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Annonces à propos de Lafautearousseau - Page 5

  • À lire, lundi, sur lafautearousseau : notre 51ème Grand Texte, de Léon Daudet...

     

    DAUDET ASSEMBLEE.jpgC'est en 1922 que parut "Le stupide XIXème siècle", dont on va lire, ci-après, une courte partie de l' "Avant-propos" ("en manière d'introduction", dit Léon Daudet).

    Daudet, avec sa verve inimitable, y fait preuve d'un sens aigu du raccourci, aussi saisissant que lumineux.

    Sens du raccourci ? "...la révélation d’Aristote par saint Thomas n’est-elle pas l’origine de la Renaissance ?"...

    Art de la synthèse ? "...les Croisades, dont l’aboutissement est Jeanne d’Arc. Car la vierge héroïque est issue de cet immense frisson fidèle."

    Cet "Avant propos" est un survol brillant, autant qu'érudit, de quinze siècles d'Histoire et de ces quatre époques que furent les si mal nommés  "Moyen-äge" et "Renaissance" (Daudet explique bien pourquoi, on le lira plus bas...), puis les deux "grands siècles" :

    le XVIIème siècle, d'abord, celui du Roi-Soleil, "Louis, le grand en tout", disait Pierre Puget (que Daudet cite, dans cet Avant propos);

    puis le XVIIIème, celui de Louis XV (et, là, on renverra le lecteur au remarquable "Le siècle de Louis XV", de Pierre Gaxotte).

    Et c'est en se bornant à constater la rupture totale entre le XIXème siècle et les époques fécondes qui l'ont précédé que Daudet emploie le terme de "stupide" : terme, certes, polémique, mais Daudet n'est-il pas, aussi, un polémiste ? Et redoutable ?...

  • À lire, lundi, sur lafautearousseau : notre 51ème Grand Texte, de Léon Daudet...

     

    DAUDET ASSEMBLEE.jpgC'est en 1922 que parut "Le stupide XIXème siècle", dont on va lire, ci-après, une courte partie de l' "Avant-propos" ("en manière d'introduction", dit Léon Daudet).

    Daudet, avec sa verve inimitable, y fait preuve d'un sens aigu du raccourci, aussi saisissant que lumineux.

    Cet "Avant propos" est un survol brillant, autant qu'érudit, de quinze siècles d'Histoire et de ces quatre époques que furent les si mal nommés  "Moyen-äge" et "Renaissance" (Daudet explique bien pourquoi, on le lira plus bas...), puis les deux "grands siècles" :

    le XVIIème siècle, d'abord, celui du Roi-Soleil, "Louis, le grand en tout", disait Pierre Puget (que Daudet cite, dans cet Avant propos);

    puis le XVIIIème, celui de Louis XV (et, là, on renverra le lecteur au remarquable "Le siècle de Louis XV", de Pierre Gaxotte).

    Et c'est en se bornant à constater la rupture totale entre le XIXème siècle et les époques fécondes qui l'ont précédé que Daudet emploie le terme de "stupide" : terme, certes, polémique, mais Daudet n'est-il pas, aussi, un polémiste ? Et redoutable ?...

  • Aujourd'hui, livraison du 100ème épisode de notre "Feuilleton Léon Daudet"...

    Voici un rajout, apporté il y a peu, au 61ème épisode de ce feuilleton, qui revient sur l'amitié exceptionnelle qui unit, jusqu'à leur mort les trois inséparables amis que furent Maurras, Bainville et Daudet; nous avons découvert incidemment, au fil de notre navigation dans l'immense matière que constitue la collection des 33 années du quotidien, ce rapprochement inattendu, au cours du mois de juin 1912...

     

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    Parallèlement à cette proximité dans l'action et l'engagement quotidien, la vie "régulière" continuait, évidemment, pour chacun. Cela donna un curieux rapprochement, en 1912, quand, deux jours de suite, en "Une", le journal donna deux informations personnelles, sur Bainvile et, le lendemain, sur Daudet...

    "Dans la peine comme dans la joie", dans les bons comme dans les mauvais moments, c'était, pratiquée, "la vertu de l'amitié" (pour reprendre l'expression de Jacques Bainville)... :

     

    1. En "Une" de L'Action française du Dimanche 23 juin 1912 (milieu de la troisième colonne)... :

    En "Une" de L'Action française...

