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  • Sur TV Libertés, la République contre la famille - Terres de Mission n°208.


    Eglise universelle : La modernité contre la famille ?

    Dans un article intitulé "La famille, cœur des libertés", paru dans le numéro de mars de La Nef, Victoire De Jaeghere analyse, au fond, les rapports de la famille avec la modernité. La famille qui est le lieu des "inégalités protectrices", de la transmission, de l'inscription dans le temps et l'espace ne peut qu'être en butte aux valeurs modernes qui sont celles d'une égalité fantasmée et du refus de la transmission. Ce n'est pas d'aujourd'hui que la République se méfie de la famille...

    Eglise en France : In memoriam, père Bernard Lecareux

    En février dernier est décédé le père Bernard Lecareux, fondateur, dans les années 1970, de la Fraternité de la Transfiguration, communauté religieuse installée à quelques kilomètres du Blanc dans l'Indre. Actuel supérieur, le père Jean-Marie, présente le parcours et l'histoire du père Lecareux (26 juin 1933- 22 février 2021) ainsi que la spiritualité propre et l'apostolat particulier, car en milieu rural, de la communauté.

    Eglise en Marche : Reconstruire

    Philippe Maxence présente la dernière initiative éditoriale des Editions de l'Homme Nouveau soit une Lettre - mensuelle - de formation et d'information sur la doctrine sociale de l'Eglise : Reconstruire.

  • Famille de France • Le le prince Jean de France reçoit Stéphane Bern et l’équipe de « Secret d’Histoire »

     

    3589780.jpgVendredi 19 janvier, le Dauphin de France a reçu au Domaine royal de Dreux, Stéphane Bern et l’équipe de l’émission « Secrets d’Histoire » pour un tournage consacré au roi Louis-Philippe et à son épouse la reine Marie-Amélie.

    L’émission, présentée par Stéphane Bern, fera découvrir ou redécouvrir au plus grand nombre le joyau du Domaine royal de Dreux : la Chapelle royale Saint Louis, « On présentera les tombeaux, on racontera les lieux, on descendra dans la crypte. Il y a ici toute une famille qui a représenté un moment de notre histoire et qui continue de l’écrire. »

    Interviewé par les journalistes de l’Écho Républicain, le célèbre animateur a annoncé que lors de cette émission, il fera une révélation sur Louis-Philippe et son domaine de Dreux…Le secret sera révélé lors de la diffusion de l’émission sur France 2, au printemps…  

    Source La Couronne

  • Famille de France • Le prince Jean a fêté samedi dernier 19 mai son 53ème anniversaire

     

    Samedi dernier 19 mai 2018, le Dauphin de France, Son Altesse Royale le prince Jean de France, duc de Vendôme, a célébré son cinquante-troisième anniversaire.

    Le prince Jean de France est le fils du chef de la Maison Royale de France, Monseigneur le comte de Paris et de Son Altesse Royale la princesse Marie-Thérèse d’Orléans, duchesse de Montpensier. Descendant direct des Rois Saint Louis, Henri IV, Louis XIII et bien sur du Roi Louis-Philippe, le prince descend également par sa mère du roi Charles X et de son fils le duc de Berry.

    Héritier des quarante rois qui ont fait la France, le prince Jean, assume pleinement la tradition de dévouement de sa famille au service de la France et des Français d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Il se définit comme prince chrétien et prince français. À Amboise, en 1987, année de la célébration du millénaire capétien, le Prince Jean a été titré duc de Vendôme par son grand-père, le comte de Paris.  • 

    Bien que ce soit avec un décalage de tout juste une semaine, Lafautearousseau et ses lecteurs adressent tous leurs voeux au prince Jean de France, duc de Vendôme. 

  • Cinéma • Le cercle littéraire de Guernesey

     

    Par Guilhem de Tarlé 

    Le cercle littéraire de Guernesey, un film de Mike Newell avec Lily James (Juliet Ashton), Michiel Huisman (Dawsey) et Matthew Goode (Sidney Stark), d’après le roman Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Schaffer et Annie Barrows.

     

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    D’abord un très beau film avec des photos magnifiques, une jolie Juliet qui fait rêver d’être Roméo Dawsey, enfin une histoire d’amours et d’amour, et cette dernière, bien que téléphonée, garde toute sa fraicheur. 

    Peut-être ce long-métrage aurait-il pu s’intituler « la bague », qui tient presque le premier rôle dans cette histoire… •  

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : les princesses de France au château royal d'Amboise.

