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  • Emmanuelle Ménard : « Les 35 citoyens pour la campagne vaccinale, c’est la nouvelle marotte du gouvernement. Dès qu’on n

    Les 35 citoyens tirés au sort chargés de suivre la campagne de vaccination sont-ils destinés à remplacer l’Assemblée nationale ?

    Réaction d’Emmanuelle Ménard, qui se plaint que la ville de Béziers ne soit toujours pas pourvue de vaccin pour ses EHPAD. Après le fiasco des masques et des tests, le fiasco des vaccins ?

    https://soundcloud.com/bvoltaire/emmanuelle-menard-649179157

    35 citoyens français seront tirés au sort pour contrôler et proposer des idées au gouvernement dans la gestion de la mise en place de la vaccination des Français contre le Covid-19. Cette décision fait évidemment hurler de gauche à droite. Finalement, on réinvente une espèce d’Assemblée nationale parallèle.

    C’est la nouvelle marotte de ce gouvernement. Dès qu’on ne sait plus quoi faire, on fait un tirage au sort. D’abord, cela me fait hurler de rire, puis me fait pleurer parce que c’est n’importe quoi. Ce n’est pourtant pas le 1er avril… Cela doit être une fois de plus le concept de poudre de perlimpinpin de monsieur Macron. Je ne sais plus quoi penser de tout cela tellement c’est absolument ridicule et désolant.

     

    Ce pays est gouverné en ce moment par un Conseil scientifique et de défense. L’Assemblée nationale sert de chambre d’enregistrement pour reprendre des critiques qu’on leur fait souvent. On se passe en quelque sorte de vos services…

    Cela n’a surtout ni queue ni tête. On ne sait pas très bien à quoi vont servir ces 35 citoyens qui doivent être tirés au sort d’ici le 10 janvier. Apparemment, ils doivent être un parfait reflet de la société française entre ceux qui sont contre le vaccin et ceux qui sont pour. C’est une espèce de chambre de participation citoyenne qui est peut-être là pour pallier une Assemblée nationale qui ne serait pas suffisamment aux ordres de Monsieur Macron. Je ne comprends pas.

    L’Assemblée nationale est en ce moment le petit doigt sur la couture du pantalon et obéit dès que monsieur Macron dit quelque chose. Je ne comprends pas pourquoi on continue à essayer de faire semblant. J’imagine que c’est probablement pour rassurer désespérément les Français. Ces derniers sont sceptiques à l’égard de cette campagne de vaccination. Il y a de quoi être sceptique lorsqu’on voit comment tout cela est mené.

     

    Au début, le débat était orienté sur le fait d’être ou non vacciné. Maintenant, les pros vaccin et anti vaccin sont tous d’accord pour se demander où sont passés ces vaccins. Le débat change d’un jour à l’autre, mais en réalité le débat d’aujourd’hui s’est réglé tout seul.

    Ce matin, nous avons appelé le préfet de l’Hérault parce qu’on s’étonnait de ne pas avoir de vaccins à Béziers. Pour l’instant, à Béziers personne n’a été vacciné. Les premières vaccinations auront lieu demain matin à l’hôpital. Dans les maisons de retraite municipales, les vaccins seront disponibles à partir du 20 janvier. On peut se demander pourquoi cela prend autant de temps, alors que les services de vaccination de la ville ont tous les moyens matériels et humains. C’est un vrai problème. Je ne sais plus quoi penser de ce gouvernement. Nous avons eu le fiasco des masques, des tests et maintenant nous avons le fiasco des vaccins. C’est quand même un problème de santé publique. Si ce n’était pas si important, on pourrait en rire et trouver que c’est un gag. Aujourd’hui, cela ne relève plus du gag, mais de l’incompétence crasse et notoire.

     

    Cette idée des 35 personnes, est-ce la démagogie ou une forme de populisme un peu dévoyée ?

    Pour moi, le populisme n’est pas forcément un gros mot. En revanche, c’est complètement démagogique et surtout ridicule. Cela n’a aucun sens !

     

    Emmanuelle Ménard

    Journaliste et essayiste
    Députée de l'Hérault.
     
  • Non, tout n’est pas glauque et sordide… il y a aussi une actu triste mais belle !, par Gabrielle Cluzel.

    Bien sûr, je pourrais vous parler des turpitudes d’Olivier Duhamel, connues, selon Ariane Chemin, par « toute l’élite bourgeoise de gauche qui côtoyait les Pisier-Kouchner, les Pisier-Duhamel », ou encore de la promotion d’Agnès Buzyn à l’OMS – on ne change pas une équipe qui perd. 

    gabrielle cluzel.jpegJe pourrais évoquer la campagne de vaccination – pour la rater si magistralement, le gouvernement, ne lésinant pas sur les moyens, a dû faire appel à un cabinet de conseil américain -, et aussi cet autre bad buzz d’importance qu’est le lissage brésilien de Marlène Schiappa sur Instagram – en attendant les implants capillaires de Jean Castex sur TikTok. C’est pourtant une autre actualité, humble, triste, mais belle celle-là, que je ne voudrais pas laisser passer. Parce que la France, si elle existe encore, s’y réfugie tout entière.

    Qui connaît Thierville-sur-Meuse ? Enfin, qui connaissait Thierville-sur-Meuse, avant que les chaînes d’information continue ne retransmettent, mardi, la cérémonie d’ aux soldats tués au , en direct du 1er régiment de chasseurs, sis à la périphérie de cette ville de la France périphérique qu’est… Verdun ? Florence Parly avait la voix étranglée par l’émotion, comme pour illustrer son discours : « Aujourd’hui, la France pleure, elle pleure dans le froid glacial du mois de janvier en se souvenant de la chaleur de vos âmes. » Puisqu’on liste volontiers les échecs de ce gouvernement, on peut aussi – c’est vite fait – relever ses réussites : ses discours sont à la hauteur de ce genre de circonstances, il se trouve toujours sans doute un épigone de Sylvain Fort ou de Camille Pascal pour prêter sa plume, et le résultat fait mouche. Dans un contexte d’hygiénisme échevelé, on notera que le mot « âme » a été lâché. Ouf, il n’est donc pas rayé du dictionnaire.

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    « Le froid glacial » de l’est de la France en hiver, les trois soldats de Lorraine l’ont sûrement éprouvé. Comme les deux soldats d’Alsace – du régiment d’Haguenau – auxquels hommage est rendu, ce jeudi. Le rythme, terrible, s’accélère… à peine le temps d’enlever les tréteaux de la cour des Invalides qu’il faut remettre le couvert. L’Alsace et la Lorraine ont le sol encore martelé des combats d’autrefois. Des régiments – clairsemés, à la localisation un peu décalée, tant on sait bien que le danger, aujourd’hui, ne vient plus de là – y demeurent. Peut-être parce que les déménager serait, pour l’armée, inutile et coûteux. Peut-être parce que détricoter le tissu social qu’ils constituent serait, pour ces petites villes, trop douloureux.