     

    2. ... et, toujours en 'Une", dans L'Action française du lendemain, Lundi 24 Juin :

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    Le "beau premier-né" dont il est ici question n'est autre que Philippe, premier des trois enfants du couple (après viendront François et Claire) et second fils de Léon, après Charles, issu de son premier "mariage raté" avec la petite-fille de Victor Hugo (mariage qui ne dura que cinq ans)...

    • Philippe sera assassiné par la police politique du Régime, alliée, pour le coup, aux anarchistes, en 1923...

    • François écrira un magnifique article dans le dernier numéro du journal, le jeudi 24 août 1944, à côté de celui de Maurras...

    • on voit ici Claire, aux côtés de Maurras, lors d'un Rassemblement royaliste en 1938 :

    reunion-provence-1938-claire-daudet-.jpg

  • JOYEUSES PÂQUES !

    "Ce pays-ci n'est pas un terrain vague... Notre sol est appropriée depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines..."

    Et, dans ce pays-ci, qui s'appelait alors "la Gaule", avant de devenir, lentement, "la France", voilà tantôt deux mille ans que, en ce jour, l'on pousse ce cri joyeux :

     

    CRIST EST RESSUSCITÉ !

     

    auquel chacun répond, avec empressement :

     

    IL EST VRAIMENT

    RESSUSCITÉ ! 

     

  • Demain dimanche, jour de Pâques, pas de notes sur lafautearousseau, qui fait "relâche", comme les jours de Noël et de l'Assomption...


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    "À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l’Évangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Évangile, nous sommes perdus !" disait avec raison Jean de Lattre de Tassigny.

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    Et Chateaubriand écrivait :

    "...Après Alexandre, commença le pouvoir romain; après César, le christianisme changea le monde; après Charlemagne, la nuit féodale engendra une nouvelle société; après Napoléon, néant : on ne voit venir ni empire, ni religion, ni barbares. La civilisation est montée à son plus haut point, mais civilisation matérielle, inféconde, qui ne peut rien produire, car on ne saurait donner la vie que par la morale; on n'arrive à la création des peuples que par les routes du ciel : les chemins de fer nous conduiront seulement avec plus de rapidité à l'abîme..." (Mémoires d'Outre-tombe, tome II, p.261). 

    Pourquoi ce "néant" dont parle, avec raison, Chateaubriand, après Napoléon, le sabre, l'héritier, le continuateur de la Révolution ?

    Parce que la Révolution est d'abord et avant tout anti chrétienne; qu'elle s'est pensée, voulue et accomplie, en dehors, sans et contre l'héritage millénaire de la France chrétienne; un héritage qu'elle a voulu effacer et qu'elle prétend remplacer par elle-même, puisqu'elle se conçoit comme une nouvelle Religion, la Nouvelle Religion Républicaine.

    Mais cette Nouvelle religion est inféconde : elle n'a su qu'affaiblir considérablement - sans le détruire  complètement - le christianisme et avec lui l'âme, l'esprit Français. Et, aujourd'hui, les Français - des-éduqués par une École sectaire qui les a voulus "sans Dieu et sans Roi" - pour reprendre le mot de Jules Ferry - se retrouvent désemparés face à un Islam conquérant - lui - ou alors face au "vide", au "néant" dont parlait Chateaubriand.

    Et cela parce que ses soi-disant "valeurs" ne sont que des mots, des abstractions et des incantations vaines, des formules creuses, qui ne pèsent d'aucun poids devant les réalités. La République idéologique n'a su et pu que détruire, sans rien construire à la place de ce qu'elle effaçait...

    Le 8 novembre 1906, René Viviani prononça un discours fleuve à l'Assemblée (extrait) :

    lfar viviani.jpg"...Nous sommes face à face avec l’Église catholique... La vérité, c’est que se rencontrent ici... la société fondée sur la volonté de l’homme et la société fondée sur la volonté de Dieu... Les Congrégations et l’Église ne nous menacent pas seulement par leurs agissements, mais par la propagation de la foi... La neutralité fut toujours un mensonge.

    Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse... de façon active, militante, belliqueuse...

