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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Vingt Et Un Janvier Dix Sept Cent Quatre Vingt Treize Vingt Et Un Janvier Deux Mille Dix Neuf, par Guy Adain.

    "publié avec l'accord du secrétariat de Monseigneur le Comte de Paris ».

     

    21 Janvier 2021,

     

    Deux ans déjà !

    Ne craignons rien, ayons foi aux ancêtres, ils sont au Ciel pour nous guider !

    Le 21 Janvier 1793, sans remords, sans rancune, Sa Majesté

    Louis XVI a abandonné sa vie terrestre à ses bourreaux.

    Par son attitude digne et royale, il a confondu ses assassins.

    Il est mort innocent et en héros !

     

    Le 21 Janvier 2019, feu Monseigneur Henri d’Orléans, comte de Paris, est parti discrètement, sur la pointe des pieds, en grand seigneur.

     

    Que nos prières montent jusqu’à eux et nous attirent leur bénédiction. Tant que nous penserons à nos disparus, ils ne sont pas morts ! Leur souvenir les rend présents et vivants !

    Ils sont nos anges tutélaires, nous protègent et nous mènent comme des bons pasteurs sur la voie de l’honneur et de la réussite.

    Par son départ un 21 Janvier, Monseigneur Henri est sorti par la grande porte, celle royale, de l’Histoire de France !

    Juste avant la commémoration de l’exécution de SM le Roi Louis XVI, il a décidé d’y assister à sa manière en son âme et conscience ; il a rejoint les mânes de ses ancêtres, cette longue cohorte qui va de Clovis à notre Prince Jean, chaîne humaine de sang et de larmes, de joie et d’allégresse…Toute notre histoire de Famille est là avec les meilleurs et les pires moments de notre saga familiale.

    Ici, pas de pourcentages de votants, pas d’électeurs, nos urnes ne sont que funéraires !

    Juste des Reines, des Rois, des Femmes et des Hommes, une très grande Famille de France qui a traversé les siècles, toujours à notre service, soucieuse de la survie (le mot n’est pas trop fort !) de notre cher Pays la France et de tous les Gens de France !

    Prions et souvenons-nous intensément de Monseigneur Henri, pour qu’il nous accorde son soutien et sa bénédiction.

    Par notre attachement et notre fidélité sans faille à celui qui est aujourd’hui l’Âme de la France : le Prince Jean de France ;

    faisons que 2021 soit une année Royale !

     

    Guy Adain

    21/01/2021

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  • Des lectures pour l’été : Derborence , de Charles-Ferdinand Ramuz, 1934, par Antoine de Lacoste.

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    C’est l’été dans les montagnes du Valais et les hommes sont montés avec les bêtes dans les pâturages verdoyants de Derborence, au pied des grands sommets. Séraphin et Antoine partagent le même chalet.

    LACOSTE.jpgAntoine est marié depuis deux mois et il lui en coûte d’être déjà éloigné de Thérèse. Séraphin le console mais de grands bruits sourds attirent l’attention des deux hommes qui sortent regarder le glacier qui surplombe au clair de lune. Les bruits cessent, ils vont se coucher. Mais dans la nuit, « la montagne tombe ».

    Une énorme masse rocheuse s’est détachée et a tout englouti, hommes, bêtes et chalets. La pimpante Derborence n’est plus qu’un gouffre recouvert d’un amas de pierre.

    Les secours arrivent et descendent Barthélémy, grièvement blessé. Il était sur le côté de l’éboulement, cela aurait pu être sa chance, mais il meurt en route. Personne n’a pu survivre sous des blocs pareils, impossibles à dégager de surcroît.

    Antoine, pourtant, n’est pas . Le chalet adossé à la paroi n’a pas été entièrement écrasé et son lit se trouvait au bon endroit. Il est vivant mais prisonnier. Alors il va creuser, ramper et sortir au bout de huit semaines. C’est un spectre qui redescend au village. Celui-ci, justement, le prend pour un mort venu tourmenter les vivants. Le lecteur le croyait sorti d’affaires mais c’eût été trop facile.

