicien ? Avec les notes que tu as, tu pourrais être médecin. La banque lui a répondu qu'il n'y a pas d'études supérieures et d'études inférieures.

    Rien que pour cette pub, on devrait décorer son inventeur, son concepteur : là, en effet, dans le mépris du travail manuel, et donc, son corollaire, dans le sous-développement de l'apprentissage, se trouve l'une des causes profondes de notre chômage de masse.

    Pas la seule, certes, mais l'une des principales : pour s'en convaincre, il suffit de comparer Franc et Allemagne; en Alllemagne, à la louche, il y a très largement plus du double d'apprenti qu'en France, et, toujours à la louche, le chômage en général, et celui des jeunes en particulier, est très largement inférieur.

    Pourquoi en dire des tonnes, quand une simple comparaison, d'un seul coup d'oeil, suffit ?

    apprentis 1.jpeg

    En France, le Système préfère garder les ados le plus longtemps possible à l'école puis à l'Université, d'où un nombre effarant d'élèves sortent, après de nombreuses années perdues - mais très chères pour la collectivité... - sans aucun diplôme, aucune qualification : direction, Pôle Emploi !

    Aujourd'hui, il faut le dire, l'un des cancers qui ronge notre Société s'appelle Ministère de la des-Education nationale, avec son budget qui ne cesse de monter, année après année, décennie après décennie. Un budget dont le service rendu est inversement proportionnel à ce qu'il nous coûte en impôts !

    Un mot aussi pour les parents, et la pub en parle très bien : parents, cessez de vouloir imposer votre vision à vos enfants. S'ils veulent être mécanicien, paysagiste, pâtissier... laissez-les vivre leur passion ! Mieux vaut un jeune avec un vrai métier dans les mains qu'un pseudo-élève, affalé au fond d'une classe ou d'un amphi, où il ne retire aucun bénéfice, qui perd son temps et, peu à peu, l'estime de lui-même, pour se retrouver au final sans rien...

    Il faut le dire sans cesse : IL N'Y A PAS D'ETUDES SUPERIEURES ET D'ETUDES INFERIEURES ! Il y a seulement le bonheur individuel des personnes, qu'elles trouveront grâce à l'épanouissement que leur apportera la possibilité de concrétiser leurs dons, leurs aptitudes, leurs goûts, dans le domaine qu'elles ont choisi...

    En tout cas, un grand bravo au concepteur de cette Pub de la Caisse d'Epargne, et tous nos voeux pour les ados qui vont se lancer joyeusement et courageusement dans le plus beau des métiers, celui qui leur correspond, qu'ils aiment et qu'ils ont chois...

    Aujourd'hui, l'apprentissage semble commencer - enfin ! à être mieux considéré : hausse de 7,7% dans l'ensemble, et nombre global d'apprentis atteignant les 437.000 : espérons pour eux, pour leurs familles et ceux qui les aiment, pour la France et son économie, que cette tendance va s'amplifier et devenir irréversible : c'est très certainement l'une des pistes majeures de l'amélioration de notre situation générale qui se joue là...

  • Peut-on être un écologiste de droite ?, par Frédéric Sahut.

    D’emblée, un problème se pose : le suffixe « iste » et son frère jumeau, le suffixe « isme ». Ces terminaisons de quatre lettres sont liées à des idéologies ; c’est-à-dire des systèmes de pensée dont les bigots et leurs porte-parole fanatiques, héritiers de Savonarole, étaient si convaincus des vérités de leurs dogmes qu’ils en sont devenus sectaires, aveugles et sourds mais, par malheur, en aucun cas muets.

    5.pngAinsi, on a eu le déplaisir d’entendre les déclarations tonitruantes de ces furieux édiles, évadés des asiles à Bordeaux, à Lyon… d’ici et de là. Nous n’avons pas fini de rire jaune devant l’explosion en plein vol de ces verts poussant le cri de la carotte avant de s’écraser sur le plancher des vaches.

    Un homme de droite est un pragmatique. Il voit la société et les individus tels qu’ils sont dans le monde réel – constat pas toujours très réjouissant –, hommes avec leurs qualités à promouvoir et leurs défauts à juguler, dont les excès et la folie doivent être limités par des lois et surtout des garde-fous.

    Un homme de gauche est un idéologue. Il aimerait que le monde soit à l’image de ses rêves… et si le peuple ne se montre pas à la hauteur de ses illusions, il faudra le rééduquer ou même le remplacer s’il renâcle de trop.

    Rousseau était un idéologue avant l’heure. Partant d’un postulat erroné car issu de son imagination, il a réussi à diffuser, au travers des siècles, ce qui est devenu un des piliers de l’écologie politique de la gauche radicale : le bon sauvage et son Éden, tous deux pervertis par la société. Ni plus ni moins que le mythe du paradis perdu d’Adam et Ève revisité par le projecteur des Lumières prérévolutionnaires.

    Il convient de se poser la bonne question : être un écologiste de gauche est à coup sûr un pléonasme ! Mais être un écologiste de droite serait-il un oxymore ? En ayant pris soin de mettre de côté les psychopathes, les pervers et les provocateurs cyniques et systématiques, qui pourrait dire, de bâbord ou de tribord, qu’il préfère la mort à la vie, le malsain au sain, le laid au beau, l’impur au pur, le trafiqué au naturel, les friches industrielles aux eaux et forêts ?