    ...Nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'irreligion; nous avons arraché la conscience humaine à la croyance...

    ...Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus...

    ...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l'Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d'extermination..."

    Peu de temps avant ce discours, haineux mais au moins clair, c'est Georges Clemenceau qui, le 29 janvier 1891, avait lui aussi été très clair :

    lfar viviani 1.jpg"...La Révolution française est un bloc… un bloc dont on ne peut rien distraire... C’est que cette admirable Révolution par qui nous sommes n’est pas finie, c’est qu’elle dure encore, c’est que nous en sommes encore les acteurs, c’est que ce sont toujours les mêmes hommes qui se trouvent aux prises avec les mêmes ennemis. Oui, ce que nos aïeux ont voulu, nous le voulons encore. Nous rencontrons les mêmes résistances. Vous êtes demeurés les mêmes ; nous n’avons pas changé. Il faut donc que la lutte dure jusqu’à ce que la victoire soit définitive..."

    Ce combat de titans a donc débuté avec la funeste Révolution de 1789, et, depuis l'instauration de la funeste République en 1875, la France subit ce Régime qui la déclasse inexorablement, du point de vue matériel, en même temps qu'il la "vide" intérieurement de sa richesse spirituelle. Après avoir "changé le peuple" dans son mental, son moral, son imaginaire, par l'école, la République idéologique, devenue Système monstrueux, "change le peuple" par une immigration massive et continue : tout, pourvu que meure la France traditionnelle, lentement surgie du fond des âges àlfar flamme.jpg partir de Clovis et de son baptême.

    Nous, au contraire - qui préférons nous appeler "alter-révolutionnaires" que contre-révolutionnaires... - nous nous inscrivons clairement et fièrement dans cet héritage millénaire, chrétien et royal, écrit par nos ancêtres sur cette terre de France, et nous voulons poursuivre "l'aventure France"  en commençant, d'abord, non pas pas "restaurer" un ordre ancien, mais par "ré-instaurer" l'esprit vivifiant et fécond de cet ordre, rénové et adapté aux exigences de notre temps...

    "Pour moi, l'histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France. Avant Clovis, nous avons la préhistoire gallo-romaine et gauloise. L'élément décisif pour moi, c'est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs" (Charles de Gaulle). 

    Voilà pourquoi - trop rapidement résumé, certes... - lafautearousseau, trois fois par an, manifeste son attachement aux vraies racines de la France, qui sont chrétiennes, plutôt qu'aux malfaisantes nuées d'une Révolution sanguinaire, belliqueuse et génocidaire...

    À Noël, à Pâques et le 15 août, voilà ce que nous voulons dire, en... ne disant rien !

  • Un conseil de Philippe Kaminski...

     
    Pourquoi et comment sauver le provençal ? Médiathèque Louis Aragon Martigues

    Pourquoi et comment sauver le provençal ?

    Médiathèque Louis Aragon

    Martigues, vendredi 22 mars 2024

     

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    Le hasard me fait découvrir ce lien :
     
     
    et bien entendu il me plairait d'y intervenir pour évoquer le plus illustre des félibres du lieu !
    D'autant plus que le conférencier ne m'est pas inconnu.
    J'encourage tous ceux qui pourraient s'y rendre à le faire absolument !

     

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    Philippe Kaminski est le Président de l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis :

    NOTRE SEUL BUT :

    1. RESTAURER INTÉGRALEMENT ET IMMÉDIATEMENT LA BASTIDE (INTÉRIEUR ET JARDIN)...

    maurras maison se delabrant.jpg

     2. L'OUVRIR AU PUBLIC, APRÈS LUI AVOIR FAIT INTÉGRER LE RÉSEAU DES MAISONS DES ILLUSTRES, AFIN DE PRÉSENTER L'INTÉGRALITÉ DES MEUBLES, LIVRES, SOUVENIRS ET OBJETS DE TOUTE SORTE AYANT APPARTENU AU MAÎTRE DES LIEUX...

    MAURRAS ILLUSTRES.png

     

    ADHÉREZ A L'ASSOCIATION DES AMIS DE LA BASTIDE DU CHEMIN DE PARADIS !

