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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Royaliste n°1217 (27 Septembre 2021).

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    Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1217, daté du 27 Septembre) vient de paraître.

     
    Au sommaire de ce numéro :
     
    Page 2 – Relance ? Vous avez dit relance ? – Sur le mur de Jean Chouan.
    Page 3 – Montebourg remonté. – L'écho du net.
    Page 4 – Brèves de campagne. – La quinzaine sociale.
    Page 5 – Tsunami sur l’Alliance atlantique.
    Page 6 – Russie : un système très largement bloqué. – Voix étrangères. – Les Faits majeurs.
    Page 7 – Kaboul, Islamabad et Srinagar : la crise afghane dans son environnement géopolitique.
    Pages 8 et 9 – Synthèse : La force de la morale.
    Page 10 – Nostalgériades. – Dans les revues.
    Page 11 – Converser avec Jean-Luc Marion.
    Page 12 – Osez le communisme.
    Page 13 – Le Moyen Âge de Jean Verdon. – Exposition Ferdinand Philippe. – Hommage à Saint-Saëns.
    Page 14 – Royalistes contre nazis : Marcel Joyeux.
    Page 15 – Le mouvement royaliste.
    Page 16 – Éditorial : Illusions et renoncements.
     

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    La Rédaction
  • Covid-19 : la Cour de justice de la République étouffe sous les milliers de plaintes déposées !, par Marie Delarue.

    C’est François Molins, procureur général près la Cour de cassation et deuxième magistrat de France, qui l’a révélé, dimanche soir, sur LCI : « Il y a des milliers de plaintes qui arrivent. »

    5.jpgInterrogé par Darius Rochebin dans son journal de 20 heures, le haut magistrat explique, en effet, que des milliers de plaintes sont déposées devant la Cour de de la République (CJR), cette instance chargée de poursuivre et juger les ministres en exercice. C’est elle qui, en octobre dernier, a ordonné les perquisitions des bureaux et domiciles de l’ex-Premier ministre Édouard Philippe et du ministre de la Santé Olivier Véran. Elle, encore, qui instruit les plaintes contre Agnès Buzyn et autres hautes personnalités impliquées dans la gestion de la crise sanitaire.

    Sur ces milliers de plaintes déposées, peu, en réalité, sont suivies d’effet : la commission des requêtes qui juge de leur bien-fondé en élimine la plupart, mais il en reste suffisamment pour engorger le système. « C’est un phénomène qui est nouveau, qui est dû certainement au développement des modes de communication et d’Internet, et qui affecte la Cour de de la République », précise François Molins, ajoutant que « le même phénomène se produit au Pôle de santé publique de Paris. […] C’est un phénomène qui concerne la problématique dans son ensemble : le volet droit commun ou le volet ministériel. »

    Très souvent critiquée, la CJR s’est vu reprocher son emballement dans des dossiers récents (affaires Fillon, Dupond-Moretti, etc.), nombreux étant ceux qui dénoncent la trop forte intrusion de l’institution judiciaire dans la politique. À cela, François Molins répond que « la Cour de de la République fait la fonction pour laquelle elle a été créée, de poursuivre des infractions reprochées à des ministres dans l’exercice de leur fonction, même si c’était dans le cadre d’une action politique ». Toutefois, il concède qu’un « certain nombre de projets de réformes de la CJR » sont sur la table : « S’il y a un problème là-dessus, il faut que le modèle évolue. C’est la volonté nationale qui soit s’en saisir. »

    Les plaintes qui arrivent en nombre émanent aussi bien de particuliers que de collectifs de victimes, d’associations ou de syndicats (commerçants, enseignants, parents d’élèves, médecins, syndicats de policiers, syndicats pénitentiaires…) et visent à peu près tous les ministères, depuis le Premier ministre jusqu’au ministre de l’Éducation en passant, évidemment, par la Santé.

    Même si le risque de voir aboutir la plupart de ces procédures est quasi nul, il est évident que la peur des poursuites conditionne grandement les décisions des politiques en exercice. Le parapluie s’ouvre aujourd’hui à tous les étages. Il en résulte une mise en coupe réglée de tous nos faits et gestes, un contrôle permanent qui s’est traduit, notamment, par la mise en place du passe sanitaire, tracasserie administrative dont nul ne conteste aujourd’hui l’inefficacité totale en matière sanitaire mais bien la grande utilité en matière d’ingénierie sociale.

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Oui à l'extirpation, dans l'Église, de l'horreur absolue qu'est la pédophilie. Mais que ceux qui donnent des leçons et essaient d'en faire un "combat contre" l'Église balaient devant leurs portes !
     
    G-William Goldnadel
    "Quand on pense que Libé fait aujourd’hui la leçon à l’église en la taxant de "lâcheté insigne" alors que ce journal ne s’est jamais excusé de son apologie de la pédophilie quand il "apprenait l’amour à nos enfants"… Insigne indécence de l’extrême- gauche."
    L'Église au moins ne faisait pas la promotion de la pédophilie "progressiste" contre "l'ordre moral" contrairement à Libé, militant de l'ordre immoral libérateur...

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    1. Ce mardi, à 5h00, l'Allemagne émettait 344g de CO2 par kWh pour sa consommation électrique. Dans le même temps, la France n'en émettait que 40, soit plus de 8.5 fois moins ! Vive le nucléaire !...

    https://www.lemondedelenergie.com/relance-filiere-nucleaire-francaise-tribune/2020/12/07/

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    2. Lors de son débat avec Onfray, Zemmour a proposé  l'arrêt total de l'immigration en France : "Qu'elle soit légale ou illégale, on arrête tout y compris le regroupement familial !" :

    https://www.jeanmarcmorandini.com/article-476140-hier-soir-a-paris-eric-zemmour-a-propose-l-arret-total-de-l-immigration-en-france-qu-elle-soit-legale-ou-illegale-on-arrete-tout-y-compris-le-regroupement-familial-regardez.html

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    2 BIS. Lors du même débat ("Accords/Désaccords") :

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    2 TER. Ceci n'est pas mal non plus...