    Voici une magnifique photo des princesses Antoinette et Louise-Marguerite de France prise au château royal d’Amboise et publiée par le photographe David Nivière sur son site internet. Cette photo a été prise dans le salon de musique de la famille d’Orléans à Amboise, les princesses jouant pour le photographe sous le portrait de leur ancêtre la reine Marie-Amélie.

    Cette photo des princesses dans le salon de Musique du château royal d’Amboise, avec cette harpe, n’a pas été choisie par hasard par le photographe, mais plutôt en référence à l’une des passions de Son Altesse Royale la princesse Antoinette de France, puisque  notre princesse suit des cours de danse, de piano et de flûte traversière et est inscrite depuis plusieurs années au conservatoire.

    Les princesses Antoinette et Louise-Marguerite de France, sont les filles ainées du chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris et de son épouse Madame la Comtesse de Paris.

    Photo : David Nivière

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  • Sur le site officiel du Prince Jean, Comte de Paris : exposition « Entraide »

    La Princesse Marie d’Orléans, soeur de Monseigneur le Comte de Paris, est actuellement marraine du 7ème Bataillon de Chasseurs alpins, héritier du 7ème Bataillon de Chasseurs à pied créé en 1840 par son ancêtre le Duc d’Orléans, fils ainé du roi Louis-Philippe. 

    Peintre reconnue, c’est à ce titre qu’elle expose ses oeuvres du 11 au 18 juin 2021 à l’Hôtel des Troupes de Montagne ( 5 place de Verdun, 38000 Grenoble).

    L’exposition, présentée par le Général de Brigade Hervé de Courrèges, commandant la 27ème Brigade d‘Infanterie de Montagne, est organisée au profit de l‘Entraide Montagne et des blessés du 7ème BCA et de leurs famillles.

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  • Notre feuilleton : Une visite chez Charles Maurras (41)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : 13 juillet 1934...

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    ...la Duchesse de Guise est reçue par Charles Maurras en son Jardin de Ferrières.


    Elle est l'épouse de celui qui aurait été Jean III, s'il avait régné, le Duc de Guise, père du Comte de Paris, Henri VI (le grand-père du Prince Jean).


    La Loi d'exil en vigueur à l'époque (elle ne sera abrogée qu'en 1950) empêchait de recevoir le Prince en personne, et son héritier, mais, ne s'appliquait qu'à eux, et non aux autres membres de la Famille : c'est ce qui explique que Maurras a pu inviter, et recevoir, la Duchesse, mais seule, et sans son mari...

    C'est elle que Maurras et Daudet, et la foule présente à Notre Dame de Paris, virent entrer dans la cathédrale, le jour où l'on y célébra les obsèques de Philippe VIII... Dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet, voir la photo :

    La Reine de France aux obsèques de Philippe VIII

     

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  • Au Cinéma, avec Guilhem de Tarlé, pour ”un très grand film qu'on ne peut que recommander” : Reste un peu...

    1A.jpgA l’affiche : Reste un peu,  un film français de Gad Elmaleh, avec Gad Elmaleh, ses parents et sa sœur (Régine, David et Judith), Nicolas Port, frère de Saint-Jean, Curé de la Paroisse Ste Cécile à Boulogne-Billancourt (Père Barthélémy), Mehdi Djaadi et Roschdy Zem (Mehdi et Roschdy).

    "T'es catho toi ?
    - C'est plus compliqué que ça"

    Il y a dans cette esquive la peur de s'affirmer, mais c'est effectivement compliqué d'être catho, avec le Père,  le Fils, le Saint-Esprit, un seul Dieu en 3 personnes ! et en plus de ça il y a la Ste Vierge, la Mère du Fils, la mère de Dieu !
    Elle a manifestement pris Gad Elmaleh par la main pour le mettre sur le chemin, mais le chemin, ce n'est pas Elle, c'est le Fils ("Je suis le chemin"). Et ce chemin, il mène où ?  Vers le Père.

    Si l'on sait que cette voie est "étroite", on voit surtout qu' elle est longue... Il est long le chemin...

    Et Gad Elmaleh au tout début de ce chemin, tenu par la main de Marie, pourrait chanter avec Joe Dassin :

    « Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
    C'est vraiment fatigant d'aller où tu vas »

    (pour notre part, nous sommes allés voir ce film à Romorantin, 65 km, 1h1/4 de route, en l’absence de programmation dans l’Indre !)