    Pour adhérer à l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis

  • ndlr : à propos des "Commentaires"...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... Depuis le 15 février dernier, un problème technique, lié à l'une de ces "joyeusetés informatiques" qui apparaissent régulièrement ici ou là, empêchait l'arrivée des "commentaires". Ce problème relevant de Hautetfort, et non de nous, il nous était impossible d'y remédier; il fallait attendre...

    Voilà que le problème est résolu : cela aura duré presqu'un mois, moins longtemps, tout de même, que notre censure sur facebook, l'année passée, qui a duré trois mois entiers puis, trois jours à peine après son arrêt, a repris pour, encore, un mois !

    Les commentaires sont donc publiés, maintenant : avec toutes nos excuses pour ce retard, bien involontaire...

    La Rédaction

    lafautearousseau logo definitif.jpg

  • 28 février 2007/28 février 2024 : lafautearousseau fête ses dix-sept ans !...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg

    Encore une année passée en votre compagnie, chers lecteurs, amis, militants et sympathisants, à nous donner autant que possible à la noble Cause qui est la nôtre : Dieu, la Patrie, le Roi, dans la fidélité absolue à cette Action française que nous nous efforçons de faire toujours mieux connaître, notamment avec la nouvelle Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", que nous avons ouverte, justement, l'an dernier, pour célébrer notre seizième anniversaire : et voici que, un an après, venant juste de terminer l'importante livraison sur la terrible inondation de 1910 à Paris, et l'image extrêmement positive qu'ont montrée les Camelots du Roi à ce moment-là, en se mettant généreusement et efficacement au service des sinistrés, notre Catégorie est déjà riche de 116 livraisons !...

    Cette année, pour célébrer notre dix-septième anniversaire, nous arrivons au cinquantième de nos Grands Textes, et nous avons surtout choisi de lancer notre cinquième feuilleton : "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !", Léon Daudet", dont la publication, à raison de deux livraisons par jour, s'étalera sur environ trois mois.

    Parallèlement, avant les vacances d'été, nous donnerons tous les comptes-rendus de l'intégralité des Rassemblements royalistes tenus en Provence (notamment à Barbentane et Roquemartine), entre les deux guerres...

    Et, ne pouvant tout faire à la fois - ce qui, d'ailleurs ne serait pas souhaitable - nous garderons le sixième feuilleton pour notre prochain dix-huitième anniversaire : à ce moment-là, entre les Grandes "Une" et les Documents pour servir à une histoire de l'URP d'une part, et les feuilletons sur Maurras, Bainville et Daudet (sans oublier l'Histoire de France, les Guerres de Vendée et Chateaubriand) d'autre part, nous commencerons à offrir aux nouveaux lecteurs, aux nouveaux publics, un ensemble de plus en plus complet permettant à ceux qui l'ignorent (ils sont, hélas, légion...) de découvrir la richesse de ce que l'on pourrait appeler le fonds d'Action française...

    Ces nouveaux lecteurs, ces nouveaux publics dont je parle proviennent, entre autres, des 43 groupes privés qui nous ont proposé de les rejoindre : nous étions membres de 36 groupes, lorsque facebook - vous vous en souvenez - nous a scandaleusement "restreint" notre page pendant trois mois, puis encore pendant un mois, quelques jours à peine après nous avoir rendu un accès normal au réseau : évidemment, pas de "partages" dans les groupes à ce moment-là ! En réaction, et par mesure de soutien, dont nous leur savons gré, les responsables et administrateurs de sept nouveaux groupes nous ont invité à les rejoindre : c'est donc maintenant dans 43 groupes que nous "partageons" notre Revue de presse et d'actualité quotidienne, sans compter trois groupes "historiques", dans lesquels nous ne publions que nos Éphémérides, et deux groupes "internes", si je puis dire, regroupant des anciens du mouvement... 