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    5. Merci à l'INA pour cette "archive" d'une minute et quarante quatre secondes, montrant les "jeunes de banlieue" en 1964 : quelqu'un peut nous expliquer ce qui s'est passé, par rapport aux "jeunes de banlieue" d'aujourd'hui, ou bien on nous laisse trouver la réponse tout seul, parce que, en fait, la réponse... on la connaît ! 

    https://twitter.com/diessolitudinis/status/1445307154399961091?s=20

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    6. Oui, le "racisme anti-blanc" existe, on le rencontre tous les jours; mais, non, dans notre Système pourri, on n'a pas le droit d'en parler... Goldnadel dénonce cela, et il a raison... :

    (extrait vidéo 2'02)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1445428100536414215?s=20

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    7. Dans Valeurs, à propos des CAF et des escroqueries auxquelles elles sont soumises quotidiennement depuis des décennies : si on récupérait la moitié de la fraude sociale, la Sécu serait à l'équilibre. C'est une question de volonté politique. En croisant les fichiers informatiques, cela serait très facile... :

    https://www.valeursactuelles.com/regions/occitanie/haute-garonne/no_agglomeration/societe/haute-garonne-la-caf-escroquee-de-4-millions-deuros-en-2020/

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    À DEMAIN !

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  • Société & Modernité • On se croirait en 1789 ... Cahier de doléances d’une famille provençale en 2019

    Artigues (Var)

    Ce sont des doléances de type concret qui s'expriment ici.  Foin d'idéologie ! La mise en cause pragmatique de ce que nous appelons Le Système n'en a que plus de poids, nous semble-t-il.  LFAR

    Cahier-Doleances.jpgDOLÉANCES

    Mi-janvier 2019

    Contribution de la famille PERONCEL-HUGO2 et CHATELAIN (7 personnes dont 4 électeurs, Hameau des Bellons, 83560 ARTIGUES) aux cahiers de doléances ouverts à la demande du Gouvernement, suite à la crise des Gilets-Jaunes (décembre 2018 - janvier 2019).

    Le 25 juin 2014, les habitants d'Artigues et environs furent invités à une « réunion d'information sur Internet à haut débit ». Devant la foule assemblée à la mairie, plusieurs de nos élus, dont la plupart sont toujours là, annoncèrent officiellement, et sans ambiguïté, que désormais, grâce à leurs efforts et à ceux des techniciens de la Société Xi'an (basée à Lille et dont nous n'avons plus entendu parler par la suite, malgré les sommes importantes qui lui auraient été versées par nos communes...), notre zone était désormais irriguée en haut débit. Notre joie fut grande car nous utilisons surtout notre ordinateur à titre professionnel.

    La déception fut rapide et profonde devant nos ordinateurs (alors branchés à nos frais sur nos téléphones fixes) restés en fait en très bas débit... Mi-janvier 2019 la situation ne s'est pas améliorée même si nous sommes maintenant branchés, toujours à nos frais, sur un boitier Nomad qui nous permet seulement un accès au très bas débit, à certaines heures de la journée qu'on ne peut prévoir à l'avance.

    Le 30 mai 2018, nous avons écrit au président de notre Communauté de communes, pour lui rappeler l'annonce du 25 juin 2014, non suivie d'effet depuis lors. A ce jour, nous n'avons même pas reçu d'accusé de réception de la part de la Communauté de communes...

    mail-1050x600-1024x585.jpgNéanmoins, il nous faut continuer à subir dans les médias, les vaines incantations de nos politiciens locaux ou nationaux sur I'  « égalité des territoires » etc, etc. Des mots, des mots vides pendant que, pour taxes et impôts, là nous sommes bien à « égalité des territoires »...

    Plusieurs d'entre nous travaillent en Europe ou en Afrique, dans des États moins développés que la France mais où l'accès au haut débit est généralisé depuis 10 ans et plus déjà... Nous, il nous faut souvent batailler plusieurs heures sur nos ordinateurs pour ouvrir nos messages puis y répondre. Un vrai calvaire. Nous estimons avoir été désinformés, trompés même par les annonces non fondées de nos élus.

    Var-Matin, journal en général peu critique à l'endroit de nos élus, a titré, le 12 janvier 2019 : « Tout le Var en haut débit d'ici à 2023, d'ici à cinq ans ». Qui peut y croire quand on pense à l'annonce, non suivie d'effet pour notre secteur, du 25 juin 2014 ?

    Si vous réagissez à nos doléances, prière de le faire sur le courriel collectif suivant :

    hugoz@orange.fr

    Merci et salut  

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  • L’ultime manœuvre du clan Bouteflika pour tenter de prolonger le quatrième mandat présidentiel

    Le président Bouteflika en compagnie de Gaïd-Salah New Press.

     
    Par Bernard Lugan
    Historien et spécialiste de l’Afrique 

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    Ultime coup de poker

    Charles Maurras disait de la République qu’elle gouverne mal mais qu’elle se défend bien. L’on peut dire la même chose d’un régime algérien aux abois qui vient de tenter une ultime manœuvre pour prolonger sa survie.

    Car, en somme, ce qu’ont obtenu les millions d’Algériens qui manifestaient contre un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, c’est tout simplement le prolongement de son quatrième… Avec un report des élections et un régime maître du temps qui va désormais utiliser toutes ses courroies de transmission pour embrouiller la situation, diviser les contestataires et tenter toutes les provocations. Y compris celles qui pourraient conduire à un bain de sang afin de lui permettre d’apparaître comme le garant de la stabilité.

    La manœuvre réussira-t-elle ? Il est permis d’en douter car la ficelle est bien grosse. L’opinion algérienne n’est pas dupe et elle n’a plus peur ; d’autant plus que la police a déjà largement fraternisé avec la foule. Quant à l’armée, elle n’est plus le bloc monolithique des décennies passées et, à force de vouloir « finasser », le vieux général Gaïd Saleh  a fini par en perdre le contrôle. Désormais, en son sein, la nouvelle génération n’en peut plus du « chibanisme » ancré sur les références à une histoire que tous savent être fabriquée*.

    En définitive  cet ultime coup de poker du régime pourrait bien au contraire précipiter sa chute avec une épuration totale du système FLN et de ses prébendiers. 

    L’Algérie qui vient de sauter de l’avion avec un parachute en torche se demande si le ventral va s’ouvrir…   

    * Voir à ce sujet mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.

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    Le blog officiel de Bernard Lugan  

    Quelques articles sur le sujet dans Lafautearousseau ...

    Inquiétante fin de règne en Algérie
    Tristes nouvelles d'Algérie
    Bouteflika veut livrer l’Algérie aux islamistes
    Algérie : l’heure de vérité approche pour le clan Bouteflika
    Un ancien ministre algérien prédit l’effondrement de l’Algérie en 2019
    L'Algérie bientôt une urgence française ?
    Éric Zemmour : « Bouteflika, symbole du mal-être de l'Algérie »
  • Humeur • Un Roi ? Pourquoi faire ?

    Par Guy Adain 

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    Quelle idée saugrenue, passéiste, extrêmement droitière que de penser restaurer la monarchie !

    Que ferait-on d’un Roi ?

