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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes moder

    Aujourd'hui (16) : Gracchus Baboeuf dénonce le Populicide. Il était pourtant révolutionnaire lui-même, et mourra guillotiné !...

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    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

    Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...

    Voici quelques aspects de ce que fut la Terreur révolutionnaire en Vendée, et ce qu'en ont dit quelques uns de ceux qui ont oeuvré à sa mise en œuvre "systématique", au sens premier du terme...

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    Aujourd'hui (16) : Gracchus Baboeuf dénonce le Populicide. Il était pourtant révolutionnaire lui-même, et mourra guillotiné !...

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    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

     

    François Noël Babeuf est plus connu sous le nom de Gracchus Babeuf. Né le à Saint-Quentin, il mourra guillotiné à Vendôme, le . Le "babouvisme" préfigure le communisme et l'anarchisme.

     

    Cet ouvrage fut publié en 1795 à l'occasion du procès de Jean-Baptiste Carrier, l'auteur des noyades de Nantes.

    Gracchus Babeuf, père du communisme, l'une des grandes figures de la Révolution française, soulevait la question de fond de la nature de la répression perpétrée par la Convention en Vendée.

    Ce livre se présente comme un réquisitoire très bien documenté, et d'une incroyable modernité, contre la politique dictatoriale menée en 1793 et 1794, politique qui devait conduire, entre autres, à l'anéantissement et à l'extermination des Vendéens, Bleus et Blancs confondus, et de préférence des femmes et des enfants.

    Avec la nouvelle édition de ce texte, Reynald Secher, dans son avant-propos, "Mémoire et "mémoricide" ", reprend, à l'aide de nombreux documents inédits, la genèse des événements en Vendée et définit un quatrième crime de génocide : le mémoricide.

    Jean-Joël Brégeon présente la personnalité de Gracchus Babeuf.

    Et Stéphane Courtois établit la filiation entre l'idéologie de Robespierre et celle de Lénine et des leaders communistes.

    Reynald Secher conclut son propos :

    "Reste un problème jamais abordé jusqu'à présent : l'abrogation officielle des lois d'anéantissement et d'extermination. Ne serait-il pas opportun de profiter de ce débat public pour le faire ? On pourrait me rétorquer que ce n'est pas nécessaire puisqu'elles sont tombées en désuétude. J'aimerais y croire mais mon expérience d'historien me fait penser que jamais rien n'est définitif ni acquis : à situation exceptionnelle, moyens exceptionnels. À titre d'exemple, il faut rappeler que la déportation des Juifs a été justifiée et légalisée par le recours à des lois révolutionnaires remontant aux 10 juillet et 3 août 1791. En faisant ce geste premier d'abrogation, la France serait, par là même, une source d'exemple pour des pays comme la Turquie, s'honorerait et, surtout, permettrait aux Français d'avoir une histoire plus juste et plus apaisée, au-delà de toute considération politique et idéologique qui, entre autres, fait assimiler reconnaissance du génocide vendéen et remise en question de notre démocratie ; celle-ci, bien au contraire, en sortirait grandie et non affaiblie comme certains le craignent. Mieux encore, la France faciliterait et accélérerait l'évolution du droit international qui va vers le sens de la reconnaissance d'un quatrième crime de génocide, le mémoricide, ce qui permettrait de repousser la progression des tentations révisionnistes".

     

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    C'est "çà", la Révolution !

    C'est "ça" qui fut voulu et ordonné par Robespierre et sa bande de psycopathes de la Convention; et fidèlement exécuté sur le terrain par "les Bleus", qui ont perpétré là le premier Génocide des Temps modernes, doublé d'un mémoricide puisque, deux siècles et demi après, celui-ci n'est toujours pas reconnu

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    Le visage de Robespierre reconstitué par Philippe Froesch, présenté à Barcelone en décembre 2013, par un spécialiste de la reconstruction faciale, qui dit avoir utilisé les techniques du FBI et du cinéma, et un médecin légiste, qui en a profité pour donner la liste des maladies dont souffrait le révolutionnaire... 
  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Fabien Bouglé : ”L' Allemagne mène une guerre économique pour contrôler notre système

    André Bercoff reçoit Fabien Bouglé pour la sortie de son livre "Nucléaire : les vérités cachées" aux éditions du Rocher.

  • Un système politique moribond au bord de l'implosion, par Yves Morel.

    L’abstention massive aux élections successives est le signe manifeste d'un rejet populaire du système politique français. Tous les partis sont touchés, et même le régime des partis, car tous ont prouvé et leur mépris et leur impuissance.

    Taux d’abstention au second tour des dernières élections départementales et régionales : 65,7 %. (rappelons que, lors du second tour de la présidentielle de 2017, il s’élevait déjà à 25,3 %). Les Français boudent les urnes et les partis politiques, et ils ne croient plus aux institutions non plus qu’en la capacité des responsables politiques à remédier à leurs difficultés. Et ils ont remisé au grenier les idéologies et les projets de société. Ce n’est pas là la manifestation d’une révolte, ni même un refus hargneux, mais, pire encore, une désaffection, et encore bien pire, un désintérêt total.

    On ne peut pas parler de rejet : le rejet est toujours précédé et/ou accompagné de propos publics (oraux ou écrits) malveillants et agressifs, ou de défilés dans les rues, et se traduit, au plan électoral, par un vote marqué en faveur des partis protestataires. Rien de tel ne s’est produit à l’approche des dernières élections, ni pendant leur déroulement. Les Français n’ont pas manifesté de colère particulière à l’égard du président de la République ou du gouvernement ; et ce d’autant plus que la crise sanitaire a suspendu depuis plus d’un an le cours habituel de notre vie politique, suspension favorisée d’ailleurs par la mise sous le boisseau, de la part de l’exécutif, des sujets propres à susciter le mécontentement, tels la réforme des retraites. On peut alors se demander si cette mise entre parenthèses de la vie politique, en forme de léthargie, n’a pas joué un rôle dans la démobilisation des électeurs, lors du dernier scrutin. C’est possible, mais il semble douteux que ce rôle ait été déterminant. Assurément, la cause du mal n’est pas d’ordre simplement conjoncturel ; elle traduit une grave crise de notre système politique.

    La profondeur du mal. Le rejet silencieux du système

    Certes, la crise en question est silencieuse. Mais ce silence assourdissant révèle sa profondeur. On ne conteste pas le système ou le pouvoir, on l’ignore, on le supporte passivement ; non parce qu’on juge son action nécessaire et incontournable, mais parce qu’on est intimement persuadé, au plus profond de l’être, que toute contestation est inutile, même si on pense que la politique suivie est mauvaise ou, tout au moins, critiquable. Parce qu’on pense que d’autres ne pourraient ni ne voudraient faire mieux ou autrement. Et parce qu’on pense aussi, confusément, que le système est absurde, et que ce ne sont pas le vote et la succession démocratique des présidents et des majorités parlementaires qui peuvent accoucher d’un pouvoir efficace, capable de changer les choses. En principe, on utilise le système pour essayer de changer les choses. Ou, on conteste le système en votant pour des partis qui, sans vouloir explicitement le détruire, le remettent en question en critiquant l’usage pernicieux qu’en font les représentants des autres formations et de la classe politique en général : ceux-ci sont perçus comme formant une nomenklatura coupée des préoccupations du peuple et unie par des privilèges communs et des pratiques communes, cette communauté de pratiques s’expliquant par le refus de bouleverser un ordre existant en entreprenant des réformes sérieuses en faveur des Français de base. Or, la présente abstention révèle que dans l’esprit des électeurs, les partis protestataires sont désormais inclus de plain pied dans cette nomenklatura, et qu’ils sont considérés comme des partis comme les autres, dirigés par des politiciens comme les autres, et qui, de toute façon, n’ont pas la possibilité – faute de compétence et/ou de moyens – de changer quoi que ce soit. Les électeurs estiment que ce n’est plus la peine de voter, ni même de protester ouvertement, et ils s’abstiennent de voter comme de manifester ou de dénigrer verbalement.