    Le problème est que l’écologie gauchiste a préempté – et, donc, confisqué – ce bien commun qu’est la nature, qui en soi n’est ni bonne ni mauvaise mais qui constitue notre environnement vital sans aucun autre choix. Elle l’a aussi dévoyé en y associant la convergence des luttes du droit à la migration, des théories du genre, de la décroissance, de l’antiracisme, de l’apologie du métissage, des bienfaits du communautarisme… Un vrai repoussoir pour les amoureux sincères des petits oiseaux, des champs de pâquerettes ou des troupeaux de paisibles ruminants.

    La droite a maintenant bien du mal à se réapproprier ce champ politique qu’elle a si longtemps laissé en jachère. Endormie par des préoccupations exclusivement économiques, elle est partie de trop loin, n’ayant pas entendu le coup de feu du starter de cette course de fond. Et quand, enfin, elle s’exprime aujourd’hui, ses paroles faiblardes résonnent d’opportunisme sans convaincre grand monde. Alors, comment se remettre dans la danse pour en donner le bon tempo ? Une seule solution : qu’elle sache éliminer à la serpe d’or les pousses de gui qui parasitent les ramures du noble chêne, qu’elle sache élaguer de l’arbre de vie les branches gauches et vermoulues qu’on lui a greffées contre-nature… jusqu’à le faire ployer plus bas que terre.

    Ainsi régénérée, l’indispensable, l’incontournable, la véritable écologie pourra se déployer.

     

    Frédéric Sahut

    Chroniqueur

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • La faiblesse de l’État, meilleure alliée du lobby pro-migrants, par Marie d'Armagnac.

    Le 23 novembre dernier, l’évacuation des 500 Afghans de la place de la République, à Paris, avait fait couler beaucoup d’encre. Au terme d’une tragi-comédie médiatique, et après le désaveu de la par le président de la République et le ministre de l’Intérieur, ces immigrés clandestins soutenus et instrumentalisés par de nombreuses associations comme Utopia56 ou Médecins du monde, mais aussi par des élus d’extrême gauche, ont obtenu ce qu’ils voulaient :

    10.jpgun logement, promis par , ministre de la Citoyenneté, et Emmanuelle Wargon, ministre du Logement. La farce tragique, bien rodée, s’est déroulée sans accroc : les associations de soutien aux migrants ont obtenu gain de cause et les pouvoirs publics ont cédé face à un groupe de pression minoritaire mais très actif, qui compte de puissants appuis dans les médias.

    Qu’est-ce que cela nous dit du mode de fonctionnement de l’État, et de ce gouvernement en particulier ?

    Cette séquence est révélatrice de la faiblesse et de la fébrilité de l’État face à toute force contestatrice, dès lors qu’elle est violente. Elle est également emblématique du prisme idéologique imposé par des lobbys pro-migrants, relayé par les médias, qui fausse complètement la réalité de l’immigration en France. En clair, ils ont peu à peu imposé une grille de lecture des faits qui n’a que peu à voir avec la réalité… et même dicté l’agenda politique du gouvernement en matière d’immigration.

    Prenons, par exemple, le cas des mineurs isolés, évalués à 40.000 en France, pour un coût de prise en charge de deux milliards d’euros. En janvier 2019, le gouvernement prend la décision de créer un fichier biométrique d’appui à l’évaluation de la minorité des étrangers, dont la gestion serait alors assurée par les préfectures, donc le ministère de l’Intérieur, en amont de l’entretien de demande d’aide sociale à l’enfance (ASE) auprès de l’administration départementale. L’objectif est de rationaliser, un peu, cet accès à l’ASE gérée par les départements : ce sont, en effet, les structures locales qui, jusqu’alors, évaluaient la minorité des étrangers demandant l’ASE, minorité évaluée le plus souvent par un simple entretien. Clairement, il s’agissait de combattre la fraude, mais aussi la gestion politique de ce volet de la politique migratoire. En effet, selon un rapport public de 2018 cité par Le Monde, le taux de reconnaissance de la minorité varie de 9 à 100 % d’un territoire à l’autre… Ce fichier visait donc à empêcher un clandestin de se présenter dans plusieurs départements jusqu’à ce que l’évaluation lui soit favorable, car s’il n’est pas déclaré mineur, il peut alors faire l’objet d’une mesure d’éloignement du territoire.

    Branle-bas de combat des associations : une vingtaine d’entre elles, dont l’UNICEF, Médecins sans frontières, le Secours catholique, la CIMADE, le Syndicat de la magistrature, auxquelles se joint le Défenseur des droits Jacques Toubon, saisissent le Conseil d’État pour faire annuler ce décret de création du fichier biométrique, tandis qu’elles portent également ce texte devant le Conseil constitutionnel. Ce dernier validera finalement la création de ce fichier biométrique.

    Que croyez-vous qu’il arriva ? Quinze départements, dont la Seine-Saint-Denis, ont déclaré alors qu’ils ne mettraient pas en œuvre ce nouveau système.