    Merci donc à tous, et Joyeux anniversaire à nous ! Continuons à servir sans relâche, en accomplissant ce gros travail au quotidien - qui est une des formes du militantisme... - que représente la réalisation de notre quotidien, et

    SURTOUT, SUR TOUT, VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

     

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau;

    Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en chef;

     

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  • 28 février 2007/28 février 2024 : lafautearousseau fête ses dix-sept ans !...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgEncore une année passée en votre compagnie, chers lecteurs, amis, militants et sympathisants, à nous donner autant que possible à la noble Cause qui est la nôtre : Dieu, la Patrie, le Roi, dans la fidélité absolue à cette Action française que nous nous efforçons de faire toujours mieux connaître, notamment avec la nouvelle Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", que nous avons ouverte, justement, l'an dernier, pour célébrer notre seizième anniversaire : et voici que, un an après, venant juste de terminer l'importante livraison sur la terrible inondation de 1910 à Paris, et l'image extrêmement positive qu'ont montrée les Camelots du Roi à ce moment-là, en se mettant généreusement et efficacement au service des sinistrés, notre Catégorie est déjà riche de 116 livraisons !...

    Cette année, pour célébrer notre dix-septième anniversaire, nous arrivons au cinquantième de nos Grands Textes, et nous avons surtout choisi de lancer notre cinquième feuilleton : "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !", Léon Daudet", dont la publication, à raison de deux livraisons par jour, s'étalera sur environ trois mois.

    Parallèlement, avant les vacances d'été, nous donnerons tous les comptes-rendus de l'intégralité des Rassemblements royalistes tenus en Provence (notamment à Barbentane et Roquemartine), entre les deux guerres...

    Et, ne pouvant tout faire à la fois - ce qui, d'ailleurs ne serait pas souhaitable - nous garderons le sixième feuilleton pour notre prochain dix-huitième anniversaire : à ce moment-là, entre les Grandes "Une" et les Documents pour servir à une histoire de l'URP d'une part, et les feuilletons sur Maurras, Bainville et Daudet (sans oublier l'Histoire de France, les Guerres de Vendée et Chateaubriand) d'autre part, nous commencerons à offrir aux nouveaux lecteurs, aux nouveaux publics, un ensemble de plus en plus complet permettant à ceux qui l'ignorent (ils sont, hélas, légion...) de découvrir la richesse de ce que l'on pourrait appeler le fonds d'Action française...

    Ces nouveaux lecteurs, ces nouveaux publics dont je parle proviennent, entre autres, des 43 groupes privés qui, nous ont proposé de les rejoindre : nous étions membres de 36 groupes, lorsque facebook - vous vous en souvenez - nous a scandaleusement "restreint" notre page pendant trois mois, puis encore pendant un mois, quelques jours à peine après nous avoir rendu un accès normal au réseau : évidemment, pas de "partages" dans les groupes à ce moment-là ! En réaction, et par mesure de soutien, dont nous leur savons gré, les responsables et administrateurs de sept nouveaux groupes nous ont invité à les rejoindre : c'est donc maintenant dans 43 groupes que nous "partageons" notre Revue de presse et d'actualité quotidienne, sans compter trois groupes "historiques", dans lesquels nous ne publions que nos Éphémérides, et deux groupes "internes", si je puis dire, regroupant des anciens du mouvement... 

    Merci donc à tous, et Joyeux anniversaire à nous ! Continuons à servir sans relâche, en accomplissant ce gros travail au quotidien - qui est une des formes du militantisme... - que représente la réalisation de notre quotidien, et

    SURTOUT, SUR TOUT, VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

     

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau;

    Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en chef;

     

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  • Trois patronymes de militants retrouvés (pour l'instant...) dans la chronique "Ligue d'Action française" du quotidien...,

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgOu : premiers résultats inattendus de notre plongée dans l'immense fond d'archive que constitue la collection de L'Action française...

    Lorsque nous préparions notre seizième anniversaire, l'année dernière, nous cherchions une idée originale : nous la trouvâmes en nous demandant pourquoi nous ne nous plongerions pas - en emmenant nos lecteurs et amis avec nous - dans l'immense opportunité que nous offrait, tout simplement, la lecture des numéros de L'Action française. Et ce fut l'invention de notre nouvelle Catégorie "Grandes "Unes" de L'Action française..." 

    Nous nous doutions bien que nous trouverions force choses intéressantes "là-dedans", mais nous ne nous doutions pas que nous en trouverions autant, et d'aussi inattendues...

    Pour nous en tenir au seul aspect personnel, nous sommes trois, pour l'instant, à avoir retrouvé notre patronyme inscrit dans le quotidien : manifestation émouvante de la fidélité et du militantisme de nos parents et grands-parents...

