SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITES DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS REEL DANS TOUTE LA FRANCE...
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Après avoir appuyé la grande manif du 6 octobre, lafautearousseau appuie les suivantes : Manifestation contre la PMA le 14 juin 2020...
Y aurait-il, même venant de loin, pour l'occasion, des personnes désireuses de venir se faire "expliquer", même de dehors, dans la rue et devant le portail fermé, l'ensemble "maison/jardin/l'homme Maurras" : lafautearousseau peut vous recevoir et vous fournir toutes les explications nécessaires...
Ces rencontres calmes, pacifiques, seraient l'occasion de manifester, sereinement mais publiquement, devant le portail de la maison de Maurras :
1. Pour demander la ré-ouverture de la maison et la possibilité de la visiter, ou alors que la Mairie donne publiquement la raison de la fermeture du site, et un calendrier pour les travaux et sa réouverture à la visite...
2. Pour demander le libre accès au jardin, en permanence...
3. Et pour demander l'inscription de la très belle "maison de Maurras" au réseau des Maisons des Illustres, afin qu'elle devienne un grand centre intellectuel - national et international - de recherches sur Maurras, sa vie, sa personnalité, son oeuvre...
Il vous suffit de nous contacter, et nous organiserons la chose ensemble, aussi souvent que des groupes se manifesteront...
• Conférences, Réunions, Cercles de formation, Manifestations diverses... dans la France entière...
L'Action française Clermont Ferrand vous invite à une audio conférence dont le thème sera "La notion de politique" animée par Alexandre Sobieski, sur la plateforme Discord le Mercredi 27 Mai à 20h30.
L'Action française Annecy informe qu'elle honorera Jeanne d'Arc le Samedi 30 Mai.
(Plus d'infos en MP)
Le Centre Lesdiguières de Grenoble nous fait part de la tenue d'une messe en l'honneur de Sainte-Jeanne d'Arc le Samedi 30 Mai à 10h30 à l'Eglise Saint-André de Grenoble.
• CERCLE DE FLORE PARIS
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10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.
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A Paris, chaque mercredi, débat avec un conférencier, personnalité politique ou écrivain
La conférence commence à 20 heures très précises (accueil à partir de 19h45 - Entrée libre, une participation aux frais de 2 € est demandée), elle s'achève vers 22h.
Un dîner amical est alors servi pour ceux qui désirent poursuivre les discussions (participation aux frais du dîner : 7 €).
Charlotte d'Ornellas : l'indispensable retour à la messe.
Source : https://www.valeursactuelles.com/
Alors que le pays devrait se déconfiner progressivement dès le 11 mai prochain, Emmanuel Macron a annoncé que les cultes ne reprendraient qu'à la mi-juin. Une annonce difficile à comprendre.
Voilà déjà de longues semaines que les catholiques sont tentés de cocher la case de la « première nécessité » sur leurs attestations pour aller se confesser, se rendre à la messe, accéder à la communion, baptiser un enfant, confirmer un adolescent, marier un couple ou recevoir le sacrement des malades. Non par malhonnêteté administrative mais parce que c’est exactement ce que ces sacrements représentent pour eux : une première nécessité. Ceux qui ont du mal à le comprendre doivent au moins l’entendre, à moins de nier la dignitité et la liberté de ces citoyens Français et catholiques.
Certains l’ont d’ailleurs fait, qui étaient conviés à se rendre dans leurs églises pour que le prêtre puisse y dire sa messe, en toute légalité. Ils ont été infiniment peu nombreux. Les autres ont résisté, non par relativisme mais par obéissance et responsabilité, comprenant que le risque sanitaire imposait des règles drastiques à la société toute entière dont ils sont résolument. Ils ont profité de cette injonction historiquement inédite pour creuser leur désir spirituel avec patience, faisant vivre des petits églises domestiques parfois oubliées, redécouvrant les trésors de la prière personnelle et familiale. Les prêtres ont dit leur messe sans assistance, seul en face de ce Dieu à qui ils ont donné leur vie. Les évêques ont pris des mesures restrictives avant même qu’elles soient imposées à la société, les prêtres ont obéi sans rechigner, les fidèles ont suivi parfois douloureusement. Même pendant la semaine sainte, et même le jour de Pâques, sommet de la vie chrétienne. Ils ont accepté cette absence liturgique en sachant que ce trésor n’est dû qu’à Dieu, et non à eux, et que les prêtres pouvaient continuer à dire quotidiennement leurs messes, officiellement et sans contraintes (à quelques regrettables exceptions près).
Le réflexe est triste mais compréhensible de la part des dirigeants matérialistes que l’époque s’est forgée
Mais récemment, les catholiques étaient eux aussi derrière leur écran de télévision à attendre une bonne nouvelle de la bouche du chef de l’Etat. Ils aimeraient retourner à la messe, mais également à l’école, à l’usine, au bureau, chez leurs parents ou amis et au bistro. Comme tous les Français, ils espèrent le retour à une vie normale, fut-elle ajustée ou différente. Ce soir-là, Emmanuel Macron a annoncé la date du 11 mai. Quelques jours plus tard, les différentes composantes de la société ont donc fait remonter leurs propositions de déconfinement au Premier ministre, parmi lesquelles la conférence des évêques de France. Mais l’exécutif a alors annoncé que la reprise des cultes n’interviendrait qu’à la mi-juin… Le réflexe est triste mais compréhensible de la part des dirigeants matérialistes que l’époque s’est forgée. Sauf que les catholiques ont le devoir de rappeler aujourd’hui que la messe n’est pas un folklore et ne peut souffrir de recevoir les mêmes délais qu’une fête populaire ou qu’une salle de cinéma. Elle est une raison de vivre. il était déjà douloureux pour eux de voir que les trésors d’inventivité trouvés pour permettre aux hommes de se nourrir de pain aient été oubliés pour l’autre nourriture - spirituelle - qui les fait vivre. Il serait incompréhensible que cela dure plus longtemps, dès le déconfinement entamé.
La France a besoin, aujourd’hui encore, de la bonne volonté de tous ses enfants. Que chacun serve avec ses ressources et ses talents. Or l’Eglise, qui n’a pas cessé d’accompagner les malades, de consoler les familles, d’enterrer les morts, de secourir les pauvres n’est pas d’abord une ONG. Cette puissance de charité trouve sa source dans le coeur de la foi, dans ces sacrements dont les fidèles manquent aujourd’hui. Elle est littéralement essentielle.
Quand Emmanuel Macron faisait l'éloge de la France catholique au collège des Bernardins
« Lorsque vient l’heure de la plus grande intensité, lorsque l’épreuve commande de rassembler toutes les ressources qu’on a en soi au service de la France, la part du citoyen et la part du catholique brûlent, chez le croyant véritable, d’une même flamme ». C’est ce qu’Emmanuel Macron lui-même déclarait le 9 avril 2018, au collège des Bernardins. Il insistait même alors : « Si les catholiques ont voulu servir et grandir la France, s’ils ont accepté de mourir, ce n’est pas seulement au nom d’idéaux humanistes. Ce n’est pas au nom seulement d’une morale judéo-chrétienne sécularisée. C’est aussi parce qu’ils étaient portés par leur foi en Dieu et par leur pratique religieuse. » Il disait enfin, et chaque mot va puiser dans les siècles de notre propre histoire : « M’aveugler volontairement sur la dimension spirituelle que les catholiques investissent dans leur vie morale, intellectuelle, familiale, professionnelle, sociale, ce serait me condamner à n’avoir de la France qu’une vue partielle ; ce serait méconnaître le pays, son histoire, ses citoyens ; et affectant l’indifférence, je dérogerais à ma mission. »
Emmanuel Macron semblait avoir étonnamment compris - dans ces quelques mots- la puissance d’irrigation de la foi que recherche tout catholique dans sa vie. Quel meilleur moment pour s’en souvenir et prouver ainsi que les mots ne sont pas simplement de traîtres ressorts électoraux ? La vie va reprendre dans les rues, les écoles, les entreprises, les magasins. Toutes les consignes qui s’appliqueront pourraient être appliquées dans une église, et tous les prêtres du pays le savent. Comme tant d’autres acteurs indispensables du pays, ces hommes de Dieu ont largement et docilement prouvé leur responsabilité dans cette crise. Ils sont en droit, eux-aussi, de reprendre le travail ! Non parce que ce serait un dû réclamé au gouvernement, mais bien parce que c’est un devoir. Espérance et charité - dont le pays entier profite - ont besoin de la foi.