    Ce petit roman de Charles-Ferdinand Ramuz, francophone qui rencontra un grand succès, se lit d’une traite. Les rebondissements sont fort bien amenés, dans un style très personnel. Dans La Grande dans la Montagne, décrit sur ce blogue, le récit côtoyait le fantastique, avec bonheur soulignons-le. Rien de tel cette fois, l’ est d’ailleurs tirée d’un fait réel. Ramuz sait rendre ses personnages attachants, en particulier Thérèse, désespérée, craintive puis héroïque.

    Une belle histoire.

    Le blog d’Antoine de Lacoste.

     

    Derborence Broché – 13 novembre 2003 de C.-F. Ramuz (Auteur)

     

  • Famille de France • Prince Jean : « Un moment de répit dans une année bien entamée »

     

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    2018 a démarré à toute allure. 

    Après l’enterrement de mon frère le Prince François et la réponse aux condoléances et aux voeux qui se poursuivent encore, il y a eu à l’Institut la remise des prix de la Fondation Stéphane Bern. Stéphane Bern que je retrouvais chez nous à Dreux, pour une partie du tournage d’un « Secrets d’Histoire » consacré au Roi Louis-Philippe, qui passera sur nos écrans sans doute au printemps. 

    Puis avec Gens de France, la reprise des visites pour des élèves des écoles de Dreux et d’autres groupes, malgré la pluie incessante et le vent que nous avons de façon quasi continue depuis le début de l’année. La Sainte Geneviève célébrée dans notre chère Chapelle Royale avec la Compagnie de gendarmerie de Dreux, suivie lors de la réception d’un échange de discours sur les perspectives sécuritaires de Dreux et de sa région. Enfin les vœux du Maire avec de beaux projets comme la fête des plantes début avril et le départ de la 8ème étape du tour de France le 14 juillet. 

    Dans les nouvelles nationales, c’est l’histoire des « fausses nouvelles » qui a retenu mon attention. Là où il y a information, il y a désinformation et ce qu’on appelle désinformation peut se révéler être de l’information comme ce qu’on appelle information peut tout à fait se révéler être de la désinformation … vous me suivez ? Dans un monde de la bien-pensance comme le nôtre, difficile de faire la distinction, à moins d’avoir une tête bien faite et un jugement libre. Et de toute façon, pour le chrétien que je suis, il n’existe qu’une seule Bonne Nouvelle. 

    Pour terminer sur une note moins solennelle, il a neigé aujourd’hui. Le domaine s’est couvert de sa blanche parure qu’il sort pour certaines occasions. Les « petits princes » en ont bien profité. Un moment de répit dans une année bien entamée.     

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    Jean de France, duc de Vendôme
    Domaine Royal de Dreux le 5 février 2018

    Le site officiel du Prince Jean de France

  • Soyons Royaux !

     

    Par Guy Adain

    Une sympathique exhortation à être royaux quand plus grand chose ne l'est.  A l'être en nous reportant à toutes nos origines, à toute notre histoire française. Se « royalicaliser » peut sembler un terme baroque. Après tout, se radicaliser, par l'étymologie, renvoie aux racines. Soyons royaux !    LFAR

     

    3759264560.jpgIl fallait bien trouver un ennemi aux « radicalisés ».

    Bien sûr, il y avait leurs victimes, mais pas d’adversaires ; pas d’ennemis combattants, juste des innocents que l’on égorge sans vergogne ! D’un côté des terroristes et de l’autre des terrorisés ! Nous avions connu cela il n’y a pas si longtemps et nous avions appris à…Résister !

    La France peut être un pays de…Résistance, quand sa survie est en jeu !  Et, ce ne sont pas quelques « amateurs frénétiques de barbe à papa » qui vont nous frapper d’épouvante ! Les Gens de France peuvent devenir des « Gens d’armes »…Intrépides, « Sans peur et sans reproche ». Héroïques au besoin !