    Ce film, présenté comme une "comédie", et effectivement j’ai éclaté de rire à plusieurs reprises, n’en est pas moins réellement un drame ; le drame que vit le réalisateur qui ressent s'affronter au-dedans de lui d'un côté son identité et sa religion juive, qui est celle de sa famille et de ses amis, de l'autre l'appel de Marie.
    Marie était peut-être juive, mais elle a trahi et c'est à cette même trahison qu'elle veut conduire Gad Elmaleh. 

    L'acteur Mehdi Djaadi, l’un des catéchumènes du film, raconte, lui aussi, paraît-il, dans un autre spectacle intitulé Coming out, sa conversion de la religion musulmane au catholicisme... Je n'ai évidemment aucune compétence pour en juger, mais je la pense plus aisée, qui ne comporte certainement pas avec la même intensité la caractéristique de trahison.
    En regard de cette « histoire vraie » de Gad Elmaleh j'utiliserais pour ma part le terme enraciné de « Confession ».

    Finalement la question que pose ce long-métrage est simple : peut-on être juif et chrétien ?
    "Tu changes de Dieu, tu changes de parents !" répond la mère de Gad Elmaleh.
    Édith Stein (sainte Thérèse Bénédicte de la Croix), le cardinal Jean-Marie Lustiger, la philosophe Simone Weil (dont le film dit qu’elle n'était pas baptisée, ou alors in articulo mortis), l’écrivain Judith Cabaud répondent Oui, mais Gad Elmaleh nous montre combien cette conversion est difficile.
    Chapeau bas, pour ne pas dire kippa basse, en tout cas à cet humoriste qui a eu le courage, avec sa famille, de s'interroger et de nous interroger publiquement.

    Reste un peu, c'est la supplication de la mère de Gad à son fils, c'est surtout laguilhem de tarlé.jpg prière de Gad à sa mère céleste.
    C'est en tout cas un très grand film qu'on ne peut que recommander à ceux qui croient au Ciel et à ceux qui n'y croient pas.

    Rappelons pour conclure les propos de Jésus à Nicodème : « Le vent souffle où il veut : tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va ».

  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) ”la France” : Dans les Ephémérides, cette semaine....

    Pourquoi des Ephémérides.pdf

    Table des Matières premier semestre.pdf

     Table des Matières second semestre.pdf   

       Musique dans les Ephémérides.pdf    

     

            Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :       

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    · Dimanche : 1622 : Mort de Claude Berthollet. 1836 : Mort de Charles X. 1880 : Alphonse Laveran découvre les causes du paludisme.

    · Lundi : 1492 : Chute de la météorite d'Ensisheim. 1659 : Le Roussillon devient français. 1867 : Naissance de Marie Curie. 1913 : Naissance d'Albert Camus.

    · Mardi : 1622 : Passage de Louis XIII à Marseille. 1793 : Inauguration du Musée du Louvre. 1793 : Madame Rolland monte à l'échafaud.

    · Mercredi : 1600 : Marie de Médicis arrive en France. 1918 : Mort de Guillaume Apollinaire.  1970 : Mort de Charles de Gaulle.

    · Jeudi : 1009 : Consécration de l'Abbaye de Saint Martin du Canigou. 1499 : Entrée de Charles VII dans Rouen. 1555 : Premier essai d'implantation française dans ce qui deviendra le Brésil. 1630 : Journée des Dupes. 1668 : Naissance de François Couperin, le Grand. 1753 : Mort de Mahé de la Bourdonnais. 1793 : Notre-Dame de Paris, Temple de la Raison.

    · Vendredi : 397 : Célébration de Saint Martin de Tours. 1642 : Naissance d'André-Charles Boulle. 1729 : Naissance de Louis-Antoine de Bougainville. 1864 : Naissance de Maurice Leblanc. 1918 : Armistice. 1920 : Inhumation du Soldat inconnu. 1946 : Premier vol à réaction français.

    · Samedi :  1746 : Naissance de Jacques Charles. 1774 : Rappel des Parlements par Louis XVI. 1840 : Naissance d'Auguste Rodin. 1895 : Création de l'Automobile Club de France. 1937 : Inauguration de l'aéroport du Bourget. 1954 : Création d'Air Inter.    