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• Conférences, Réunions, Cercles de formation, Manifestations diverses... dans la France entière...
La totalité de nos militants de la fédération Auvergne-Limousin d' Action française - Restauration nationale vont se retrouver pour un week-end de cohésion.
Au programme : ateliers, conférences, sport et ripailles.
Une occasion en or pour renforcer nos liens et faire bloc face à la république qui divise.
Toi aussi rejoins-nous !
Pas d'action sans formation !
• CERCLE DE FLORE PARIS
Site Officiel : https://www.actionfrancaise.net/recherche/cercle+de+flore
Page FB : https://www.facebook.com/cercle.de.flore/
à 20h,
10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.
PAF : 5€ (conférence) 10 € (conférence + buffet)
• CERCLE DE FLORE LYON
Page FB : https://www.facebook.com/cercledeflorelyon/
• Les Mardis de Politique magazine
Chaîne Vidéos : https://www.youtube.com/channel/UCYlZgfsklLOeodytYauQONQ
https://www.youtube.com/user/Politiquemag
• Le Café Actualité d'Aix-en-Provence
• Le Café Histoire de Toulon
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• GROUPE D'ACTION ROYALISTE (GAR)
Site Officiel : http://www.actionroyaliste.fr/
Page FB : https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/
Chaîne Vidéos : https://www.youtube.com/user/SACRvideos/videos
• Les Mercredis de la NAR
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A Paris, chaque mercredi, débat avec un conférencier, personnalité politique ou écrivain
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L'Action française Annecy convie ses militants et ses sympathisants à la "Célébration de la Fête de Jeanne d'Arc" le Samedi 30 Mai.
(Plus d'infos en MP)
L'Action française Grenoble convie ses militants et ses sympathisants à la "Célébration de la Fête de Jeanne d'Arc" le Samedi 30 Mai.
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L’ANNÉE PIERRE DEBRAY
Aux Baux de Provence avec Pierre Chauvet et Gustave Thibon
Entretien avec Philippe Lallement
Le Bien Commun a posé quelques questions à Philippe Lallement, initiateur de l’année Debray, animateur des causeries catholiques du Café Histoire de Toulon, collaborateur de la Nouvelle Revue Universelle (NRU) et fondateur de la Revue Royaliste qui deviendra La Place Royale.
Vous animez le projet « 2019 - année Pierre Debray », pouvez- vous rappeler qui fut Pierre Debray ?
Il fut le grand intellectuel du maurrassisme orthodoxe qui à partir de 1954 assuma la difficile succession de Pierre Boutang à Aspects de la France. Durant la guerre d’Algérie, il anima aussi L’Ordre Français, une brillante revue laboratoire d’idées. Après une tentative avortée avec les gauchistes de la Nouvelle Action Française, il fut jusqu’en 1985, la tête pensante du mensuel royaliste Je Suis Français. Parallèlement il mena une intense activité catholique à partir de 1965. Il est mort en 1999, après avoir pris la parole au congrès d’Action française de 1998.
Il passe pour un maurrassien atypique…
Pour son parcours surtout. Issu de l’anarcho-syndicalisme anti-chrétien, il se convertit à 20 ans. Choqué par le port de l’étoile jaune, il entre en résistance active. Il est membre du comité directeur des Jeunes Chrétiens Combattants. Il devient critique littéraire à La France Catholique, Témoignage Chrétien et d’Esprit avant de rejoindre les directions d’obédience stalinienne de France-U.R.S.S. et du Comité Mondial Pour la Paix.
Vous imaginez bien qu’en 1954, son transfert d’allégeance vers le maurrassisme sidéra le monde politique. Pour l’A.F. Ce fut une très belle prise de guerre et il devint l’idole des jeunes militants, grâce à ses dons d’orateur, sa pédagogie, son tempérament militant, son souci stratégique et surtout sa capacité à appliquer l’empirisme organisateur aux problématiques de la société de consommation.
Pouvez-vous présenter le projet orchestré par la Nouvelle Revue Universelle ?
Rappelons que la Revue Universelle a été fondée en 1920 par Jacques Bainville. Son actuelle équipe rédactionnelle s’est lancée dans une série de numéros spéciaux approfondissant le maurrassisme et son héritage. En 2016 ce fut Boutang, cent ans ; puis Maurras, le blessé de Dieu en 2017, car la condamnation religieuse fut remise d’actualité par le monde catholique ; inutile de rappeler comment le Ministère de la culture imposa en 2018 un Maurras, l’homme de la politique. C’est donc assez naturellement que la NRU décida de prolonger cette série d’études par 2019 année Pierre Debray.
Pourquoi naturellement ?
Simplement car depuis quelques années, plusieurs acteurs s’étaient rendu compte de l’intérêt de retrouver ce maître oublié. Citons le blog La Faute à Rousseau, mais aussi Gérard Leclerc.
Pour ma part j'avais été étonné de constater comme les grandes problématiques étudiées par Debray, il y a quarante ans, revenaient systématiquement dans les préoccupations du public catholique du Café Histoire de Toulon. Voilà pourquoi le rédacteur en chef de la NRU a immédiatement soutenu ce projet.
S'agit-il d’un devoir de mémoire ?
Certainement pas uniquement. Bien entendu il est impératif de rendre justice à celui qui a su prolonger la pensée de Maurras durant les Trente glorieuses. Pour cela je vous conseille de lire le magnifique témoignage (NRU n° 56 de l’été) que Gérard Leclerc a prononcé lors de votre Université d’été 2018.
En revanche l’ambition du projet est ailleurs. Avec la grande réaction de la Manif Pour Tous, les promoteurs ont compris que l’espoir changeait de camp et qu'une génération Maurras 2.0 se levait. Sa réintégration doctrinale de Pierre Boutang, constituait une première étape devant être complétée par la redécouverte des travaux de Debray. Ce maître oublié pouvant constituer le chaînon maurrassien-catholique permettant à la génération des jeunes néo-conservateurs issus de La Manif Pour Tous de trouver la doctrine, sans laquelle leurs espoirs tourneront court. En 2018, la lecture de Debray vous fera découvrir qu’il a annoncé l'actuelle crise des Gilets jaunes depuis 1985. Sa lecture permettra de comprendre comment il a anticipé la crise économique, l’immigration musulmane, le déclin démographique, la crise identitaire et même l’intelligence artificielle. Faut-il d’autres arguments ? Il ne vous reste plus qu’à plonger dans les témoignages et les études d’universitaires qui ont accepté de participer au projet. ■
Illustrations
1. À Montmajour en 1969
2. Aux Baux de Provence [À gauche, Ohilippe Legrand]
3. Aux Baux de Provence en 1973 [À gauche, Michel de Saint-Pierre, Guy Rérolle]
Propos recueillis par Axel Tisserand
Retrouvez Pierre Debray dans lafautearousseau ...