    Un des très nombreux exemples du lobbying pro-migrant exercé par les associations, qui parvient, dans les faits, à détourner ou annihiler les timides tentatives de l’exécutif de réprimer l’immigration clandestine. Mais aussi l’exemple d’un État pléthorique et mal organisé qui gouverne selon les humeurs d’une petite partie de l’opinion publique, cède devant les groupes de pression et renonce ainsi, chaque jour un peu plus, à l’exercice de son pouvoir régalien.

    Il y a quelques jours, un « mineur isolé » a été arrêté à Nîmes, après plusieurs agressions et cambriolages sur des personnes âgées. Affirmant aux policiers être âgé de 15 ans, sous la foi de faux papiers d’identité, il avait été relâché. Ce n’est que l’obstination d’un juge pour enfants du tribunal de Nîmes qui a permis de découvrir que le délinquant, multirécidiviste, était âgé de 22 ans. Comment ? Grâce à un examen osseux qui n’avait jamais été réalisé auparavant.

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    André Bercoff
     
    "#BacNord. Enfin un film français rendu au sol, allant à l’os, avec la réalité rugueuse à étreindre. Loin du misérabilisme racoleur des uns et du nombrilisme angélique des autres. Un miroir qui fait réfléchir. Il n’était que temps."

    1A.jpg

    1. On l'a souvent dit ici : comparer "la grande clarté du Moyen-Âge" et l'horreur des situations produites par une certaine religion est aberrant. D'accord avec Gabrielle Cluzel :

    Gabrielle Cluzel
    "Le jour où les dealers et les consommateurs de crack se mettront à bâtir des cathédrales qu’il nous fasse signe. Un jour Kaboul, le lendemain le XVIIIe, la comparaison permanente avec le Moyen Âge devient un peu lassante…"
     
    (extrait vidéo 1'27)

    1A.jpg

     

    2. "Qui colonise qui ? Qui est colonisé ? Eux, ou nous ?..." : Bernard Lugan a relu - au Camp Maxime Real del Sarte - la critique prophétique faite par Maurras, le 13 juillet 1926, dans L'Action française, alors que le Système édifiait "la grande Mosquée", en plein coeur de Paris :

    (extrait 2'19)

    https://twitter.com/OutOfLugan/status/1430915915722412037?s=20

    Nous donnions cet extrait dans lafautearousseau, le Merveilleux Maurras ! Que disait-il de la Grande Mosquée de Paris lorsqu'elle fut construite ?

    1A.png

     

    3. Tribune de Pierre-Marie Sève, , délégué général de l'Institut pour la Justice, dans Valeurs : "L’accueil d’Afghans en France mènera inévitablement à une hausse de la délinquance..."

    https://www.valeursactuelles.com/societe/tribune-laccueil-dafghans-en-france-menera-inevitablement-a-une-hausse-de-la-delinquance/

    1A.jpg

     

    4. Marseille : des clandestins pris en flagrant délit de vol puis relâchés !... :

    G-William Goldnadel
    "La lamentable preuve que l’État part en quenouille. Un référendum pour changer les lois sur l’immigration et quitter la Cour Européenne des Droits de l’Homme ou la mort."

    lfar pouce levé.jpg

     

     

    5. Le Diocèse de La Rochelle informe :

    Diocèse de La Rochelle
     
    @Catholiques17
    "Depuis 1910, les catholiques du diocèse se rassemblent pour un pèlerinage vers l’île Madame. Ils vénèrent le martyre de prêtres déportés durant la Révolution. Ce 26 août 2021, près de 1 000 personnes ont répondu à l’appel"

    1A.jpg

    1AA.jpg

    1AAA.jpg

    1AAAA.jpg

     

    6. En Grèce, il y aura bientôt un an que la cruauté envers les animaux est passible de 10 ans de prison : c'est le 5 novembre 2020 que le Parlement grec a voté à l’unanimité une loi qualifiant la cruauté animale de crime "passible d’une peine allant jusqu’à 10 ans de prison", assorti d'amendes, de 25 000 à 50 000 euros... Qu'est-ce qu'on attend en France, l'autre pays de François d'Assise (par sa mère, provençale...)

    https://www.30millionsdamis.fr/actualites/article/20137-en-grece-la-cruaute-animale-passible-de-10-ans-de-prison/

    1A.jpeg

     

    7. Et on terminera cette série d'aujourd'hui par la petite touche d'humour bienvenue de ce restaurateur breton dont nous parlions ici-même hier :

    1A.jpg

     

    À DEMAIN !

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1 Nice : un Imam/Recteur gonflé ! Et même archi-gonflé, genre Bibendum de Michelin ! Impudence absolue de l’imam UOIF de Nice : alors que 3 chrétiens ont été égorgés dans une église, ce sont "les musulmans de Nice (qui) vivent un climat très inquiétant"  Toujours la victimisation et les procès en islamophobie...

    1A.jpg

    2 La France est le dernier pays européen à accueillir encore des migrants, alors que les autres ont freiné ou stoppé l'entrée de nouveaux arrivants. Le livre de Patrick Stefanini Immigration (Robert Laffont) dévoile ce scandale, chiffres à l'appui...