    La Douce France peut être aussi « Furia Francese ! » Que les « Radicalisés » ne vous effraient plus !  Nous avons nous aussi des capacités et une force intérieure inaltérable en mesure de faire face. Toute notre histoire est pleine de nos Résistances passéesde Sainte Geneviève, qui brava Attila à Jeanne d’Arc en passant par Bayard, Turenne, et bien sûr, nos héros de la « Résistance » jusqu’à notre dernier gendarme, capable d’échanger sa propre vie pour sauver un otage. Hommage au Colonel Beltrame !

    Dans notre petit cercle vertueux de royalistes convaincus : « Royalicalisons-nous ! » Nous avons tous les atouts en main, ne craignons pas le petit nombre, il est souvent gage de succès !  Le BSP (Bon Sens Populaire) ne se trompe pas : en France, le meilleur, le plus beau, le grandiose, le nec plus ultra de tout être et toutes choses est qualifié de…Royal ! Alors : Soyons Royaux !  

    La Couronne

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : la Royauté, une nécessité politique pour la France.

    Au-delà des partis, la présence d’un roi garantit en effet la continuité dans le destin d’un pays : le respect de son identité profonde, la préservation de ses principes fondamentaux, la défense de sa langue et son rayonnement dans le monde entier.

    Elle permet également de se détacher de la pression des lobbies, des media, des biais du système électoral pour exprimer d’une voix forte la protection des plus faibles, la défense de l’environnement, ou celle du patrimoine matériel et spirituel.

    Une vision de long terme : Avec à peine deux siècles et demi d’existence, notre jeune démocratie française est parfois aveuglée par l’idéologie du progrès, le mythe de la mondialisation heureuse, et l’attrait des profits immédiats. Héritier de mille ans d’histoire de la royauté, le prince Jean est le garant d’un projet d’ensemble dont la vision politique n’est pas à l’horizon d’un quinquennat mais des générations futures. Du côté non pas de l’action qu’on achète et qu’on revend quelques secondes plus tard, mais de l’arbre que l’on plante pour ses petits-enfants.

     

    La protection des plus faibles : A l’heure d’un monde ouvert à la main malheureusement des puissants, le système économique pousse souvent à renoncer à sa responsabilité sociale afin de maximiser ses profits. Une vision à court-terme qui conduit à une dégradation des relations humaines et une perte de sens pour ceux qui travaillent. La royauté au contraire s’est toujours fondé sur la défense des plus faibles et le souci de justice.

     

    Incarner la France à l’étranger : En démocratie, les politiques étrangères sont souvent fluctuantes et remettent en cause des liens durables installés depuis des siècles entre pays. La royauté introduit l’idée de permanence. Le prince, par sa naissance même, incarne la destinée du pays, mais aussi son Histoire, et l’intérêt de tous les Français, auprès des pays étrangers.

     

    La force du système héréditaire, c’est que la France n’a jamais manqué d’un prince prêt à prendre la parole, et assumer ses responsabilités, par delà les ambitions personnelles. A l’heure où le peuple perd toute confiance en ses dirigeants, le rassemblement autour d’un destin commun se fait plus vif, et cette voix nécessaire.

     

    Visuel : Le Courrier Royal 

  • Pourquoi le comte de Paris a été reçu par le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, par Philippe Emery.

    Jean d'Orléans, comte de Paris, et son épouse ont déjeuné au Capitole et visité la basilique de la Daurade.

    Article de la Dépêche partagé par notre ami Frédéric de Natal.

    Jean d'Orléans, prétendant en titre au trône royal, et son épouse la comtesse de Paris ont déjeuné avec Jean-luc Moudenc au Capitole ce mardi 2 mars. Une "visite de courtoisie", selon le maire de Toulouse, pour le couple royal qui réside dans l'Aude, visite qui passait aussi par la basilique de la Daurade afin d'évoquer un souvenir de la famille royale. 

