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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • De l'attention que tout Français doit porter sur notre Armée, l'Armée Française !

    Soldats de France, soldats du Pays, partout où le devoir fait signe ...

     

    Voici, dans nos commentaires, un échange qui a son importance puisque, aussi bien, il concerne les Armées de la France, dans toutes leurs composantes. Nous n'avons rien à y ajouter d'autre qui ne soit contenu dans le commentaire de notre lectrice et ... dans notre réponse.

     

    2915011424.png« Bonjour. Je lis chaque jour votre publication et je la fais suivre; Mais chaque jour vous prêchez une convaincue depuis toujours et de transmission générationnelle. Je vais vous adresser un chèque ; l'enveloppe contiendra quelques documents de l'ASAF. Je suis effectivement délégué départemental pour le département des Hauts-de-Seine et à ce titre la représentante du Général PINARD LEGRY. Mon propos, vous l'aurez compris, est de vous demander d'inviter de façon régulière vos lecteurs à l'attention que tout Français doit porter sur notre ARMEE FRANCAISE. Nous sommes heureux et rassurés lorsque nos militaires œuvrent pour notre sécurité intérieure et notre liberté en agissant en OPEX. Mais nous devons les remercier en parlant pour eux qui ne le peuvent par devoir de réserve. L'ASAF est là pour parler et agir à leur place. Je vous invite à consulter le site ASAFrance et à m'aider dans ma mission.
    Je vous adresse mes salutations les plus courtoises. Joséphine TILQUIN. » Vendredi 13 mars 2015  

    A quoi nous avons répondu ce qui suit :

    « Bonjour Madame. Nous sommes sensibles à votre message; nous vous en remercions; et nous sommes en parfait accord avec votre souci de mettre l'accent sur l'attention et le soutien qu'il convient tout naturellement d'apporter à nos armées, ce que nous avons toujours fait, ici, en maintes occasions et continuerons de faire comme vous nous y invitez. Plus particulièrement, pour vous aider dans votre mission, nous ferons en sorte, prochainement, de faire connaître à nos lecteurs le site ASAFrance. En toute sympathie et cordialité. Lafautearousseau  »

    Voilà qui est fait !  

     

    Pour consulter le site ASAFrance, cliquer sur le logo ci-dessus.

     

  • SOCIETE • Réforme du collège : l’Académie française aussi a parlé ! L'avis de Pierre Van Ommeslaeghe*

     

    72b1f88c2e21f409f06ce4c587f98106.jpegLa déclaration est un peu passée inaperçue. Pourtant, il est rare qu’une institution comme l’Académie française prenne position contre une réforme gouvernementale. À ma connaissance, la dernière fois qu’elle a été partie prenante d’une polémique politique, c’était en 1990, à l’occasion de la réforme de l’orthographe menée par le gouvernement Rocard, et l’Académie était plutôt favorable à cette réforme. Jamais, en revanche, elle ne s’était prononcée sur une réforme scolaire.

    Mais lors de sa séance du 11 juin, elle l’a fait contre celle du collège menée par Mme Vallaud-Belkacem dans une déclaration adoptée à l’unanimité de ses membres. Pour que l’institution à laquelle Richelieu a donné mission de défendre la langue française prenne si solennellement position contre les projets ministériels, il faut que ceux-ci mettent à mal celle-là.

    Toute personne ayant lu le projet de réforme et les programmes qui l’accompagnent ne doute pas que le français y est mis en danger. Le jargon, voire le charabia, dans lequel ils sont rédigés montre le peu de respect de leurs auteurs pour la langue de Racine, Molière et Hugo. En comparaison, la langue des académiciens est d’une clarté que tout enseignant rêverait de trouver dans une circulaire de rentrée. On n’en attend certes pas moins des immortels, mais cela prouve qu’il est possible d’être compréhensible par tous même sur des sujets complexes.