    Sur Boulevard Voltaire et ailleurs, la controverse fait rage : faut-il, ou non, rester au Mali ? Je n’en sais fichtre rien. Mais la grandeur des soldats se mesure-t-elle exclusivement à l’utilité de leur mission ? Puisqu’on parle de Verdun, la boucherie consanguine que fut la guerre de 14 nous fait l’effet, aujourd’hui, d’un grand gâchis, on ne déboulonne pas pour autant l’ossuaire de Douaumont. On pourrait même oser dire, pour rester sur les bords de Meuse, que le sacrifice de la bergère de Domrémy était un peu superflu : les Anglais ne sont, somme toute, pas si antipathiques. À l’époque, ils n’étaient même pas anglicans, et le comble est qu’aujourd’hui, le gouvernement français déplore qu’ils nous quittent par le Brexit !

    Parmi ces soldats, un Tahitien : le brigadier chef Tanerii Mauri. Né le 26 mai 1992 à Papeete, engagé le 2 août 2011 au sein du régiment d’infanterie de marine du Pacifique, il a demandé, par la suite, son affectation au 1er régiment de chasseurs. Il faut être fou, ou héroïque, pour choisir Verdun plutôt que Tahiti. Il faut aussi, et surtout, être fou ou héroïque pour accepter, en s’engageant, de marcher résolument vers une mort possible en vertu d’un bien commun supérieur à sa propre personne.

    Si l’on ne craignait pas de faire son Tertullien de comptoir ou son Psichari grandiloquent, on dirait que le sang des soldats est aux Français ce que celui des martyrs est aux chrétiens : une semence. Cela seul a du sens.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Histoire déconstruite, postérité détruite ?, par Thomas Perrigault.

    Il y a un an, les manifestations ébranlaient . Revendications légitimes ou non ? Là n’est pas le problème. Arrivé en France, ce mouvement commença, par ignorance historique, à dégrader différentes statues de héros français. Que ce soit celle de Colbert, de Napoléon Ier, voire de Léon Gambetta, beaucoup furent taguées et endommagées. Car, selon ces manifestants, tout ce qui est est criminel.

    8.jpgSuite à ces agissements simplistes, nous, jeunes citoyens français, avions décidé de créer le groupe Défendons notre patrimoine. Présents dans vingt-six villes différentes, et organisés via le réseau social Facebook, nous tentons de lutter. En nous interposant pacifiquement tout d’abord, entre les casseurs et les statues prises pour cible, pour empêcher leur destruction. Puis en effaçant les tags de ces monuments historiques, avec une bonne éponge et de l’huile de coude. Le maître mot : ne pas se résigner.

    En effet, comment est-ce possible qu’en France, au XXIe siècle, le moyen d’expression d’une minorité soit la destruction des biens communs ? Comment est-ce possible que les communes et les pouvoirs publics ne désencrassent pas rapidement ces statues dégradées alors que le temps est pour elles un poison mortel ?

    Ces derniers temps, bien que calmes en apparence, le patrimoine est régulièrement défiguré. Les villes s’enlaidissent de jour en jour. Un édifice historique religieux est détruit tous les quinze jours. Le béton a remplacé le charme si français des anciennes demeures, détruites quotidiennement, pour laisser place à d’immenses immeubles uniformes, et en totale inadéquation avec leur environnement. Les statues continuent d’être dégradées, dans l’indifférence totale, recouvertes de tags et laissées à l’abandon. Tout cela dans une désinvolture absolue du ministère de la Culture, qui accepte sans broncher : la chapelle Saint-Joseph à Lille, la Maison à Meudon ou bien la caserne Miribel à Verdun en sont des exemples parmi tant d’autres.

    En parallèle, le discours de déconstruction de notre Histoire se normalise. À l’heure où les États-Unis jouent à « qui aura l’idée la plus absurde », force est de constater que certains Français suivent tristement ce chemin, par fanatisme idéologique et par obscurantisme certain. Le concept de remise en cause systématique de ce qu’il s’est passé il y a des centaines d’années fait son chemin, que ce soit à l’, dans certains partis politiques et dans une frange de la population. La fierté historique étant peu présente dans le débat public.

    Pourtant, la plupart des Français refusent cette situation. Une majorité silencieuse, une majorité inactive, une majorité oubliée, mais une majorité respectueuse de notre Histoire existe encore en France. Bien qu’elle soit complètement endormie. En effet, 92 % des Français jugent qu’il ne faut pas débaptiser les noms de rue ou retirer les statues des personnages controversés de notre passé. (Sondage IFOP-Fiducial 2020).

    L’Histoire est le ciment qui nous relie mentalement à nos anciens. Le patrimoine est le ciment qui nous relie physiquement à notre passé. Ces deux sujets vont de pair. Dans une époque de fractures grandissantes, cette postérité doit nous rassembler. Que l’on ait des ancêtres gaulois ou non, chaque Français doit absorber cette Histoire, pour avoir un dénominateur commun. Sur la route vers l’avenir, le passé est notre guide. La trace de notre Histoire est indélébile. Elle permet d’homogénéiser le peuple et de le souder. Comme l’exprimait très justement André Malraux, c’est par ces pierres que les individus dépassent leurs haines et leurs combats pour s’unir fraternellement.

    La seule solution contre l’inculture historique : l’éducation. Enseigner une Histoire objective, apprendre les bons et les mauvais aspects du passé français, et surtout ne pas effacer les périodes conflictuelles. Ne pas y intégrer d’idéologie, quelle qu’elle soit. Enfin, ne pas constamment s’apitoyer sur notre mémoire, cela ne sert et n’amène à rien. Telle est la réponse à cette pétarade dogmatique.

    Néanmoins, la lutte continue. L’Histoire, l’art et l’urbanisme français ne doivent pas être oubliés. Cela concerne tout le monde, et cela doit nous rassembler, peu importe nos orientations et idées politiques. La seule solution possible ? Agir ! Se regrouper entre citoyens civilisés et intervenir quand on le peut. Nous sommes nombreux, montrons-nous ! Soyons fiers de ce que nous sommes.

    Notre association Défendons notre patrimoine est là pour ça, rejoignez-nous !

     

    Thomas Perrigault

    Fondateur du groupe Facebook “Défendons notre patrimoine”
     
  • En Afghanistan, les islamistes se rapprochent de la victoire, par Antoine de Lacoste.

    S’il y a un point sur lequel Donald et Joe Biden sont d’accord, c’est bien sur le fait d’abandonner leur allié afghan et de laisser le champ libre aux talibans. Ce nom exotique ne doit pas faire illusion : les talibans sont des islamistes purs et durs et une chape de plomb va probablement s’abattre à nouveau sur ce malheureux pays. 

    antoine de lacoste.jpgLe nom d’ « ultras- » revient trop souvent dans la presse française pour qualifier les talibans : cela relève de la pure et simple.

    Le processus d’abandon, engagé sous Donald Trump qui fit libérer de nombreux prisonniers talibans sans aucune contrepartie, s’est accéléré avec Biden qui a fixé au 11 septembre le départ du dernier soldat américain.

    La grande base de Bagram a déjà été évacuée et il n’y a plus guère que l’aéroport de Kaboul à être encore sous protection américaine. Cela devrait cesser d’ici peu. Après, l’ afghane sera seule face aux islamistes. Ces derniers ont déjà lancé plusieurs offensives dans le nord, montrant par là leur totale détermination à reprendre le contrôle du pays qu’ils avaient perdu après le 11 septembre 2001 et l’invasion américaine organisée en représailles des attentats.