    Un mécontentement et un sentiment de révolte privés d’exutoire

    Il serait cependant spécieux de prendre cette abstention totale pour une forme de résignation. Les gens en ont assez, souffrent matériellement et moralement (ils sont « moroses », aiment à dire nos journalistes de radio et de télévision), ils sont intimement et sourdement révoltés, mais ils ne se sentent plus les moyens de le faire savoir, et n’ont donc plus d’exutoire à leur mécontentement. Et cela est pire que tout, cela peut devenir une cocotte minute sur le point d’exploser. Car on ne peut imaginer la durée indéfinie d’une situation caractérisée par la coexistence sourdement tendue d’un peuple exténué, impuissant à exprimer ce qu’il ressent et qui lui fait mal, et d’un système politique qui subsiste sans lui. On ne peut savoir ce qui en résultera. Toutes les hypothèses sont envisageables. On peut imaginer une explosion sociale et politique, bien que cette éventualité paraisse peu probable dans la conjoncture actuelle. Une implosion semble plus plausible. Les Français, déprimés, prostrés, abattus, sans ressort, toute velléité de rébellion (mais non de sentiment d’indignation) éteinte, se laisseraient aller au marasme, à un désespoir muet, à une passivité apparente dissimulant une révolte impuissante à s’exprimer, et s’enfonçant dans la déchéance morale (et aussi matérielle), bref dans une espèce de trou noir qui finirait par emporter toute notre société. D’autres scénarios peuvent se présenter à l’esprit, non dénués de vraisemblance.

    Le discrédit général des partis

    Ce qui est certain, en tout cas, c’est que nous vivons la fin d’un système. Nos compatriotes se désintéressent totalement de la vie politique, des partis qui l’animent, des hommes et des femmes qui l’incarnent, qu’ils représentent le « système » ou qu’ils s’inscrivent contre lui. Les Républicains et les socialistes peuvent bien se targuer de leurs succès aux dernières élections, ils ne représentent chacun qu’une faible portion des 34,3 % des électeurs qui ont accompli leur devoir civique les 20 et 27 juin dernier. Ni les uns ni les autres ne suscitent l’engouement des Français. Tout au plus ont-ils arrêté momentanément la dégringolade que leur avaient value la présidentielle et les législatives de 2017. Les socialistes, en particulier, ne redeviendront jamais le grand parti qu’ils étaient avant cette date. La France insoumise confirme son incapacité à entraîner le peuple mécontent à sa suite, et pâtit de l’extravagance tonitruante et souvent choquante et grotesque de son chef vieillissant. Le parti communiste tend à l’inexistence, tout comme l’extrême gauche trotskyste. Le Rassemblement national, comme La France insoumise, n’engrange aucun fruit du mécontentement populaire. Il connaît désormais les inconvénients de sa stratégie de dédiabolisation. Devenu un parti à peu près comme les autres aux yeux du grand public (non, certes, à ceux de l’intelligentsia et de la classe politique), il se voit boudé par les électeurs comme les autres. Nombre de ceux qui auraient voté pour lui du temps où il était le Front national de Jean-Marie Le Pen, le délaissent, d’autant plus qu’ils ne le créditent d’aucune capacité à gouverner le pays. Seuls les écologistes tirent avantageusement leur épingle de ce jeu électoral dérisoire en raison à la fois de la brûlante actualité des questions environnementales et du discrédit frappant leurs concurrents.

    Un sentiment général d’impuissance et de vanité

    Le cœur du problème siège en ceci que les Français se sentent désormais étrangers au système politique qui commande le fonctionnement de leurs institutions. Mécontents dans leur très grande majorité, aux prises avec mille difficultés matérielles, déprimés, désillusionnés, revenus de tout et de tous, ils ne se hérissent pas contre l’imposture du système, comme ils ont pu le faire à certains moments de crise de leur longue histoire. Ils sont persuadés de son incurie et de celle de nos dirigeants, croient vaine toute tentative de changement, ont oublié depuis longtemps toutes les grandes idées de droite et de gauche qui transportaient leurs ancêtres, et n’écoutent plus les « ténors » de la politique et ne lisent plus leurs professions de foi (lorsque celles-ci leur parviennent). Ils subissent les décisions des maîtres du moment avec, au cœur et à l’âme, un sentiment d’impuissance et de vanité de toute opposition (à quoi bon protester, songent-ils), les voient se succéder avec indifférence, et ne se dérangent donc plus pour glisser quelque bulletin dans une urne (ils se sentent d’ailleurs incapables de choisir) lorsqu’ils y pensent (lors du dernier scrutin, on a vu des gens oublier que les dimanches 20 puis 27, étaient des journées électorales !) Un tel climat incite à penser à bon droit que les Français, dont on rebat sans cesse les oreilles avec les « valeurs de la République » et la démocratie, ne sont plus ni républicains ni démocrates, même s’ils n’aspirent pas à l’instauration de quelque autre régime.

    Un système moribond

    En vérité, il semble loisible de croire que notre régime est aujourd’hui proprement épuisé, sénile, moribond. Il n’a plus rien à proposer aux Français, et est à bout de ressources morales et intellectuelles propres à le légitimer. Il ne survit que par sa seule présence, sa masse inerte (un poids mort), et parce que personne ne lui conçoit une alternative.

    Oui, décidément, la question de la nature du régime se pose, en France, et depuis déjà beaucoup plus longtemps que les effets de la crise sanitaire actuelle. Nos compatriotes n’imaginent pas un régime de substitution à celui qui nous régit présentement. Mais ils ne croient plus, n’adhèrent plus du tout, fût-ce passivement, à ce dernier, qu’ils supportent tout en le dédaignant, au point de s’abstenir de voter. Une telle situation ne pourra durer sans provoquer une crise majeure, de nature inédite, dans notre pays. Le régime actuel ne peut plus rien donner, pas même des illusions et ne pourra tenir longtemps le pays. Son remplacement s’impose.

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • L’inflation ne sera pas transitoire : vers le krach et l’explosion du système !, par Marc Rousset.

    L’inflation ne sera pas transitoire, contrairement à ce qu’affirment la BCE, la Fed et les banques centrales, car les masses monétaires ont déjà augmenté, entre 2008 et 2020, d’un indice de 64,7 à 146,8 aux États-Unis, et de 85,5 à 130,1 dans la zone euro. Aux États-Unis, les taux d’intérêt des obligations américaines à dix ans ont augmenté de 0,62 %, en juillet 2020, à des niveaux de l’ordre de 1,50 % aujourd’hui.

    marc rousset.jpgLe poids des intérêts d’emprunts dans le budget de la France commence, de nouveau, à augmenter et à renchérir la charge de la dette publique française (37,1 milliards d’euros).