    Le nôtre, nous l’avons raccourci, jeté lui et sa famille aux orties de l’Histoire, il y a déjà bien longtemps.

    LA LIBERTÉ, une de nos plus belles valeurs, était à ce prix ; nous ne voulions plus être des Sujets assujettis !

    Les Français veulent être libres et égaux.

    L’ÉGALITÉ, voilà notre seconde valeur phare, pivot de notre République. Merveilleux principe qui nous classe comme modèle mondial, et précurseur en la matière. En France, les Français sont égaux et nul ne peut se prétendre supérieur à l’autre.

    e70752a4f8a97c4b5345fcfbeae2a2ac.jpgEt face à ces deux piliers qui soutiennent notre Panthéon national, nous pouvons cultiver la troisième et immense particularité française : « LA FRATERNITÉ. »

    Libres, égaux et fraternels : le Monde nous envie, nous cite en exemple. Nous sommes : « Les Lumières du Monde ! »

    Nous avons instauré la réalité terrestre des obscurantistes de la Religion : Le Paradis en France.

    Avec la Démocratie, de loin le meilleur système de gouvernement, par le Peuple, et pour le Peuple ; Un Homme, une voix ; tout est dit : Egalité, Équité parfaite. 

    Il n’y a que des attardés, nostalgiques de régimes anciens qui regrettent, imaginent ou souhaitent  une France nationaliste, populiste ou pire encore monarchiste !

    La Droite revancharde, la Droite à réaction !

    Pas de ça chez nous ! 

    Alors gentes dames et messires royalistes allez rêver :

    Au Bon Vieux Temps des lampes à huile et de la marine à voiles dans vos châteaux hantés et poussiéreux.

    La France est tout sauf un Royaume en décrépitude, c’est La République Une et Indivisible ! 

    cyrano1.jpgEt pourtant, « Ailleurs en France », après le troisième rond-point du mimosa, il subsiste quelques vieilles âmes, quelques Belles Dames, quelques Gentilshommes armés de leur seule gentillesse, qui eux, rêveurs de beauté, espèrent voir refleurir des… Marie pleine de grâce, des Clotilde, des Jeanne d’Arc, des Grande Mademoiselle (quand ce titre existait encore), et des Bayard, des d’Artagnan, des Cyrano, des Manants du Roi, des croyants, des animés, qui espèrent tout de la Grâce ; des coeurs ouverts, des fous d’amour sans doute…

    Que peuvent-ils peser face au sérieux, à la rigueur de la science des économistes rationnels d’une République En-Marche ? 

    D’un coté, la Raison et sa Déesse… Et de l’autre :

    « La Fantaisie, la Courtoisie, le Panache, l’Honneur…

    La Foi, le Roi, la Loi ! »

    Notre Chevalerie paraît faible et inadaptée face à ces intelligences artificielles. Nous les Rois de coeur, les Dames de coeur, tous en recherche, les uns du Graal et les autres assoiffés de pouvoir d’achat.

    Y aurait-il deux France irréconciliables ?

    Bien sûr que non !

    Il n’y a qu’une France, elle est diverse, et notre temps semble révolu…Révolution oblige !

    gens-de-france.jpgA nous de reprendre notre place et de le claironner :

    « Haut et Fort » !

    Amis royalistes, l’heure est venue d’afficher nos convictions, de ne pas en avoir honte, d’être persuadés que les Gens de France seraient plus nombreux que nous le pensons à les partager…

    Alors, saturons la Toile et partageons à outrance !

    Montjoie Saint Denis !  

  • Notre souveraineté nationale morte et enterrée ?, par Iris Bridier.

    Un gouvernement démocratique pour sauver la planète ? s’interrogeait déjà dans son livre Demain qui gouvernera le monde ? Face aux crises économiques, sociales ou écologiques, il décrivait « un monde impossible à vivre, qu’il nous faut donc d’urgence oser rêver tout autre », imaginant les contours d’un gouvernement mondial, d’un projet fédéral géré par un exécutif planétaire.

    6.pngAu micro de France-Culture, l’économiste et écrivain ajoutait « sans une grave crise, un gouvernement supranational du monde ne sera jamais mis en place ». C’était en 2011.

    Dix ans plus tard, la grave crise est bel et bien là. Elle met en lumière notre interdépendance internationale, ne serait-ce qu’en matière de souveraineté pharmaceutique : pour mémoire la rupture de stocks du printemps dernier puisque la majorité des principes actifs venait de Chine, mondialisation heureuse oblige. De cette crise mondiale allait advenir cette utopie du « monde d’après ». « Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner […] à d’autres est une folie » annonçait Emmanuel Macron dans sa « déclaration de guerre » promettant un retour aux relocalisations et aux circuits courts.

    En matière de nationale, notre président maastrichtien (tel que le nomme Onfray chez Christine Kelly dans une diatribe éloquente sur notre à revoir) est inféodé à la Commission de Bruxelles et ses directives venues d’ailleurs. « L’UE est une machine qui permet de déresponsabiliser les élites françaises, qui, en passant par l’échelon européen, n’ont plus besoin de décider et d’assumer leurs décisions, ce qui est pourtant l’essence même du pouvoir », écrit le spécialiste en géopolitique Jean-Loup Bonnamy dans Le Figaro, reprenant à son compte l’analyse d’Emmanuel Todd. Et la gestion de la pandémie l’illustre quotidiennement.

    Mais ce multilatéralisme s’apprête à s’étendre désormais au niveau planétaire puisque vient d’être proposé « un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire ». Point de théorie du complot ou d’arguments illuminés mais bien « un partage des responsabilités » réclamé par vingt-six chefs d’Etat et de gouvernement (dont Emmanuel Macron) et le directeur de l’OMS qui viennent de signer une tribune pour garantir « un accès universel et équitable aux , aux médicaments et aux diagnostics en cas de pandémie ». L’idée d’un gouvernement mondial est lancée, nous promettant de vivre “normalement”, sortir, retrouver nos proches ou voyager grâce à la vaccination de masse, les QR codes et les certificats sanitaires. A moins d’habiter dans un village d’irréductibles Gaulois réfractaires ?

     

    Iris Bridier

    Journaliste

    Auteur

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le meilleur des mondes est pour demain, en vert, par Yves Morel.