    Quand le «comte de Toulouse» rencontre le comte de Paris, qu’est-ce qu’ils se racontent?.. pourrait-on s’interroger sur le mode plaisant de la fameuse chanson de Ray Ventura et ses collégiens, un peu oubliée certes. Des histoires de vicomte? En fait ce n’est que le maire de Toulouse (qu'on pourrait comparer à un de ces Capitouls du temps jadis, peut-être) qui a reçu au Capitole, hier, l’héritier des rois de France pour «un déjeuner de courtoisie sans aucune connotation politique», selon les propres termes de Jean-Luc Moudenc. En fait, le comte et la comtesse de Paris sont venus en voisins dans la Ville rose puisqu’ils résident désormais la plupart du temps dans l’Aude. 
    On ne sait pas si Jean d’Orléans, aîné de la maison d’Orléans, fils d’Henri d’Orléans, duc de France, âgé de 55 ans, et son épouse Philomena de Tornos y Steinhart, d’ascendance espagnole et autrichienne, ont évoqué, entre la poire et le fromage, l’histoire des relations mouvementées des anciens comtes de Toulouse avec le trône de France. Pour digérer ces agapes républicaines, Jean-Luc Moudenc a invité, après le dessert, le couple royal à une visite sans protocole de la basilique récemment rénovée de la Daurade, consacrée à la dévotion de sa fameuse Vierge noire. L’occasion pour le prétendant au trône de découvrir le plus gros ex-voto de l’église, déposé par son arrière-grand-mère, une Habsbourg, qui voulait s’assurer ainsi une bonne grossesse pour l’enfant qu’elle portait.

     

    Philippe Emery

    Source : https://www.ladepeche.fr/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : les Amis du Musée Louis-Philippe fait don d'un nouveau tableau au musée du Château d

    Les Amis du Musée Louis-Philippe, viennent d’acquérir un nouveau tableau, via une donation de l’association , cette œuvre vient donc enrichir les collections du musée du Château d’Eu.

    Ce tableau est un double portrait de deux des petits-fils du roi Louis-Philippe, le Comte de Paris (Philippe VII de France) et le duc de Chartres. Les deux enfants sont représentés à cheval dans le parc de Claremont, résidence anglaise de la famille d’Orléans, en exil après la révolution de 1848. Pour le Président des Amis du Musée Louis-Philippe : « Ce tableau complète les collections déjà riches du Musée en ce qui concerne le Comte de Paris. C’est un personnage essentiel dans l’histoire du château d’Eu puisqu’il y a habité et l’a modernisé considérablement, lui donnant son aspect et son décor actuels »

    Si ce tableau a rejoint les collections du musée Louis-Philippe au château d’Eu, les visiteurs devront encore un peu patienter pour l’admirer. Mais celui-ci sera bel et bien à terme installé dans le parcours de visite.

     

    L’Association des Amis du Musée Louis-Philippe

    L’association des « Amis du musée Louis-Philippe du château d’Eu » est fondée en 1985, par la princesse Isabelle d’Orléans-Bragance, Comtesse de Paris, dans le but de mieux faire connaître le musée et contribuer à l’enrichissement de ses collections.  En 2011, son petit-fils, le prince Jean de France, actuel Comte de Paris, est élu administrateur de l’Association des Amis du Musée Louis-Philippe.

    Ouverte à tous, l’association regroupe l’ensemble des amoureux du château et de son histoire. Ses fonds propres, tout comme les cotisations des adhérents, aident à l’achat et à la restauration d’œuvres, permettant chaque jour de proposer aux visiteurs du musée un parcours de visite toujours plus riche. Pour plus d’informations sur l’Association des Amis du Musée Louis-Philippe : Les Amis du Musée Louis-Philippe

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    Le tableau offert par l’association des amis du Musée Louis-Philippe

    Source & photos : Actu.fr

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Au Cinéma : Sept hivers à Théhéran, par Guilhem de Tarlé

    Sept hivers à Téhéran - film 2023 - AlloCiné

    Art et Essai : Sept hivers à Téhéran,  un documentaire allemand de Steffi Niederzoll avec Reyhaneh Jabbari et Shole Pakravan (sa mère)

    Sept hivers à Téhéran… un documentaire sur l’histoire d’une jeune iranienne condamnée à mort après avoir assassiné un homme qui tentait de la violer. On y apprend que la loi du Talion, en Iran, donne à la famille de la victime le droit de vie ou de mort sur le coupable.