     

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  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à Marie-Georges Buffet: le 21 octobre, elle a déclaré à Chateaubriant (à propos de Guy Môcquet): "Aujourd'hui il y a besoin de résistance encore...résistance face à une politique qui casse les droits sociaux, résistance face à une politique qui chasse les enfants parce que leurs papas et leurs mamans sont venus d'autres pays, résistance par rapport à une politique qui veut encore renforcer les pouvoirs d'un seul homme à la tête de l'État". Et si on résistait plutôt au(x) mensonge(s) de l'histoire officielle?: en rappelant -pour la milième fois!...- à Marie-Georges que Guy Môcquet n'a pas été arrêté ni fusillé parce que "résistant" mais parce qu'il bravait l'interdiction du Parti Communiste, dissous et interdit car il refusait de prendre position contre l'Allemagne hitlérienne, au nom du Pacte Germano-Soviétique! et que le premier résistant fusillé fut le catholique et royaliste Honoré d'Estienne d'Orves, le 29 août 1941.....

              le prix orange: à J.H.H. Weiler. Ce fils de rabbin, juif pratiquant, professeur d'université aux États-Unis, se fait le défenseur de la mention des origines chrétiennes de l'Europe dans le préambule de la Constitution. Pour lui, parler d'Europe et de Constitution Européenne "sans considérer l'importance centrale du christianisme pour cette civilisation même" est absurde car l'Europe se retrouve, ce faisant, "dans la dénégation; elle refuse de reconnaître une part de son identité". Or, si "dans la discussion sur sa propre identité, elle met à l'écart les termes "chrétiens" ou "christianisme" devenus de véritables tabous", comment pourra-t-elle respecter "tous ses citoyens de la même façon: croyants et non-croyants, chrétiens et non-chrétiens", puisqu'elle commence par nier, précisément. la réalité de l'héritage dû à la communauté chrétienne? Il faut donc que l'Europe "légale" renonce à sa christophobie.....("L'Europe chrétienne? Une excursion.", J.H.H. Weiler, Cerf, 164 pages, 25 euros.).

  • CINEMA • Les patries de cœur de Cheyenne Carron

     

    par Raphaël de Gislain

    Nul doute que ce film ne bénéficiera d’aucun relais officiel ni d’aucune promotion d’envergure. En dehors du Balzac à Paris, sa diffusion sera sûrement réduite. Il faudra pourtant tout faire pour le voir quitte à le commander en cliquant ici.

    Patries est de ces films portés de bout en bout par une lumière, par une clarté qui transcendent littéralement leur sujet. Il aborde de front l’un des tabous qui fait trembler les adeptes du prêt-à-penser, le racisme anti-blanc, thème dont il s’empare avec une humanité qui envoie valser les utopies de bonne conscience, assenées à longueur d’Intouchables dès qu’il est question de banlieue et d’intégration au cinéma.

    L’histoire est celle d’une famille « de race blanche » qui quitte la campagne pour venir s’installer dans une périphérie dévastée par la crise. Le père est aveugle, la mère travaille et Sébastien, le fils, essaye de se faire des amis. Ils veulent croire à un nouveau départ. Le jeune homme sympathise avec Pierre, un Camerounais qui tente de le faire entrer dans son cercle.

    Mais il se heurte au rejet, puis à la menace, puis à la violence du groupe… Cheyenne-Marie Carron signe ici son meilleur film, réalisé, comme les précédents, de façon totalement indépendante, en marge du CNC et de ses subventions. Bien plus abouti que L’Apôtre, dont la forme laissait à désirer, la maîtrise de l’image y est réelle, le noir et blanc épousant idéalement la réflexion, portée par un ton libre et naturel qui flirte avec le documentaire.

    Le propos dépasse la simple confrontation culturelle ; il souligne l’échec des politiques d’intégration menées depuis trente ans en insistant sur une idée essentielle : les immigrés ne doivent pas être traités comme des enfants abandonnés ; des racines, une culture, une patrie les imprègnent. Une part de leur mal-être provient de l’ambition naïve et illusoire d’une assimilation républicaine totale, source d’inévitables conflits identitaires.

    Les déchirures apparaissent au sein de cette famille camerounaise, si belle à l’écran, qui a tout sacrifié pour venir en France. A la différence de ses sœurs, le fils ne pense qu’à retrouver le pays de ses ancêtres qui gronde en lui mais qu’il ne connaît pas. La France n’est pas nécessairement cet Eldorado qu’elle a la prétention d’incarner… 

    Patries, de Cheyenne-Marie Carron, en salles et en DVD ici.