    Certains commencent déjà à prédire un krach obligataire en raison de la hausse des taux, en même temps qu’un effondrement des actions en Bourse avec, à la clé des faillites bancaires et des États en banqueroute, dont l’Italie et la France de Macron. En cas de remontée des taux d’intérêt, l’Italie de Mario Draghi sera le premier pays européen à faire la bascule. Quant à l’inflation, l’augmentation des prix sur un an, de juin 2020 jusqu’à juin-août 2021, selon les produits, devrait nous mettre en garde : +32 % sur le blé, +25 % aux États-Unis pour les voitures d’occasion, +55 % pour le baril de Brent, entre 10 % et 20 % pour les puces électroniques du leader mondial TSMC. Et l’évolution récente ne fait que confirmer ces chiffres…

    Bob Prince, un directeur du fonds géant américain Bridgewater, vient de déclarer au Financial Times que « ça commence à ressembler aux années 70 et aux chocs pétroliers ». Les banques centrales seront impuissantes à contenir l’inflation en augmentant les taux d’intérêt sans que l’économie s’écroule et sans que les États comme la France soient en banqueroute car, précise-t-il, « l’augmentation des taux d’intérêt n’augmentera pas l’offre en pétrole ».

    L’offre en produits est limitée avec des contraintes d’approvisionnement, plus particulièrement en provenance de Chine, qui connaît des problèmes inextricables d’énergie électrique et de manque de charbon, tandis que la demande post-Covid repart allégrement. On remarquera, également, qu’« emmerder les Français », comme disait Pompidou, avec de coûteuses, polluantes et affreuses éoliennes, en réduisant le nucléaire français qui ne produit pas de CO2 (gaz carbonique), tandis que le CO2 chinois va reprendre de plus belle avec le charbon, relève de l’inconscience la plus totale, toutes ces politiques d’énergies nouvelles dans l’Union européenne contribuant à ruiner le contribuable et à entretenir l’inflation.

    La Norvège a déjà commencé à augmenter les taux ; elle sera probablement suivie par le Royaume-Uni en décembre (+0,15 %). Mais il est certain que tous les pays européens comme la France et l’Italie préféreront l’inflation, voire l’hyperinflation, à l’inacceptable banqueroute de la dette publique car, à un certain stade, ils ne pourront plus payer les taux d’intérêt.

    La situation politique en France, avec la montée de Zemmour et le « Polexit » judiciaire de la Pologne, peut aussi alourdir le climat politique en Europe et augmenter les tensions. Il est donc probable qu’un de ces jours, le prix de l’or va exploser. Il est ahurissant que les investisseurs institutionnels américains préfèrent, actuellement, le Bitcoin, sans valeur intrinsèque, à l’or pour se protéger contre l’inflation. À se demander s’il n’y a pas des pressions du gouvernement américain pour défendre le dollar…

    Notre sentiment est que l’or va bientôt exploser, que l’or sera réévalué. Le métal jaune sera, à terme, le seul élément sérieux constitutif pour évaluer les réserves d’un pays. L’or et les seules monnaies convertibles en or prendront la place du dollar dans un nouveau Système monétaire international plus proche que certains pensent.

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise
     
  • Gilets jaunes : Les hommes et les idées de demain seront sans-doute à rechercher hors du Système

    Publié le 7.12.2018 - Actualisé le 11.12.2018 

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    Voici que la crise des Gilets jaunes, soudaine et pourtant venue de très loin, peu à peu gonflée jusqu'à l'éclatement par une extraordinaire accumulation d'infidélités à l'être de la France, à sa souveraineté, aux conditions de sa puissance, de laxisme, d'abus, de mépris, d'injustices et d'excessives ponctions sur le fruit du travail des Français, sur leur patrimoine, petit ou grand, voici donc que cette crise plonge les observateurs les plus avisés de la vie politique française et même ses acteurs les plus désintéressés et les plus clairvoyants dans un océan de perplexité. 

    On chercherait en vain, à cette heure, dans la presse et les médias, l'article, la réflexion, qui entreverrait une solution concrète à cette crise, ni, globalement, les remèdes à apporter aux problèmes de fond qu'elle pose. Car par-delà leurs soucis terre-à-terre, c'est un autre système économique, politique, et social, que postulent plus ou moins consciemment le mouvement de fond des gilets jaunes et le sentiment des quelque 70 ou 80% de Français qui les approuvent.  Un modèle plus « conservateur » que révolutionnaire, plus traditionnel que « progressiste » - au sens revendiqué d'Emmanuel Macron. 

    L'épuisement du Système dont Macron est apparu tour à tour comme l’adversaire et comme le continuateur ultime, semble désormais complet, sans rémission. Et, secondairement, l'autorité du président de la République apparaît ruinée. Radicalement. Le charisme a fait long feu. Le temps du Kairos est clos. Le quinquennat, dit-on parfois, est terminé. Mais de quelque côté qu'on tourne son regard, on ne voit pas à ce jour qui ou quoi pourrait émerger de cette crise. 

    Gaulle00210.jpgOn a dit aussi, il nous semble à juste titre, que les événements auxquels nous assistons s'apparentent davantage à mai 1958 qu'à mai 1968, c'est à dire que nous assistons, certes à une contestation globale du Système dans toutes ses dimensions, mais aussi à la fin d'un régime politique qui s'effondre sur lui-même, sans homme de rechange crédible et sans recours évident comme ce fut le cas en 1958, qui rappela De Gaulle (photo, en mai 58), de même que, incapable face au désastre, le parlement de Vichy en 1940 s'en était remis à Pétain. La France d'aujourd'hui ne dispose pas de tels recours. 

    1173130-manifestation-des-gilets-jaunes-a-la-tour-du-pin-38.jpgLa mondialisation a détruit les enracinements traditionnels, tué les métiers, anéanti notre agriculture, dépeuplé la France profonde, vidé les villes petites et moyennes de leurs habitants et de leurs commerces ; l'envahissement migratoire a créé une inquiétude identitaire sans précédent et un sentiment profond d'insupportable désappropriation ; des inégalités d'ampleur sans égale dans notre histoire ont creusé un fossé infranchissable entre l'ensemble des Français et quelques très riches sans légitimité parce que déconnectés d'un quelconque souci du bien commun ;  la financiarisation sans frein de la société moderne a dévalorisé le travail et réduit le citoyen à la condition de consommateur réifié, sans qualité et au bout du compte sans argent ; sans compter les fantaisies sociétales qui ont fini d'atomiser le corps social et choqué le bon-sens de nombre de Français :  mariage homo, négation des sexes, des peuples, des races, féminisme totalitaire, négation de l'autorité des parents sur leurs propres enfants etc. Tout ce qui vient d'être dit, à des titres divers, a séparé les Français quelconques de la minorité des « modernes ». D'où la révolte des premiers. 