    Plusieurs districts ont ainsi été facilement reconquis aux dépens de l’armée afghane qui a souvent fui sans combattre. Ce n’est pas nécessairement par lâcheté ou compromission, les choses sont plus complexes. Car l’armement dont disposent les soldats est souvent pitoyable avec des munitions inadaptées ou insuffisantes, la stratégie militaire est sommaire et la corruption endémique. Certains se sont battus courageusement mais ordre leur a été donné d’évacuer des postes ruraux intenables pour tenter la défense des grandes villes.

    Pourquoi pas. Mais tout de même, on se demande ce qu’ont organisé les Américains après vingt ans d’occupation et mille milliards de dollars dépensés. Ce chiffre, devenu symbolique aux Etats-Unis, exaspère les membres du Congrès dont beaucoup militent pour cesser toute aide financière à l’. C’est le syndrome de la guerre du Viet-Nam qui se renouvelle : les Américains, non contents d’avoir abandonné leur allié, ont ensuite cessé toute aide, militaire ou financière, précipitant sa défaite. Car en face, l’Union soviétique était toujours là pour ravitailler son allié. Saïgon est tombé deux ans après le départ américain une longue nuit meurtrière a commencé pour les malheureux vietnamiens et elle n’est toujours pas achevée.

    Les islamistes ont remplacé les communistes mais l’histoire est la même. Car derrière les talibans, il y a toujours le Pakistan, très actif dans son soutien aux talibans. Les Etats-Unis, désireux de pas se fâcher avec ce pays pour des raisons géopolitiques qui se défendent, a tout de même choisi de ne pas choisir, laissant les services secrets pakistanais organiser patiemment la reconquête du pays par le biais des talibans, sans cesse bombardés par l’aviation américaine. Au royaume de l’absurde, l’opération afghane tiendra une bonne place dans la stratégie américaine.

    L’inquiétude commence à croître dans les grandes villes et des règlements de compte se sont déjà produits. Une probable grande vague d’émigration aura lieu en cas de succès taliban, et certaines ambassades fermeront courageusement leurs portes.

    Qu’est-ce qui pourrait empêcher la victoire islamiste annoncée ? Un sursaut de l’armée afghane puisqu’aucune aide ne viendra de l’extérieur. Mais on l’a compris, il ne saurait être que provisoire car le temps joue en faveur des islamistes. Cela rappelle le propos d’un chef taliban tenus à un général américain et restés célèbres : « vous avez une montre mais nous, nous avons le temps ».

    Décidemment la politique extérieure américaine depuis trente ans n’est qu’un champ de ruines.

     

    Antoine de Lacoste

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    et ça continue ! On l'avait écrit ici-même : bientôt, ce sera un par jour ("un", c'est-à-dire un mort ou un fait de guérilla urbaine), puis un par demi-journée, puis un par heure... Hier, c'était à Oyonnax, petite ville naguère paisible de 20.000 habitants, dans  l'Ain : flambée de violences, voitures brûlées, mobilier urbain dégradé, scènes de guérilla urbaine en plein centre ville, les forces de l'ordre agréssées avec des tirs de mortiers et des cocktails molotov...

    La France est gangrenée par les racailles importées/imposées par le Système, et le désordre règne sur tout le territoire. L'arbre pourri produit des fruits pourris. C'est le Système qui nous a amenés là et c'est lui qu'il faut détruire !

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    https://www.valeursactuelles.com/societe/video-oyonnax-les-forces-de-lordre-agressees-avec-des-tirs-de-mortier-et-des-cocktails-molotov-125455

     

    À Saumur, un enseignant reprend un élève de 11 ans qui lui répond: "Tu ne me parles pas comme ça, tu vas voir, mon père va venir te décapiter !" Ne m'appelez plus jamais "Douce France" ! pourrait chanter Sardou... Évidemment "on" n'a pas donné le nom/prénom du terroriste en herbe, mais c'est bon, on a compris...
    Et, à Albertville :

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    Et "on" voudrait que l'on puisse - et que l'on veuille - "vivre ensemble", avec "ça" ?

     

    après l'ignoble acte de terrorisme islamiste de Vienne, la chancelier fait fermer sept mosquées et expulser cinquante imams. Combien en France après Nice ?
    à mourir de rire ! Surtout ne ratons pas l'occasion, elles sont si rares en ce moment ! Pour une fois que Macron fait quelque chose de bien (mais si peu, si tard...) et "ferme" l’ONG soi-disant humanitaire et auto-proclamée "de défense des droits humains" BarakaCity, son responsable - Idriss Sihamedi - demande officiellement l’asile politique au président Erdogan, le petit Hitler du Bosphore, ainsi que celle de son équipe et de lui même, qui subit - dit-il - des menaces de mort. Et le monsieur arrive à dire tout "ça" sans rire ! Chapeau ! Samuel Paty, les trois assassinés de Nice, Aurélie Chatelain, le Père Hamel et toutes les autres victimes des lâches assassins terroristes islamistes lui ont déjà répondu : eux, ce ne sont pas de prétendues menaces de mort qu'ils ont reçues, c'est la mort tout court, et atroce. Alors tu veux te "réfugier" (!) chez Erdogan, Idriss ? Tu as bien raison ! Et, comme dirait Mélenchon, "Dégage !" !
     
    "Heureusement il y a Findus !" chante la pub. Heureusement il y a Kelly, répond l'écho ! Kelly et les mousquetaires : Éric Zemmour, Éric de Riedmaten, Dimitri Pavlenko, Éric Revel, Régis Le Sommier, Harold Hyman, Alexandre Devecchio... Le grand bol d'air frais intellectuel de la journée, le décrassage des cerveaux, l'indispensable douche intellectuelle, qui tonifie et vivifie ! Qui fait oublier et dynamite le politiquement correct et nous fait réfléchir, une heure durant, comme des prisonniers dont on a soulevé la chape de plomb qui les enferme dans leur souterrain, et peuvent enfin gambader en plein champ, LIBRES de dire, de penser, de débattre, d'argumenter...
    Résulat : record d'audience historique, jusqu'à 1 million de téléspectateurs, et CNEWS qui "passe" devant la chaîne de Drahi, vous savez, le copain de Macron...
     

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    le gâchis du perdant/perdant de la fermeture de Fessenheim : EDF a perdu un actif amorti depuis bien longtemps, et rentable; le climat une énergie sans CO2, et le réseau, des marges. En plus de tout ça, l’État indemnise EDF pour cette décision politique insensée (ce qui est normal). Quel gâchis ! Un Roi à la tête de l'État, vite !, Au lieu de ces marionnettes qui ne font que passer, se fichent du '"temps long" et doivent leur pouvoir à des intérêts économiques, étrangers ou partisans, et sont donc contraints de leur obéir... Un Roi indépendant, au seul service du Bien commun...

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  • Dans notre Pays légal en folie : pourquoi ?

    pourquoi les deux attaques ultra violentes, pour massacrer, d'Herblay et de Champigny ? Parce que... la politique d'immigration/submersion imposée par le Système depuis le scélérats décrets Chirac de 1976, organisant le "regroupement familial". Depuis, des millions de personnes sont entrées en France, sans y trouver autre chose que les trafics pour vivre ou survivre, ou en préférant ces trafics à une autre vie. On a planté un arbre pourri, on en recueille - depuis des années déjà...-  les fruits pourris...