    Le peuple écologique se réduit au petit troupeau de convaincus. Les autres sont exclus de la légitimité populaire. Ce comportement sectaire et satisfait est le résultat de la faillite des autres représentants politiques, qui n'ont pas voulu s'alarmer face aux dangers environnementaux de nos modes de vie. Un blanc-seing dangereux donné à une idéologie radicale…

    Nous n’aurons pas attendu longtemps les tentations terroristes de l’écologisme militant. Depuis leur percée lors des dernières municipales, les Verts semblent croire leur règne arrivé, et ne prennent pas de gants pour faire sentir leur férule. Il n’est que de considérer les initiatives provocantes prises par certains de leurs maires récemment élus pour en juger. À la fin de l’année dernière, Pierre Hurmic, nouveau maire EELV de Bordeaux, interdisait le traditionnel sapin de Noël municipal pour des raisons à la fois économiques (trop coûteux selon lui) et écologiques (il convient de respecter la nature, et donc de ne pas abattre et instrumentaliser de pauvres arbres innocents pour une fête archaïque). Sa décision suscita un véritable tollé, et maints élus et représentants d’associations, exigèrent une consultation de la population locale par référendum. Réponse d’Hurmic : « L’opinion des fachos, je m’assois dessus ! » Belle leçon de démocratie de la part d’un homme qui s’en réclame tant, comme tous nos politiciens ! Belle leçon, également, de tolérance et de respect des autres. Selon Hurmic, ses adversaires ne sont que des « fachos », donc infiniment méprisables, et dont l’avis ne saurait être pris en considération, dans l’intérêt même de la démocratie, et au nom des sacro-saintes « valeurs de la République ». Que cette décision de ne pas installer le traditionnel sapin de Noël, place Pey-Berlan, ait provoqué l’indignation de Bordelais de tous bords (et pas seulement de la droite nationale, loin de là) n’a aucune importance pour le premier magistrat de la cité girondine : tous ses opposants sont les tenants d’une France rétrograde, enkystée dans ses traditions surannées, et relèvent, par là même, de la mouvance réactionnaire, donc fasciste et vichyste. Merci, Monsieur le Maire, pour cette grande leçon de respect et de tolérance, qui augure assez de ce que pourra être un pouvoir écologiste, si jamais il advient un jour.

    À Lyon, le maire EELV, Grégory Doucet, a récemment imposé, pour une durée de trois semaines, un menu unique sans viande dans les cantines scolaires, au nom de la lutte contre la pandémie actuelle. On se demande en quoi une telle initiative freinera la propagation du coronavirus au sein de la population lyonnaise. Mais on a tort de se le demander. En fait, la question n’est pas là. Ce n’est pas la propagation de la Covid 19 qui motive la décision prise par le nouveau mai(t)re de Lyon. Ce dernier, comme beaucoup de ses camarades écolos, est un partisan convaincu du végétarisme, du végétalisme, voire du veganisme et de l’antispécisme. Pendant des années, et durant sa campagne électorale de 2020, il n’a cessé de prôner la diminution générale de la consommation de viande, la diminution de la proportion de viande dans les menus des cantines publiques, l’instauration obligatoire d’un menu optionnel végétarien, chaque jour, dans les cantines scolaires, et l’agriculture bio envisagée sous le seul angle de la production d’aliments végétaux.

    L’écologisme est la seule des idéologies politiques à avoir survécu

    La présente mesure vise à préparer l’instauration d’un régime végétarien obligatoire. Nous exagérons ? Que non, hélas ! Et combien nous souhaiterions avoir tort ! Mais tel n’est pas le cas. L’écologisme est, de nos jours, en Occident, la seule idéologie encore vivace et influente au sein de la population, et capable de séduire des électeurs. Les autres (socialisme, sous toutes ses formes, radicalisme, libéralisme conservateur, nationalisme, démocratie chrétienne) sont toutes mortes, ne comptent plus d’adeptes sérieux, n’inspirent plus les partis politiques d’aujourd’hui et indiffèrent les citoyens.

    Cette capacité de résistance de l’écologisme n’a rien d’étonnant. Pour la comprendre, il suffit de considérer le monde actuel et son histoire depuis quatre décennies. L’échec du socialisme marxiste, sous ses diverses formes, s’est révélé aussi patent qu’effroyable et sanglant. Le socialisme non communiste, « humaniste », social-démocrate, keynésien ou autre, est tout à fait révolu dans l’ordre économique mondial d’aujourd’hui, et n’est plus au pouvoir nulle part, ayant disparu avec la croissance effrénée des économies occidentales durant les années 1960 et 1970, quand les pays riches, sans concurrents, se partageaient le gâteau mondial sur le dos d’un tiers-monde sous-développé. La droite conservatrice modérée s’est convertie au libéralisme hédoniste et amoral, et a accepté le sacrifice de ses valeurs de civilisation à la loi du marché et à la société de consommation la plus débridée ; les catholiques sont devenus « droits-de-l’hommistes » et gauchisants. Les nationalistes ont été impitoyablement marginalisés et jetés aux oubliettes, quand ils ne se sont pas convertis tant bien que mal au système.

    Les désastres environnementaux et sanitaires engendrés par notre système néolibéral incontrôlé explique le succès actuel de l’écologisme

    Il y a peu, encore, on affirmait couramment que le nouvel ordre mondial planétaire, sans frontières ni régulation, néolibéral, régi par la seule loi de la Bourse, avait balayé toutes les idéologies d’autrefois, et s’était imposé comme la philosophie morale et politique immanente de l’humanité, depuis la fin des années 1980. Or, le problème écologique mondial, et la présente pandémie le remettent radicalement en cause.

    Et comment en irait-il autrement, puisqu’ils en sont les conséquences ? C’est, en effet, à notre modèle économique et social néo-libéral, étayé sur la loi du marché et les seules valeurs financières, à notre capitalisme sans frein, impliquant une industrialisation et une urbanisation démentielles, ainsi que des déplacements incessants d’individus et de populations, que nous devons les grands problèmes auxquels nous sommes actuellement confrontés : la pollution planétaire, le réchauffement climatique et la pandémie coronovirale. Délibérément ignorées pendant plus de cinquante ans par les détenteurs du pouvoir économique et financier, pour des raisons mercantiles évidentes, par les pouvoirs publics, soucieux de ne pas compromettre l’essor économique de leurs pays et l’efflorescence de la société de consommation qui en résultait – et d’ailleurs bien incapables de pouvoir réguler ou contraindre le système –, et par le gros de la population mondiale, alors insensible à des problèmes environnementaux qui ne l’affectaient que peu – et subjugué par le modèle individualiste et hédoniste de société en lequel il vivait –, ces questions sont devenues primordiales aujourd’hui, et appellent des réponses urgentes. D’où le succès politique des écologistes. Nous savons tous, aujourd’hui que, pour éviter la transformation de notre planète en un cloaque invivable et en un chaudron infernal, pour éviter également des pandémies mondiales comparables à celle de la Covid 19, il faudra adopter des mesures drastiques particulièrement pénibles et privatives de liberté, et qui modifieront très profondément, dans un sens contraignant et restrictif, le mode vie auquel nous sommes habitués depuis une soixantaine d’années en Occident. Encore ces mesures auront-elles pour effet, non d’éviter, mais de limiter les dégâts, d’ores et déjà nombreux et certains irréversibles. Mais, parce que leur nécessité est une évidence, parce que leur adoption ne peut plus attendre, elles seront « plutôt bien acceptées », comme disent nos journalistes de télévision des mesures destinées à lutter contre la propagation du coronavirus (port du masque, confinement, gestes barrières, distanciation). Nous savons tous que nous devons nous préparer à des lendemains qui déchantent. Et il est particulièrement rageant de penser qu’ils eussent pu être évités si, pendant cinq ou six décennies, nous ne nous étions pas complus dans un système libéral mondial que personne ne pouvait ni ne voulait réguler, et si nous n’avions pas délibérément sacrifié les questions environnementales et sanitaires au culte de la croissance et du profit, aux délices et aux poisons de la société de consommation.