    Qu'elle soit objet de tentatives de récupération - notamment des mélenchoniens - ou que vienne s'y greffer la violence extrême des casseurs de l'ultragauche et le surgissement des racailles de banlieue qui sont de simples pillards - choque naturellement une large majorité de Français, qui ont toujours fini par rejeter la chienlit. De sorte que si cette dernière devait s'installer, s'aggraver encore, le besoin d'un retour à l'ordre, comme toujours, ne manquerait pas de monter des profondeurs du peuple français. 

    Remise en cause et remise en ordre, là encore comme toujours, doivent aller de pair. Encore faut-il que la remise en cause soit cohérente et structurée. Et que la remise en ordre trouve à s'incarner dans des principes, des institutions et, finalement, dans des hommes, dont un prééminent, un chef digne de ce nom, qui conduisent la France à se retrouver elle-même. Il ne nous semble pas qu'elle les trouvera au sein des partis, décrédibilisés et méprisés comme jamais, ni dans les appareils syndicaux par manque absolu de représentativité, donc faiblesse extrême, ni, bien-sûr, parmi les hommes de communication et de médias, en qui toute confiance a disparu. Les hommes et les idées de demain seront sans-doute à rechercher hors du Système.  ■ 

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots (108 à ce jour) en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

  • Sur TV Libertés, justice politique : radiographie du Système Macron avec Régis de Castelnau – Le Samedi Politique.

    Les magistrats vont-ils faire main basse sur la démocratie en 2022 ?

    En 2017, l’élection présidentielle a été bousculée par le raid judiciaire à l’encontre de François Fillon sans lequel la conquête du pouvoir par Emmanuel Macron aurait été plus ardue. La condamnation - certes frappée d’appel - dans l’affaire dites des "écoutes" de Nicolas Sarkozy, a lancé un nouveau message à la droite de l’échiquier politique. Alors que se profile encore le procès Bygmalion, la perspective de la présidentielle de 2022 soulève de nombreuses questions sur les interventions possibles de la justice, d’autant plus que Marine Le Pen ainsi que Jean-Luc Mélenchon, déjà déclarés candidats pour la course, font tous deux l'objet de poursuites…

    L’avocat Régis de Castelnau, animateur du blog www.vududroit.com et auteur de "Une Justice politique, des années Chirac au Système Macron, chronique d’un dévoiement" (Editions L’Artilleur), décrypte le fonctionnement de certains magistrats partiaux et militants devenus "faiseurs et défaiseurs de rois".

    Le livre de Régis de Castelnau est disponible sur la boutique officielle de TVLibertés

    https://www.tvlibertes.com/boutique-tvl

  • Le Pays légal, le Système, carrément en faveur des délinquants : le scandale de l'interdiction des course-poursuite...

    En quarante quatre secondes, sur CNews, Franck Lebas dénonce :

    "Cette note veut dire deux choses : on baisse les bras par rapport à la délinquance routière et l’Etat est dans l’incapacité de protéger ses fonctionnaires de police"

    https://twitter.com/CNEWS/status/1400674853104099329?s=20

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    Les Grandes Gueules, du vendredi 4 juin 2021, présenté par Alain Marschall et Olivier Truchot, sur RMC ont également relevé cette décision ahurissante : une "note de service" rappelle aux policiers de ne plus prendre en chasse les motards ou les automobilistes qui refuseraient d'obtempérer lors d'un contrôle...

  • Algérie : le « Système » touché en plein cœur de sa pseudo « légitimité » historique, par Bernard Lugan.

    Une furieuse polémique divise actuellement l’Algérie. Elle est d’autant plus vive qu’elle a fait remonter à la surface l’artificialité de la nation algérienne et l’opposition entre la berbérité et l’arabo-islamisme. Et cela, à travers la mise en lumière du coup d’Etat par lequel, en 1962 les « planqués »[1] de l’ALN (Armée de libération nationale) ont évincé les combattants de l’intérieur.

    bernard lugan.jpgTout est parti des déclarations de Noureddine Aït Hamouda à une chaîne de télévision privée au sujet d’Abd el-Kader, de Messali Hadj, de Ben Bella, ainsi que des présidents Boumediene et Bouteflika qu’il qualifia de « traîtres ». Ce faisant, Amrane (dit Nouredine) Aït Hamouda, ancien député du parti kabyle RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie), fils du colonel Amirouche Aït Hamouda, chef emblématique du maquis kabyle de la willaya III, tué au combat le 29 mars 1959, visait le cœur même du « Système » algérien à travers son histoire fabriquée. La réaction de ce dernier a été immédiate : Noureddine Aït Hamouda a été jeté en prison…

     

    En 2008, Nouredine Aït Hamouda avait déjà provoqué un tumulte quand il avait dénoncé les faux moudjahidine légitimés par l’ONM (Office national des Moujahidine, le Ministère des anciens combattants), socle du « Système » algérien dont la « légitimité » repose sur le mythe de 1,5 million de morts de la guerre d’indépendance, chiffre surréaliste permettant de justifier ces deux millions de porteurs de la carte de moudjahidine et d’ayants-droit qui forment sa clientèle. Pour le « Système », la dénonciation des faux moudjahidine représentait donc déjà un danger mortel. Or, l’actuelle polémique est encore plus dangereuse pour ceux qui dirigent et qui pillent l’Algérie depuis 1962 car, ceux que Noureddine Aït Hamouda accuse de « traitrise » sont les chefs de la tendance arabo-islamiste du courant nationaliste algérien actuellement au pouvoir.

    Je laisse de côté le cas historique de l’émir Abd el-Kader qui sera traité dans le numéro de juillet de l’Afrique Réelle, pour m’en tenir aux accusations portées par Nouredine Aït Hamouda contre des personnages contemporains.

     

    Un retour en arrière s’impose. Dès le lendemain du second conflit mondial, la question berbère divisa le courant nationaliste algérien. En 1948, dans son appel à l’ONU, le PPA/MTLD (Parti du peuple algérien-Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques) dirigé par Messali Hadj, inscrivit la phrase suivante : « La nation algérienne, arabe et musulmane existe depuis le VIIe siècle », ce qui provoqua la fureur de la composante kabyle du mouvement.

    Puis, en 1949, au sein du PPA-MTLD, éclata la « crise berbériste » qui opposa les Kabyles voulant faire reconnaître la « berbérité » comme partie intégrante du nationalisme algérien, à la direction arabo-islamique du mouvement laquelle s’y opposait farouchement. Ce fut alors que fut posée la question de l’identité algérienne : est-elle exclusivement arabo-islamique ou berbère et arabo-islamique ? (Voir à ce sujet mon livre Algérie l’histoire à l’endroit).

    Pour la direction du mouvement et pour Messali Hadj, arabisme et islamisme étaient les éléments constitutifs sans lesquels l’Algérie algérienne ne pourrait pas faire « coaguler » des populations qui n’avaient jamais formé un tout commun. Tout était donc clair : l’Algérie était une composante de la nation arabe, sa religion était l’islam et le berbérisme un moyen pour le colonisateur de diviser les Algériens.

     

    Les berbéristes furent donc écartés de la direction du PPA/MTLD, et ce fut alors que le Kabyle Hocine Aït-Ahmed perdit la direction de l’OS (Organisation Spéciale) au profit de l’Arabe Ben Bella.