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    pourquoi l'AFP, normalement censée renseigner, a-t-elle évoqué (tout de même !...) les manifs contre le projet de loi bioéthique en disant qu'elles avaient eu lieu dans "plusieurs villes" ? C'est faux : il y a eu de très belles manifs, et dans 61 villes, ce qui n'est pas tout à fait la même chose ! Et même pas du tout ! En bon français, 61 n'est pas synonyme de plusieurs...

    pourquoi, lorsqu'on défend une cause juste, mettre cet horrible symbole du terrorisme révolutionnaire qu'est le bonnet phrygien ? C'est lui qui a présidé aux horreurs de la Terreur, aux têtes promenées au bout des piques, aux scènes de cannibalisme en plein Paris, au Génocide vendéen : tannage de peaux humaines, empoisonnement des puits et guerre chimique, le premier Oradour sur Glane aux Lucs sur Boulogne... C'est lui que portaient les terroristes qui ont créé le Système que nous subissons aujourd'hui, et qui, justement, organise ce nouveau massacre des innocents. Vous combattez cela ? Alors, soyez logiques, et jetez cette horrible chose...

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    pourquoi à Arc-sur-Tille (Côte d'Or) n'avoir condamné qu'à 200 euros d'amende un (demandeur de naturalisation" (sic !) qui a frappé un couple qui s'embrassait ? Lui s'est "occupé" du garçon, même tombé au sol, à coups de poing et de pied, tandis que la fille était la cible de deux femmes, "dont l’une voilée" (re-sic ! ). Puisque ce délinquant dangereux "demande la naturalisation", on sait qui c'est et d'où il vient. Il devrait déjà avoir été renvoyé dans son pays d'origine. Ce Système poubellise la France : il faudra bien dé-poubelliser un jour...

    pourquoi, à Ducey-les-Chéris (dans la Manche) le tribunal correctionnel de Coutances a-t-il laissé une "chance"  (!) à un délinquant multirécidiviste de 18 ans pour sa... 13ème condamnation ? Il y a quelques temps, non loin de là, un Juge avait liébéré un violeur afghan, au prétexte (?) qu'il "n'avait pas les codes" ! Ceux qui n’ont pas de chance, ce sont les victimes, c'est nous tous : 66 millions de Français, en danger permanant, en sursis provisoire, tous victimes potentielles à tout moment, à tout endroit. A quand le jugement des Juges, qui nous condamnent à cela ?

    pourquoi la foldingue Greta Thunberg, marionnette auto-proclamée écologiste de 17 ans, a-t-elle cru nécessaire d'appeler à voter Biden ? On commençait à l'oublier un peu, et cela nous faisait des vacances : c'était trop beau ! Après la foldingue Pétronin, on enchaîne avec "la foldingue Greta, le retour !" : non, là c'est trop !!!!!!!!  

    pourquoi, en Suède, lors de la traditionnelle photo de classe, un élève de 15 ans a-t-il été obligé de retirer sa croix, alors que des filles voilées pouvaient garder leur voile ? Le photographe lui a dit que cela pourrait être offensant s’il gardait son collier : mais pas les voiles ? La Suède, comme toute l'Europe, est malade et doute, face à l'Islam. Or, l'Islam, c'est comme Hitler : plus on lui cède, plus il avance et plus il augmente ses exigences. L'Europe est un continent chrétien : si des musulmans y viennent, ils doivent accepter les façons de faire de ce continent. Un point c'est tout. C'est le seul langage possible, à l'école et partout ailleurs !

     

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Bizarre, comme le fait remarquer Ivan Rioufol. En fait, pas si bizarre que cela, le fait se reproduit à chaque fois, et on a tous parfaitement compris... : 

    "Le nom et le portrait de celui qui a tiré sur le policier Éric Masson, le 5 mai à Avignon, restent inconnus. En revanche, nul n’ignore l’identité ni le visage de Valentin Marcone, qui a tué son patron et un collègue dans les Cévennes"

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/ivan-rioufol-les-propagandistes-demasques-par-les-faits-20210520

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    2. D'accord avec Jean-Christophe Buisson :

    J-Christophe Buisson
     
    "Pourquoi cette impression que les + de 3000 #Armeniens tués, les milliers de blessés et les 100 000 déplacés (tous victimes des Azéro-Turcs) durant 44 jours de guerre en #Artsakh #HautKarabakh, ont fait moins de bruit et d'émotion que 11 jours de guerre et 248 morts palestiniens ?"

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    3. D'accord avec Gille-William Goldnadel :

    "Voilà le raciste #Youssoupha encensé par une ministre @RoxaMaracineanu qui nous explique sérieusement sur France Info qu’il combat le racisme et est un modèle pour la jeunesse. Si ce gouvernement a encore une once de décence, cette ministre doit être démissionné sur le champ."

     Quelques extraits de morceaux anti-Français et anti-Blancs de ce rappeur, qui interprétera l'hymne de l'équipe de France pour l'Euro 2021. Une véritable honte pour le Pays ("J’en veux aux blancs, ces niqués condescendants, qui pensent que le monde ne se voit qu’à travers les yeux de l’Occident." Charmant, non ?...)
     
    (extrait vidéo 1'08)

    https://twitter.com/GWGoldnadel/status/1396154310547939332?s=20

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    4. Pierre Boutang parlait, avec les mots du philosophe, de "metanoïa", c'est-à-dire d'un changement radical de notre façon de vivre, de penser, d'agir. Avec ses mots à elle, d'une dignité remarquable mais dont la profondeur, issue du robuste bon sens populaire, rejoint celle du philosophe, la maman de Marjorie, assassinée par un pré ado de 14 ans, dit :

    "Occupez vous de vos enfants, ce n'est ni à l'éducation de s'occuper de vos enfants, ni à la justice. La racine c'est d'abord à la maison..."

    (extrait vidéo 0'58)

    https://twitter.com/AbdoulayeK3/status/1396148317562736641?s=20

     

    5. Vu sur tweeter : pas mal, pas mieux...

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    6. Lu sur le compte tweeter de Samuel De Laroche : "Destruction d'un hôtel particulier et coupe de deux arbres #saccageparis, avec cette équipe de fous, c'est permanent."

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    Ce joli petit hôtel particulier sera prochainement détruit par Mme Hidalgo pour réaliser des logements sociaux, sur sept étages s'il-vous-plaît (au passage, merci pour les habitants de l'immeuble de derrière...)

     

    7.                                             SACCAGE PARIS

    Paris bobo, Par'hidalgo, Paris pas beau !

    Un touriste étranger arrive à Paris par la Porte de la Chapelle : voici sa première vision de l'ex plus belle ville du monde, transformée en "poubelle-ville" :

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    Uns scierie installée près du Pont Alexandre III ? Non, des bancs ! Des bancs bobos, des bancs pas beaux...

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    Et "ça", ce n'est pas monstrueux, "ça" ?

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    Que sont les jolies plaques de nom des rues devenues, comme le dirait François Villon ?