PIERRE DEBRAY : La cathédrale effondrée
Pierre Debray entre dans Wikipédia
Un entretien avec Pierre Debray : « Construire l'arche qui permettrait aux Français de survivre au déluge des barbaries
Pierre Debray à Montmajour : « Pour une monarchie sans nostalgie et sans folklore ... flèche du progrès »
Pierre Debray - Une politique pour l'an 2000
Maurras et le Fascisme
LOUIS XVI 2019 ! Mémoire et acte politique fort : marquer le début de notre décadence
Visuel Lafautearousseau Le quotidien royaliste sur le net ISSN 2490-9580 ©
En 1789, les principes du totalitarisme furent énoncés, ses bases furent jetées, et ils furent appliqués méthodiquement avec - comme conséquence inévitable - le Génocide qui en découlait fatalement.
Au même moment, le principe opposé fut également proclamé : liberté intérieure face à l'oppression d'un pouvoir sans limite qui, ne se reconnaissant aucune autorité supérieure, se révélait vite mille fois plus tyrannique que les antiques autorités qu'il prétendait abolir.
Deux messages, antinomiques et irréconciliables furent donc lancés au monde en France, et par la France, marquant l'ouverture du grand cycle révolutionnaire...
Le 21 janvier 1793 est l'acte fondateur de tous les totalitarismes modernes et il est à l'origine de toutes les horreurs qui devaient suivre : Staline, Hitler, Mao, Pol Pot, Ho Chi Minh, Ceausescu et la Stasi, Le Lao Gaï et le Goulag...
Il est également - selon le mot fort juste de Prosper de Barante – « l'évènement le plus terriblement religieux de notre Révolution », car c'est bien une religion nouvelle qu'il s’agit d’instaurer, la Nouvelle Religion Républicaine, prétendant effacer toute trace de l'antique religion chrétienne.
De ce fait, le 21 janvier dure encore aujourd'hui, par ses conséquences désastreuses, qui ont affecté non seulement la France mais toute l'Europe et, aussi, la terre entière. Il ne s'agit pas d'un fait historique « terminé ».
Il est l'origine du premier crime de masse contre l'humanité des temps modernes - des crimes dont on sait qu'ils sont réputés imprescriptibles.
A l'inverse, le soulèvement vendéen est lui aussi l'acte fondateur de toutes les révoltes modernes contre l'oppression tyrannique d'un Etat sans limites.
En tant que fait historique donné, avec ses formes extérieures qui appartiennent maintenant à l'Histoire, les Guerres de Vendée, « Guerre de Géants » comme les a qualifiées Napoléon, sont évidemment terminées, et depuis longtemps.
Mais, en tant que première expression collective du refus de l'oppression, de la défense de la liberté intérieure de la personne, de la résistance à l'Etat tout-puissant, tyrannique et oppresseur, elles sont un message universel, comme l'a très bien vu et très bien exposé Soljenitsyne. Et ce message appartient à l'Histoire en même temps qu'à chaque peuple, à chaque communauté historique, à chaque être humain.
De ce point de vue - évidemment fondamental - les Guerres de Vendée ne sont pas terminées elles non plus, pas plus que le 21 janvier, leur acte fondateur contraire.
Les Vendéens, les chouans, ne se soulevaient pas pour imposer l'Etat partout, le totalitarisme, aux autres habitants de France. Ils n'étaient pas agresseurs, ils étaient agressés. Ils ne souhaitaient pas imposer, ils souhaitaient qu'on ne leur impose pas. Ils se soulevèrent contre l'Etat, pour refuser son intrusion dans la sphère privée, pour l'empêcher d'organiser tout, de réglementer tout, d'installer une loi unique régissant tout et tous, jusques et y compris - et surtout - dans les consciences. Les paysans vendéens, les chouans ne se sentaient pas porteurs d'un modèle parfait qu'ils prétendaient imposer aux autres. Ils demandaient simplement que l'Etat ne sorte pas de sa sphère, et ne s'arroge pas le pouvoir sur les consciences. Ils voulaient qu'on les laisse en paix, et qu'on les laisse vivre comme ils l'entendaient.
Les Vendéens - et Louis XVI en refusant la Constitution civile du Clergé et ce qui en découlait - sont bien les premiers résistants de France, et du monde, au totalitarisme qui pointe à la fin du XVIIIème, et qui va ravager la terre, sous ses diverses formes - diverses mais semblables, au fond - au XXème.
Ce combat de titans entre libertés et oppression étatique dure encore. Le cycle révolutionnaire se poursuit et durera jusqu'à son épuisement. Jusque-là, pour reprendre le beau titre d’Arte pour l'une de ses émissions, on appellera les Vendéens « Dissidents : les artisans de la liberté... »
Depuis plus de deux siècles maintenant, les victimes attendent non pas la vengeance, mais la Justice : qu'avec la reconnaissance officielle du Génocide vendéen, il soit mis fin au négationnisme, au mémoricide dont se rend coupable le Système actuel, héritier des crimes de 1793-1794 et du régime totalitaire qu'ils ont imposé à la France.
C'est cela que nous marquons, chaque 21 janvier : et c'est un acte politique fort, tout au contraire d'une vaine nostalgie. Par le rappel de cette date fatidique et de son sens profond, nous redisons chaque année aux Français d'où vient leur décadence, quand et comment elle a commencé. Et nous leur disons que le seul combat qui vaille est celui de proposer le rejet de ce régime, un régime totalement en crise aujourd'hui, mais qui reste fondé sur les mensonges, les erreurs et les horreurs du Terrorisme révolutionnaire.
Voilà pourquoi nous vous invitons tous à nous rejoindre et à participer aux différentes cérémonies et manifestations qui auront lieu dans toute la France, et qui sont d'ailleurs chaque année plus nombreuses et plus suivies. ■
Annonces
Nous publierons rapidement le tableau récapitulatif de toutes les cérémonies et manifestations qui nous seront signalées, liste - toujours très longue - qui sera mise à jour au fur et à mesure que nous en aurons connaissance.
Les organisateurs peuvent d'ores et déjà, nous en communiquer les détails, pour être publiés ici.
Courriel : lafautearousseau@outlook.fr
Réflexions sur Noël • Noël, l'espérance au-delà des désespérances...
Crèche de Noël en Provence
Par Jean-Philippe Chauvin
La fête de Noël n’est pas un moment ordinaire et le croyant y trouve aussi des raisons d’espérer quand l’incroyant la vit surtout comme le retour des joies et des plaisirs simples de la table et de la famille, mais c’est toujours, pour l’un comme pour l’autre, la joie de Noël qui s’exprime.
Les enfants attendent la récompense de leur premier trimestre studieux, chantant parfois le soir autour de la crèche qui, elle, attend son principal personnage, déposé délicatement sur son lit de paille dans la nuit de la Nativité. Tant de souvenirs me remontent à la mémoire, en ce jour particulier qui s’annonce : autour de la grande crèche familiale, nous nous retrouvions le soir, à l’orée du coucher, et nous allumions les petites bougies colorées avant d’entonner quelques chants, invariablement clos par un vibrant et harmonieux « In excelsis Deo ». Ce rituel ne cessait pas lorsque j’étais chez mes grands-parents Lechaptois, mais la crèche était alors toute petite et en plastique, ce qui n’enlevait rien à ma ferveur enfantine et à celle de Mamé. Jours heureux…
Aujourd’hui, si je suis plus près de l’hiver que de l’enfance, je n’ai pas perdu mes espérances de Noël, même si les années passées ont effacé tant de visages familiers, les réduisant au souvenir parfois attristé, à cette nostalgie qui m’envahit parfois plus que de raison, celle d’un monde ancien qui était le mien avant que de devenir celui, incertain, des temps contemporains. Les événements récents n’incitent pas forcément à l’optimisme mais doivent susciter, dans le même temps, une espérance « raisonnable » mais aussi, sans être contradictoire, « passionnée ».