    • Le premier qui trouva son nom fut notre Rédac'chef, Jean-Baptiste : dès que l'idée fut lancée, il trouva, dans les jours qui suivirent l'annonce suivante... :

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    ... dans le numéro du 23  Juillet 34, Rubrique "Mariages", juste en dessous de la Chronique quotidienne "Ligue d'Action française".

    Germain Collomb, "ligueur de Marseille", et Gabrielle de Gombert sont les grands-parents de Jean-Baptiste Collomb, notre Rédacteur en chef, à lafautearousseau... "Ligueur de Marseille", Germain Collomb a, évidemment, participé, le 6 Février précédent, à la grande "manif" de Marseille (car "le 6 février" eut lieu non seulement à Paris mais partout en France...) aux côtés de mon père et de Louis Ducret, le Trésorier de la Section de Marseille lorsque j'entrai pour la première fois dans notre beau local du 9 rue Saint-Suffren, à Marseille, et qui me raconta par le menu la-dite manif...

    • Ensuite, rien, pendant presqu'un an, jusqu'à la livraison de notre dernière série sur les terribles inondations de 1910. La série - assez longue... - commença avec le numéro du 20 Janvier et s'acheva avec ceux de la dernière semaine de février; et voilà que, coup sur coup, dans deux numéros à la suite (ceux du 20 et du 21 février, donc, les tous derniers que nous consultions pour cette livraison) nous tombons sur les deux textes suivants :

    • À Toulon, dans le numéro du Dimanche 20 Février 1910 (page deux), l'Union Fraternelle de Prévoyance de l'Action française a renouvelé son bureau... :

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    Si ma famille paternelle est bien "de Martigues", et depuis des générations (voir ici et ici) une branche quitta la ville pour s'installer à Toulon, au début du siècle dernier : c'est grâce à elle que mon père obtint son premier emploi, à l'Arsenal (il avait - comme on le voit avec le portrait de Maurras qu'il réalisa, à la plume et à l'encre de chine - un réel don pour le dessin); son adresse était, alors, "Villa Les Olivettes - Chemin Foulcon, Petit-Bois, Cap brun".

    Il y eut trois enfants dans ma famille martégale : deux garçons (Raoul et mon père) et une fille, Noëllie. Raoul quitta très vite la Provence, attiré par l'Hôtellerie-Restauration; mon père vint se fixer à Marseille, après avoir rencontré et épousé ma mère; et ma tante Noëllie, à force d'aller à Toulon, visiter notre "branche exilée", y rencontra Tòni Rufo, un artisan boulanger-patissier, qu'elle épousa, se fixant elle aussi, à son tour, à Toulon. Du coup, restés seuls à Martigues, mes grands-parents vinrent aussi s'installer à Toulon, où ils aidèrent à la boulangerie familiale, quartier des Routes...

    La "branche toulonnaise" de ma famille paternelle était évidemment restée ardemment royaliste et militante, comme en témoigne le compte-rendu ci-dessus...

     

    • Et enfin, dans le numéro du lendemain, Lundi 21 Février 1910, en "Une", s'il-vous-plaît, sixième colonne :

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    ( si vous souhaitez lire l'ensemble du compte-rendu "de notre envoyé spécial", c'est ici :

    Guy Bertran de Balanda : quatre ans déjà, toujours présent !

    La famille Bertran de Balanda est l'une des plus anciennes familles catalanes, et même sa "branche marseillaise" se rend toujours à La Tour / Bas-Elne, où elle est fixée depuis des temps lointains. Guy, militant de toujours de l'URP, ne dérogeait pas à la règle, et voilà pourquoi nous citons ce passage de L'A.F. qui concerne le Roussillon mais, aussi, par Guy, l'URP...

    Voilà, pour l'instant, l'un des résultats de nos recherches.

    Rendez-vous bientôt, peut-être, pour de nouvelles trouvailles, concernant d'autres militants...

    François Davin

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  • Comme on se retrouve !...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgVoilà, nous venons donc de terminer (hier) la publication de cette longue série de "Grandes "Une"..." consacrée à la belle et noble action des tous jeunes Camelots de la toute jeune Action française, dans le Paris tragique de l'inondation catastrophique de 1910...