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    À DEMAIN !

     

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Incident en direct : Laurent_Joffrin se ridiculise en quittant le plateau d'#i24NEWS après l'affirmation (juste) de Jean Messiha :

    "Libération est devenu le Je suis partout du "collaborationnisme islamique"...

    https://twitter.com/i24NEWS_FR/status/1392972660364165121?s=20

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    2. D'accord avec Éric Zemmour :

    "L’enfer du crack à Paris, c’est d’abord le problème de l’immigration..." :

    https://www.breizh-info.com/2021/05/14/164307/eric-zemmour-lenfer-du-crack-a-paris-cest-dabord-le-probleme-de-limmigration/

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    2 BIS. Du même Zemmour :

    "Face à #StalinCrack, il faut :

    • renvoyer ces Sénégalais ;

    • faire pression sur le gouvernement sénégalais pour qu'il les reprenne ; 

    •taxer l'argent qu'ils renvoient ou même l'empêcher de partir;

    •renvoyer les consommateurs étrangers..."

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    2 TER ... et d'accord aussi avec Pierre Liscia :

     
    "Je ne demande pas un énième plan crack mais un plan "contre le crack" ! Le plan #crack de la Ville de Paris, c'est 9 millions d'euros d'argent public jetés par les fenêtres. Il est urgent d'engager une vraie stratégie de désintoxication et de soins à long terme #Stalingrad"
     

     

    5. Jusqu'où ira l'abjection, chez Mediapart ? Chez Plenel, on établit un parallèle ignoble entre la police sous l’occupation allemande et les policiers actuels qui votent RN !...

    https://policeetrealites.com/2021/05/13/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-mediapart-etablit-un-parallele-abject-entre-la-police-sous-loccupation-allemande-et-les-policiers-actuels-qui-votent-rn/

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    6. Épinglé pour une déclaration sur des pompiers caillassés en banlieue, Mathieu Kassovitz n'est rien d'autre que l'archétype du grand bourgeois se prenant pour un révolté. Gosse de riches, études dans des établissements cotés entre privilégiés, maintenant millionnaire. C'est un idéologue fasciné par cette racaille qu'il n'a jamais côtoyée...   

    https://www.lefigaro.fr/culture/mathieu-kassovitz-epingle-pour-une-declaration-sur-le-caillassage-des-pompiers-en-banlieue-20210512?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

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    7.                                               #saccageparis

    Paris bobo, Paris pas beau !

    • Énorme ratage de la place de la Bastille : un banal, triste et moche rideau de métal, au lieu d’un mur vitré qui aurait laissé passer la lumière et aurait permis la vue sur le port de l’Arsenal...

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    • Une terrasse du 6ème, vers le 65 rue de Vaugirard...

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    • Porte de Clichy, tout juste rénovée et déjà laissée à l’abandon : une poubelle à ciel ouvert, juste en face d’une antenne du Service propreté de la Ville et du TGI...

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Larem, le confidentiel parti du semble président, s'achète de nouveaux locaux : 2.800 m2, dans le très chic 8ème arrondissement de Paris. Devinez le prix : un peu plus de 35 millions d'€ ! Avant, on disait "Quand on aime, on ne compte pas..." Maintenant, on va pouvoir dire : "Quand on Larem, on ne compte pas" ! Mais, au fait, qui va payer, puisque les adhésions à LREM sont gratuites ? Des subventions de l'État, donc des contribuables, donc vous...

    https://m.huffingtonpost.fr/amp/entry/lremqg-de-campagne-tresorerie-finance-presidentielle-2022_fr_60c32639e4b059c73bd825a2/?__twitter_impression=true

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    2. Oui, Zemmour, mais il faut dire aussi que cette "démographie-là" est pensée, voulue et imposée à un Peuple français qui n'a rien demandé et qui n'en veut pas par le Système, héritier des principes révolutionnaires; qu'elle est le fruit de la hideuse alliance entre les deux faces du même matérialisme :

    • les puissances d'Argent (matérialisme économique) qui font venir des immigrés pour les sous-payer et augmenter ainsi leurs bénéfices...

    • les forces révolutionnaires (matérialisme idéologique) qui font venir des immigrés pour dissoudre, diluer par la masse d'étrangers la vieille Nation France historique et sa réalité charnelle, ses racines gréco-romaines et judéo-chrétiennes...

    Dénoncer, c'est bien. Ce qui est mieux, c'est de remonter aux sources et de mener la seule action qui vaille : une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

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    2 BIS. Dans Valeurs, de Dominique Jamet : Comment Eric Zemmour a ouvert une brèche dans la bien-pensance médiatique... :

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/jamet-comment-eric-zemmour-a-ouvert-une-breche-dans-la-bien-pensance-mediatique/

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    4. Emmanuel Macron a semé le vent... récolte-t-il les prémices de la tempête ? Michel Onfray analyse la séquence de la gifle au président de la République... :

    https://frontpopulaire.fr/o/Content/co546363/un-sentiment-de-gifle

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    5. Guillaume Bigot analyse avec justesse la "mollesse" des dirigeants actuels sur la soi-disant lutte contre l'immigration illégale :

    (extrait vidéo 1'23)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1403973742162812932?s=20

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    6. C'est de cette façon que l'on dit " merci !" dans sa langue ? À Savenay, un migrant, hébergé dans un logement mis à disposition par la Ville, tente de poignarder un homme en pleine rue en criant "Allah Akbar"... : 

    https://policeetrealites.com/2021/06/12/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-savenay-un-migrant-heberge-dans-un-logement-mis-a-disposition-par-la-ville-tente-de-poignarder-un-homme-en-pleine-rue-en-criant-allah-akbar/

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    7. Bravo, les Croates, les Russes, les Hongrois et Viktor Orban ! :

    • les joueurs de l'équipe nationale croate, après avoir courageusement refusé de s'agenouiller devant le politiquement correct "BlackLivesMatter", s'agenouillent devant Notre Dame de Međugorje... :

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    • lors du match Belgique-Russie, le public russe a hué les joueurs belges qui se sont agenouillés en soutien à ce même "BlackLivesMatter", alors que les Russes sont restés debout...

    • enfin Viktor Orbán, lui, a fustigé les athlètes qui s’agenouillent pour #BlackLivesMatter et a déclaré fièrement : "Les Hongrois ne s’agenouillent que devant Dieu, la Patrie et lorsqu’ils demandent en mariage leur dulcinée"... Et le public hongrois a copieusement sifflé les irlandais mettant un genou à terre !...

    https://francais.rt.com/international/87575-supporters-hongrois-huent-equipe-irlande-pour-avoir-mis-genou-terre-avant-match-football

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    À DEMAIN !

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  • Complicité

     

    par Louis-Joseph Delanglade

     

    sinistra-italiana_una-nuova-proposta-il-documento_sfondo-rosso-170204 - Copie.jpgEn utilisant dans son intervention du 22 mai l’expression « deux mâles blancs » pour parler de M. Borloo et de lui-même, et justifier ainsi son rejet du « plan banlieues » concocté par celui qui fut ministre délégué à la Ville et à la Rénovation urbaine de M. Chirac, et qui est considéré on ne sait trop pourquoi comme une autorité indépassable en la matière,

    M. Macron a commis une faute grave. Il a peut-être cru faire un bon mot, conseillé en cela par un communicant irresponsable : on rejette le plan (d’un coût de quarante-huit milliards tout de même) mais on donne satisfaction aux plus extrémistes des « post-colonisés » en reprenant leur langage, lui-même formaté par celui de mouvements américains conjuguant féminisme et racialisme. 