    L’histoire est sans doute vraie, en tout cas c’est un véritable documentaire autour d’images le plus souvent prises de travers avec un téléphone portable, et des monologues de l’accusée, de sa mère, de ses sœurs et de codétenues… le tout en iranien, soit plus d’une heure et demi à lire des phrases qui défilent en bas de l’écran… pas de quoi susciter la moindre émotion, sauf peut-être durant les dernières minutes.

    Quel est l’intérêt de cette production, 9 ans après la pendaison de l’accusée ?

    Le réalisatrice aurait sans doute pu faire un bon film au lieu de ce pensum.

    Je ne crois, pour ma part, déjà pas « en la Justice de mon pays »… et je n’ai pas attendu Steffi Niederzoll pour n’avoir aucune illusion sur les mollah iraniens…

    Une espèce de soixante-huitard m’a abordé à la sortie de la salle pour dénoncer la « dictature iranienne »… Sans doute était-il de ceux qui, en 1978-79, dénonçait celle du Shah, et se réjouissait de l’attitude « libérale avancée » de Giscard d’Estaing qui accordait l’asile politique au « touriste » ayatollah Khomeny à Neauphle-le-Château.

    Quand elle le lira, mon épouse, davantage émue que moi, jugera ce commentaire très sévère.

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  • Au cinéma : Une année difficile, par Guilhem de Tarlé

    Une année difficile - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Une Année difficile, un film français d’Éric Toledano et Olivier Nakache, avec Pio Marmaï (Albert, alias Poussin), Jonathan Cohen (Bruno, alias Lexo), Noémie Merlant (Cactus), Mathieu Amalric (Henri) et Grégoire Leprince-Ringuet (Quinoa).

    Une Année difficile … C'est l'histoire de deux individus surendettés qui intègrent par hasard un groupe écolo, davantage pour en tirer du profit que pour "sauver la planète", davantage pour « boire des coups (que pour) parler de justice sociale ».
    C'est aussi l'histoire de ce groupe qui veut « pousser un cri d’alarme » et (vieux relent de chrétienté) dénoncer la surconsommation (c’est la vertu cardinale de la tempérance) - Non au "Black friday" -.

    De même que Club Zéro enseigne "l'alimentation consciente" qui consiste à cesser progressivement de s'alimenter, ces écolos invitent quasiment à « se détacher des biens de ce monde », en tout cas se séparer des objets "inutiles" qui nous environnent. C’est l’« opération Désencombrement » qui répond à la même problématique que pose Henri contre le surendettement : « En ai-je besoin ? En ai-je vraiment besoin ? En ai-je vraiment besoin maintenant ? ».
    On peut, dans l’appartement de Cactus, la comparer à Mlle Novak, et je m'étonne des sorties simultanées de ces deux long-métrages que, sans en rien savoir, nous avons vus l'un après l'autre.

    Une fois n'est pas coutume, il ne s'agit pas d'un film militant, et c’est tant mieux ! on se réjouit, bien au contraire, de voir les réalisateurs se moquer manifestement de ces agitateurs.
    Une fois, encore, n'est pas coutume… aussi je vous suggère, en ce début d'année difficile, d’aller vous changer les idées au spectacle de cette farce burlesque. On en a "besoin maintenant », comme un Noël chez Cactus : "c’est fort (…) et c'est pas cher".

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Dans France catholique :

    Charles de Foucauld, canonisé ce dimanche, s'inscrit au cœur de notre histoire nationale...

    https://www.france-catholique.fr/Au-coeur-de-notre-histoire.html

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    Comment La France Insoumise réinvente et "pratique" (!) la Justice et la Police, à propos de la lamentable affaire du harceleur sexuel Taha Bouhafs...
    On croit rêver, mais c'est ainsi que se passeraient "les chose" si "ces gens-là" étaient aux commandes...