    L’opposition entre berbéristes et arabo-islamistes se prolongea durant toute la guerre d’indépendance algérienne qui, sur le terrain, fut essentiellement menée par des Berbères dont les chefs étaient Abane Ramdane, Amirouche Aït Hamouda, Krim Belkacem ou Hocine Aït Hamed, etc. Or, les dirigeants du FLN, notamment Ben Bella, Boussouf, Bentobbal, Boumediene et Bouteflika, qui se réclamaient de la ligne arabo-islamique, même quand à l’image de Boumediene, ils n’étaient pas Arabes, firent tout pour marginaliser les chefs politiques et militaires kabyles à leurs yeux suspects de berbérisme. La liquidation physique d'Abane Ramdane et la mort d’Amirouche, illustrent cette lutte à mort.

     

    Durant plusieurs années après l’indépendance, les souvenirs de l’éviction des Berbères par les tenants de la ligne de l’arabo-islamisme furent enfouis sous forme de non-dit. Mais, en 2010, ils resurgirent avec une grande intensité avec la parution du livre « Amirouche, une vie, deux morts, un testament », que Saïd Sadi consacra à Amirouche Aït Hamouda, le père de Nouredine Aït Hamouda.

    La thèse du livre qui est au cœur du contentieux qui divise actuellement l’Algérie, est que le colonel Amirouche Aït Hamouda, chef du maquis kabyle et de la willaya III, tué dans une embuscade, aurait été donné aux Français par ses rivaux arabo-islamistes du MALG (Ministère de l’Armement et des Liaisons Générales, le service de renseignement de l’ALN), notamment par Abdelhafid Boussouf et Houari Boumediene, afin d’éliminer un dangereux rival, ce qui a permis de coup d’Etat de l’ALN durant l’été 1962.

     

    Or, les héritiers de ceux qui livrèrent Amirouche forment aujourd’hui le « Système » algérien…

     

    Bernard Lugan

     

    [1] Planqués parce que, réfugiés au Maroc et en Tunisie, ils n’ont pas véritablement combattu l’armée française et cela, à différence des maquisards de l’intérieur auxquels ils volèrent l’indépendance.

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    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/

  • Quand Sarko soutient Manu : qui se ressemble s'assemble, dans notre Système de corruption...

    Ainsi donc, c'est fait, c'est dit, c'est clair : Sarko vote Manu et le soutient ! Pourquoi s'en étonner ? Il était normal, presque écrit - pourrait-on dire - que ces deux-là se rencontrassent, tant ils se ressemblent. En quoi ? Mais en scandales, magouilles, affaires et autres ignominies en tous genres...

    Sarko ? Mais, avec toutes les affaires dans lesquelles il a trempé, avec tous ses démêlés avec la Justice, avec toutes les casseroles qu'il traîne après lui, c'est une cuisine intégrée à lui tout seul ! Un Schmitt ou Mobalpa en chair et en os !

    Et c'est pareil pour Manu : de Benalla (dont on n'a toujours pas retrouvé le coffre-fort...) jusqu'à Mac Kinsey, il est lui aussi l'un des rois des cuisiniéristes de la magouille politique.

    Alors, pourquoi donc s'étonner ? D'ailleurs, regardez comment tous les vieux chevaux de retour de notre misérable Pays légal appellent à voter Macron (de Cohn Bendit à Chevènement, en passant par Larcher et même... Manuel Valls, mais oui ! et même Jospin et Delanoë sont ressortis du placard !) De même que tous les partis bien douillettement installés dans ce Pays légal qui n'est plus depuis bien longtemps - si tant est qu'il l'ait jamais été ! - au service du Pays tout court et du Bien commun, de l'intérêt général mais qui est devenu sa propre fin, ses intérêts à lui passant très largement avant ceux du pays, là encore si tant est que ce mot ("bien du Pays") ait encore un sens pour cette classe de privilégiés qui ne tourne qu'autour de son nombril et de la perpétuation de ses avantages...

    "Et voilà pourquoi votre fille est muette", dit Sganarelle, dans Le médecin malgré lui, de Molière. Les loups ne se mangent pas entre eux, bien au contraire, et, s'il le faut, s'ils sentent qu'une possibilité existe que le pouvoir leur échappe, vous les voyez tous, unanimes, dire que, "en conscience" (?) il faut soutenir celui d'entre eux qui préside au Système qu'ils ont en commun ou, si l'on préfère, dont ils ont la pratique en partage. Ce Système pourri qui leur assure leur carrière, leurs avantages, leurs prébendes. Aujourd'hui, le chef c'est Macron, alors, tous avec Macron ! Du coco Roussel au vert/rouge Jadot en passant par l'insipide Hidalgo, qui est bien la seule à croire encore qu'elle existe (politiquement s'entend) jusqu'à ces gens d'une pseudo droite qui, soit ont déjà décroché leur maroquin depuis longtemps (Le Maire, Darmanin, hier Philippe...) soit veulent absolument faire barrage à... à quoi, au juste ?

    À la perte de l'état de choses actuelles, qui ne profite qu'à eux. 

    On connaissait les "associations de malfaiteurs" ou les "associations sans but lucratif" : là, on a affaire à une "association lucrative sans buts" !

    "Et voilà pourquoi votre fille est muette". Pardon, voilà pourquoi Sarkozy-les-casseroles soutient son frère en batterie de cuisine, Manu ! C'est beau, l'esprit de famille !

    Nous, royalistes révolutionnaires de ce Système pourri, voulons renverser la table et "faire rendre gorge à ces gens-là", comme le disait Louis XIV. Pour rendre à la France, qui mérite évidemment et très largement mieux que "ça" un Régime qui soit français : la Royauté, qui l'a faite et qui a fait sa grandeur...

    À BAS CETTE RÉPUBLIQUE IDÉOLOGIQUE CORROMPUE ET POURRIE !

    VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

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  • A lire demain dans lafautearousseau : Le système libanais ébranlé par les élections législatives, par Antoine de Lacoste

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    Notre excellent ami Antoine de Lacoste me fait parvenir à l'instant cet article très instructif et très éclairant, comme d'habitude, sur le Liban. Notre Page de ce jour étant bouclée, et nos "partages" sur les groupes auxquels nous appartenons étant terminés, nous le passerons dès demain...

    François Davin, Blogmestre

  • En 150 ans, dans quel état lamentable le Système a-t-il mis la France, première puissance du monde sous la Royauté !...

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    Vous demandez pourquoi nous sommes royalistes ?

    Parce que nous étions la première puissance du monde lorsque la catastrophique révolution éclata. Et maintenant que les révolutionnaires ont installé la République en 1875, ils ont eu tout le temps - en 150 ans, tout de même !... - d'appliquer au pays le plus en avance, le plus riche, le mieux placé, à l'époque, les - soi-disant - meilleures théories du monde, le régime le plus merveilleux : partant de si haut, avec le meilleur des régimes au monde (soi-disant, la République), nous devrions nager dans le bonheur, et nous trouver quelque part entre Sirius et Jupiter, dans une position de puissance stratosphérique.

    Or, est-ce le cas ? Que voyons-nous, lorsque nous observons l'état calamiteux dans lequel ce Système a mis la France en 150 ans ? 