L’agitation automnale du pays, qui s’est couverte de jaune fluo, a étonné, effrayé parfois, suscité tant d’espoirs quand elle exprimait tant de colères, et ses éclats se sont fichés dans le mur des certitudes gouvernementales, au point d’en briller jusqu’aux palais lointains des puissants de ce monde-ci. Les ronds-points, lieux incontournables et pourtant négligés de notre société, ont été les espaces d’où les « personnes des recoins » ont crié leurs désespérances, leurs peurs, leurs émotions, leurs sentiments, mais aussi leurs résistances à l’air du temps, aux oukases venus « d’en haut », de Paris ou de Bruxelles… Les « perdants de la mondialisation » ont ensuite gagné la rue, et cela s’est vu et entendu, au point de réduire la République à s’enfermer dans le palais de Madame de Pompadour derrière des murailles de fer et d’acier gardées par des troupes nombreuses et casquées… « Quand l’ordre n’est plus dans l’ordre, il est dans la révolution », affirmait Robert Aron (et non son homonyme Raymond), et le samedi 1er décembre a semblé lui donner raison, au moins quelques heures, avant ce « retour à l’ordre » qui, derrière lui, a laissé gravats et ressentiments, mais aussi l’impression d’un nouveau rapport de forces, moins favorable au « Pays légal » et à sa République cinquième…
Ces événements, inattendus et largement inédits, ne peuvent laisser indifférent : s’il y a eu cette « grande peur des bien-pensants » qu’évoquait déjà le royaliste Bernanos en son temps et qui a parcouru les élites mondialisées et une part des bourgeoisies urbaines bousculées en leurs centres-villes par des foules de jaune vêtues, il y aussi eu des « moments d’espérance », parfois cachés par des violences (émeutières comme répressives) dont certaines étaient tout aussi inacceptables que le mépris des dominants à l’égard des Gilets jaunes et de leurs revendications, voire de leur être même. La convivialité observée sur les fameux ronds-points, le retour de solidarités anciennes que l’on croyait disparues, la joie de se retrouver comme communauté de destin malgré des situations fort différentes… Tout cela ne peut être négligé, et constitue déjà des milliers de souvenirs et d’histoires particulières qui s’entremêlent et s’embellissent parfois, sources d’une nouvelle mémoire populaire et, pour demain, d’une histoire qui ne sera pas la seule propriété des historiens.
De cela, surgit aussi une espérance passionnée, celle d’un changement, d’une rupture avec ce monde, cette mondialisation sans entraves ni racines, cette bétonisation des vies et des imaginaires, et d’une nouvelle prospérité, qui n’est pas forcément celle d’une croissance démesurée ou simplement économique. Est-elle réductible à l’espérance raisonnable, celle d’une amélioration du pouvoir d’achat compatible avec les règles économiques qui régentent notre pays et le monde contemporain ? Non, évidemment non, car « on n’est pas amoureux d’un taux de croissance », comme le clamait un slogan royaliste de la fin des années 1980 évoqué dans la publication d’alors des lycéens d’Action Française, Insurrection, titre provocateur pour une revue aux plumes alors prometteuses que l’on retrouve désormais dans quelques grands journaux d’aujourd’hui… Toute espérance dépasse la simple raison, autant raisonnement que sagesse : elle constitue une sorte d’au-delà des possibilités mais elle motive l’action et la réflexion, pour « rendre possible ce qui est nécessaire (ou ce qui est souhaitable »), et doit éviter l’hubris (la démesure), toujours dangereuse et perturbatrice. Ce sera sans doute l’enjeu des prochains mois, de la prochaine « saison » des Gilets jaunes ou de leurs successeurs. Il s’est levé, en ces temps incertains, une espérance qui, d’inquiète, est devenue vive, active, réactive… Il faut souhaiter qu’elle ne devienne pas cyclone destructeur mais qu’elle soit porteuse du meilleur possible pour notre pays et nos compatriotes, mais aussi pour ceux qui regardent la France avec amour ou simple curiosité. Bien évidemment, rien n’est sûr, mais le pire encore moins si les royalistes et les hommes de bonne volonté savent donner à l’espérance des formes heureuses et vigoureuses tout à la fois.
En tournant mes regards vers la crèche de cette veille de Noël, je discerne les visages des santons comme ceux des spectateurs du moment : tous semblent attendre, dans une sorte de patience tranquille… Croyants et incroyants, réunis dans l’espérance. L’espérance universelle de Noël, et particulière d’un Noël pour la France… ■
Mais à qui profite donc l'antisémitisme imputé à Charles Maurras ?
On aurait bien du mal à dénombrer tout ce qui s'est dit et écrit sur l'antisémitisme de Charles Maurras en l’année de son cent-cinquantenaire. Et de façon trop systématique pour être pensé et véridique.
Il a été beaucoup moins question de sa philosophie, sa politique, son esthétique, son œuvre littéraire, sa poésie. Et de cette soif d'enracinement qui anime les révoltes d'aujourd'hui et fut à l'origine de son entrée en politique. Au fond, malveillance, ignorance et paresse d'esprit se sont conjuguées pour qu'il en soit ainsi. A la surface des opinions l'antisémitisme a prévalu.
On ne sache pas que jamais Maurras ni aucun de ses disciples, ni aucun des membres de l'Action française, hier et aujourd’hui, aient eu quelque jour l'intention de faire le moindre mal physique ou autre à un quelconque Juif, justement parce qu'il eût été juif.
Ce que l'on nomme l'antisémitisme de Maurras, que l'on met bien à tort et tout à fait abusivement, au centre de sa vie, de sa pensée et de sa politique, s'apparente en fait à son anti-protestantisme, à son anti-romantisme, à son anti-germanisme, etc. Cet antisémitisme philosophique et politique est parfaitement étranger et parfaitement innocent du sort tragique fait aux Juifs dans les années 30 et 40, par de tout autres acteurs de l'Histoire. Que Maurras et l'Action française avaient du reste toujours combattus.
Pour quelles raisons profondes Maurras s'opposait-il au romantisme, ou plutôt à un certain romantisme, au germanisme, au protestantisme, au sémitisme, liés, selon lui, par un fond commun contraire au génie national ? C'est là une suite de grands sujets qui mériteraient des études sérieusement menées et qui ne peuvent l'être qu'à partir d'un ensemble de solides connaissances philosophiques, littéraires et historiques et dans une absolue liberté d'esprit. Notre propos ici est plus modeste. Il n'est que de pointer une injustice et d'en dire les ressorts.
De fait, les événements dramatiques des années 30 et 40 ont investi le vieil « antisémitisme » fin XIXe - début XXe siècle d'une résonance nouvelle et d'un sens inédit éminemment tragiques qui, sans-doute, rendent le terme inemployable aujourd'hui, sans pour autant le disqualifier en soi-même. Car est-il ou non permis de critiquer une tradition politique, littéraire, philosophique ou religieuse, que l'on estime contraire ou simplement étrangère à la tradition à laquelle soi-même on appartient et que l'on considère menacée ? Ceux - fût-ce la communauté juive - qui prétendraient imposer un tel interdit, une telle restriction â la liberté de discussion et de pensée, feraient preuve, selon l'expression employée naguère par le président Mitterrand en de pareilles circonstances, d'une prétention excessive. Et ceux qui s'y soumettraient abdiqueraient tout simplement leur liberté de penser, discuter, controverser.