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-folie-migratoire-une-specificite-bien-francaise-125870

    1A.jpg

     

    3 Réfléchissons un peu, et récapitulons (1/2) :

    - des attestations à remplir pour sortir de chez soi;

    - un décret ministériel pour autoriser la vente des sapins de Noël;

    - des coupures d’électricité cet hiver...

    On pensait que le gouvernement était libéral ? Il fait plutôt furieusement furieusement penser à l'ex-URSS...

    4 Réfléchissons un peu, et récapitulons (2/2) :

    - liberté d’enseignement ? : fin de l’instruction à domicile;

    - liberté de conscience ? : supprimée dans la "clause IVG";

    - liberté d’expression ? muselée par la Loi Avia (réforme de la loi 1881);

    -liberté de manifestation ? elles sont interdites, sauf pour le gang des Traoré et les clandestins rebaptisés "sans-papiers", ou les envahisseurs, rebaptisés "migrants"; 

    - liberté de culte ? : interdiction "temporaire";

    Alors, franchement : "libéral", ce gouvernement ? Et, derrière lui, ce Système ?

    5Incompétents ? Faillis ? Fous furieux ? L'OMS déconseille maintenant le Remdesivir, après que l'UE en ait acheté pour 1 milliard: qui sont les responsables de cet achat ? Et si on les jugeait ?

    https://www.journaldemontreal.com/2020/11/19/covid-19--loms-opposee-a-lutilisation-du-remdesivir

    1A.jpg

    6 Dans la série "les Turcs sont des nazis qui ont réussi" : les chrétiens représentaient encore 20 % de la population turque au début du XXème siècle: ils ne sont plus que 0,2 % aujourd’hui... Lire l'excellent article de Joseph Yacoub ci-après, dans Figaro Vox :

    https://www.lefigaro.fr/vox/monde/comment-la-turquie-a-eradique-ses-minorites-chretiennes-20201119?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1605821928

    1A.jpg

     

    7"L'horreur du quotidien" à Barbès : Victime d'une agression, la réalisatrice Jeanne Labrune lance une pétition contre l'insécurité. Dans le passé, elle signa des pétitions en faveur des migrants. En somme, elle a fait tout ce qu'elle pouvait pour créer la situation qu'elle dénonce maintenant ! Qu'est-ce qu'on va dire ? "Bien fait !" ou "Faute avouée, faute pardonnée" ?

    1A.jpg

    La pétition de Jeann Labrune réclame le "rétablissement de l’Etat de droit dans ce quartier de Paris". Elle dénonce les ventes de cigarettes à la sauvette, le marché aux voleurs, les trafiquants, les mineurs isolés qui se battent entre eux et agressent les passants, les vol, la situation explosive. le ras-le-bol des habitants, le tout amplifié par le confinement, alors que la délinquance, elle, devient plus exponentielle, encore : "Nous sommes passés de la petite délinquance de rue à l’horreur du quotidien. J’ai le souvenir, alors que nous partagions un café entre copains, dans le quartier, de cette femme, accompagnée de son mari, qui a tété insultée, s’est pris un jet de chaise dans les jambes, et un café brûlant. Jeanne Labrune a aussi vécu l'agression dans sa chair : un de ses colliers lui a été arraché, "avec ma peau. J’ai été blessée, quand ils ont coupé à la pince le collier... Cela a été très traumatisant, on ne se rend pas compte… J’ai eu le cou blessé. Coupé. »

    8Aurélien Taché, député hors-la-loi ? La loi française interdit la polygamie. Les chers amis musulmans du-dit Taché la pratiquant allègrement, le député déclare tranquillement :  "C’est un mode de vie... le législateur n’a pas à s’ingérer dans les mœurs" ! Qu'il se convertisse à l'islam, si cela lui chante, mais qu'il respecte les lois françaises, ou alors : qu'il dégage

    1A.jpg

    https://www.valeursactuelles.com/societe/video-cest-un-mode-de-vie-le-legislateur-na-pas-singerer-dans-les-moeurs-les-propos-scandaleux-daurelien-tache-sur-la-polygamie-125863

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Lynchage du jeune Youriy par une "bande" (on a compris...) : sur Front Populaire, la saine colère de Valérie Zeitoun : que les Camelia Jordana et autres bobos/gauchos/trotskos arrêtent de nous bassiner avec un "devoir de mémoire" (à sens unique !) sur des événements d'il y a 60 ans, et qu'ils dénoncent plutôt le présent, ce que nous vivons aujourd'hui, ce que vivent nos enfants !...

    https://frontpopulaire.fr/o/Content/co359825/lynchage-a-beaugrenelle-la-colere-de-valery-zeitoun

    1A.jpeg

     

    1 BIS : Entièrement d'accord avec Jean Messiha :

    Jean MESSIHA
    Après l’agression de #Yuriy, aucune manifestation violente, aucun mobilier urbain dégradé, aucune voiture brûlée, aucune expression de haine ou de colère destructrice, aucune insulte ou vocifération C’est la différence entre la civilisation et la barbarie immigrée

    MESSIHA.jpg

     

    1 TER : Kévin Bossuet et André Bercoff (et tant d'autres !...) ont évidemment raison; mais il faut poser la question du "pourquoi" ? Pourquoi cette racaille partout ? pourquoi "cette" France en 2021 ? et pourquoi la France qui se défait ?