    • la France est le pays le plus taxé au monde, il ne faut même plus parler de taxes mais de spoliation et, en plus, une spoliation inefficace : l'argent que nous vole le Système, par ses impôts excessifs, n'est pas investi dans la Recherche, par exemple, ou ce qui prépare l'avenir, mais il est gaspillé :

    - dans la sur-administration... (à quoi servent les 243 Sous-préfectures ? Le Sénat ? Le doublon élus départementaux et régionaux...)

    - dans une immigration qui nous coûte  certainement plus de 50 milliards par an (avec ces plans banlieues réguliers qui sont autant de gouffres réguliers, une AME scandaleuse, 2 millions de Carte Vitale en trop...)...

    - dans une des-Éducation nationale qui maintient à l'école, au lieu de favoriser l'apprentissage et l'acquisition d'un métier dès 14ans, des dizaines de milliers d'élèves, pendant des années, qui se retrouvent enfin sans rien, sans diplôme, sans formation, direction : Pôle Emploi !...

    Le Système "nous mange la laine sur le dos", comme on dit au Québec : ne prenons que deux exemples : un plein de 1OO euros d'essence c'est à peine 40 euros d'essence mais 60 euros de taxes ! Et ces "Droits de succession", qui sont un vol pur et simple puisque l'héritage, ce sont des biens que les Français ont acquis tout au long de leur vie, et sur lesquels ils ont déjà payé toute sorte d'impôts : le Système les fait encore re-payer à leur mort !

    • il y a 12 millions de pauvres aujourd'hui ("sous le seuil de pauvreté", soit 18.46% de la population française) ! 4 millions de "mal logés" et 14 millions de "fragilisés" en ce domaine (source Fondation Abbé Pierre); plus de 5 millions et demis de chômeurs, et un chômage de masse qui dure depuis plus de quarante ans; une dette publique qui a atteint 3.000 milliards (soit129% du P.I.B.); un tiers de nos concitoyens diminue ses achats alimentaires et reporte ou annule carrément ses soins médicaux; les Français sont devenus les premiers consommateurs d'anti-dépresseurs d'Europe et un étudiant sur quatre a des pensées suicidaires ; les précaires et intermittents sont plus de 9 millions (qui vivent sous le "seuil de pauvreté monétaire", ce taux s'établissant de 14,6%); un déficit du commerce extérieur chronique, qui s'établit à 100 milliards par an, qui est constant depuis quinze ans et augmente même : bientôt, à ce rythme, le Système aura fait de la France un... Zanzibar ! 

    • des quartiers entiers de nos villes sont des zones de "non France" à cause de l'immigration/invasion voulue et imposée par le Système, qui implante de force l'Islam chez nous, dans le but inavoué mais réel de détruire enfin ce qu'il reste de catholicisme vivant...

    •  la culture et la civilisation française, nos moeurs, notre art de vivre sont en grand danger face à l'américanisation, l'islamisation, l'abêtissement et l'appauvrissement culturel qui se propagent et ne cessent d'augmenter : 535 candidats ont passé une épreuve de latin au baccalauréat en 2022, 535 pour toute la France… alors que le latin devrait être enseigné à tous les élèves dès la sixième ! Avec la disparition de son enseignement, c'est une certaine disposition de pensée qui disparaît, c'est notre Eprit, ce sont nos Racines intellectuelles, mentales, morales...

    • et, par-dessus tous ces désastres, il nous faut encore subir la tyrannie du monstre doux qu'a prophétisé Tocqueville, la bien pensance du politiquement correct, la doxa imposée par le Système...

    Encore cette liste est-elle bien loin d'être complète !

    Ne vous étonnez donc pas que nous soyons royalistes : c'est nous qui nous étonnons que, face à un tel désastre, en tous domaines, vous fassiez encore confiance au Régime qui nous y a conduit !

    Et, si vous n'êtes pas satisfaits de l'état du Pays, soyez royalistes ou ne vous plaignez pas ! : car, malgré ce constat calamiteux et loin d'être exhaustif, la France peut rebondir, un nouveau matin français peut se lever pour elle, et elle peut reprendre sa marche en avant vers les hauteurs, vers les sommets : il suffit pour cela de renvoyer ce Régime qui la tue, et de lui redonner son régime traditionnel, qui l'a faite, et qui en a fait la première puissance du monde, "la Grande nation" : sa Royauté traditionnelle...

    Oui, pour parler familièrement, on s'est bien fait avoir avec la Révolution et l'instauration de la République, en 1875...

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  • Vers le krach du siècle, l’explosion du Système et l’hyper-inflation, par Marc Rousset

     

    L’arbre qui cache la forêt en matière de crise systémique, c’est ce que l’on peut lire, voir ou écouter tous les jours dans les médias lorsqu’ils traitent des problèmes de l’inflation, des taux des banques centrales, de la situation des banques, des taux de croissance. Nous ferons un bref rappel de ces questions avant de nous intéresser au problème fondamental de l’hyper-endettement et à différentes annonces de crise systémique à venir par plusieurs économistes de renommée internationale.

    Christine Lagarde, une pure juriste sans formation économique, très habile politicienne, d’origine normande au sens propre et figuré, ne se « mouille » pas trop en nous promettant une « instabilité » accrue avec des « chocs répétés » dans les années à venir. Afin de combattre l’inflation en Europe, la BCE va de nouveau augmenter très probablement les taux d’intérêt de 0,50 % en mai, après les avoir déjà augmentés de 3,50 % depuis juillet 2022. Selon Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, « il est clair que de nouvelles hausses de taux sont nécessaires, mais l’ampleur de ces hausses dépendra des données à venir ».

    MARC ROUSSET.jpgLes investisseurs gardent un œil inquiet concernant les perspectives économiques aux États-Unis et en Europe, suite aux incertitudes sur les banques, l’inflation et la croissance à venir. Aux États-Unis la croissance s’est effondrée au premier trimestre 2023 en passant de 2,6 % à seulement 1,1 %. En France, la croissance au premier trimestre n’a été que de 0,2 % tandis que l ‘Allemagne stagne, échappant de peu à la récession. Les pertes latentes dans les actifs des banques et des assureurs, essentiellement sous forme de baisse du prix des obligations car il y a très peu de cadavres boursiers jusqu’à ce jour, suite aux augmentations des taux d’intérêt, sont aussi très préoccupantes ; rien que pour les compagnies d’assurance en France, elles s’élèvent à 438 milliards d’euros.

    Aux États-Unis, les taux d’intérêt étant plus élevés qu’en Europe, il est probable que la Fed augmentera les taux de 0, 25 % seulement en mai, pour les porter à 5 – 5,25 %, tout en annonçant la fin de la hausse des taux, afin de rassurer les investisseurs et le Système. Les taux pourraient même ensuite rebaisser en cas de menace de trop grande dépréciation des obligations à l’actif des bilans, ce qui pose de graves problèmes aux banques régionales américaines, ou en cas de forte récession de l’économie américaine. Il faut entre 18 et 24 mois pour connaître les effets d’une hausse des taux sur l’économie.