Antisémite autour des années 1900, au sens que le mot avait alors, Maurras ne fut jamais privé de solides amitiés juives, ni de la liberté de discussion, de controverse ou de polémique, ni des plus cordiales relations, dans le monde et dans la vie intellectuelle française, avec les Juifs les plus illustres de son temps. Proust, Kessel, Halévy*, par exemple. Ils ne prétendaient pas alors à cette sorte de sacralisation ou de sanctuarisation de leurs personnes et de leur cause qu'ils considèrent leur être due aujourd'hui et qui de facto leur est en quelque sorte reconnue. C'était avant les drames des années 30 et 40 et bien avant le nouvel antisémitisme actuel, agressif et violent, qui ne se loge plus guère que dans les milieux islamistes et d'ultragauche. Maurras pratiquait la polémique en termes qui furent parfois violents, selon le style du temps. Aujourd'hui, on agresse, on torture et on tue.
Alors pourquoi cette réduction pavlovienne de Maurras à son antisémitisme, abusivement confondu avec celui qui prévalut au cœur des années noires ? Alors que sa pensée couvre tant d'autres sujets et domaines essentiels ? Et que la question juive n'y est pas centrale ? Peut-être tout simplement comme utile et commode bouc-émissaire, comme l'antisémite expiatoire à qui l'on fait endosser, porter le chapeau d'un antisémitisme qui fut en réalité celui de toute une époque, toute une société et d'une multitude de personnalités de droite, de gauche ou d'extrême-gauche dont il serait aisé mais gênant pour les intéressés ou leurs successeurs de dresser la liste innombrable. Maurras pour occulter leurs écrits et leurs paroles ? Conjurer leurs hontes et plus encore leur crainte qu'un certain passé collectif, le leur, ne remonte à la surface de la mémoire publique ? Maurras seul responsable, seul désigné pour endosser, prendre sur lui, et occulter cette réalité ? Chargé de tous les péchés d'Israël pour en dédouaner tant et tant d'autres ?
Ce n'est pas là qu'une hypothèse. C'est le fait. Ne soyons pas dupes. Et sachons que nous n'avons aucune raison de rougir des maîtres que nous nous sommes choisis ni de plier leur héritage aux impératifs catégoriques de la doxa. Si ces lignes ont une raison d’être, dans le contexte actuel si différent de celui évoqué ici, c’est pour cette conclusion. ■
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* Le cas Daniel Halévy est exemplaire.
Héritier d'une lignée de grands intellectuels français juifs - son père, Ludovic Halévy avait été académicien français, son frère ainé Élie fut un philosophe célèbre en son temps - Daniel Halèvy avait pour Maurras une amitié et une admiration qui ne se démentirent jamais. Dans Un siècle une vie, Jean Guitton en a dit ceci : « Il avait un culte pour Charles Maurras, qui était pour lui le type de l'athlète portant le poids d'un univers en décadence. ». Halévy qui est l'auteur d'ouvrages majeurs (La fin des notables, Essai sur l'accélération de l'Histoire, etc.) mourut en 1962, dix ans après Maurras, dans des dispositions d'esprit et de cœur inchangées à son endroit. Ajoutons au titre biographique que la mère de Daniel Halévy était une Breguet (les horlogers et avionneurs) et que ni son maurrassisme profond ni sa fidélité à la personne de Pétain ne l'écartèrent des élites dominantes de son temps. Il fut le beau-père de Louis Joxe, résistant et ministre du général De Gaulle, et le grand-père de Pierre Joxe, le président du Conseil Constitutionnel. ■
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« Lettres d’Ailleurs au Prince qui vient » : Louis XIV au prince Jean de France
Par Jacques Trémolet de Villers
Nos amis du blog de La Couronne ont eu la bonne idée de publier hier ces lignes signées de Jacques Trémolet de Villers, reprises de son livre Lettres d’Ailleurs au Prince qui vient, paru en 1999. Nous avons décidé de les reprendre à notre tour en appui de notre article qui précède, Des origines à nos jours, la branche actuelle de la Famille de France. LFAR
« Nous ne sommes pas et nous n’avons jamais été des prétendants. Nous sommes des serviteurs. »
« Mon cher neveu,
Et aussi pour une part que j’ai trop aimée, mon cher fils, ce que j’ai à vous dire est simple et grave. Mais c’est moi, et moi seul qui puis vous le dire. Vous êtes l’héritier légitime, le seul héritier légitime du trône de France, au regard des lois de succession, du droit international, du droit interne et du respect de mes volontés qui ont été déterminées par le seul intérêt de la France et de la paix en Europe.
Quand, j’ai envoyé la chair de ma chair et le sang de mon sang régner sur le Trône d’Espagne, ce fut, à la condition expresse, absolue, irrévocable, jurée devant l’Europe entière sur ce que nous avons de plus sacré, que ceux qui devenaient ainsi les Bourbons d’Espagne s’attachaient à l’Espagne et, en preuve irrévocable de cet attachement, renonçaient, pour eux et pour leurs descendants, à toute prétention à la couronne de France. Ce qui est dit est dit. Ce qui est juré est juré. Le respect de la parole donnée, la foi jurée des traités sont les conditions premières de la vie nationale et internationale. Nous ne sommes pas de la race de ceux qui renient ou les déchirent comme chiffon de papier. Nous nous interdisons de revenir dessus. Nul n’a le droit de rendre ses ancêtres parjures.
Depuis la fin de l’ère féodale et l’émergence des nations chrétiennes, les dynasties des grandes nations, et de la France en tout premier lieu, sont nationales. Ce qui signifie qu’elles épousent le sort de leur peuple, qu’elles vivent avec lui, en lui, de ses espoirs et de ses craintes. Elles sont dans le cœur du peuple comme le peuple est présent dans leur cœur. C’est pour que mes enfants servent loyalement l’Espagne que j’ai accepté qu’ils ne soient plus Français, espérant que par ce sacrifice, qui n’est pas sans analogie avec celui qui fut demandé à Abraham (…), je ferai d’une Europe d’adversaires une Europe de frères ou de cousins, seule façon plausible d’en faire une Europe de paix. Mais je savais aussi, par expérience acquise comme par raison naturelle et leçon d’histoire, que chaque famille, chaque nation doit d’abord être maîtresse chez elle.
L’important, pour nous autres Bourbons, n’était pas le renom des Bourbons. L’important, le primordial, notre raison d’être, c’était la France, et, pour ceux qui sont devenus d’Espagne, c’était l’Espagne. Nous ne sommes pas et nous n’avons jamais été des prétendants. Nous sommes des serviteurs, ou nous ne sommes rien. Nous sommes les serviteurs de l’État, les défenseurs de la république et les protecteurs de l’intérêt privé des Français, particulièrement des plus humbles. Là réside notre légitimité, et, là seulement. Elle n’est pas dans notre patronyme, non plus que dans exégèses de juristes qui prétendent que les renonciations auxquelles j’ai demandé à mes enfants de procéder seraient nulles ou non avenues. Un héritage ne se divise pas. C’est de moi, de mon sang, de mes filiations qu’ils tiennent leur droit. Ils l’ont reçu, ce droit, avec les réserves et les limites que je leur ai fixées. Qui viendra réformer ma décision ? Un aréopage de professeurs de droits et d’historiens va-t-il constituer une cour suprême qui jugera de la validité des décisions royales ? Mais je ne réponds que devant Dieu de ce que j’ai décidé et, en matière de royaume, ce que j’ai lié est lié. Ce que j’ai institué a permis à l’Espagne d’être l’Espagne, à la France d’être la France (…) Qui ne voit que nos histoires, pour être cousines, n’en sont pas moins différentes ?
