À Quimper, le 5 Mai...
Nous invitons tous les amis de #FeizeBreizh
à se joindre aux fidèles du @diocese29
de Quimper et Léon
qui se réuniront le dimanche 5 mai à 15h00,
place de la Tour d’Auvergne.
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Nous invitons tous les amis de #FeizeBreizh
à se joindre aux fidèles du @diocese29
de Quimper et Léon
qui se réuniront le dimanche 5 mai à 15h00,
place de la Tour d’Auvergne.
Arme nucléaire : Macron récidive
En feignant d’ouvrir un faux débat sur le partage de notre arme nucléaire avec les autres États membres de l’UE, Macron joue contre la souveraineté de la France sous prétexte d’un danger russe qui menacerait nos intérêts vitaux.
L’argument était déjà le même en 1954 pour justifier la CED qui aurait placé la France sous commandement germano-américain et nous aurait interdit de posséder l’arme nucléaire. Maintenant que nous l’avons et qu’elle assure notre indépendance, la placer sous un commandement étranger serait un acte de haute trahison qui serait suivi, n’en doutons pas, du renoncement à notre siège permanent au conseil de sécurité de l’ONU.
Macron veut l’effacement de la France. Tous les patriotes français doivent s’unir pour l’en empêcher.
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Nous avons rappelé ce week-end que la France n'est pas morte, et qu'elle ne souhaite plus souffrir de l'immigration imposée par Paris et Bruxelles.
Nous sommes allés protester contre la construction d'un CADA dans une ville de moins de mille habitants, à Bélâbre (36). Un CADA à cet endroit, c'est à coup sur la mort d'un village.
Pour que nous puissions continuer à combattre cette vague migratoire, pour que nous puissions continuer de nous élever contre les politiques
anti-françaises nous avons besoin de vous.
La menace de nous bâillonner est bien réelle mais, grâce à vous, nous ne nous tairons pas.
Merci par avance pour votre soutien !
La Restauration nationale
10, rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
• que l'on sache, Jeanne d'Arc a fait sacrer le Roi à Reims, ce qui n'est pas très... républicain ! Cela n'était-il pas, un tout petit peu, "contraire aux valeurs de la République" ? Va-t-on donc exclure Jeanne d'Arc... des Fêtes de Jeanne d'Arc ?
• et, si "aucune idéologie politique ne doit être associée aux fêtes", pourquoi exclure un ado de ces mêmes fêtes pour "diffusion d’idées contraires aux valeurs de la République" ? Ne nagerait-on pas en plein délire ?
On dit ça, on dit rien...
lafautearousseau annonce, à chaque fois, les conférences de nos amis du Centre Lesdiguières, puis met en ligne - à chaque fois que nous les recevons - les vidéos de ces conférences.
Aujourd'hui, c'est Jean-Philippe Chauvin qui est venu parle du Royalisme social :
Université Côte d’Azur-CRHI
Chaire Jean-François Mattéi-CUM
Sous la direction d’Hervé Pasqua, Centre d’Histoire des Idées
Philosophe, Jean-François Mattéi est l’auteur d’une oeuvre riche et profonde. Sa pensée éclairée, nourrie de la lecture des Présocratiques et de Platon, en dialogue avec la pensée de Nietzsche et de Heidegger, s’est exprimée dans des ouvrages qui sont autant de coups de projecteurs sur la condition faite au XXe siècle à l’homme dévasté : « La dévastation, écrit-il, est l’action d’un homme qui se déserte de lui-même et du monde ». Ce colloque se propose de mettre en avant cette recherche de la transcendance en rendant hommage à l’homme,
au philosophe, au professeur, à l’auteur, à l’ami, dont nous célébrons le dixième anniversaire de la disparition qui eut lieu le 24 mars 2014.
LE CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
Communication Culturelle, vous invite le mercredi 10 avril à 19h à la conférence de Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire en lycée public et royaliste social revendiqué :
Les royalistes face à la question sociale, de la Révolution à nos jours.
En 1791, la Révolution française détruit l’ordre social corporatif, au nom d’un libéralisme: ainsi, «le prolétariat naît de la Révolution française», (dixit le comte de Paris) la République n’aura guère de scrupules à faire tirer sur les ouvriers durant le XIXe siècle, siècle de l’exploitation des travailleurs de l’usine et de la mine.
Les rois de France et les royalistes sociaux cherchent des solutions à la terrible question sociale, dans les villes comme dans les campagnes : Villeneuve-Bargemont, puis La Tour du Pin, Albert de Mun, et Maurras lui-même… dénonçant les conditions de travail et de vie des ouvriers.
Aujourd’hui, la question sociale n’est toujours pas réglée, et les Gilets jaunes comme les paysans français et les ouvriers démontrent, par leurs colères respectives, la nécessité de nouvelles pistes, au-delà du libéralisme comme de l’étatisme: et si l’on écoutait ce que les monarchistes contemporains ont à dire, et à proposer?
Jean-Philippe Chauvin évoquera une lecture monarchiste de la question sociale, de
l’Ancien Régime à nos jours, avec l’ambition de valoriser une «autre voie» économique et sociale conciliant nécessité économique et justice sociale.
La réunion sera suivie d'un buffet convivial Salle des Vignes : 3 bis, avenue Maréchal Randon à l’Ile Verte - 38000 GRENOBLE (tramway ligne B « la Tronche Hôpital »)
(Inscription requise et participation aux frais)
Merci de vous inscrire par courriel au centrelesdiguieres@gmail.com
Lire sur le site de l'Action française
Paris, le 28 mars 2024
De la démission à la soumission
Le proviseur du lycée Maurice Ravel, dans le 20e arrondissement de Paris, vient de démissionner « par sécurité » après avoir reçu des menaces de mort pour avoir demandé à une élève de son lycée de retirer son voile.
Si les circonstances exactes de cette affaire restent à préciser, il s’agit là d’un renoncement qui s’apparente à un acte de soumission. C’est en tout cas comme cela que l’interpréteront certainement les auteurs des menaces, qui ne comprennent que le rapport de force.
Sans doute le gouvernement ne peut-il pas en même temps légiférer à propos de la discrimination capillaire, creuser le déficit public dans des proportions abyssales, évoquer une implication militaire opérationnelle dans le conflit ukrainien et faire preuve de fermeté et de détermination face au communautarisme musulman.
Cet événement n’est pas anodin et marque un tournant dans notre rapport au développement de l’islam en France. Ce n’est pas le proviseur, ce sont les ministres de l’Éducation et celui de l’Intérieur, voire l’ensemble du gouvernement, qui devraient démissionner. C’est d’ailleurs ce qu’ils savent faire le mieux, comme le démontre encore cette lamentable séquence.