    Des ballons d’essai destinés à préparer l’avènement d’un totalitarisme écologiste

    Mais, en dehors des nécessaires mesures environnementales auxquelles nous devrons bien nous résigner, il est une calamité à redouter : celle de l’idéologie de l’écologisme et du terrorisme moral et politique auquel il donne déjà lieu. Et ceci nous ramène aux mesures récemment prises par certains maires écologistes, que nous critiquions plus haut. Lorsque le maire de Bordeaux prive ses administrés de sapin de Noël, par souci d’économie (dit-il) et au nom d’un respect de la nature, il entend nous imposer une morale écologiste de type religieux soustraite à tout débat public et à l’agrément des citoyens. Lorsque le maire de Lyon impose un repas végétarien dans les cantines scolaires, il lance un ballon d’essai visant à tester les réactions de l’opinion à de futures mesures visant à imposer partout le régime végétarien. À l’évidence, les écologistes, les animalistes et les antispécistes mettent à profit la situation actuelle pour avancer leurs pions et tenter d’imposer une société ordonnée autour d’une religion de la nature, et végétarienne par obligation. Les véganistes et les antispécistes redoublent d’ailleurs d’audace, et les attaques contre les boucheries, les charcuteries et les poissonneries se sont multipliées depuis quelques années. À quand les repas de Noël et les fêtes de famille à base de galettes de soja arrosées d’une bonne bouteille de Cristalline ? Si les initiatives des maires de Bordeaux et de Lyon ont provoqué les critiques de MM. Denormandie et Darmanin (d’ailleurs sans effet), elles ont reçu la chaleureuse approbation de Barbara Pompili, ministre de l’Écologie (et ancienne élue EELV), cependant que le Premier ministre et le président de la République ont « calmé le jeu », faisant ainsi taire les critiques au plus haut niveau, ce qui rend service aux deux édiles mis en cause. La bien-pensance et le politiquement correct, relayés par le matraquage médiatique et le terrorisme de la pensée unique, feront le reste.

    Il est décidément à craindre que la recherche de solutions aux graves problèmes environnementaux et sanitaires devienne le vecteur d’un écologisme intégriste qui transformera le dur avenir qui nous attend en une forme inédite de totalitarisme. La bonne conscience universaliste s’appuiera sur une deep ecology faisant de la nature l’objet d’un véritable culte, et un antispécisme aboutissant à ériger l’animal en égal de l’homme.

     

    Illustration : Grégory Doucet, en élégante tenue de urban gentleman farmer, plante un verger en plein Lyon. Ça pourrait paraître grotesque si ce n’était inquiétant : la révolution verte multiplie les grands projets et les petits gestes, imposant son calendrier et ses méthodes.

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • Un rapport administratif accable Sciences Po Grenoble, par Christian de Moliner.

    Un rapport administratif de l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche sur l’affaire de l’institut des sciences politiques de Grenoble vient d’être remis à Frédérique Vidal, le ministre de l’Enseignement supérieur. S’il pointe les « maladresses » des deux professeurs visés par les accusations d’, il est surtout accablant pour leurs adversaires.

    5.jpgLe rapport dénonce un « de terreur » instauré par l’Union syndicale, un groupement étudiant. Ses membres émettent, à l’encontre de tous ceux qui ne partagent pas leurs convictions, de graves accusations sur les ; soit ils dénoncent systématiquement le racisme de leur opposant, soit (plus grave) ils lancent des rumeurs de violences sexistes sans aucun témoignage, sans qu’aucune plainte ni auprès de la police ni auprès de la direction ne soit enregistrée. Le but étant d’exclure de la vie sociale voire de l’IEP lui-même des étudiants désignés comme cibles.

    Il y a eu une stratégie de « harcèlement moral » qui a instrumentalisé l’islamophobie et les violences sexuelles afin de compromettre des adversaires politiques. Ce système a marché à plein régime tout en contournant la loi et la morale. La présomption d’innocence a été systématiquement bafouée et a même été qualifiée d’« outil d’une de classe qui muselle la parole des victimes ». Fouquier-Tinville ne renierait pas ces jeunes intolérants qui se croient, il faut le souligner, de grands démocrates.

    Le rapport établit l’enchaînement des faits. N’obtenant pas gain de cause dans le conflit l’opposant à Klaus Kinzler, la chercheuse qui a débattu avec lui a envoyé un courriel à sa directrice du laboratoire de recherche, s’estimant insultée, et a affirmé qu’à travers elle, l’ensemble de leurs collègues travaillant dans le laboratoire (voire l’ensemble des chercheurs en ) était diffamé. La directrice, prenant fait et cause pour sa subordonnée, aurait, selon le rapport, usurpé l’autorité du président de l’université en signant un communiqué en son nom et en se mêlant de la gestion des ressources humaines de l’IEP, ce qui n’est pas de son ressort. Ces faits seront inscrits dans son dossier administratif. Il résulte de l’enquête que les étudiants et les professeurs du laboratoire ont beaucoup échangé entre eux au sujet de l’affaire et que les premiers ont été les relais des seconds.

    Les étudiants, ou plutôt leurs organisations syndicales, ont pris depuis quelque temps beaucoup d’importance dans la gestion des en coprésidant l’université ou en gérant les fonds destinés à la vie étudiante ainsi que les subventions aux associations. Tout cela pèse sur la vie et les orientations budgétaires des universités.