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    Le harceleur sexuel au temps de sa toute puissance et amitié avec un Jean-Luc...

     
     
    1. Première réaction scandaleuse, celle de Sandrine Rousseau, sur France Inter : après avoir reçu le témoignage de la victime, elle déclare :
     
    "Cette femme m’a contacté, j’ai eu un entretien assez long avec elle. Je lui ai demandé d’écrire son témoignage pour clarifier les dates, les faits."
     
    Réaction immédiate, et juste, du Syndicat Synergie-Officiers :
    "Plus besoin de #Police, ni de #Justice : à l’instar des différends commerciaux entre dealers qui se règlent à la Kalashnikov, on règle les viols et les agressions sexuelles dans l’entre-soi à la #NUPSE et à #LFI. #Police partout, #Justice nul part !!!"
     
     
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    ... dont "on" vient nous dire, maintenant, qu'il n'était pas au courant !
    Ben, voyons comme dirait...
     
    1 BIS. Deuxième réaction scandaleuse, celle de Clémentine Autain, qui déclare :
     
    "En cinq jours, l'affaire a été réglée. Sur des affaires de cette gravité, quelle force politique a agi aussi rapidement et aussi nettement ?"
     
    Double réaction, toujours immédiate et juste, de Gilles-William Goldnadel et Gilbert Collard :
    G-William Goldnadel :
     
     
  • Au cinéma : Casablanca, par Guilhem de Tarlé

    Casablanca en DVD : Casablanca - Édition Collector - AlloCiné

     

    Arts & Ciné  : Casablanca,  un film américain de  Michael Curtiz,  avec Humphrey Bogart (Rick Blaine, tenancier américain d’un night-club), Ingrid Bergman ( Lisa Lund, épouse de Victor Laszlo, et ancienne amante de Rick), Paul Henreid  (Victor Laszlo) et Claude Rains (Capitaine Louis Renault).

    Réalisé et sorti en 1942 aux USA, ce film manque évidemment de précisions historiques pour le spectateur de 2023. Nous sommes avant le débarquement anglo-américain en Afrique du Nord, dans un Maroc, Protectorat français, sous l’autorité du Gouvernement, dont le siège est en zone libre à Vichy. L’action se déroule, presque uniquement, au Rick’s Café Américain où se côtoient officiers allemands et des Français de toutes opinions et stratégies politiques…

    Le scénario se résume en une belle histoire d’amours, au pluriel, pour souligner deux belles histoires d’amour, et la difficulté qu’éprouve Lisa à choisir entre son mari et son amant. C’est en quelque sorte une transposition du dilemme de l’époque : qui peut dire, ne l’ayant pas vécu, quel choix il aurait fait entre l’engagement dans la Résistance et l’autorité légale de l’Etat français, entre la « France libre » et la « Révolution nationale », entre l’épée et le bouclier. Les deux n’avaient-ils pas leur légitimité ? on connaît la formule de Jean de La Varende : « Le plus difficile n’est pas de faire son devoir, c’est de savoir où il se place ».

    La plus belle scène, en tout cas, la plus émouvante, qui à elle seule vaut la peine de voir ou revoir ce long-métrage, montre les occupants entamer un hymne patriotique allemand, immédiatement couvert par une Marseillaise tonitruante chantée, debout, par tous les clients du cabaret.

     

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  • Au cinéma : Acide, par Guilhem de Tarlé

    ACIDE - Bande-annonce officielle HD - YouTube

    Cannes 2023, hors compétition : Acide, un film français de Just Philippot, avec Guillaume Canet, Laetitia Dosch et Patience Munchenbach (Michel, Elise et leur fille Selma).

