Nous ne sommes pas des charognards. Mohammed Mehra est un monstre, c'est sûr; c'est un criminel sadique, un terroriste véritable, mais maintenant qu'il est mort, nous n'allons pas nous livrer, pour et sur ses cendres, à un combat sordide : il fallait bien, de toutes façons, France ou Algérie, qu'il soit "mis" quelque part : quitte à surprendre, cet aspect des choses, au fond, nous importe peu, même si on connaît notre position sur ces millions de "français de plastique" qu'a follement créés la république idéologique, dans sa politique insensée de substitution de population....
Combien de "français de plastique" sont-ils déjà partis se (dé)former au contac de groupes terroristes islamiques ? Et combien partiront ? Pour revenir en "bon petits terroristes"... Accessoirement, il n'est pas interdit de se demander si certains de nos soldats, en Afghanistan - bons français, dans l'exercice de leur mission - n'ont pas été tués par des "français de plastique" : c'est tout à fait possible....
Nous laisserons donc le Système face au problème qu'il se créé à lui-même, en enterrant ce terroriste chez nous : soit sa tombe sera l'objet de vandalisme répété, soit elle sera l'objet de dévotion de ses frères en terrorisme : beau choix en perspective !.....
Nous préférons, justement, réfléchir sur un autre aspect du sujet, bien peu évoqué, et proposer à nos compatriotes de considérer les méfaits de l'idéologie dominante. En effet, qu'est-ce que ce Mohammed Mehra - lui et des dizaines, des centaines de milliers d'autres... - sinon un "mutant", une sorte de "zombi", un être étrange, artificiel en quelque sorte, dont le père, algérien, vit en Algérie, mais dont le Système s'acharne à nous dire qu'il est français ? S'il n'avait tué trois enfants, en tirant par les cheveux une fillette qu'il avait déjà blessée pour s'assurer de bien "l'achever"; s'il n'avait froidement abattu trois soldats et un professeur sans méfiance, on aurait envie de dire "la bonne blague !" ou, à la façon de Coluche, "je me marre !"...
Mais là, avec ces mutants, présents sur notre sol par milliers, par dizaines et par centaines de milliers, et vu la barbarie dont celui-ci a été capable, on n'a vraiment pas la possibilité de dire "je me marre !".
Bien au-delà du problème de la sépulture d'un mort, ce à quoi il faut songer maintenant, c'est à cela : à tous ces mutants, ni d'ici, ni de "là-bas", ni d'ailleurs, ni de nulle part, qui se trouvent maintenant sur notre sol, et qui, à tout moment, peuvent "muter", opérer un "saut qualitatif (!) brusque", bref se radicaliser à l'extrême, être de nouveaux Mohammed Mehra...
On connaît notre position : on ne s'en sortira que par un changement et un durcissement extrême de nos lois, proportionnels à la violence du terrorisme qui a déjà frappé avant Mohammed Mehra, qui vient de frapper avec lui et qui, n'en doutons pas, frappera encore après lui. Il nous faut de nouvelles lois qui permettent de déchoir et d'expulser sans faiblesse.
De toutes façons, ceux qui n'en veulent pas, aujourd'hui, en voudront lorsque les centaines de quartiers sensibles (comme "ils" disent !...) exploseront.... Cela fait des décennies que la république idéologique danse sur un volcan : or, les volcans ont cette particularité, quand c'est le moment, d'entrer en éruption; et, en, général, les éruptions volcaniques font des dégâts....