    Ce rapport est inquiétant. Pour un établissement mis sous le feu des projecteurs, combien d’universités sont sous le joug d’une minorité qui impose sa loi et fait la chasse aux « dissidents » ?

    On parle d’islamo-gauchisme, mais ce terme n’est pas nécessairement adéquat. Il vaudrait mieux parler de fascisme et de totalitarisme qui se répandent dans les facultés : des jeunes biberonnés depuis leur plus jeune âge au gauchisme refusent tout jugement discordant, toute pensée déviante. Ils se croient investis de la vérité, la seule et unique. Ils constituent une menace grave qui sera difficile à contrer.

     

    Christian de Moliner

    Professeur agrégé et écrivain
  • Comment les drones low cost pourraient redessiner la guerre du futur, repéré par Céline Deluzarche sur The Wall Street J

    Face au pot de fer, le pot de terre a désormais ses chances.

    Chacun s'imagine que la guerre 3.0 se jouera sur le plan technologique. Canon laser, missile hypersonique, arme quantique, canon à ultra longue portée, voire soldat «augmenté» et satellite espion… Chaque armée tente de se doter d'équipements toujours plus sophistiqués.

    5.jpgMais, sur le champ de bataille, le gagnant n'est pas forcément le plus riche. L'an dernier, de simples drones bon marché ont aidé l'Azerbaïdjan à regagner le territoire du Haut-Karabakh détenu par les forces arméniennes et soutenues par la Russie, rapporte le Wall Street Journal.

    Plusieurs vidéos montrent ainsi des attaques menées contre des chars, des camions, des postes de commandement ou des installations radar. Ces drones bon marché, souvent de conception turque ou chinoise, permettent ainsi à des petits groupes armés disposant de peu de moyens de rivaliser avec les armées les plus puissantes au monde.

    «Au moins dix pays, du Nigeria aux Émirats arabes unis, ont utilisé des drones chinois pour tuer des adversaires», rapportent des analystes de la défense cités par le WSJ. L'an dernier, le secrétaire britannique à la Défense Ben Wallace avait également évoqué «les lourdes pertes» de la Syrie contre les drones turcs.

    Seuls ou en groupe, ces drones peuvent surprendre et détruire n'importe quel véhicule blindé, rester en survol pendant de longues heures à la recherche d'une cible, assister les frappes d'artillerie au sol ou détecter des lacunes dans les systèmes de défense aérienne.

    L'AK-47 des airs

    L'un des fers de lance de cette guerre low cost est le Bayraktar TB2, un drone turc, capable de voler 27 heures d'affilée et de frapper une cible de 2 mètres à 8 kilomètres de distance. Des dizaines de pays sont déjà utilisateurs, dont l'Ukraine, l'Azerbaïdjan, la Libye ou encore le Maroc. En mai dernier, la Pologne a également confirmé qu'elle allait acquérir vingt-quatre drones TB2.

    «Sa portée est cinq fois moindre que celle du MQ-9 américain, mais il est pratique et fiable», atteste le WSJ, qui le compare au fusil Kalachnikov AK-47, un «game changer» sur de nombreux champs de bataille du XXe siècle. Et son coût unitaire, 5 millions de dollars (4,15 millions d'euros), est quarante fois inférieur à celui du futur Eurodrone européen MALE (160 millions d'euros).

    «Aujourd'hui, [les armées occidentales] emploient des équipements extrêmement sophistiqués conçus au départ pour affronter des armées classiques, et se retrouvent face à des gens équipés d'une kalachnikov et de lance-roquettes des années 1960», observe le Colonel Michel Goya, chercheur à l'École Militaire.

    Une stratégie vouée à l'échec: après vingt ans de guerre en Afghanistan et plus de 815 milliards de dollars dépensés, les Américains se sont retirés du pays en avril dernier sans véritable victoire. Cela n'a pas empêché les dépenses militaires globales d'atteindre un nouveau record à 1.981 milliards de dollars en 2020.

    Source : https://korii.slate.fr/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : le manifeste du Duc de Guise, un manifeste toujours d’actualité en 2021.


    Cette semaine le baromètre de la confiance politique du CEVIPOF confirme, une fois de plus, la forte défiance que nourrit la population française vis-à-vis de la politique. Les dirigeants français sont perçus comme lointains, déconnectés des réalités et peu sensibles au sort de leurs concitoyens.

    Trois Français interrogés sur quatre expriment des sentiments négatifs envers la classe politique, avec, tout en haut du classement, de la méfiance et juste en dessous, du dégoût…

    Crise démocratique, crise économique, fracture diplomatique insécurité galopante, montée de l’abstention lors des élections… La France n’est plus aujourd’hui en crise, mais submergée par toutes ces crises…

    Dans ce contexte et alors que les français sont appelés aujourd’hui une fois de plus aux urnes, il nous est apparu intéressant de republier ce manifeste publié en 1933 par le Duc de Guise. Un manifeste dont la majorité des éléments sont toujours malheureusement valables aujourd’hui.

    Le Manifeste

    ” A cette heure critique, pour une opération chirurgicale telle que la séparation de l’étatisme et de l’état, une dictature s’impose!

    Mais celle de la monarchie ! Non celle des partis, non celle d’un élu des partis où se retrouverait toute la corruption du parlementarisme avec le despotisme en plus et qui donnerait vite un nouveau tour de vis à la vieille machine de la centralisation qui vous asservit et vous dépouille. La monarchie n’est pas un parti, elle ne naît pas des querelles électorales.

    Tempérée par le sens traditionnel de l’intérêt public et le souci dynastique de l’avenir, son autorité peut s’appuyer sur des assemblées représentant les grands intérêts agricoles, industriels et commerciaux, délivrer le suffrage universel de ses corrupteurs, simplifier les rouages et formalités des administrations, apporter en un mot les nouveautés et les changements nécessaires. Elle seule peut en finir avec le système de confusion où tout le monde s’étant mêlé à tort et à travers des affaires de l’état, l’état s’est pareillement mêlé des affaires de tout le monde !

    Je représente les principes qui rendront à l’état la plénitude de l’impartialité, de l’indépendance et de la stabilité . Français, où l’autorité et les libertés de la monarchie, où l’oppression de l’anarchie socialiste !

    Ces grandes vérités politiques ne dépendent pas ni de vous ni de moi !

    Lorsque j’en ai reçu la garde avec la vie pour les transmettre intacte à mon fils, j’ai hérité aussi du devoir de les rappeler à la nation française et, si il plaît à Dieu, quand il le faudra je les appliquerais au gouvernement du pays en utilisant le concours des français de toutes origines et de toutes conditions librement organisés et représentés.