  • Théâtre • Comédie du pouvoir

     

    par Bruno Stéphane-Chambon

     

    Nous arrivons au printemps et pour le fêter, l’association Le Parti d’en rire, qui réunit des amoureux du théâtre, nous convie à une représentation qui s’annonce jubilatoire.

    La troupe a pris ce pseudonyme en souvenir du sketch de Francis Blanche et Pierre Dac qui avait créé, dans les années 1950, Le parti d’en rire, un parti politique humoristique qui avait donné lieu à une chanson célèbre sur la musique du Boléro de Ravel. Cet hymne parodique avait été repris ensuite avec succès par les 4 Barbus.

    En compagnie d’amis et de sa fratrie, l’animateur de la troupe, Joseph Darantière, a écrit une comédie inédite qui illustre les arcanes de la politique actuelle et les tractations menées en coulisse pour de prochaines élections : Le discours du président.

    Par-delà le simple désir d’amuser, l’auteur de la pièce, après une mission humanitaire auprès de la fondation Martin de Porres, en Colombie, s’est engagé à récolter des fonds destinés à achever le développement d’une école, à Anolaima, dans le département de Cundinamarca. Les enfants démunis y reçoivent une bonne formation scolaire, adaptée à leur environnement naturel. Les fonds servent aussi à parrainer un enfant dont la famille ne peut assurer les frais de scolarité.

    On pourra donc se rencontrer de façon conviviale pour encourager ces jeunes comédiens qui choisissent l’humour corrosif et allègre plutôt que la pensée correcte et morose qui affecte la jeunesse germanopratine.

    Mise en scène de François-Xavier Joyeux, avec Anne-Laure de Reviers ; Marie Verny ; Marie-Ange Darantière ; Thérèse Darantière ; Michel Darantière ; Joseph Darantière, Victor Carpentier, Paul-Louis de Roincé, Philippe Huten, Côme de Vannoise et Hugues Lefer.

    Théâtre Le Passage Vers les Etoiles,
    17, Cité Joly Paris 11ème
    Le vendredi 8, samedi 9, mardi 12, mercredi 13 et jeudi 14 avril à 20h.
    Téléphone : 09 50 00 60 17
    passageversetoiles@free.fr
    Pour vos réservations en direct : http://lepartidenrire.com/reservations/
    Pour les contacter : denrireleparti@gmail.com
    Pour en savoir plus sur l’association : http://lepartidenrire.com/ 

     

  • La Semaine de Magistro, une tribune d'information civique et politique

     

    La  Semaine de MAGISTRO - Adossée à des fondamentaux politiques avérés, Magistro, une tribune critique de bon sens, raisonnée et libre, d'information civique et politique. [12.02]  

    A tout un chacun

    • Pierre GEOFFROY   Président de la Fondation Lyautey   Attention à la marche …  

    • Marie-Laure des BROSSES   Présidente du Mouvement Mondial des Mères   Osons le dire !  Prenons garde ! 

    Du côté des élites    

    • Mezri HADDAD  Philosophe, Ancien Ambassadeur    François Fillon, victime expiatoire de la crise des démocraties libérales ?

    • Henri HUDE   Philosophe, Directeur du Pôle d’éthique au Centre de recherches des Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan (CREC)   A propos de Marion Maréchal-Le Pen  

    • Roland HUREAUX   Essayiste    Fillon : une déstabilisation prévisible, des conséquences imprévisibles

    • Ivan RIOUFOL  Journaliste politique   Non à la France rêvée d'Emmanuel Macron

    • Eric ZEMMOUR    Journaliste politique    François Bayrou, ou l'oxymore permanent

    En France

     Antoine ASSAF   Ecrivain, philosophe franco-libanais   Le temps des forteresses !

    • Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire, ancien conseiller au cabinet du Président de la République    Les scénarios de 2017

    Au Delà

    • Marie-Noëlle TRANCHANT   Journaliste culturelle  Silence de Scorsese

    Faites suivre à vos amis, dans votre famille et partagez ...  MAGISTRO  vous invite aussi à vous rendre sur son site et y (re)lire tous les écrits depuis son origine (2008).  MERCI. 

  • A propos de quelques murmures contre un prénom princier innovant...