    Son propos aurait même pu être franchement ironique, à prendre au second degré donc, de la part de quelqu’un qui, quelques années plus tôt affirmait ne pas avoir à « [s]’excuser d'être un jeune mâle blanc diplômé » (extrait non publié - ce n’est pas anodin - de l’entretien accordé en 2010 au magazine des anciens élèves de Sciences Po). Il aurait alors fallu comprendre quelque chose comme : vous [M. Borloo] et moi [chef de l’Etat] ne devons plus nous conduire comme des « post-coloniaux », cessons d’infantiliser les habitants des banlieues - « nos semblables, nos frères » - qui s’en sortiront bien tout seuls… Une pirouette verbale qui paraît quand même peu probable. 

    7793497879_emmanuel-macron-et-jean-louis-borloo-le-22-mai-2018-a-paris.jpgEn fait de bon mot, M. Macron a choqué sur le fond et sur la forme. Sur la forme, le chef de l’Etat aurait d’abord pu comprendre par lui-même, et sans l’aide d’un conseiller, la vulgarité de l’expression : pour parler net, « mâles blancs » suppose en toute logique l’existence de « femelles noires », en tout cas pas ou peu blanches, lesquelles femelles peupleraient donc en partie nos chères (ici, double sens garanti par la rédaction) banlieues. La langue est sans pitié pour les apprentis-sorciers et on voit quels abîmes côtoie ainsi M. Macron. 

    Sur le fond, il aurait eu en fait grand intérêt à lire deux ouvrages très récents, deux enquêtes sérieuses sur les banlieues. Dans le premier, La Communauté (Albin Michel), deux journalistes, Mmes Bacqué et Chemin montrent comment la petite ville de Trappes est devenue ce qu’elle est aujourd’hui (…), le fil conducteur étant bien la religion musulmane. Dans le second, La Tentation radicale (PUF), deux spécialistes, M. Galland et Mme Muxel, montrent que le terreau de la radicalisation islamique est moins socio-ethnique (comme le prétend une certaine presse) qu’idéologique. 

    Oui, M. Macron a eu raison d’opposer une fin de non-recevoir aux quarante-huit milliards du plan Borloo : nous avons déjà assez donné et pour rien. Mais, si les mesures annoncées contre la drogue et la radicalisation relèvent de la bonne intention, mais pas plus, celles sur les avantages à accorder (permis de conduire, primes de crèche, bourses de stage, « testing ») sont purement démagogiques. Ces dernières en effet occultent le vrai problème, celui que ni M. Macron ni M. Borloo n’ont voulu nommer et qui tient en une équation : immigration incontrôlée + islam =  communautarisation = rejet de l’appartenance à la France. D’où l’existence des « mâles blancs », conséquence et non cause d’un racisme anti-blanc dont M. Macron s’est fait, ce 22 mai, le complice peut-être inconscient mais certainement objectif.   

  • Mai 68 – Mai 2018

     

    Par Hilaire de Crémiers

     

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    Dans la foule des 15 000 manifestants du défilé du 1er mai à Paris, la police a dénombré 1 200 « casseurs », venus dans l’unique intention d’en découdre, de régler leur compte avec la société et de causer le plus possible de dégâts. Les forces de l’ordre plus spécialement chargées de contenir et d’arrêter ces émeutiers ultra-violents se montaient à environ 1 200 hommes, des CRS, soit le même nombre que les « casseurs ». Pour le reste, en quelque sorte, la police habituelle suffisait. 

    Il n’est pas douteux que la Préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont donné des ordres pour éviter au mieux ce qu’il est convenu d’appeler « les dommages collatéraux ». C’est-à-dire des passants, autrement dit des manifestants « honnêtes » (!) ou des « curieux » se hasardant sur les lieux, qui pourraient être bousculés ou blessés à l’occasion de charges policières ou de heurts frontaux. Ce qui provoquerait aussitôt des hurlements d’indignation, l’indignation ne fonctionnant comme toujours qu’à sens unique ! La grande voix de Libération, entre autres, ne manquerait pas de se faire redoutable : le bourgeois anarchiste et gauchard adore le désordre, tant, bien sûr, que les coups ne l’atteignent pas.

    Donc, les cortèges se rassemblent librement. Il est connu d’avance par les réseaux sociaux et par les renseignements que l’ultra-gauche sera de la partie et mènera la danse. Le petit monde cagoulé du black bloc est au rendez-vous sans problème. Pas question de procéder à des arrestations préventives, contrairement à tous les usages de naguère. Et voitures de brûler, devantures d’exploser, magasins et établissements d’être saccagés, pillés, détruits. Et policiers et gendarmes d’être blessés : s’ils pouvaient être massacrés, ils le seraient.

    Le bon vieux défilé syndical, où le service d’ordre de la manifestation faisait lui-même la police, n’existe plus. C’est la raison pour laquelle, en dehors de la CGT et de Sud, il ne se pratique presque plus. Les risques de débordements sont trop importants. L’heure est à l’affrontement brutal. Des minorités s’essayent de plus en plus à créer soit des zones de non-droit, soit des journées insurrectionnelles. Jeux plus ou moins infantiles, plan concerté, excitation de l’imagination, désir d’un « jusqu’auboutisme » qu’on croit libérateur ; mélange de tout cela, sans doute. Jeunesse désœuvrée et livrée à toutes les propagandes ; société éclatée, privée d’autorités naturelles, toutes systématiquement détruites par la loi elle-même ; « communautarismes » flagrants qui s’étendent sur des villes entières et qui refusent la nation, qui récusent la France et tout ce qu’elle représente, et où l’islamisme règne en maître ; enseignement et médias qui ne cessent d’inspirer le mépris de l’histoire, de l’ordre, de la vraie famille, de la société traditionnelle…

    Bref, tous les fruits gâtés de mai 1968 s’accumulent en pourritures, du bas en haut de la société, en ce mois de mai 2018.

    Facultés, bientôt lycées, quartiers, villes – même avec leur maire et leur député de gauche, d’archi-gauche qui ont l’inconscient culot de s’en étonner ! –, maintenant zones entières de départements et de régions en sécession pratique où aucune police et aucun service d’Etat ne peut pénétrer. La aucun service d’État ne peut pénétrer. La situation est tenue en main, dit-on dans les hautes sphères pour se rassurer. Voire ! La fameuse convergence des luttes souhaitées par le bourgeois Mélenchon qui se fait plaisir à jouer le tribun de gauche, se feront tout autrement que ce que des imaginations politiciennes croient inventer. Qui, dans les banlieues, croit encore dans la République bourgeoise ?

    Pour le moment, Macron, en rappelant à l’ordre, pense ramasser une fois de plus la mise à son profit. C’est le calcul républicain. Mais chacun devine que tout peut échapper. A force de glorifier la révolution comme principe même de gouvernement, tous, de droite comme de gauche, ne font que rendre la France complice de sa propre destruction. Jusqu’où ?   