    PARCE QUE... LE SYSTÈME !

    Certes, nous avons bien conscience que, dit ainsi, c'est un peu court, et même un peu facile. C'est pourquoi nous le redisons chaque jour dans ces colonnes, en expliquant, à temps et à contretemps, que c'est la rupture de 1789/1875 qui a abattu la grande France d' "avant" et que c'est seulement en retrouvant son Régime naturel, la Royauté - qui l'a faite et en a fait la première puissance du monde - que la France redeviendra ce qu'elle était. Ou alors, elle mourra !...

    • Kevin Bossuet :
     
    Mourir pour une #cigarette refusée, se faire tabasser pour avoir été là au mauvais moment, se faire violer pour avoir osé porter une jupe un peu courte, se faire ostraciser car #juif ou #homosexuel dans un quartier d’une banlieue parisienne. Voilà ce qu’est la France en 2021.
     
    • André Bercoff :
     
    #Yuriy dans le coma à cause d’une dizaine de sombres merdes à l’impunité garantie, le consentement sexuel sanctifié dès 13 ans , le management du #COVID19 par la peur, les consciences en #reconfinement3 : la #France est en solde, changement de propriétaire, tout doit disparaître.

    lfar lys.jpg

     
    4. Castex n'aime pas les "régions" version Hollande ? Il a évidemment raison, et nous non plus. Alors, qu'il les détruise ! Certes, le découpage d'avant n'était pas parfait, et de très loin, mais il était quand même beaucoup "moins pire" que ce nouveau... : "Je n'ai jamais été convaincu par ces immenses régions dont certaines ne répondent à aucune légitimité historique... et surtout ne répondent pas aux besoins grandissants de nos concitoyens pour une action publique de proximité"

    1A.jpg

     

    5. Qui c'est le meilleur ? Le meilleur c'est (roulement de tambour...) : KARIM !!!!! Sur Balance ton post (déjà, on voit le genre !), monsieur Karim Zéribi, condamné à 2 ans de prison pour détournements de fonds publics, a estimé que Génération Identitaire est "en totale contradiction avec les valeurs républicaines". Ah, bon ! Parce que, détourner des fonds publics ce n'est pas "en totale contradiction" avec les sains principes (nous, les "valeurs républicaines", qui, du reste, n'existent pas, on s'en fiche éperdument !); et cela donne le droit de dire des autres qu'ils devraient être dissous, qu'ils  n'ont pas le droit d'exister ? Ah, la logique !...

    1A.png

     

    6. Incroyable, mais vrai ! Dans le Rhône, Mohammed Djeffal, impliqué dans une fusillade, et accessoirement (!) ex-candidat EELV-LFI, a été mis en examen pour tentative d'assassinat ! :

    https://www.valeursactuelles.com/faits-divers/rhone-implique-dans-une-fusillade-un-ex-candidat-eelv-lfi-mis-en-examen-pour-tentative-dassassinat-127580

    1A.jpg

    7. On terminera cette série d'aujourd'hui par "la pensée du jour", à méditer...

    1A.jpg

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Terrorisme islamiste en Bavière : impayable Libé !  "on ignore encore ses motivations précises" (à gauche) mais "il a crié "Allah Ahkbar" (à droite). Et, bien sûr, il s'agit d'un "psychiatrique". Qu'est-ce qu'il y a comme "psychiatriques", en terre d'Islam ! Presqu'autant que d'églises qui brûlent, en terre de chrétienté !...

    1A.jpg

     

    1A.jpg

    1 BIS. lafautearousseau une fois de plus entièrement d'accord avec la réaction de Gilles-William Goldnadel : le terroriste somalien de Wurtzburg a affirmé avoir "réalisé son djihad" en poignardant des innocents dans la rue. Au moins trois femmes sont mortes sous les coups de couteau, dont une âgée de 82 ans. C'est cela et rien d'autre le djihad islamique... Réaction appropriée de Goldnadel :

    G-William Goldnadel
    "Rien sur la radio active de service public à 9h, rien à minuit. Les trois femmes assassinées ne sont pas victimes de féminicides puisqu’elles n’existent pas. Peut-on m’expliquer gentiment pourquoi elles comptent moins que George Floyd puisqu’elles non plus ne peuvent plus respirer ?

    1A7.jpg

     

    3. Les "touiteurs" ont, parfois, de l'humour ! En voici deux exemples :

    1. Nonpossumus
    "La Hongrie se croyait débarrassée des chars après l’effondrement de l’URSS mais en adhérant à l’UE elle n’imaginait pas avoir affaire aux chars de la Gaypride !"
     
    2. Dans un tout autre domaine, Stéphane Séjourné, le compagnon de Gabriel Attal a demandé (si, si !) aux chaînes radios/télés de ne plus inviter Zemmour. Réponse d'un touiteur :
     
    "Ses nuits contre Attal, Séjourné contre Zemmour"
     
    Excellent, non ?