    Cette publication faisait suite à celle concernant la Croisère du Campana (en 34); celle concernant la semaine tragique, qui vit la mort de Bainville et la misérable machination de Blum, aboutissant à la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi (en 36); et celle concernant les douze premiers jours de la Guerre civile espagnole, lorsque la Tradition se souleva contre la Révolution, en un formidable combat, titanesque, qui devait s'achever par la victoire pleine et entière de la Civilisation sur la barbarie révolutionnaire... (en 36 également).

    Notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française" compte donc, maintenant, 117 notes, mais bondira vite dans les semaines et mois qui viennent; tout comme notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'Union Royaliste Provençale", qui en compte actuellement 63 mais bondira très vite, elle aussi, ces prochains mois...

    Nous allons arriver, maintenant, dans la période de notre anniversaire : dix-sept1A.jpg ans !

    Nous le célèbrerons cette année en publiant, dès le Mercredi 28, jour de cet anniversaire, notre feuilleton "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !" : Léon Daudet", qui prendra pas mal de temps (environ trois mois). Au préalable, nous aurons donné notre 50ème Grand Texte et publié encore une "grande "Une"..." (sur la mort de Péguy, salué par Maurras et Bainville, en pleine période de désorganisation totale du Pays et du mouvement, à cause de l'avancée des troupes allemandes vers Paris et du départ du Gouvernement vers Bordeaux...).

    Dès que ce feuilleton aura pris sa vitesse de croisière (mi mars/fin mars) nous passerons à la publication des comptes-rendus de tous les Rassemblements Royalistes tenus en Provence (Roquemartine, Barbentane...).

    Cette plongée dans nos Racines et notre Histoire, afin d'en mettre à la portée du plus grand nombre possible la "substantifique moelle", se fera, bien entendu, en poursuivant notre regard quotidien sur l'actualité de nos compatriotes, avec notre Revue de presse et d'actualité quotidienne (à notre connaissance, unique dans la presse royaliste).

    Car c'est bien cela que nous souhaitons : avoir un pieds dans l'actualité la plus immédiate et l'autre dans ce que le mouvement nous a apporté - qui fonde notre originalité et la spécificité de notre École de pensée - et que nous souhaitons (nous l'avons dit) mettre à disposition de tous, sous une forme commode, et facile de consultation...

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    Je terminerai juste ces quelques précisons en notant que cette plongée dans nos archives à tous nous a permis de retrouver (pour trois d'entre nous, pour l'instant) nos patronymes dans le quotidien, et donc la trace de notre enracinement personnel dans l'histoire du mouvement, à travers de membres de nos familles citées dans la Chronique quotidienne "Ligue d'Action française" : je veux parler de Jean-Baptiste (le premier a avoir trouvé le nom de ses grands-parents dans le journal) de Guy (Bertran de Balanda) et de votre serviteur : mais nous en reparlerons très vite...

    François Davin, Blogmestre;

    Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en Chef...

    P.S. : absolument rien à voir, mais, au moment de commencer à "partager" dans les groupes privés auxquels nous appartenons, nous recevons une nouvelle invitation, et pour la première fois d'un groupe "étranger" : des États-Unis ! (qui regroupe 2K6 de membres). Bien entendu, nous acceptons l'invitation, et puis... on verra bien !

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  • SOUTIEN TOTAL À LA RÉVOLTE DES PAYSANS !

     

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    SOUTIEN TOTAL À LA RÉVOLTE DU MONDE PAYSAN !

    CE MONDE PAYSAN,

    C'EST LE PAYS RÉEL,

     

    C'EST LA TERRE DE FRANCE,

     

    C'EST LA FRANCE !

     

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  • SOUTIEN TOTAL À LA RÉVOLTE DES PAYSANS !

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    SOUTIEN TOTAL À LA RÉVOLTE DU MONDE PAYSAN !

    CE MONDE PAYSAN,

    C'EST LE PAYS RÉEL,

     

    C'EST LA TERRE DE FRANCE,

     

    C'EST LA FRANCE !

     

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  • À partir de samedi, sur lafautearousseau...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...

    Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...

    L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras,  celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire ! 

    Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...

    Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...

    (1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi... 

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  • À partir de samedi, sur lafautearousseau....

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...

    Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...

    L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras,  celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire ! 

    Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...

    Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...

    (1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi... 

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