    Acide… Au risque de me faire condamner, je suis climato-sceptique ou, plus exactement, je me souviens avoir appris que notre monde avait connu des ères climatiques différentes, glacières ou chaudes, et que nous vivons – peut-être – une période naturelle de réchauffement, certainement bien indépendante de l’activité de l’Homme.
    La lutte contre ce qu’ils appellent le « dérèglement climatique » n’est qu’un prétexte pour soumettre les peuples par la peur, et lui soutirer tous les jours davantage d’argent. La Genèse ne nous enseigne-t-elle pas un Déluge qui submergea les terres ?
    En écrivant cela je lis que ce mois de septembre serait « le plus chaud jamais enregistré »… mais à quand remonte le 1er enregistrement des températures par rapport à l’histoire du monde, et même de l’Histoire de France ?

    Bref ce film Acide relève du message anxiogène de nos « élites » devant lequel je refuse de m’incliner, mais j’espérais tout simplement me plonger dans un très bon récit catastrophe, comme l’a été La Tour infernale ou encore le roman Ravage de Barjavel. J’ai en outre un excellent souvenir du premier long-métrage de ce réalisateur, La Nuée, l’an dernier.

    Malheureusement, une fois de plus, j’ai été déçu. Après un début palpitant, on s’embourbe dans une deuxième partie qui accumule les exagérations et les invraisemblances.

    Mon épouse me trouve sévère, et c’est vrai que depuis quelque temps j’ai le commentaire… Acide.

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  • L’HEUREUX PENTANT ! par Guy Adain

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    Alger, Notre-Dame d'Afrique

     

    Il y a ceux qui ont fait la France, ceux qui l’ont agrandi, et ceux qui s’en repentent ! De quel droit d’ailleurs osent-ils juger nos « Morts pour la France » ?

    C’est déshonorer nos champs d’honneur !
    Chaque parcelle de terre ajoutée au « Pré carré » a été cimentée de sang Français, au prix de mille sacrifices, du sang, des larmes, de la sueur, de beaucoup d’Amour et d'Honneur !
    Mais que peuvent-ils comprendre à l’Amour d’une Terre que nous pensions avoir fait Française ? Que peuvent-ils comprendre de l’Honneur et du Respect de la parole donnée ?
    Boris Vian l’avait déjà dit : « j’irai cracher sur vos tombes ». 
    Nos repentants d’aujourd’hui le font ! 
    Nos âmes meurtries hurlent à la mort et les quelques vivants restants pleurent de rage et de honte !
    Et Non ! Messieurs les Repentants, nous ne voulons pas perpétuer des souvenirs de guerre et de désolation, la guerre est finie, nous respectons nos adversaires ; mais l’Histoire, notre Histoire ne doit pas être falsifiée : « les 132 ans d’Algérie Française »  sont et restent une fierté pour nous ! Notre Roi d’alors, Charles X, a été l’initiateur d’une grande oeuvre de civilisation, et de conquête bien sûr…Mais l’Amour s’y est mêlé et a fait le reste ! Vous ne pouvez pas comprendre !!!
    Alors de grâce, aujourd’hui gardez votre pouvoir d’achat pour ceux que vous aimez bien faire marcher et laissez nos morts en paix !
    Vous n'êtes pas capables d’intégrer les descendants de ceux qui ont vécu ces périodes glorieuses et difficiles ; laissez faire le temps et le bon sens populaire, les Français savent faire, oubliez un peu votre République des Droits et faites confiance à la France des Devoirs !
    En 132 ans, nous avions donné à la France une magnifique Terre Française, en 233 ans vous avez guillotiné la France, son Roi, sa Reine et laissé honteusement mourir leur enfant !

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    Vous voulez de la repentance ? 
    En voilà, et bien dégoulinante de sang Français !
    Ce serait noble et juste !
    Mais qui l’osera ?
  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (35), les Cimbres et les Teutons (I)...

    Pro salute non pro gloria certari (combattre non pour la gloire mais pour sa propre survie, écrit l'historien romain Salluste)...



    Voici le récit de l'une des pages les plus extra-ordinaires non seulement de notre propre histoire mais de toute l'Histoire universelle. L'événement s'est passé en Provence, en 102 avant Jésus-Christ...