    D’un sang qui sert la France depuis plus de milles ans, le petit fils de Saint Louis et d’Henri IV est prêt à reprendre avec vous la grande œuvre de conservation et de progrès que désirent du fond de l’âme, tous les patriotes et les gens de bien. “

    Jean Duc de Guise, en exil, le 3 janvier 1933.

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • A la découverte de l'homme Maurras : Rajoutée par Maurras ensuite, une cinquième stèle; elle fut enlevée : par qui ?...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Rajoutée par Maurras ensuite, une cinquième stèle; elle fut enlevée : par qui ?...

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    (illustration : la Prud'hommie des pêcheurs de Martigues, qui fait face au théâtre)



    Enfin, nous ferons un ultime arrêt devant une cinquième stèle, rajoutée plus tard, et qui ne se trouve pas, pour cette raison, dans la partie du jardin que nous venons de visiter : elle est apposée directement sur l'angle de la maison, côté ouest, et fait suite, ou réponse, "à l'infâme verdict du 27 Janvier 1945".


    On y lit "la lettre historique écrite, à l'automne de 1944, par le Président du Conseil de nos Prud'hommes Pêcheurs" : en pleine re-Terreur de la sinistre "épuration", il fallut bien du courage aux pêcheurs de Martigues, même si le texte est bien court, pour oser envoyer cette lettre ouverte...



    Communauté des Patrons-Pêcheurs de Martigues.

    Martigues, le 16 Octobre 1944.

    Nous, Conseil des Prud'hommes pêcheurs des quartiers maritimes de Martigues, représentant 700 pêcheurs, attestons que notre concitoyen Charles Maurras a, depuis toujours et jusqu'à son incarcération, faisant abstraction de toute opinion politique, fait entendre sa grande voix pour la défense des intérêts de notre corporation.
    Par la presse, il a attaqué les trusts et les autres grands profiteurs, ainsi que certaines administrations qui voulaient nous brimer.

    Pour le Conseil des Prud'hommes, le Président Dimille.

     

    Cette plaque, apposée sur le mur de la maison, tous ceux qui ont visité le jardin de Maurras l'ont vue, jusqu'à ces dernières années. Elle ne se trouve plus sur la façade : la Mairie, propriétaire des lieux, pourrait-elle nous dire où elle se trouve ?

    Et qui l'a enlevée ? Et pourquoi ?

    Certes (on l'a dit), deux amphores ont été volées (du moins c'est la vérité officielle...)

    Mais voler une plaque avec un texte pareil, quel brocanteur - fût-il escroc - serait intéressé ? Revendre frauduleusement des amphores, passe encore, mais une plaque à la gloire de Maurras ?...

    Alors, osons "la" question iconoclaste : cette plaque "gênait-elle" ? Mais qui (la Mairie ? ). Et pourquoi (parce que des gens du petit peuple y disaient la vérité ?).

    Certes, vérité et marxisme-léninisme n'ont jamais fait bon ménage...

    lafautearousseau

  • Des lectures pour l’été : Une femme à Berlin, journal 20 avril-22 juin 1945, 1954, par Antoine de Lacoste.

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    Ce journal est anonyme. Ecrit au jour le jour, avec parfois des moyens de fortune, il relate la vie d’une femme à Berlin pendant et après la chute du IIIème Reich.

    Les premiers jours se passent souvent dans les caves des immeubles de la capitale, sous les bombes américaines. 

    antoine de lacoste.jpgUne nouvelle s’installe, peuplée de femmes, d’enfants et de personnes âgées. Elle a ses codes, ses lâches et ses héros, des gens entre les deux le plus souvent, qui tentent de survivre.

    Après chaque bombardement, il faut manger et dormir. Les derniers soldats allemands, de plus en plus vieux ou de plus en plus , finissent par s’évaporer et les vainqueurs arrivent. Ils sont soviétiques et une nouvelle vie commence pour les Berlinois et surtout les Berlinoises, bien plus nombreuses que les hommes.

    Elles doivent faire face à trois problèmes : où se loger, car les destructions sont considérables, comment manger et même boire, comment échapper aux viols ? L’auteur ne le sait pas encore mais le des vaincues a été érigé en système par Staline lui-même. Il est donc très difficile, voire impossible, d’y échapper. Après plusieurs subis de la part d’une soldatesque hors contrôle, notre auteur comprend que la présence régulière d’un officier chez elle la protège.

    Fiers de leur conquête, les deux officiers qui se succéderont plusieurs jours dans son appartement délabré, interdiront aux fantassins brutaux et saouls d’abuser de leur proie dont il se réservent l’exclusivité. Elle ne le fait pas de gaieté de cœur mais, guidé par son instinct de survie, elle choisit la moins brutale des solutions.

    Les combats s’achèvent et une troisième vie commence, celle d’une occupation moins violente, mais d’une implacable dureté. Et pourtant, les Berlinoises tiennent avec un courage et une solidarité qui, loin d’être sans faille, est toutefois impressionnante.

    Fort bien écrites par une femme au courage et à l’intelligence exceptionnels, ces pages sont passionnantes. Les dons d’observation et d’analyse de l’auteur en font un témoignage unique : quelles que soient les circonstances, tout est matière à réflexion avec un recul et une lucidité impressionnante jusque dans les petits gestes de survie : « Tôt levée, chercher l’eau, trouver du bois. Peu à peu j’ai l’œil pour le bois, difficile aux bûches de m’échapper. Je trouve toujours de nouveaux endroits, dans les caves, les ruines, les baraques abandonnées. »

    La aux vaincus du régime ne la réjouit guère, elle qui pourtant n’a aucune sympathie pour Hitler : « Et maintenant tout  envoie Siegismund au diable. Moi aussi, je l’ai laissé partir sèchement ce que je regrette en cet instant. Pourquoi dois-je suivre aveuglément les décisions du peuple ? On en revient toujours à l’Hosanna Crucifix. »

    Malgré le sordide da sa situation, l’auteur réussit à ne jamais l’être ; pas de détails scabreux, de la retenue et de la dignité. Le lecteur est admiratif.

    Ce livre, récemment réédité, est un document rare. Il nous apprend beaucoup sur un épisode tragique de l’ et l’on salue ces vaincues innocentes.

     

    Le blog d’Antoine de Lacoste

     

    Une femme à Berlin: Journal 20 avril-22 juin 1945 Poche – 17 janvier 2008

     

    Antoine de Lacoste

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

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    1. Le coup-fourré Macron/Sarkozy : Philippe Bilger analyse finement l' "habileté diabolique" de Macron et la "vanité" de Sarkozy : certes, il se place du point de vue d'un Pays légal que nous exécrons et d'une prétendue droite, en laquelle nous ne voyons - comme dirait Boutang - "rien à conserver". Mais l'analyse de la décomposition de ce Pays légal pourri est, justement, intéressante...