    Cette déclaration est terrible sur le fond pour le ministre de l’Éducation nationale. S’intitulant « Pour une vraie égalité des chances », elle montre de manière irréfutable que, contrairement à ses ambitions affichées, le projet du ministre aggravera les inégalités scolaires. Que pour les réduire, il faut, au contraire de l’esprit de la réforme, renforcer les disciplines et mettre l’accent sur la maîtrise du français. Citons l’avant-dernier paragraphe :

    « L’Académie a la certitude que le redressement du système scolaire, si impatiemment attendu par la nation tout entière, devra, d’une part, s’inscrire dans la continuité de notre culture, faite d’enrichissements successifs et respectueuse de ses origines, et, d’autre part, résister à la tentation de la facilité, qui n’a jamais eu d’autre résultat que l’aggravation des inégalités. L’exigence constitue le principe fondateur de l’école de la République ; elle doit le rester ou le redevenir. »

    Qui ne serait d’accord avec une telle conclusion, sinon d’aveugles idéologues ? Madame le Ministre osera-t-elle taxer les académiciens de « pseudo-intellectuels » ?

    Quatre-vingt pourcent des professeurs sont contre cette réforme ; la plupart des intellectuels également ; maintenant l’Académie française. Autrement dit tout ceux dont le métier ou la vocation est la transmission et l’accroissement de notre patrimoine culturel. Madame Vallaud-Belkacem, vous ne pouvez pas avoir raison contre tous ces gens. Foin d’orgueil et d’entêtement, revenez à la raison et abandonnez votre projet.  

     

    , professeur de philosophie - Boulevard Voltaire

  • Langue française • Les expressions à bannir au bureau : « C'est juste pas possible ! »

     

    Par Quentin Périnel

    Chaque lundi, Quentin Périnel, journaliste au Figaro, décrypte un mot ou une expression grotesque que nous prononçons au bureau - ou ailleurs - et qu'il faut éradiquer de notre vocabulaire. Lafautearousseau est d'autant plus d'accord avec cette juste chronique [du 12.12] que l'emploi vicieux qu'elle dénonce avait déjà été signalé ici et copieusement moqué dans un grain de sel de Scipion, il y a belle lurette ! Nos lecteurs doués de mémoire s'en souviendront, les agiles le retrouveront dans nos colonnes. Où les anglicismes sont prohibés. Même s'il peut s'en glisser quelques uns malgré tout, tant leur nombre est grand et les habitudes anglo-serviles sont tenaces.  Lafautearousseau

     

    picture-1606281-61449egn.jpgC'est « juste la fin du monde », pour citer le titre du dernier film de Xavier Dolan. Une très jolie mise en abîme. Cette expression, c'est précisément la fin du monde. Parce que sérieusement, c'est « juste » exaspérant. C'est « juste » insoutenable. C'est « juste » éreintant. J'arrête ici le massacre, sinon cela risque de vous hérisser le poil - le mien l'est déjà - dès potron-minet. Il est effarant de voir à quel point la société a été contaminée par la tentation d'ajouter ce petit adverbe dans n'importe quelle phrase que l'on veut accentuer ! C'est juste terrifiant. Et contrairement à ce que l'illustration peut laisser penser, les femmes ne sont pas les seules à s'être amourachées de cette tournure de phrase très laide. Tant s'en faut.

    « Juste » a remplacé le « trop » qui était à la mode juste avant son arrivée. Désormais, on ne dit plus « c'est trop hallucinant » mais « c'est juste hallucinant ». Voire pire : « c'est juste trop hallucinant », le comble du comble. À titre personnel, j'ai déjà entendu dans un couloir un collaborateur - manifestement très enthousiaste - s'exclamer: « non mais attends, c'est juste hyper intéressant » ! Je vais préserver ici son anonymat afin de ne pas le froisser. C'est un fait : au bureau aussi, cet écart de langage jouit d'une belle popularité. La preuve : vous avez été nombreux, depuis la rentrée, à me suggérer une chronique à ce sujet, agacés par vos collègues qui l'emploient de manière intempestive en réunion. Il était juste très urgent de réagir avant que vous ne vous impatientiez !