    1AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.gif

     

    4. Éric Zemmour à BHL, lors de son débat avec lui, vendredi dernier, dans Face à l'info :

    1. "Vous favorisez l’immigration ! Vous prônez la guerre chez eux, et vous les faites venir chez nous. Moi, je veux exactement le contraire..." 

    https://twitter.com/tvlofficiel/status/1408673938427854851?s=20

    2. Zemmour à BHL : "Vous considérez que les occidentaux ont la responsabilité mondiale de faire le bien des autres peuples. C'est la définition même du colonialisme..."

    https://twitter.com/GenerationZ_off/status/1408482620627947520?s=20

    1A.jpg

     

    5. Le Pays légal, la République idéologique, le système... ? Prêts pour la grande Soumission !

    1A.jpg

    On le dira dix fois par jour s'il le faut, cent fois, mille fois. On le dira "à temps et à contre-temps" : la seule action qui vaille la peine d'être menée est

    "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet) 

     

    6. (dans Mediapart) Affaire Veolia-Suez : le secrétaire général de l’Élysée refuse de répondre à la convocation de l’Assemblée nationale pour expliquer son rôle dans l’OPA de Veolia sur Suez. Cela conforte les soupçons : cette OPA est bien une affaire d'Etat...

     

    1A.jpg

     

    7. Les "limites" de la Marche des fiertés : d'accord avec Zohra Bitan !

    "La seule lesbienne qui n’a pas eu droit au respect lors de cette #MarcheDesFiertes c’est #Mila ! Elle, elle n’a pas droit au respect de ce qu’elle est, de sa sexualité ni de s’être élevée contre l’homophobie ! À Mila, ils préfèrent les ennemis des LGBT déguisés en tolérants !"
     
    Accessoirement, et en annexe, en quelque sorte, écoutez Élise, enseignante (?) dire (sic) : "C'est hyper important que les profs SONT là..." On espère seulement, pour ses élèves, qu'elle n'est pas prof de français ! :
    (extrait vidéo 0'41)
     
     

    À DEMAIN !

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Covid-19 : le Brésil, "pays des variants", peut-il déclencher une 4ème vague en France ? Avec le maintien des vols entre le Brésil et la France, la crainte d’une quatrième vague grandit : irresponsabilité de nos gouvernants, qui ont tout raté depuis décembre 2019 et qui, jusqu'à hier, n'ont pris aucune mesure drastique pour les vols en provenance d'Amérique du Sud !...   

    1A.jpg

    Un patient intubé à Rio de Janeiro, le 8 avril dernier. 

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/monde/covid-19-le-bresil-pays-des-variants-peut-il-declencher-une-4eme-vague-en-france/

     

    1 BIS. Même si le gouvernement a enfin réagi hier, redisons notre accord avec les "lanceurs d'alerte", comme Jordan Bardella, qui ont d'abord crié dans le désert avant d'être, enfin, entendus ! :

     
    "Le gouvernement laisse entrer 1000 passagers par semaine en provenance du Brésil, où l'épidémie est hors de contrôle avec un variant résistant.
    Après tout ce que notre pays a subi, et alors qu'on continue d'enfermer les Français, comment cette dinguerie est-elle encore possible ?"

    https://twitter.com/J_Bardella/status/1381876557652897792?s=20

     

    3. VIOL D'UNE JEUNE FILLE PAR UN HOMME APRÈS SA LIBÉRATION ANTICIPÉE "COVID" : LES PARENTS ATTAQUENT L'ETAT... Jean Messiha a raison :

    "Ils ont libéré une crapule sous prétexte de Covid, crapule qui viole une fille de 17 ans dans la foulée. Il faut que ⁦Nicole Belloubet et Dupont Moretti soient traduits en justice et rendent des comptes pour complicité."

    https://www.cnews.fr/videos/france/2021-04-13/viol-dune-jeune-fille-par-un-homme-apres-sa-liberation-anticipee-covid-les

    1A.jpg

    Leur fille, âgée de 17 ans, a été violée le 24 octobre 2020 par un homme qui avait bénéficié d’une libération anticipée "Covid", alors qu’il purgeait 4 ans de prison pour violences, séquestration et agression sexuelle. Avec leur avocat Me Fabien Rajon, ses parents ont décidé d’attaquer l’État...

    1A.jpg

     

    4. Une minute et 54 secondes réjouissantes : Xavier Raufer pulvérise l'islamo-gauchisme actuel et le soutien assumé aux racailles des Clementine Autain, Éric Coquerel et Compagnie, qui pactisent ouvertement et sans complexe avec ces racailles. Et, si c'est avec la famille Traoré, on n'est même plus dans les racailles, mais carrément dans le crime organisé. Quelle trahison... de Karl Marx soi-même ! Réjouissant, on vous dit... :

    https://twitter.com/alimcbil1/status/1381619299329187841?s=20

     

    5. Saccage de Paris : Sainte Anne ! le livre chic d’Airy Routier et Nadia Le Brun qui dénonce les folles dépenses d’Anne Hidalgo...