    (extrait vidéo 1'34)

    https://twitter.com/BilgerPhilippe/status/1436596347289939973?s=20

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    2. Charlotte d'Ornellas, elle, analyse, avec justesse, la cause du succès d'Éric Zemmour : "Éric Zemmour a bousculé le système médiatique en tenant un discours que beaucoup de Français rêvaient d'entendre à la télévision. Initialement, son succès vient de là..."

    (extrait vidéo 1'06)

    https://twitter.com/ChdOrnellas/status/1436724650311131136?s=20

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    3. Michel Onfray critique - avec justesse - la nouvelle loi - adoptée il y a peu... - permettant d'avorter jusqu'à neuf mois, si l'on allègue des motifs de détresse psychologique et sociale :

    "Nous sommes dans une civilisation où l'on estime qu'il faut de l'empathie pour des rats mais qu'il n'en faut pas pour des enfants de 9 mois. On marche sur la tête !... Et si vous dîtes ça, vous êtes un salaud, un fasciste, un anti-progressiste, un conservateur !".

    (extrait 1'29)

    https://twitter.com/JeunessedeDieu/status/1436738773824548873?s=20

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    3 BIS. Michel Onfray critique aussi - et toujours avec la même justesse - le Service publique audio-visuel, scandaleusement confisqué par la gauche, après être revenu sur le décompte du temps de parole d'Éric Zemmour :

    "On fait semblant de croire qu'Eric #Zemmour serait le seul à faire de la politique, mais tous les journalistes font de la politique. S'il faut décompter le temps de parole de tous les journalistes, on ne va pas y arriver"

    (extrait vidéo 1'26)

    https://twitter.com/MarmotteDroite/status/1436070070799814660?s=20

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    5. L'Allemagne contre la France (comme toujours...) : Concurrents de Naval Group, l'allemand ThyssenKrupp et le suédois Saab attisent les polémiques en Australie pour affaiblir l'industriel français sur d'autres marchés d'exportation : campagnes de presse, attaques politiques, rumeurs de plan B… Après avoir été choisi en 2016 pour fournir 12 sous-marins, le leader européen du naval de défense Naval Group déchaîne les passions à Canberra en Australie. Les prochains jours seront décisifs... :

    https://www.challenges.fr/entreprise/naval-group-tempete-sur-le-contrat-du-siecle-australien_780004

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    6. Après l'autodafé du Canada, Mathieu Bock-Côté relève le caractère religieux totalitaire de la "secte woke" :

    https://twitter.com/CNEWS/status/1436754264685174791?s=20

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    7. Une courte compilation qui serait amusante si la girouette dont il est question ici n'était ministre; et s'il ne s'agissait de la Santé publique...

    (extrait vidéo 2'20 : accablant, non ?)

    https://twitter.com/ops78v/status/1436928841889558535?s=20

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    À DEMAIN !

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  • 3.000 soignants ont été suspendus mercredi, par Iris Bridier.

    Si le gouvernement pouvait afficher la même fermeté et traiter la sécuritaire avec la même pugnacité, la France redeviendrait ce pays où il fait bon vivre, où l’insécurité n’est plus qu’un lointain « sentiment » et où le terroriste ne risque plus de traverser nos frontières clandestinement et infiltrer les flots de migrants.

    2.pngCar en matière sanitaire, la tolérance zéro est de mise pour nos héros.

    « Nous ne reculerons pas », prévient Jean Castex. « Le refus de se vacciner ne donnera lieu à aucun arrêt maladie », ajoute Olivier Véran, promettant d’effectuer des « contrôles systématiques » non pas en zones où il n’y a plus de république mais plutôt où il y a urgence : pour « toute prescription jugée suspecte ». Ou quand certains sont renvoyés au rang de délinquants. « Les sont des gens responsables et dévoués et ne pas être vacciné n’est pas un acte criminel ! » rappelle le Dr Gérald Kierzek, dans Le Figaro.

    « On va avoir la position la plus dure possible », renchérit le bon petit soldat Benoît Elleboode, directeur de l’ARS Nouvelle-Aquitaine, qui annonce, lui aussi, « démarrer très rapidement » des « contrôles surprise » dans les établissements et chez les libéraux. Et voilà que ce gouvernement, clairement dur avec les faibles et faible avec les forts, se félicite des « effets très positifs » de sa menace de suspension immédiate du contrat de travail sans rémunération.

     

    « Il y a eu hier quelque 3.000 suspensions qui ont été signifiées à du personnel des établissements de santé ou médico-sociaux qui n’étaient pas encore rentrés dans un parcours de vaccination sur 2,7 millions de salariés », indiquait Olivier Véran au micro d’Yves Calvi, soulignant que « la continuité des soins a été assurée », mercredi. Pour autant, malgré une situation en apparence maîtrisée, des opérations sont déprogrammées, des consultations reportées, comme à l’hôpital de Montélimar du fait de l’absence de trois médecins anesthésistes travaillant au bloc. La direction envisage de « réduire la voilure » dans un autre service où « trois allergologues seront aussi absents », rapporte, à l’AFP, Philippe Charre, le directeur adjoint.

    Et le Dr Véran de qualifier un peu rapidement ces personnes suspendues qu’il décrit comme « essentiellement du personnel de service support, très peu de blouses blanches, c’est-à-dire surtout dans les secteurs de blanchisserie ou d’alimentation, ou voilà… Vous voyez ce que je veux dire… », lâche-t-il d’un air entendu. Mais quel message veut-il faire passer, exactement ? Que ce sont des emplois moins qualifiés et que cela explique leurs réticences, qu’il y aurait corrélation entre interrogations et niveau de formation ? Ou que ce sont plutôt des personnes en seconde ligne dans les hôpitaux et, donc, sans contact direct avec les patients ?

    Pas vraiment de quoi s’enorgueillir, donc, tandis que du personnel manque à l’appel et « que le dialogue est rompu à l’hôpital (ou dans le système de santé d’ailleurs) entre le “management” et les acteurs du soin, entre ceux qui décident et ceux qui font. On peut véritablement parler de maltraitance institutionnelle et de harcèlement, maintenant », selon le Dr Kierzek. Rappelons que le coût du contrôle des passes sanitaires à l’entrée des hôpitaux est estimé à 60 millions d’euros par mois, selon la Fédération hospitalière de France. Un budget qui, dans un monde normal, aurait pu être affecté autrement…

     

    Iris Bridier

    Journaliste