Et au moment où le peuple de France, plus que jamais dans son pèlerinage temporel, éprouve le besoin physique de se reconnaître dans un prince incontestable, au service de tous, le connaissant et vivant avec lui, la même soi-disant cour suprême voudrait que le seul légitime fût Espagnol ! Ne laissez jamais, mon neveu, les juristes et historiens, les philosophes et les hommes de lettres, usurper sur ce qui est votre autorité propre et tient en trois mots : le bon sens. Le métier du roi est de faire prévaloir, en toutes choses, le bon sens. C’est très simple à voir, et très difficile à réaliser, car le cœur de l’homme, même celui des rois, est prompt d’abord au sophisme et à la complication. Il y faut une éducation que j’ai reçue et que j’ai voulu transmettre aux miens, c’est-à-dire au peuple entier, aux générations à venir. J’ai fait le siècle classique, qui fut celui de la beauté, de la grandeur, du charme et de la lumière qui s’attachent au bon sens. C’était très humble et ce fut très noble.
Tenez bon, mon neveu. Vous arrivez, comme je suis arrivé, ce qui n’est pas donné à beaucoup, au moment opportun, vous voici venir quand il faut et comme il faut. Ne vous laissez pas ébranler et ne laissez pas vos fidèles se perdre dans des débats qui ne sont même pas divertissants. Balayez ces vieilleries. Vous êtes un homme d’action et non un mannequin pour revue nostalgique. L’heure est à l’action. Montrez qui vous êtes, mon digne et légitime héritier. » ■
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Lettres d’Ailleurs au Prince qui vient
Par Jacques Trémolet de Villers
Édition Dominique Martin Morin
Dans cet essai, Jacques Trémolet de Villers livre treize lettres, venues d’ailleurs, pour un prince d’ici, qui existe vraiment. Ces correspondants du ciel parlent à la terre. Les habitants de l’éternité s’adressent au prince de ce temps, le Prince Jean de France.
Exposition • Avant-gardes déconfites
Alexandre Deïneka, Lénine en promenade avec des enfants,1938. Musée Central des Forces Armées, Moscou. © Adagp, Paris, 2019
Par Richard de Sèze
La Russie soviétique est devenue un continent aussi fabuleux que le royaume du Prince Jean.
L’envie d’oublier – la nécessité d’oublier – se cumule avec la nostalgie intellectuelle pour un univers qui fut brièvement unifié au prix du totalitarisme mais réussit précisément à produire une totalité. Les amateurs se délectent des immeubles brutalistes, des abribus aberrants et des cimetières de statues communistes. Une utopie s’était enfin incarnée, on peut observer les traces tangibles d’une « dystopie ».
L’exposition a fait le choix de montrer la bascule entre deux conformismes, le socialisme et son vocabulaire des années 20, puis le réalisme socialiste lentement installé par Staline (1929) et les commissaires politiques qui le précédèrent (qu’on songe seulement à la manière dont Boulgakov, pour ne citer que lui, fut persécuté). L’art était rebelle, révolutionnaire et politique, il est devenu institutionnel, socialiste et politique, et le moins qu’on puisse dire c’est que le parti en place préférait la lisibilité et l’intelligibilité à tout. Le formalisme, l’expressionisme, le productivisme et le constructivisme, si aimables ou efficaces (les montages photographiques sont justement célèbres, comme Le Monde nous l’a rappelé naguère avec sa couverture dédiée à Macron) qu’ils nous paraissent aujourd’hui – mais peut-être ne les décryptons-nous qu’à la lumière de ce qui s’est passé depuis ? Il y a là un laboratoire fascinant d’ajustement social : le rêve des artistes progressistes était de produire un art populaire avec des formes élitistes, les soviétiques ont accouché d’un art réellement populaire avec des formes narratives classiques.
Le réalisme socialiste joue ainsi sur deux niveaux : la perception et la retranscription immédiate d’une réalité phénoménologique, pour ainsi dire, dans la lignée de la grande peinture d’histoire (qui perdura longtemps en Europe si l’on veut bien considérer toute la production artistique et non pas seulement ce que l’histoire de l’art française produit comme récit orienté), d’une part, et d’autre part une politique culturelle réaliste : si cela ne marche pas, si cela n’est pas facilement compréhensible, produisons les formes qui nous permettront d’obtenir l’effet visé et n’écoutons pas les artistes eux-mêmes qui maitrisent peut-être leur art mais ne savent pas en maîtriser la réception. L’avant-garde caracole si loin devant qu’elle se perd… Le pouvoir soviétique ira chercher du côté des peintres réalistes russes du XIXe, les Ambulants, dont le réalisme social et l’inspiration religieuse furent pervertis, les nouveaux réalistes ne peignant que des icônes à la gloire de Staline et des avenirs radieux peuplés de corps glorieux. A. Deïneka et A. Samokhvalov sont passionnants à cet égard, avec une Pause déjeuner au Donbass (1935) où des corps d’athlètes nus courent vers le rivage, droit sur le peintre : les peintres enjolivent la réalité mais ont tout retenu des leçons des années 20. [Illustration ci-contre ©Thibaut Chapotot pour la Rmn-Grand Palais]
On peut regretter le mouvement, et on sent que l’exposition nous incline à le penser, même si elle s’essaye avec bonheur à faire découvrir des artistes ignorés ou mésestimés. Mais quand on lit, à l’entrée d’une salle, que « Les pièces de mobilier, généralement transformables ou mobiles, sont conçues [par les artistes productivistes] pour rendre à l’homme la maîtrise de l’objet. Restant à l’état de prototype faute de débouchés, elles sont néanmoins utilisées au théâtre, au cinéma ou dans certaines grandes expositions », on ne peut que constater l’échec : le peuple ne suit pas et n’a pas envie d’être guidé par de glorieux pionniers. La prétention constante de ces avant-gardes à imaginer et offrir des outils d’émancipation qui ne convainquent et ne libèrent personne est remarquable, et on sait que désormais il faut à la fois expliquer qu’on éclaire et se débrouiller pour être assez obscur pour que seule une élite sache vous apprécier. Pas de confrontation au réel de masse !
Quant au réalisme artistique politique, disons qu’avec Louis XIV cela produit quelques chefs d’œuvre officiels et des chefs-d’œuvre non officiels en nombre considérable mais qu’avec Staline ça aboutit à des tableaux aussi merveilleux que Lénine en promenade avec des enfants sous un beau soleil (1938), toile qui fait presque deux mètres de large, dans des tons joyeux et doux – et rien à côté puisque seul l’art officiel est autorisé. L’exposition est remarquable pour sa pédagogie de cette bascule inexorable, et la seconde partie, qui offre toutes les peintures conformes au nouveau régime, rassemble des tableaux étonnants autant par leurs qualités plastiques que par le décalage social qu’ils manifestent. La leçon est à la fois esthétique et politique, ironique et lointaine défaite de ses promoteurs. ■
Salomon Nikritine, Le tribunal du peuple, 1934. Huile sur toile. Moscou, Galerie nationale Tretyakov. © Collection de la Galerie nationale Trétiakov, Moscou
Rouge. Art et utopie au pays des Soviets. Paris, Grand Palais, jusqu’au 1er juillet 2019.
Richard de Sèze
SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITES DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS REEL DANS TOUTE LA FRANCE...
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Le Cercle Louis II de Bourbon à Clermont reprend ses activités.
Le Mercredi 2 Octobre à 19h sera une soirée consacrée à "L'histoire de l'Action Française".
En vue de lancer une section sur Compiègne, l'Action française vous invite à une réunion d'information le Vendredi 11 Octobre à 19h30.