    Le monastère des Bénédictines de Saint-Joseph du Bessillon 

     

    Par Péroncel-Hugoz

     

    IMG - JPEG - Copie.jpgCa peut paraître étonnant, et au début je n'y crus guère, mais il s'avère bien qu'ici et là, des fidèles de la Maison de France, jeunes ou moins jeunes, murmurent, grognent même, contre le choix du prénom « Joseph » pour nommer le quatrième petit enfant, né le 2 juin 2016, au foyer du duc et de la duchesse de Vendôme, à Dreux.

    Ce prénom ne serait pas « traditionnel » chez les Capétiens ? Eh ! alors, des traditions nouvelles se créent, y compris en matière de prénoms, dans nombre de familles françaises, et pourquoi pas au sein de la première d'entre elles ?...

    Et puis, tout de même, « Joseph » est le prénom du Père nourricier de Jésus, l'un des tout premiers, donc, du christianisme ! Sans oublier l'illustre précédent de la mère de trois rois : Louis XVI, Louis XVIII, Charles X, la princesse Marie-Josèphe (je dis bien « Josèphe », et non pas « Joséphine ») de Saxe. Et Joseph II, empereur germanique, frère de la reine Marie-Antoinette, est également une référence historique honorable car ce monarque fut fort francophile et il le montra en visitant incognito le Royaume de son beau-frère Louis XVI. En outre, Joseph II épousa une Bourbon-Parme, petite-fille de Louis XV. Enfin, la mère du nouveau-né Joseph est à moitié autrichienne.

    Jean et Philomena de France ont voulu sans doute sortir un peu des nomenclatures habituelles (tout en ne tombant pas dans l'innovation incongrue), comme ils l'avaient déjà fait avec Gaston, l'aîné de Joseph, et il me semble qu'ils ont bien fait.

    Parmi les Français heureux et même très heureux du choix de « Joseph », je citerai mes voisines du Var, les Bénédictines de Cotignac, dont l'église est bâtie sur la source jaillie là, en pleine forêt du Bessillon, au début du règne de Louis XIV, lors de la seule apparition au monde connue de... saint Joseph.

    Rien que cet évènement valait bien, je crois, qu'un prince de France portât un jour ce magnifique et très évocateur prénom.   

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    Le duc et la duchesse de Vendôme avec le prince Joseph de France

     

  • Société • Les prix 2016 de la Carpette anglaise ont été attribués ...

     

    Les distinctions attribuées le sont en termes brefs, ironiques et savoureux d'une redoutable efficacité. Les lecteurs de Lafautearousseau apprécieront les choix 2016.  LFAR

     

    L’académie de la Carpette anglaise* s’est réunie le 16 décembre 2016. Le jury, présidé par Philippe de Saint Robert, était composé de représentants du monde associatif** et littéraire.

    Au premier tour de scrutin, par huit voix sur treize, la Carpette anglaise 2016 a élu Mme Anne-Florence Schmitt, directrice de la rédaction de Madame Figaro pour l’abus constant d’anglicismes et d’anglais de pacotille, dans cette revue destinée à un large public féminin.

    La Carpette anglaise 2016 à titre étranger*** a été attribuée, à l’unanimité, à L’ENS Ulm qui développe des filières d’enseignement uniquement en anglais en se prétendant être une école internationale.

    L’académie félicite par ailleurs M. Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, pour avoir exclu l’anglais de la communication européenne depuis le Brexit.

    Hervé Bourges, Paul-Marie Coûteaux, Anne Cublier, Benoît Duteurtre, Yves Frémion, Dominique Noguez et Marie Treps sont membres de cette académie. 

     

    * La Carpette anglaise, prix d’indignité civique, est attribué à un membre des « élites françaises » qui s’est particulièrement distingué par son acharnement à promouvoir la domination de l’anglo-américain en France au détriment de la langue française.

    ** Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française (Asselaf), Avenir de la langue française (ALF), Cercle littéraire des écrivains cheminots (CLEC), Courriel (Collectif unitaire républicain pour la résistance, l'initiative et l'émancipation linguistique), Défense de la langue française (DLF) et Le Droit de comprendre (DDC).

    *** Le prix spécial à titre étranger est attribué à un membre de la nomenklatura européenne ou internationale, pour sa contribution servile à la propagation de la langue anglaise.

    Contact : Marc Favre d’Échallens, secrétaire de l’académie de la Carpette anglaise. Courriel : parlerfranc@aol.com

    Académie de la Carpette anglaise, chez Le Droit de Comprendre, 34 bis, rue de Picpus, 75012 Paris.