    Hilaire de Crémiers

  • Israël ou le droit de tuer

     

    Par Antoine de Lacoste

     

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    Les récents et tragiques évènements de Gaza ont remis au goût du jour un débat vieux comme Israël : cet Etat agit-il en situation de légitime défense ou utilise-t-il la violence comme moyen de gouvernement en outrepassant ses droits ?

    Ainsi posée la question est bien juridique et donc inopérante. En effet, depuis son existence, Israël a été attaquée par de multiples forces, à commencer par une partie de la population palestinienne, forcée de quitter des terres qu’elle habitait depuis plusieurs générations.

    Savoir si elle avait le droit de riposter et comment, n’a jamais intéressé ni la classe politique ni l’armée ni la population israéliennes. Le rôle de son armée est de défendre les acquis conquis progressivement et c’est elle seule qui a le choix des moyens. Cela ne saurait être un débat.

    Le droit international ne compte donc pas et les Etats-Unis sont là pout y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin. L’allié américain ne prend d’ailleurs même plus de gants : les Clinton, Obama, même Bush énonçaient des regrets de principe lorsque l’armée avait tiré à balles réelles sur des manifestants qui lançaient des pierres. Aujourd’hui, Trump se tait et l’ambassadrice américaine à l’ONU, la sémillante et ambitieuse Nikki Haley, se permet même de quitter l’assemblée lorsque le représentant palestinien prend la parole. C’était tout de même du jamais vu.

    Le transfert inique de l’ambassade américaine à Jérusalem est une pierre de plus dans l’édifice de l’impunité. Ce transfert est contraire aux traités signés et en vigueur, mais c’est sans importance. Le lobby évangéliste connait là sa plus grande victoire et Israël peut se frotter les mains. A ce propos, il est tout de même stupéfiant que l’Eglise catholique ait aussi peu réagi : Jérusalem n’aurait jamais dû devenir la capitale d’un Etat. C’est une ville internationale, lieu saint pour les trois religions monothéistes : en faire une capitale d’un Etat, confessionnel qui plus est, est contraire à 70 ans de traités.

    Alors autant être clair : il n’y aura jamais d’Etat palestinien. Cette fiction destinée à calmer les opinions publiques et éviter de sanglantes manifestations de désespoir, n’a même plus d’apparence. Les colonies illégales peuvent s’étendre progressivement, avec ou sans expropriation. Tous les moyens sont bons : menaces, violences, arrestations arbitraires effectuées par l’armée hors de toute règle juridique. Et quand par hasard un juge indépendant annule la création d’une colonie car contraire aux traités en vigueur, la décision n’est jamais appliquée et la colonie s’étend.

    Qu’on lise à cet égard le très beau témoignage de Vera Baboun, la Maire chrétienne de Bethléem dans son livre « Ma ville emmurée ». Car il y a des chrétiens palestiniens : tous ne sont pas du Hamas. Mais coincés entre la brutalité israélienne et l’expansion islamiste, ils s’en vont peu à peu. Bientôt, le pays du Nouveau Testament ne comptera plus de chrétiens et nous pourrons nous interroger sur notre propre responsabilité.

    Alors quand certains écrivent qu’ « Israël a le droit de se défendre », ils devraient plutôt affirmer qu’Israël a le droit de tuer car c’est ainsi que les choses se passent en Palestine. 

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

  • Patrimoine cinématographique • Allemagne année zéro

    Par Pierre Builly

    Allemagne année zéro de Roberto Rossellini (1948)

    20525593_1529036520490493_4184281983923317414_n.jpgLe peuple du désastre

    C’est un film prenant et important, comme Rome ville ouverte et comme Païsa du même réalisateur, avec qui il constitue une trilogie du désastre. Un moyen métrage (74 minutes) qui braque la caméra non plus sur les victimes, mais sur les bourreaux et qui, d'une certaine façon, porte donc un regard humaniste sur la guerre. 

    images.jpgIl y a, d'ailleurs, dans Allemagne année zéro tout un discours sur le retournement des valeurs induit par le conflit : les chefs de famille sont des parasites inutiles, malades ou confinés dans leur maison et la nostalgie de ce qu'ils ont été ; les jeunes filles sont contraintes d'émoustiller les occupants alliés dans les dancings pour gagner quelques cigarettes, les bons soldats, qui se sont battus jusqu'au bout pour leur pays sont obligés de se terrer en craignant d'être arrêtés par la police...

    Et le personnage principal du film, c'est un enfant, Edmund Kohler (Edmund Meschke), un garçon de douze ans, qui porte sur ses épaules le poids de sa famille et symbolise particulièrement le sort du pays vaincu : il n'est évidemment pas coupable du nazisme et des horreurs de la période, mais il en subit au premier rang le choc et la responsabilité. 

    Jusqu'à être, dans sa fragilité, complètement déséquilibré par le poids que font peser sur ses épaules les discours des adultes, celui de son père malade, qui ne cesse de geindre sur lui et sur les siens et appelle la mort, celui de son ancien instituteur, nazi et libidineux qui lui envoie dans la tête un plaidoyer eugéniste appelant à l'élimination des faibles et des malades.

    Allemagne_annee_zero.jpgEt lorsque Edmund, ayant finalement accompli ce que ces adultes/références avaient commandé, et devant la perception de son crime se rend compte de l'horreur et veut retrouver son âge, il est, presque symboliquement, exclu de la bande des gamins avec qui il voudrait jouer au football. 

    Dès lors, comment s'étonner que, dans le vertige du basculement de tout ce qui a été inculqué et qui n'existe plus, ou qui ne peut plus être pratiqué, la seule issue d'Edmund soit le vide du suicide, puisqu'il ne peut s'appuyer sur rien de stable ? Il ne comprend ni ce qu'il a fait, ni ce qu'il va devenir... 

    Allemagne-année-zéro.jpgRoberto Rossellini filme précisément l'éclatement d'un monde dans les longues séquences sur Berlin dévasté. Voilà ce qu'il a écrit : La ville était déserte, le gris du ciel coulait dans les rues et, à hauteur d'homme, on dominait les toits du regard ; pour retrouver les rues sous les décombres, on avait déblayé et entassé les gravats ; dans les fêlures de l'asphalte, l'herbe commençait à pousser ; le silence régnait, chaque bruit en était le contrepoint et le soulignait davantage ; un mur solide au travers duquel il fallait passer était constituer par l'odeur douceâtre de matières organiques corrompues ; on flottait sur Berlin. Peut-on mieux décrire à la fois la forme des images et le fond du film ? 

    Dans un carton placé au tout début du film, Rossellini indique qu'il a réalisé Allemagne année zéro pour apprendre aux enfants allemands à re-aimer la vie. Ne peut-on voir un signe d'espérance dans cette belle séquence qui est presque à la fin où les enfants errants dans les ruines s'arrêtent, émerveillés en entendant, venant d'une église désaffectée un inconnu jouer à l'harmonium le Largo d'Haendel (Ombra mai fu)... 

    Allemagne-Annee-zero-DVD.jpg

    DVD autour de 13 € .