Renseignement : compiegne@actionfrancaise.net
• PARIS, Dimanche 6 Octobre : Marche contre la PMA :
• Aix-en-Provence :
• PARIS CERCLE DE FLORE (10, rue Croix-de-Petits-Champs, 75001) :
à 20h,
10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.
PAF : 5€ (conférence) 10 € (conférence + buffet)
• Fadi El Hage sera l'invité du Cercle le Vendredi 4 Octobre pour une conférence autour de son dernier livre "Le sabordage de la noblesse. Mythe et réalité d'une décadence".
Une séance de dédicace ainsi qu'un buffet suivront la conférence.
• Michel Grunewald sera l'invité du Cercle le Vendredi 11 Octobre pour un entretien autour de son livre "De la 'France d'abord' à la 'France seule' - L'Action Française face au national-socialisme et au Troisième Reich".
Une séance de dédicace ainsi qu'un buffet suivront la conférence.
• Pierre de Meuse sera l'invité du Cercle le Mercredi 16 Octobre pour une conférence sur le thème "Idées et doctrines de la contre-révolution".
Un buffet suivra la conférence.
• Jean-Pierre Deschodt sera l'invité du Cercle le Vendredi 25 Octobre pour son livre sur le socialisme :
Sur Radio Courtoisie : https://www.radiocourtoisie.fr/
1. Retrouvez Hilaire de Crémiers dans le libre journal de Jacques Trémolet de Villers, toutes les quatre semaines, à 18h...
Prochaines émissions : Jeudi 17 Octobre
2. Retrouvez Philippe Mesnard dans le libre journal de la réaction, toutes les deux semaines, à 21h30...
Prochaines émissions : Mardi 1er Octobre
LES MERCREDIS DE LA NAR :
A Paris, chaque mercredi, débat avec un conférencier, personnalité politique ou écrivain.
La conférence commence à 20 heures très précises (accueil à partir de 19h45 - Entrée libre, une participation aux frais de 2 € est demandée), elle s'achève vers 22h.
Un dîner amical est alors servi pour ceux qui désirent poursuivre les discussions (participation aux frais du dîner : 7 €).
Directeur de recherche en écologie marine, François Gerlotto a longtemps publié dans “Royaliste” des articles sur l’écologie et sur l’actualité scientifique sous le pseudonyme de François Villemonteix avant de signer depuis peu sous son nom. Notre collaborateur, membre du Conseil national de la NAR, a publié cet été un livre qui rassemble ses observations et réflexions : “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”.
Entre les annonces apocalyptiques et la négation radicale de l’urgence écologique, il est impossible de faire un choix raisonné car les discours antagonistes ont une base scientifique faible ou inexistante. C’est à partir d’une connaissance précise des phénomènes démographiques et climatiques qu’il est possible d’anticiper des bouleversements qui ne menacent pas la planète, comme on le dit trop souvent, mais notre civilisation. Il est encore possible de répondre à l’urgence écologique mais à des conditions politiques qui seront explicitées par notre invité.
Il sera possible d’acquérir le livre sur place (16 €). Ou sur notre site internet : http://nouvelle-action-royaliste.fr/boutique/presentation/editions-nar/cataclysme-ou-transition (19,80 € frais de port compris).
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Renseignement : compiegne@actionfrancaise.net
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• PARIS CERCLE DE FLORE (10, rue Croix-de-Petits-Champs, 75001) :
à 20h,
10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.
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• Michel Grunewald sera l'invité du Cercle le Vendredi 11 Octobre pour un entretien autour de son livre "De la 'France d'abord' à la 'France seule' - L'Action Française face au national-socialisme et au Troisième Reich".
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• Pierre de Meuse sera l'invité du Cercle le Mercredi 16 Octobre pour une conférence sur le thème "Idées et doctrines de la contre-révolution".
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Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Le Cercle Pierre Boutang de la section Versaillaise vous attend nombreux à la prochaine conférence dont le thème sera "l'empirisme organisateur" animée par Monsieur Francis Venciton. Rendez-vous le Mardi 8 Octobre à 20h !
En vue de lancer une section sur Compiègne, l'Action française vous invite à une réunion d'information le Vendredi 11 Octobre à 19h30.
Renseignement : compiegne@actionfrancaise.net
• PARIS, Dimanche 6 Octobre : Marche contre la PMA :
• Aix-en-Provence :
• PARIS CERCLE DE FLORE (10, rue Croix-de-Petits-Champs, 75001) :
à 20h,
10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.
PAF : 5€ (conférence) 10 € (conférence + buffet)
• Fadi El Hage sera l'invité du Cercle le Vendredi 4 Octobre pour une conférence autour de son dernier livre "Le sabordage de la noblesse. Mythe et réalité d'une décadence".
On accuse souvent la Noblesse d'avoir au XVIIIème Siècle renié sa vocation et sa raison d'être. Mais qu'en est-il réellement ?
La Noblesse Française fut-elle vraiment décadente ? Pour démêler le vrai du faux, Fadi El Hage retrace son histoire au XVIIIème Siècle, dans toutes ces composantes, de l'aristocratie versaillaise aux vieilles familles prestigieuses mais désargentées, sans oublier la noblesse de robe.
Venez découvrir les conclusions de son enquête.
Une séance de dédicace ainsi qu'un buffet suivront la conférence.
• Michel Grunewald sera l'invité du Cercle le Vendredi 11 Octobre pour un entretien autour de son livre "De la 'France d'abord' à la 'France seule' - L'Action Française face au national-socialisme et au Troisième Reich".
Une séance de dédicace ainsi qu'un buffet suivront la conférence.
• Pierre de Meuse sera l'invité du Cercle le Mercredi 16 Octobre pour une conférence sur le thème "Idées et doctrines de la contre-révolution".
Un buffet suivra la conférence.
• Jean-Pierre Deschodt sera l'invité du Cercle le Vendredi 25 Octobre pour son livre sur le socialisme :
Les Mardi de Politique magazine
Sur Radio Courtoisie : https://www.radiocourtoisie.fr/
1. Retrouvez Hilaire de Crémiers dans le libre journal de Jacques Trémolet de Villers, toutes les quatre semaines, à 18h...
Prochaines émissions : Jeudi 17 Octobre
2. Retrouvez Philippe Mesnard dans le libre journal de la réaction, toutes les deux semaines, à 21h30...
Prochaines émissions :
LES MERCREDIS DE LA NAR :
A Paris, chaque mercredi, débat avec un conférencier, personnalité politique ou écrivain.
La conférence commence à 20 heures très précises (accueil à partir de 19h45 - Entrée libre, une participation aux frais de 2 € est demandée), elle s'achève vers 22h.
Un dîner amical est alors servi pour ceux qui désirent poursuivre les discussions (participation aux frais du dîner : 7 €).
Directeur de recherche en écologie marine, François Gerlotto a longtemps publié dans “Royaliste” des articles sur l’écologie et sur l’actualité scientifique sous le pseudonyme de François Villemonteix avant de signer depuis peu sous son nom. Notre collaborateur, membre du Conseil national de la NAR, a publié cet été un livre qui rassemble ses observations et réflexions : “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”.
Entre les annonces apocalyptiques et la négation radicale de l’urgence écologique, il est impossible de faire un choix raisonné car les discours antagonistes ont une base scientifique faible ou inexistante. C’est à partir d’une connaissance précise des phénomènes démographiques et climatiques qu’il est possible d’anticiper des bouleversements qui ne menacent pas la planète, comme on le dit trop souvent, mais notre civilisation. Il est encore possible de répondre à l’urgence écologique mais à des conditions politiques qui seront explicitées par notre invité.
Il sera possible d’acquérir le livre sur place (16 €). Ou sur notre site internet : http://nouvelle-action-royaliste.fr/boutique/presentation/editions-nar/cataclysme-ou-transition (19,80 € frais de port compris).