    D'où vient cette manie ? Son origine est la même que pour beaucoup d'abus de langage de cette espèce : des États-Unis. Et plus particulièrement du jargon des stars d'Hollywood... Notre « juste » est un anglicisme de la pire espèce. « I just called to say I love you », une chanson de Stevie Wonder, en est un exemple. Mais à l'oral, la tournure de phrase est encore plus choquante. On la trouve dans n'importe quel film ou série américaine que l'on regarderait en VO. Or, des films ou des séries US, nous autres Français en sommes fans ! C'est donc là que le bât blesse. C'est la raison pour laquelle en réunion - après nous être nourris de VO tout le week-end - nous parlons comme le héros ou l'héroïne d'une série Netflix. Mon conseil : rappelez à vos collègues qu'ils ne sont ni Jack Bauer, ni Blair Waldorf. 

    Pour le bien de cette chronique, vous pouvez évidemment revenir vers moi et me soumettre les horreurs que vous entendez autour de vous. Je vous répondrai à @quentinperinel sur Twitter et qperinel@lefigaro.fr par mail.

    Quentin Périnel           

  • Entretien de Philippe Bilger avec Nicolas Dupont-Aignan : un projet de refondation française

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    Chaque mois, Philippe Bilger soumet une personnalité à la question dans un entretien vidéo. Il discute ce mois-ci avec Nicolas Dupont-Aignan, le président de Debout la République qui vient de réunir son parti en congrès dimanche 12 octobre à Paris. Malgré son gaullisme, son républicanisme, Dupont-Aignan est sans-doute, de tous les politiques actuels, l'un des rares desquels nous pouvons nous sentir proches. On écoutera cet entretien (45') avec intérêt, dans cette période où, en effet, la vague du mécontentement et de la rupture monte du peuple français contre l'oligarchie et le Système.   u  

     

     
     
    Philippe Bilger est magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole, dont le but est de former professionnels comme particuliers dans tous les domaines de l'expression.
     
    Il s'exprime chaque semaine en toute liberté dans FigaroVox, et partage régulièrement sur son blog ses billets traitant de la justice et de la société. Il publie également chaque mois un entretien d'une heure sur sa chaîne Youtube avec une personnalité du moment : il a par exemple déjà reçu Grégory Coupet, Alain Finkielkraut, Robert Ménard ou Edwy Plenel.

     

    Source : FIGARO VOX  Societe

     

  • Société • L'Islam est étranger à la civilisation française. Pourquoi ne pas l'admettre une fois pour toutes ?

     

    Par Gilbert CLARET

    Un commentaire, reçu sur Lafautearousseau vendredi 29, qui a retenu notre attention parmi ceux de ces derniers jours, nombreux et souvent excellents. Un regard raisonnable, clair, pondéré et néanmoins très ferme, sur le rapport de la société française à l'Islam. Il nous a paru important de le donner à lire au plus grand nombre de lecteurs de Lafautearousseau. Même si l'heure est plutôt à l'affrontement qui nous est tragiquement imposé, qu'à la réflexion sereine. Mais sans-doute faut-il considérer que l'une et l'autre ne s'excluent pas.  LFAR   

     

    L'Islam est étranger à la civilisation française. Pourquoi ne pas l'admettre une fois pour toutes ?

    Cette admission était implicite dans la rupture politique avec le concept d'Algérie française. L'Algérie aux algériens, la France aux français. De Gaule l'avait parfaitement compris et mise en pratique tel un homme d'Etat digne de ce nom..

    Ceci étant posé, la France, fidèle à sa tradition d'ouverture d'esprit universel, pouvait et pourrait encore parfaitement accepter qu'une petite minorité de musulmans vivent sur son sol, disons dans une proportion de 2% ou 3% de la population française, telle une curiosité intéressante permettant de débattre sur les mérites et particularités ou bizarreries de cette religion si peu conforme à nos religions judéo-chrétiennes, mœurs, mentalités et formes de pensée bimillénaires, sans prétendre nier les apports estimables  arabo-berbéro-ottomano musulmans dans les arts, les sciences, l'architecture et la littérature notamment.