    Les banques inquiètent davantage aux États-Unis qu’en Europe. La banque américaine First Republic, 14e banque du pays, est au bord du précipice, avec des retraits de plus de 100 milliards de dépôts pour ne laisser plus que 75 milliards dans les coffres, malgré une aide de 30 milliards d’un pool de grandes banques américaines menées par JP Morgan. L’action a encore plongé vendredi de 43 % pour finir à 3,51 dollars, soit une valorisation de la banque à 654 millions de dollars, alors qu’elle valait plus de 40 milliards en novembre 2021 ; la situation de cette banque est désespérée ; le problème de son sauvetage par la FDIC, l’agence américaine en charge de garantir les dépôts bancaires est posé, avec un dilemme : va-t-elle sauver tous les dépôts, y compris ceux au-delà de 250 000 dollars, comme cela été pratiqué pour SVB et Signature Bank, alors qu’elle n’en a pas le droit ! Mais si la FDIC ne rembourse pas finalement tous les dépôts sans exception aucune, cela pourrait très rapidement déclencher une panique bancaire aux États-Unis pour les banques moyennes et petites ! Sur le plan macro-économique, la hausse des taux d’intérêt ainsi que ces trois récentes faillites bancaires ont conduit à un durcissement des conditions des prêts bancaires, ce qui fragilise l’économie américaine.
    Selon Warren Buffet, « les faillites bancaires ne sont pas terminées ». La garantie des dépôts par le gouvernement américain au-delà de 250 000 dollars est très probable en cas de panique, mais elle n’est pas officielle et garantie. Le rétablissement souhaité par Biden d’une surveillance accrue pour les petites banques dont les actifs atteignent entre 100 milliards et 250 milliards de dollars, suite à l’erreur de Donald Trump qui les a exemptées des règles et ratios financiers de Bâle, contrairement aux banques importantes, va dans le bon sens.

    Le sentiment dominant sur les marchés est que les cygnes noirs en matière bancaire vont momentanément regagner leurs tanières, d’autant plus que les banques centrales sauront s’arrêter ou revenir en arrière pour les taux d’intérêts, malgré l’inflation, si cela devait engendrer de trop nombreuses faillites bancaires. Le secteur bancaire européen a connu cependant encore, ce vendredi 28 avril, des regains de tensions avec la banque britannique Natwest qui a fait état d’une baisse de 20 milliards de livres (22,7 milliards d’euros) de ses dépôts au premier trimestre. Le Système n’a pas les moyens aux États-Unis, comme en Europe, de couvrir l’ensemble des dépôts en cas de panique totale et de perte de confiance.
    Le danger de l’explosion du système bancaire est donc toujours là, mais en apparence sous contrôle car les banques centrales veillent comme le lait sur le feu, avec des réactions immédiates et très rapides, ce qui fut le cas pour Crédit Suisse. Mais le problème de l’hyper-endettement, lui, peut devenir très rapidement hors de contrôle, tel un tsunami qui ravagerait tout sur son passage, toutes les banques s’écroulant alors, les unes après les autres, comme un château de cartes !

    JP Morgan considère comme « cataclysmique » à juste titre la combinaison de la hausse des taux, de la crise des dettes publiques et de l’hyper-endettement tous agents confondus. Financer en 2023 un nouveau plafond de la dette publique américaine actuellement à 31 400 milliards de dollars qui représente 121 % du PIB, ce n’est pas la même chose à 5,1 % qu’à 1 %. En France, comme l’a souligné Villeroy de Galhau, le Président de la Banque de France, toute augmentation de taux d’intérêt de 1 % représente au bout de 10 ans, une charge supplémentaire d’intérêts de 39 milliards d’euros. Pour un taux normal historique à long terme de 6 %, cela représenterait donc environ 240 milliards d’euros de charges d’intérêt à terme, au bout de 10 ans, soit environ 80 % du des recettes du budget régalien de l’État (environ 300 milliards d’euros). Autant dire que la messe est déjà dite, que ce serait l’explosion et la faillite assurée pour la France ! À fin 2022, l’endettement de la France représentait 111,6 % du PIB.

    La dette de l’État italien est encore plus pharaonique (135 % du PIB) que la dette française. Le montant d’intérêts que l’Italie doit verser chaque année atteint 3,5 % du PIB. Le taux italien d’emprunt à 10 ans est déjà à 4,27 % ! Ce taux n’est donc déjà plus supportable pour les finances du pays, sauf si la BCE continue à acheter la dette italienne dont elle détient actuellement 31 % du stock.
    Bruno Le Maire et tous les gouvernements européens affichent sans vergogne une baisse en trompe-l’œil de la dette publique. L’endettement diminue en pourcentage du PIB grâce à l’inflation qui gonfle le PIB d’une façon artificielle, tandis que les déficits s’accroissent pour de bon en raison des boucliers énergétiques. Macron est resté ferme pour les retraites car sans cette réforme qui marque l’esprit des investisseurs, la note de la France aurait été encore plus dégradée, ce qui aurait signifié un taux d’emprunt encore plus élevé. Cela n’a pas empêché cependant l’agence Fitch, suite aux manifestations et au mécontentement social, de dégrader la note de la France à « AA – » avec « appréciation pessimiste ».

    La France avec un déficit de – 6,1 % du PIB au quatrième trimestre 2022, 53,5 % du PIB de dépenses publiques, 44,4 % du PIB de prélèvements obligatoires, n’est pas un pays sérieux depuis 40 ans ! Pour l’instant, le taux à 10 ans payé par la France est de 3,03 %, avec des projections à 3,4 % pour 2027, si les vents sont très favorables, ce qui n’est pas du tout certain ! De plus selon le FMI, la France est le seul pays incapable réduire régulièrement son déficit public pour le faire passer sous la barre des 3 %. La France devrait théoriquement atteindre en 2028, un taux d’endettement de 115 % du PIB. Dans le cadre d’une réforme de la zone euro, l’Allemagne exige des règles de désendettement strict (une réduction d’un point de PIB par an) que la France, structurellement insouciante et gaspilleuse, est incapable de mettre en œuvre, ne faisant rien pour combattre l’immigration ruineuse et suicidaire, ni pour diminuer le nombre de ses 2 millions de fonctionnaires en trop.

    Selon l’économiste américain Peter Schiff, la plus grande crise financière de mémoire d’homme se précipite vers nous ; sauve qui peut car un Méga-Krach avec une inflation à 2 chiffres se profile à l’horizon. Le choc sera d’une plus grande envergure qu’en 2008. Au moment de l’effondrement des « subprimes » en 2007, les décideurs affirmaient également qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. L’argent n’est plus en sécurité dans une banque car soit votre banque fera faillite et vous perdrez votre argent, soit votre banque ne fera pas faillite parce que votre gouvernement se portera garant pour elle. Dans ce cas, votre argent perdra son pouvoir d’achat. Quoi qu’il en soit, vous devriez mettre votre argent à l’abri dès maintenant. Mais ne le placez pas sous votre matelas, car il y perdra également son pouvoir d’achat. Vous devriez donc, toujours selon Peter Schiff, le convertir en actifs durables ou en or physique.