Les moutons de Panurge, parqués dans « la cage aux phobes » par les commissaires politiques gauchistes, qui se sont emparés des salles de rédaction, subissent l’endoctrinement orwellien de la repentance, et se battent la coulpe en regrettant toutes leurs « phobies ». Ainsi donc, il y aurait de « l’islamophobie » dans l’air de notre pays ? Une phobie est une peur pathologique, irrationnelle, et non une haine comme on le fait croire en semblant confondre les « phobies » avec le « mal absolu », le racisme. On peut ne pas aimer l’islam, ce n’est pas une race, mais une religion et tout un chacun a le droit de repousser une opinion, et donc une religion. Cela n’a rien à voir avec le racisme qui exclut non pour ce que l’on fait, ou que l’on croit, mais pour ce que l’on est. Après les attentats récurrents, devant le spectacle de violences qui marque trop souvent le monde musulman, la crainte de l’islam n’est pas une phobie, mais le début de la sagesse. Il ne s’agit pas ici de la peur de « l’Autre », mais de la résistance à un autre qui refuse lui-même l’altérité et rejette la réciprocité. La comparaison entre la situation des juifs durant l’occupation et celle des musulmans en France aujourd’hui est l’expression de la mauvaise foi sans scrupules de ceux qui dénoncent l’islamophobie. Des musulmans se distinguent par leur vêtement alors que rien ne les y oblige. Les Juifs étaient tenus de porter l’étoile jaune. Ils étaient exclus de la fonction publique et de certaines professions. On découvre tardivement que l’accès des islamistes à certains emplois est un danger pour le pays alors qu’aucun texte ne leur interdit d’y accéder. Des dizaines de milliers de juifs ont été déportés et assassinés avec la complicité de l’Etat français. Des millions de musulmans ont été accueillis en France dans un pays étranger à l’islam, mais qui a voulu appliquer ses grands principes de liberté, d’égalité et de fraternité, principes ignorés d’une religion qui prône l’inégalité entre les sexes, entre les croyants et les infidèles et évoque l’esclavage sans complexe dans ses textes, qui n’admet la fraternité qu’à l’intérieur de la communauté des croyants et ne comprend la liberté que dans la soumission volontaire. C’est ce que proclament les femmes qui se voilent, et l’on voudrait que cette apologie de la servitude devienne le dogme d’un peuple dont toute l’histoire affirme le contraire ! Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...) Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés... Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc... Après avoir appuyé la grande manif du 6 octobre, lafautearousseau appuie les suivantes : Manifestations contre la PMA les 1er décembre, 19 janvier, 8 mars, 17 mai et 14 juin prochains... • Conférences, Réunions, Cercles de formation, Manifestations diverses... dans la France entière... Lundi 11 Novembre, l'Action française Bordeaux rendra hommage à tous ceux qui se sont sacrifiés pour la France. Plus d'informations en message privé. Lundi 11 Novembre, l'Action Française Toulouse rendra hommage aux soldats morts pour la France afin de ne jamais oublier ceux qui ont combattu pour que notre patrie reste libre. Plus d'informations sur la commémoration : e-mail (toulouse@actionfrancaise.net) ou MP ! Lundi 11 Novembre dès 18h30, place Carnot, l'Action française Lyon au coté de leurs amis serbes vous attendent nombreux afin de célébrer l'amitié franco-serbe en commémorant nos ancètres lors de l'hommage aux morts de 14-18. A cette occasion, une messe, un souvenir du poilu (rassemblement avec flambeaux) et un banquet (PAF : 10 €) auront lieu. Le 11 Novembre est traditionnellement la date d’une double commémoration pour l’Action française. D’une part, elle marque le souvenir de l’armistice du 11 novembre 1918 et des camelots tombés au champ d’honneur lors de la Grande Guerre. D’autre part, elle est l’occasion d’un hommage aux lycéens et aux étudiants du 11 novembre 1940 qui défièrent l’envahisseur allemand en défilant malgré l’interdit de célébrer la victoire de 1918. Entrainés par la Corpo de Droit (alors sous influence royaliste), plusieurs milliers de manifestants (parmi lesquels se trouvaient Alain Griotteray ou Roger Nimier) marchèrent sur la place de l’Étoile, convergeant vers la tombe du Soldat Inconnu. 155 d’entre eux furent incarcérés. Ce Lundi 11 Novembre, la Fédération d’Ile de France de l’Action française invite les Parisiens à se rassembler à 19h30 devant la plaque commémorative située en haut des Champs-Élysées (côté pair) pour célébrer la mémoire de ces premiers résistants. La voix des anciens, la voie de la résistance ! Lundi 11 Novembre à 20h00, l'Action Française Clermont Ferrand rendra hommage à tous ceux qui sont tombés pour préserver notre France. L'Action française Nantes vous invite à son Cercle Luc Robet dont le thème sera "Pensée Chrétienne" animé par Christophe Bertin le Mardi 12 Novembre à 20h00. Mardi 12 Novembre à 20h, l'Action française Versailles vous convie à son Cercle Pierre Boutang dont le thème sera "le nationalisme intégral" animé par un militant. Mercredi 13 Novembre à 20h00, l'Action française Toulon accueillera Julien Langella pour une conférence à laquelle il présentera son ouvrage " Catholiques et Identitaires". Ce Jeudi 14 Novembre de 19h00 à 21h00, conférence-débat de Martial Bild, avec la participation d'Anne Brassié, sur le thème "Information et liberté d'expression" à la salle Porquerolles, Maison de la Méditerranée, rue du Commandant Infernet à Toulon. Entrée libre avec apéritif d'accueil. Martial Bild et Anne Brassié auront le plus grand plaisir de vous compter parmi eux à cette occasion et comptent sur votre présence. Merci d'avertir de votre présence par retour de ce courriel à l'adresse developpement@tvlibertes.com ou au 06 29 25 40 85. Vendredi 15 Novembre à 19h00, la Fédération Royaliste du Maine et de l'Anjou, la Restauration Nationale et l'Action française du Maine et de l'Anjou vous convient au diner-débat avec Phillippe Mesnard (Journaliste, Rédacteur en chef de Politique Magazine) dont le thème sera "la République française : Vers un Etat totalitaire". Un pot de l'amitié sera servi à 19h00. La conférence débutera à 19h45, elle sera suivie d'un débat, auquel succèdera le diner. Respect de l'horaire recommandé ! PAF : 18€ (adultes), 9€ (étudiants, ecclésiastiques, chomeurs) Vous etes donc attendus, le plus nombreux possible, à la Salle socio-culturelle de COSSE-EN-CHAMPAGNE (53340). La salle socio-culturelle est située à la sortie du bourg de Cossé en direction d'Avessé-Brulon, sur la droite. (prendre la 1ère ruelle à droite après la place située devant l'école - pancartes "Pont muletier", "chemin de la Ragottière"). Courriel : xavier.d-albaret@orange.fr Tel : 02.43.98.43.44/06.25.75.26.90 Ce Vendredi 15 Novembre à 19h30, l'Action française Compiègne vous convie à son cercle dont le thème sera "nationalisme et monarchie". Inscription obligatoire avant le Mardi 19 novembre PAF : 30€ adhérents/ 35€ sympathisants Renseignement : contact@cercledeflorelyon.fr Vendredi 22 Novembre à 19h30, l'Action française Strasbourg vous invite à son cercle dont le thème sera "Le nationalisme intégral" animé par un militant d'Action française, diplômé en histoire. Retour sur la manif soi-disant anti islamophobe : Une manifestation qui prend les Français pour des idiots ! par Christi
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