    Jacques Chirac, après avoir nié contre toute évidence les racines chrétiennes de l'Europe, a eu l'audace d'ajouter contre la conviction intime des Français, que ses racines étaient autant musulmanes que chrétiennes. Jacques Chirac, parlant au nom de la France, parangon de la haine de soi au sommet de l'Etat ! Il est temps pour la France de recommencer à être elle-même et à s'aimer dans ses racines bimillénaires. Comme l'énonce un sage adage : « soyez vous-même, les autres sont déjà pris ».

  • Sur CNews, Charlotte d'Ornellas : ”Je suis française, pas républicaine...”. Nous sommes bien d'accord...

     Charlotte d'Ornellas rappelle que la France n'est pas la République, et que les "valeurs" (!) républicaines sont une construction parfaitement abstraite qui se croit être attachée à un type de gouvernance.

    Quid des "valeurs" de la République islamique ou de la République populaire de Chine  ?

  • ”Les causes de la Révolution française” (2ème partie), par Jean-Philippe Chauvin.

    L'égoïsme des privilégiés et l'échec de la révolution royale de Louis XV, malgré la réforme Maupeou et du fait de l'inexpérience du jeune Louis XVI, mais aussi de sa profonde humanité...

  • Le Comte de Paris a reçu hier au château royal d'Amboise le président de la République française et son homologue italie

    Le prince Gaston salue le Président de République dans la cour du château royal d'Amboise - Crédit David Nivière

    https://www.parismatch.com/…/Le-comte-de-Paris-Jean-d-Orlea…
  • La langue française s'enrichit d'un néologisme qui en dit long sur l'évolution du monde

    Xi Jinping, nouvel empereur de Chine ? 

     

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    La langue française s'enrichit d'un néologisme porteur de sens. Et d'un sens politique qui en dit long sur l'évolution du monde. C'est le mot « démocrature ». 

    Il s'oppose à démocratie qui a rapport avec le camp du Bien, le nôtre. Il désigne des régimes qui n’ont que les apparences d'une démocratie. Ils en respectent les rites et les pratiques. Mais ils flirtent avec la dictature. Ce sont des régimes autoritaires. Ils confinent avec le pouvoir d'un seul. Un pouvoir personnel. Y en a-t-il jamais eu d'autre ? Ils organisent un certain culte de la personnalité. La liberté d'expression n'y est qu'apparente. Les grands médias appartiennent à l'État ou à quelques oligarques. La corruption y est courante jusqu'aux marches du Pouvoir. Parfois jusqu'en son sommet. Ces régimes dits « sulfureux » appartiennent au camp du mal. On parle avec eux, au besoin on coopère, parce qu'il le faut bien. Comme l'Allemagne qui confirme la construction de son gazoduc avec la Russie malgré l'état de tension. Il faut bien s'éclairer, se chauffer, faire sa cuisine et approvisionner les entreprises. Mais on le fait du bout des lèvres et du bout des doigts. 

    L'ennui est que ces régimes prolifèrent. Ils sont légion. Les démocraties paisibles, les États dits de droit se font rares. Sont-ils en voie de disparition ? 

    Il y a d'abord l'Afrique, comme il est (presque) naturel. Les tyranneaux s'y ébattent à peu près partout en liberté ou presque. Mais il faut y ajouter l'Amérique centrale et du Sud où dictatures, guérillas et pronunciamientos sont simplement de tradition. Une habitude. Et puis les monarchies pétrolières dans le Golfe. La démocratie n'y signifie rien. Cela fait déjà une bonne partie du monde. Mais par-dessus tout il y a la Russie et Vladimir Poutine, pour qui le mot « démocrature » a été expressément forgé. Peu importe qu'il soit porté aux nues par une large majorité de Russes pour avoir refait la grandeur de leur pays humilié. C'est qu'il tient l'opinion d'une main de fer. Et il y a la Chine. Elle vient de consacrer la présidence à vie de son grand dirigeant, Xi Jinping. Lui aussi afin qu'il dispose d'assez de temps pour refaire de la Chine une grande nation. C’est ce qu’il a lui-même expliqué, hier matin. Et puis il y a même les Etats-Unis dont l'autoritaire et imprévisible président nomme et limoge comme Staline au temps des purges. 