    Retrouvez l'ensemble des chroniques hebdomadaires de Pierre Builly sur notre patrimoine cinématographique, publiées en principe le dimanche, dans notre catégorie Culture et Civilisation.
  • A nos arrière-neveux

     

    par Louis-Joseph Delanglade
     

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    Vendredi 23, 8h20, l’invité  du « Grand Entretien » de France Inter est M. Bourg, philosophe et professeur à l’Université de Lausanne.

    On apprend très vite qu’il a quitté la fondation de Nicolas Hulot (dont il était vice-président) pour s'engager en politique aux côtés de l'ancienne ministre socialiste de l'Écologie Mme Batho, avec laquelle il va présenter « très probablement » une liste pour les élections européennes en mai prochain. Intello et écolo : cela a le mérite d’être clair et on peut s’attendre au pire. Et ce fut le pire.

    46519025_1790347791075305_8373125128229224448_o.jpgNon pas sur le fond (on peut même trouver pertinente sa proposition d’un I.S.F. vert pour financer la transition écologique) mais dans le ton employé à l’égard de ceux qui, si peu que ce soit, n’entrent pas tout de suite et sans barguigner dans le moule de l’écologie militante - en l’occurrence, au vu de l’actualité, les fameux « gilets jaunes ». Mépris et condescendance pour ceux que le « sachant » qu’il est considère à l’évidence (même si les mots ne sont pas employés) comme des ploucs, des beaufs, des ringards. 

    Toute personne sensée préférera évidemment respirer un air pur et entendre le chant des petits oiseaux mais quand l’écologie devient religieuse, qu’elle constitue, à travers ses grands-prêtres (MM. Cohn-Bendit et Hulot), ses évangélisateurs (ce M. Bourg par exemple), ses sectateurs prétendument sincères (peut-être les plus dangereux, comme Mme Duflot ou M. Goullet de Rugy) ou opportunistes (tous ces politiciens convertis, comme MM. Hamon, Mélenchon, Juppé…Macron), une forme d’obligation morale que l’on entend imposer à tout prix, sans vouloir prendre en compte ses effets collatéraux, elle est insupportable. Cette écologie-là, qui relève du fanatisme, refuse bien entendu de voir dans les principes révolutionnaires  démocratiques la cause des maux qu’elle prétend combattre.  

    N’en déplaise pourtant aux « élites » (terme désormais péjoratif), il existe bel et bien des « Gaulois réfractaires » qui veulent d’abord survivre. Dernier avatar du « pays réel », la « France périphérique » des sociologues contemporains ne veut pas mourir. Elle a plus ou moins compris que le libéralisme économique et culturel, l’immigration de masse, la mondialisation, la mettent en danger de mort. Ces gens-là ont le tort d’être d’ici et de vouloir vivre au pays : péché impardonnable dans le paradis mondialisé, multiculturel et aseptisé qu’on veut nous faire rejoindre à marche forcée. 

    fontaine-03.jpgSauver la planète est le nouveau credo : mais pour quoi, pour qui, sauver la planète, donc accessoirement la France ? Réponse : c’est l’héritage que nous transmettrons à nos enfants. On respirera peut-être mieux mais on peut craindre que ce soit dans une France exsangue : ne pouvant plus accéder à des logements de centres-villes « gentrifiés », ne voulant plus supporter l’impossible cohabitation dans des cités submergées par les vagues migratoires, les « Gaulois » se sont réfugiés dans la périphérie des métropoles urbaines et les petites villes de province, parfois même à la campagne. La guerre fiscale menée par l’Etat les condamne à terme. Plus d’école, plus de gare, plus de commerces… bientôt le désert. Si rien ne change, que vont-ils devenir ? Leur sort ne semble pas intéresser M. Bourg. « Mes arrière-neveux me devront cet ombrage » écrit La Fontaine : l’ombrage y sera peut-être, mais peut-être pas les arrière-neveux.   

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Agnès Buzyn mise en examen ?
     
    d'André Bercoff :
     
    "#AgnesBuzyn a eu l’immense tort, pour l’État profond, d’avoir rompu l’omerta en révélant que tous savaient sur #Covid_19 depuis fin 2019. Mais quand le politique tétanisé louvoie et que le sanitaire médiatisé merdoie, il est temps que la Justice, si elle existe, prenne le relais."

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    Cette mise en examen ne nous réjouit pas trop et nous paraît plutôt "de la poudre de perlimpinpin" (comme dirait, qui, déjà, au juste ?...). Buzyn n'est qu'un fusible. On nous jette un os à ronger pour qu’on ait l’illusion d’un semblant de justice ! Au "mieux", on est prêt à prendre le pari qu'elle sera... "responsable mais pas coupable" !

     

    1. Buzyn savait dès la fin décembre 2019, elle a menti, elle a caché beaucoup de choses, certainement sur ordre. Mais sur ordre de qui ?

    (extrait vidéo 2'20)

    https://twitter.com/Maya29854628/status/1436445403017367555?s=20

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    On est bien gouverné !

     

    2. MoDem : un rapport de police confirme un «système» de détournement de fonds européens... Juste, pour être sûrs qu'on ne se trompe pas, il est bien le grand ami de Macron, non ?...

    https://www.lefigaro.fr/politique/modem-un-rapport-de-police-confirme-un-systeme-de-detournement-de-fonds-europeens-20210605

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    3. Pascal Praud recevra Zemmour ce lundi 13 septembre pour la sortie de son livre La France n'a pas dit son dernier mot, et croise le fer avec Joffrin sur la façon dont le "politiquement correct" présente Zemmour :

    (extrait vidéo 1'23)

    https://twitter.com/FDEavecZemmour/status/1436265927998324742?s=20

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    Éditeur : Rubempré, 352 pages, 21,90 euros

     

    4. C'est le Système qui le veut, pour diluer cette France qui résiste encore à son messianisme révolutionnaire et à son "du passé faisons table rase !"  La «générosité» de l'accueil des mineurs étrangers génère un «appel d'air», dit une responsable de la Justice... :

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-generosite-de-l-accueil-des-mineurs-etrangers-genere-un-appel-d-air-dit-une-responsable-de-la-justice-20210908

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    5. À Nancy, un événement alternatif pour les "exilés" du premier salon littéraire de la rentrée.  Non conviée au Livre sur la Place, la librairie  @DeuxCitesLib organise un contre-salon pour mettre fin à la pensée unique : 

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/a-nancy-un-evenement-alternatif-pour-les-exiles-du-premier-salon-litteraire-de-la-rentree/

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    6. Grande émotion ce dimanche à Mossoul pour l’installation de la nouvelle cloche de l’église Saint Thomas ! Après 8 heures de travail, quelques coups frappés par le Père Pios Affas ont fait résonner la cloche dans le ciel de la ville. Une première depuis l’invasion de la ville par Daech en 2014...

    https://twitter.com/FraterniteIrak/status/1435898677227311104?s=20

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    http://www.fides.org/fr/news/70737-ASIE_IRAQ_Les_cloches_de_Mossoul_sonnent_a_nouveau

     

    7. Il y a beaucoup de chiens malheureux et maltraités qui aimeraient être traités comme lui !....

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    8. Conférence à Rennes ce dimanche 26 septembre...

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    À DEMAIN !

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