    En 113 avant Jésus-Christ, des catastrophes naturelles s'abattent sur une vaste région de l'Europe du nord : Jutland, Danemark, Baltique sont frappées par des raz de marée et des inondations, qui rendent insupportable la vie dans ces contrées, où elle est déjà très difficile en temps ordinaire.

    Des peuples entiers quittent sans espoir de retour ces zones inhospitalières : les Cimbres, les Teutons, les Ambrons, les Thuringiens. Les historiens de l'Antiquité avancent des chiffres terrifiants pour l'époque : 1.200.000 personnes, dont 360.000 combattants se ruent vers le sud, en quête de cieux plus cléments, et de villes à piller...

    Rien ne résiste devant leur poussée. Ils détruisent 4 armées romaines (la dernière en 105, à Orange), ravagent tout sur leur passage, ne laissant que ruines et désolation après eux. Leur prochain objectif c'est Massalia, puis Rome.

    Avant même que de naître vraiment, la puissance et la grandeur romaine va-t-elle être étouffée dans l'œuf, et tout ce qu'elle porte en elle comme promesse de civilisation ?...

    Rien ni personne ne semble plus devoir arrêter le déferlement destructeur. Seul reste un général d'envergure, mais il est occupé en Afrique, contre Jugurtha : c'est Caïus Marius, oncle par alliance du futur Jules César, dont il épouse la tante, Julie...

    Marius saisit l'occasion et ne veut pas laisser passer sa chance.

    Il réformera à ce point l'armée romaine, à cette occasion, qu'il n'est pas exagéré de voir en lui le véritable créateur des Légions romaines telles que nous les connaissons...

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

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  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (167), Depuis 1955, des Régions...

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    Ou : quand la République idéologique  se désavoue elle-même, et donne tort à la Révolution, mais dans un curieux mélange de retour aux Provinces et d'aberrations technocratiques !...

    On le sait : c'est en application du funeste principe "Du passé faisons table rase" que la Révolution a sciemment détruit les Provinces, transformées en départements, pour "casser" les héritages reçus de l'Histoire. 


    Les révolutionnaire se croyaient seuls au monde, et pensaient créer un modèle que le monde entier allait nous envier; et qu'au besoin on exporterait par la force...


    Ils n'imaginaient pas les guerres économiques des siècles suivants - les nôtres... - ni les compétitions féroces qui allaient exister entre nous et d'autres pays, essentiellement comme l'Allemagne, qui n'existait pas, alors. 


    C'est la folie révolutionnaire, et les utopies anti françaises qu'elle a répandues d'une façon insensée, qui ont abouti à la création de cette Allemagne qui nous a fait tant de mal par la suite... 

    Là aussi, la Révolution tournait le dos à la sage politique de nos Rois...

    Aujourd'hui, alors que l'on voit bien que nos Départements n'ont pas la taille critique pour lutter avec les puissantes Régions d'Europe (les Länder allemands, par exemple) la république idéologique a bien été obligée de recréer ces grands ensembles qu'étaient les Provinces, qu'elle avait sottement supprimés - alors que cela ne s'imposait évidemment pas... - uniquement au nom de l'idéologie. 


    Mais, toujours parce qu'elle est idéologique, la république n'entend pas recréer les antiques solidarités et réalités naturelles des Provinces, fondés sur l'Histoire. Elle accouche de constructions intellectuelles et technocratiques, combinant curieusement reconnaissance des héritages historiques, parfois (Alsace, Bourgogne, Auvergne, Franche Comté, Limousin, Picardie, Île-de-France...) là où elle ne peut vraiment pas faire autrement; et mépris tournant à l'absurde de ces mêmes héritages (Normandie coupée en deux, Bretagne amputée de Nantes, la ville de ses Ducs...)


    Sans oublier quelques perles de l'absurdité technocratique : la Provence rebaptisée "Paca"; une région "Centre" échappant à toute rationnalité (et, en tout cas, à toute "centralité" !...)...

     

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