    L’analyste suisse internationalement reconnu Egon von Greyerz estime aussi qu’un méga krach est inévitable. Les banques centrales ont pris l’habitude de faire face à chaque crise en imprimant de l’argent. L’émission incontrôlée d’argent et l’accumulation de montagnes de dettes, à des niveaux jamais atteints auparavant, se terminera inévitablement par un énorme effondrement. Les actifs des marchés financiers perdront jusqu’à 70 % de leur valeur et certains deviendront même totalement sans valeur.
    Selon Jacques Attali, une immense crise financière menace. À moins d’agir vite, elle frappera probablement au cours d’un été, à partir de cette année 2023 incluse. Et si, par procrastination générale, elle est reportée, elle n’en sera, plus tard, que plus sévère. Nous avons tout pour la dominer vraiment, à condition de comprendre que c’est tout notre modèle de développement qui est en cause. La crise se déclenchera, comme beaucoup d’autres avant elle, dans la deuxième quinzaine d’un mois d’août : comme en 1857, en 1971, en 1982 et en 1993, sans pouvoir prédire l’année exacte.

    Dans une interview accordée à CNBC, Patrick Carroll, PDG de la société d’investissement immobilier Carroll, prédit que le marché immobilier se retournera d’une façon désastreuse dans les prochaines années, car d’énormes quantités de dettes hypothécaires commerciales arrivent à échéance. La Banque Morgan Stanley alerte aussi sur l’immobilier commercial aux États-Unis en disant que ce sera pire que lors de la grande crise financière de 2008. Les économistes de Morgan Stanley sonnent l’alarme à propos du risque que représente l’immobilier commercial, entrevoyant des difficultés à venir en matière de refinancement.

    Quant au journaliste financier américain John Rubino, il prévoit l’éclatement de la bulle des milliers de milliards de dollars des produits dérivés. On assistera soit à des faillites massives, soit à un gonflement mondial supplémentaire des monnaies ; c’est aussi simple que ça ! 2023 sera une année passionnante car il nous sera possible de savoir dans quel type de crise nous nous trouvons. Si nous continuons à augmenter les taux d’intérêt, nous aurons une dépression déflationniste, comme dans les années 1930. Sinon nous aurons une hyperinflation comme sous la République de Weimar, en cherchant à sortir de nos problèmes de dettes par l’inflation.

    L’économiste américain Michael T Snyder estime aussi qu’on ne peut pas ignorer les signes avant-coureurs de la tempête qui se prépare. Ces dernières années, les investisseurs ont été gâtés par les banques centrales. Les marchés ont été inondés d’argent liquide et c’est de cette façon que des indices comme le Dax, Nasdaq et le S&P 500 ont constamment atteint de nouveaux sommets, alors que les crises ne manquent pas. Un sondage CNBC a révélé que les Américains « n’ont jamais évalué les perspectives économiques de manière aussi négative ». Ceci est effrayant car même à l’époque de la crise financière de 2008/2009, les Américains étaient beaucoup plus optimistes quant à l’état de l’économie.
    Selon Ray Diallo, le fondateur de Bridgewater Associates, les niveaux d’endettement sont devenus insoutenables. Les dettes augmenteront tellement que les banques centrales devront les acheter. Les taux d’intérêt sont suffisamment élevés pour lutter contre l’inflation et fournir aux prêteurs des rendements réels adéquats, mais ils sont insupportablement élevés pour les emprunteurs-débiteurs. Le système devra donc subir de grandes restructurations sous le poids de la dette. Nous allons tout droit vers une contraction économique.

    L’économiste le plus pessimiste et alarmiste est Harry Dent, fondateur de HS Dent Investment Management et auteur de plusieurs livres à succès. Le plus grand krach de notre vie « va se produire entre aujourd’hui et la mi-juin 2023. Il ne s’agira pas en fait d’une correction importante, mais d’un krach majeur que vous n’avez jamais vu de votre vivant ». Le plus grand krach qui se prépare est celui qui aurait dû avoir lieu en 2008-2009, notant que le S&P 500 avait chuté de 57 % à l’époque. Environ un an et demi après le début de ce krach, les banques centrales sont intervenues et ont commencé à imprimer de l’argent à des rythmes sans précédent. Cette récession n’a donc pas vraiment réussi à éliminer la plus grande bulle d’endettement de l’histoire. Plus précisément Dent s’attend à un effondrement de 86 % pour le S&P 500 et de 92 % pour le Nasdaq. Il anticipe aussi une chute du Bitcoin à 95 % pour atteindre les 4000 $ par BTC.

    Ma vision défendue depuis plus de 5 ans sur Boulevard Voltaire et Riposte Laïque est très proche de ce que disent tous les économistes cités ci-dessus. Nous pensons pour notre part comme Jacques Attali que tout peut arriver à partir d’août 2023, sans pouvoir dire si ce sera 2023, 2024 ou 2025. Il ne faudra pas cependant attendre les calendes grecques ; il suffira d’un gros cygne noir quelconque, d’un événement politique, économique, financier, bancaire, géopolitique, social imprévisible pour mettre le feu aux poudres.

    Il semble que pour l’instant les cygnes noirs économiques et bancaires aient regagné leurs tanières, mais la crise à venir est latente et inéluctable. J’ai la certitude absolue que le quinquennat Macron se terminera dans le chaos économique, social, sociétal et économique, avec une révolution conservatrice possible à la clé, soit par les votes, soit par la rue. La France vit sur un baril de poudre et ne l’aura pas volé, suite à notre lâcheté qui consiste à nier le réel pour tous les problèmes, à ne pas réagir dans la rue par millions sur les Champs-Elysées et dans toutes les grandes villes françaises lorsque l’on assassine nos enfants au Bataclan, lorsque l’on voit notre pays se faire envahir tous les ans par 500 000 extra-européens de plus ! Pour les retraites à 62 ans et travailler moins longtemps que la plupart des autres pays européens, il y a par contre beaucoup de monde dans la rue ! Les réalités, comme le cours de l’or, finissent toujours par se venger un jour !

    Je crois, sur le plan économique et monétaire, à l’explosion inéluctable de la zone euro, aux très fortes dévaluations successives à venir après un retour forcé au franc, bref au schéma final République de Weimar pour la France, avec les billets que l’on utilisait en 1923 pour tapisser les murs en Allemagne ! Seuls l’or et les actifs réels détenus en dehors du Système bancaire apporteront une garantie efficace et certaine aux Français lors du méga-krach à venir. Il n’est pas étonnant que les économistes et conseillers de gestion recommandent de plus en plus l’or physique pour diversifier les investissements des particuliers. La banque suisse UBS prévoit que l’or, malgré les hausses d’intérêt et des replis techniques passagers, atteindra bientôt les 2100 $ l’once !

    Marc Rousset

  • Belle action de nos amis d'Arras, contre ce Système qui transforme la France en pétaudière/poubelle du monde...

    Ce samedi 26 février, l'Action française Arras et les nationalistes arrageois ont mené une action aux abords de la prison d'Arras pour dénoncer le laxisme pénitencier qui y règne. Drogues, grillades, consoles, smartphones, colis divers, tout passe.
     
    Voici les liens vers les actions :
     
    https://www.youtube.com/watch?v=GKLeG4-mH8A
     
     
    Ci-joint notre communiqué de presse.

    Communiqué prison.pdf

    Rendez-vous sur la page fb de nos amis d'Arras :

    Page Action française Arras facebook