    (début de l'article de Guillaume Roquette, réservé aux abonnés, paru dans Le Figaro)

    La fière devise de la capitale, "Fluctuat nec mergitur", n’a plus lieu d’être : accablée de dettes et de dépenses inutiles, la ville de Paris s’enfonce dans des eaux dangereuses.

    Début avril 2019, le Conseil de Paris a voté un budget de 175 millions d’euros pour la création de 2.254 logements sociaux dans neuf immeubles situés dans le XIIIème arrondissement. "Une opération d’enfumage destinée à gonfler les chiffres du logement social à un an des élections municipales", s’est insurgée Florence Berthout, ex-patronne du groupe LR et maire du Vème arrondissement. L’opération, en effet, est symbolique des méthodes de la maire de Paris et de son adjoint au logement, le communiste Ian Brossat.

    L’affichage est résolument de gauche: Anne Hidalgo veut 30 % de logements sociaux dans Paris à l’horizon 2030, au nom de cette belle idée qu’est la mixité sociale... Cette politique du logement social à tout prix poursuit un double objectif : il faut montrer à une France décrite comme rance, presque raciste, que sa capitale, grâce à sainte Anne, est ouverte à la diversité sociale et ethnique ; et modifier la sociologie de Paris pour que, lors des futures élections, la gauche devienne...

    Anne Hidalgo et Ian Brossat. Leur politique du logement est une ineptie économique (source : Le Figaro) 

     

    6. La phrase que les Chrétiens n'ont entendu ni pour Noël ni pour Pâques :

    1A.jpg

    Ne jamais oublier qu'avant toute chose la Révolution est anti-chrétienne, et par voie de conséquence l'actuel Système, qui nous abaisse et nous déclasse, et qui en est issu directement...

     

    7. Et nous terminerons cette série d'aujourd'hui en souhaitant "bonne chance !" et "bon vent !" au Courrier royal, que nous relayons ici-même, depuis le premier jour où nous avons appris la transformation du Blog La Couronne...

    https://le-courrier-royal.com/a-la-une/tribune-faisons-souffler-un-air-royal-sur-toute-cette-grisaille/

    1A.png

     

    À DEMAIN !

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Voici l'organisateur de la manifestation anti-Zemmour devant les locaux de C-News : Elias Imzalène (de son vrai nom Eli Yess Zareli), "fiché S", ancien assigné à résidence par la justice française, fondateur du site Islamiste : Islam info...

    "Le Système" est bien bon pour certains...

    1A.jpg

    1. "Affaire Chalençon" : d'accord avec Gilbert Collard... :

    "#OnVeutDesNoms : Il faut que l'on ait les résultats de l'enquête afin de savoir qui sont ces goinfres qui, pendant que l'ensemble de la population est soumis à des restrictions, à des amendes, vont dans ces restaurants clandestins dans un total mépris du partage du fardeau."

    (extrait vidéo 1'54)

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1379330735245508614?s=20

     

    2. ...Et d'accord aussi avec Collard sur l'analyse qu'il fait de ce qu'est LaRem, et de sa "nullité"... :

    "#LREM n'est pas un mouvement politique, c'est un mouvement associatif de gens qui s'ennuieraient sans cela et qui ont trouvé, en s'inscrivant sur internet, l'occasion de faire une présence politique, mais pas de la politique."

    (extrait vidéo 1'36) :

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1379334388698251267?s=20

     

    3. Et ça continue ! Encore une église qui brûle, et l'acte est "volontaire" ! ça continue ! L'église ogivale d'Avesnes-sur-Helpes, édifiée au XIIIe siècle et classée au titre des monuments historiques, a été ravagée par les fkammes...

    https://www.leparisien.fr/faits-divers/nord-un-incendie-dans-la-collegiale-davesnes-sur-helpes-provoque-dimportants-degats-06-04-2021-A2YXSY2SSZDOFKETY6FXK7IOKA.php

    1A.jpg

     

    4. De Dunkerque à Bonifacio, on aimerait voir la même chose tous les jours, partout en France, dans les Cités et autres "zones de non-droit", euphémisme pour parler des régions de France qui ne sont plus... en France ni de France !...

    https://www.midilibre.fr/2021/04/05/montpellier-405-damende-pour-avoir-bu-du-rose-entre-amis-sur-la-plage-du-grand-travers-9469113.php

    1A.jpg

    Montpellier est devenu un foyer de délinquance et Lunel, un bastion islamiste, mais c’est sur les plages de l’Hérault que le Préfet Witkovski sévit. Une famille en a fait les frais. 3 amendes à 135 € pour avoir bu ensemble une bonne bouteille de rosé, avant de se quitter !...

     

    5. Jean Messiha a raison ! :

     

    6. Oui, c'est un peu facile, mais... : puisqu'il est scandaleux et révoltant d'entendre Marlène Schiappa expliquer doctement que le porte parole du gouvernement était au courant de dîners clandestins dans la capitale et que rien n’a été fait, on ne voit pas pourquoi on s'en priverait !