    Au temps de la république en Angleterre, en Hollande, à Venise, Gênes et autres lieux, Louis XIV disait : « Je montrerai qu'il reste encore un roi en Europe ». 

    Restera-t-il encore demain sur la planète beaucoup de démocraties à la mode de l'Europe de l'Ouest où elles semblent s'être comme réfugiées ? Peut-être mais ce n'est même pas sûr. 

    La France elle-même s'est dotée d'un président jupitérien qui décide de tout, restaure la verticalité du Pouvoir, rétablit les symboles monarchiques : le Louvre, Versailles, Chambord, hier l'Académie française ... 

    Quant à la liberté française des grands médias, faut-il en rire ? Ils appartiennent à neuf oligarques macroniens. 

    La corruption d'État propre aux démocratures ? Hier nous apprenions que l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy se trouvait en garde à vue dans l'affaire du financement de sa campagne électorale de 2007 par la Libye du colonel Kadhafi ... 

    Faut-il s'étonner ? Y eut-il jamais, hors d'une protection dynastique, de véritables démocraties ? 

    Les temps qui courent ne leur sont guère favorables. « Madame se meurt, Madame est morte » … C'est un peu cela. • 

     Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien ci-dessous

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

  • Culture • Un 21° album à venir dans Lafautearousseau : « Fêtes de France, Identité française »

    Fête des Lumières à Lyon

     

    Nouveau Microsoft Publisher Document.jpgUn 21ème album dans Lafautearousseau : « Fêtes de France, Identité française », ou : ces Fêtes qui font, qui sont la France. 

    Un album imaginé et conçu pour affirmer toujours plus notre identité française, et pour nous aider à nous plonger dans nos traditions vivantes, leur riche variété, la puissance et la profondeur de leur symbolique...

    Voici, d'abord, la présentation générale et l'esprit de cet album ; pourquoi et dans quel(s) but(s) nous allons le réaliser.

    Ensuite, chaque semaine, nous évoquerons deux fêtes d'importance, profane et/ou religieuse. 

    contrairement-a-l-an-passe-la-ceremonie-d-ouverture-devrait-bien-se-tenir-sur-la-place-de-la-liberte-en-2017.jpgNous commencerons, symboliquement, par deux fêtes qui nous ramènent aux sources même, au commencement de notre aventure France : les fêtes de Bayonne (photo 1) et le Festival Interceltique de Lorient (photo 2)

    Le peuple basque constitue, en effet, le premier peuplement connu de l'espace géographique qui deviendra, bien plus, 00247850.jpgtard, notre douce France, avant que les Celtes ne viennent recouvrir toute l'Europe centrale et occidentale, formant le socle solide, stable et durable du peuple français, jusqu'à aujourd'hui.

    Notre album se veut ainsi une arme pour tordre le cou aux billevesées, aberrations et mensonges du parti immigrationniste et de la hideuse alliance entre la finance internationale et les révolutionnaires, deux parties unies pour dissoudre et diluer justement ce vieux peuple surgi du fond des âges, qu'elles entendent noyer sous un flot d'immigration massive ininterrompu, au prétexte fallacieux que notre pays n'existerait pas en lui-même, et ne serait qu'une terre d'immigration depuis ses origines.

    On le voit : il s'agira à la fois d'un album culturel, bien sûr, mais, aussi et surtout, éminemment politique.

    Rendez-vous donc chaque semaine et bonne lecture !  ■

    Fêtes de France, Identité française