    "Je sais de source sûre qu'il y a effectivement eu une invitation et que Gabriel Attal l'a fermement refusée en disant qu'il y avait des mesures sanitaires" (Marlène Schiappa, à propos des dîners clandestins).

    https://twitter.com/dragonduclos/status/1379208391994785800?s=20

    Et puis n'oublions pas que ce sont parfois ces mêmes personnes qui nous ont demandé de couper la buche en deux pour que papy et mamy mangent dans la cuisine et nous dans la salle à manger pour les fêtes de Noël ...

     

    7. Et on clôturera cette série d'aujourd'hui par une touche d'humour (trouvée sur tweeter) sur les escrolos et "khmaires verts", légaux mais pas légitimes :

    1A.jpg

     

    À DEMAIN !

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

     

  • Le Comte de Paris, dans Valeurs actuelles : ”Il y a une dérive oligarchique du pouvoir” 

    Le 25 février dernier, Nicolas Boutin s'entretenait avec le Prince, pour Valeurs actuelles. L'ensemble de l'article est réservé aux abonnés, mais en voici l'entame... 
     
    Prétendant à la couronne de France et descendant direct de Louis XIII, le prince Jean d’Orléans vit dans le Sud de la France. Alors que la France doit désigner son prochain chef de l’État, il nous livre ses impressions et ses inquiétudes sur le pays, la politique et la crise sanitaire. Entretien.
    Le prince Jean d'Orléans et sa famille rencontraient Emmanuel Macron, à l'occasion du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, à Amboise, le 2 mai 2019. Photo © PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP
     

    Valeurs actuelles. Vous vivez aujourd’hui dans le sud de la France, en territoire rural. L’occasion pour votre famille de garder le contact avec une certaine France profonde ?


    Prince Jean d’Orléans. Depuis le retour d’exil de mon grand-père, notre famille a toujours été implantée au milieu du village qu’est la France. Mon grand-père avait parcouru le pays pour connaître la France en profondeur, ce que j’ai fait ensuite un certain nombre d’années, jusqu’à la sortie de mon livre « Un Prince Français » (Pygmalion). Un tour de France des différentes régions pour prendre le pouls du pays. Aujourd’hui dans notre environnement immédiat, j’ai eu l’occasion de revoir le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, de visiter l’école Ozar Hatorah de Toulouse, qui avait été visée par Mohammed Mérah en 2012. Je rencontre aussi un certain nombre d’acteurs politiques, économiques et sociaux. Pour moi, c’est vital.

    Quel est le but de ces rencontres ? Quel sens voulez-vous donner à votre présence ?
    Il faut savoir ce que pensent les Français, dans leur spécificité, prendre la mesure des attentes du pays dans l’ensemble de ses composantes. C’est une démarche discrète mais nécessaire pour être capable de réfléchir aux mesures à prendre. On ne peut pas prendre des décisions sans voir la réalité des choses.

    A la sortie de ces rencontres, dans quel état se trouve la France aujourd’hui, de votre point de vue ?
    La France est sous contrainte et perfusion. Avec la pandémie, les Français ont dû adapter leur façon de travailler. Malgré toutes les restrictions imposées, dont on ne sait pas si elles ont vraiment servi, de nombreux Français ont continué à diriger leurs entreprises, à garder leurs clients, etc. Nous avons vu des circuits courts se développer, des solidarités se mettre en place. Nous avons pu ainsi garder notre allant, nos villes « franches », notre liberté d’entreprendre…

    2022 est une année présidentielle. Allez-vous jouer un rôle d’aiguillon, d’observateur, d’acteur ?
    J’espère pouvoir le faire sereinement. Ces échéances sont importantes. La France doit retrouver une certaine dynamique, assez absente ces deux dernières années. Le débat est resté sur cette pandémie alors qu’il y a de nombreux autres sujets qui préoccupent nos compatriotes : la justice, la sécurité, le travail, la retraite, la santé… L’hôpital est malade, depuis des années. La pandémie n’a fait que révéler ces difficultés. Il y a aussi un nombre de fractures incroyables. Les pauvres sont laissés de côté au profit d’une société française qui dérive vers l’oligarchie. Il n’y en a que pour les privilèges. La présidentielle doit remettre au centre toutes ces problématiques.

    Doit-on conserver ce mode de gouvernance ?
    C’est une question institutionnelle. Avec le quinquennat, le modèle de la Ve République ne colle plus. Soit on revient au septennat pour avoir deux rythmes qui cohabitent et collaborent : le rythme long du président de la République qui gère les affaires importantes et qui donne les directions, s’occupe de la cohésion nationale. Et le gouvernement, avec un rythme différent, qui peut être d’un parti opposé et qui joue sa partition et gère le quotidien. Avec ce dernier quinquennat, on observe un glissement institutionnel, vers une vision égoïste des choses et des privations de libertés individuelles et publiques. Ce n’est pas un bon système. S’ajoute à cela l’élection qui favorise le clientélisme. Une fois élu, il faut une année pour se mettre en place, trois ans pour exercer et une année pour préparer les prochaines élections. Que peut faire un président de la République ? A côté de cela, il n’y a plus de contre-pouvoir. Les syndicats ont disparu, l’Église est empêtrée dans ses difficultés, les hautes chambres et les ministres sont pris dans des liens d’intérêts économiques et financiers..