Images du Cortège de Jeanne d'Arc à Paris, ce dimanche 8 mai...
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"Tout désespoir en politique est une sottise absolue" (L’avenir de l’intelligence, Charles Maurras…)
Retrouvons nous le Dimanche 8 Mai 2022, à 16h00, pour honorer Sainte Jeanne d’Arc, au pied de son monument, devant l’église Saint-Blaise au Bourg de Trégomar (22400 Lamballe).
Le combat pour la France a besoin de vous.
L'Association Bretonne.
"...la pureté des lys..." (Jacques Bainville); ici, l'hommage de 2020...
AU PROGRAMME :
14h30 : Introduction par Philippe Mesnard, membre du bureau politique de d'Action française
17h45 : Conclusion par François Marcilhac, directeur politique de l'Action française
20h00 : Grand banquet
Retrouvez également sur place, les stands de nos partenaires, une buvette et la Librairie de Flore.
La Restauration nationale
10, rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
À Amboise, le 27 septembre 1987...
Madame, Monsieur,
Le conflit en Ukraine aura, a déjà, comme en témoignent les difficultés financières de l’Egypte, des répercussions sur la sécurité alimentaire, africaine dès aujourd’hui, européenne demain ?
Pour aborder ce sujet le Pôle Agriculture du CAS et du Partenariat Eurafricain vous invite à participer à une table ronde animée par
- Pierre Henri Texier, spécialiste internationalement reconnu du coton et de l’Afrique. Il a été créateur de structures de réflexion type « Académie d’Agriculture » en Afrique francophone
- Laurent Dornon, analyste des marchés, directeur du pôle agriculture du CAS et du PE
Le débat sera modéré par Jérôme Besnard, journaliste agricole (agence ACIP « Analyse Commentaires Information Presse »et autres titres)
Merci de vous inscrire à dircas@cas-france.org ou 06 16 58 06 00
Cette table ronde fera l’objet d’une présentation lors du comité de pilotage du Partenariat Eurafricain qui se tiendra le 20 avril – les destinataires de cette invitation désirant s’inscrire au comité de pilotage sont priés d’en faire la demande par retour de courriel.
Paris, le 11 avril 2022
Tout sauf Macron
Le second tour annoncé, redouté et attendu aura lieu : Macron, le mondialiste bourgeois, affrontera Marine Le Pen.
L'abstention, qui témoigne de la résignation des plus démunis, a joué son rôle et la « dynamique du vote utile » également, écartant les candidatures qui exprimaient une vraie conviction ou manifestaient à quel point les parrainages sont une farce.
Il y a en France un bloc populaire et un bloc élitaire. Le bloc macronien réunit les suffrages de ceux qui considèrent que vendre la France aux États-Unis, appauvrir les Français, mal les soigner, les assommer de lois iniques ou les assommer tout court représente l'ordre, la prospérité et la civilisation.
Le bloc populaire réunit les électeurs de Marine Le Pen, d’Éric Zemmour, de Nicolas Dupont-Aignan et une partie de ceux de Jean-Luc Mélenchon, avec des différences fondamentales mais un même souhait : en finir avec le règne de l'argent déguisé aux couleurs de l'intérêt général.
Tous les candidats défaits ont donné les consignes les plus évidentes et les plus claires : tous contre Marine Le Pen, pour les bourgeois et les gauchistes, idiots utiles du régime ; tous contre Emmanuel Macron, pour les patriotes.
L'Action française, qui n'a que l'intérêt de la Nation comme critère politique appelle tous les Français patriotes, de droite comme de gauche, à saisir l'occasion qui leur est donnée de chasser Macron du pouvoir. Les consignes des partis, de leurs chefs et les cris de haine à venir de la médiacratie ne doivent pas les détourner de leur juste analyse : le seul qui risque d'amener le chaos, c'est Macron. Il l'a déjà prouvé cinq ans durant;
Le bureau politique de l'Action française
Exceptionnellement, la conférence aura lieu 23 rue Jean Goujon, 75008 PARIS (Métro 9 station Alma-Marceau) à 20h.
Exceptionnellement, la conférence aura lieu 23 rue Jean Goujon, 75008 PARIS (Métro 9 station Alma-Marceau) à 20h.
Au sommaire :
COMMUNIQUE DE PRESSE
Paris, le 30 mars 2022
L’affaire Alstom, une haute trahison macronienne
Pour dénoncer le scandale d’État qu’est l’affaire Alstom, les militants d’une quinzaine de sections de l’Action française ont apposé dans la nuit du 29 au 30 mars une série d’affiches sur différents sites français de l’entreprise Alstom.
La vente de la branche énergie d’Alstom au géant américain en 2014 n’est ni plus ni moins qu’un acte de trahison de la part de nos élites, à commencer par Emmanuel Macron alors ministre de l’Économie, et pour qui cette vente fut un tremplin vers la présidence. Cette affaire représente la quintessence des maux de la République : corruption, mensonge, intimidation, prise d’intérêts, trahison, destruction d’emplois.
Ce sabotage industriel commença dès 2012 quand Emmanuel Macron, tout frais secrétaire général adjoint de l’Élysée commanda aux consultants d’A.T Kearney une étude sur les avantages d’une fusion Alstom-GE, fusion qui permit à Jérôme Pécresse de gagner 430 000 euros et une promotion et à Julien Denormandie, collaborateur dans cette affaire, de devenir président de l’association de financement de la campagne d’En Marche ! puis ministre.
À travers cette action, c’est toute la trahison de nos élites néo-libérales que L’Action française dénonce.
Monsieur Macron et d’autres avec lui – dont beaucoup sont passés par la moulinette Young Leaders, le programme des États-Unis destiné à circonvenir et s’attacher la fine fleur des jeunes dirigeants étrangers – sont responsables de la vente d’un secteur hautement stratégique pour notre industrie nucléaire, qui conduisit à la dilapidation de nos brevets technologiques, à la destruction de 3000 emplois sur le sol français, à la délocalisation de la production de cette industrie en Amérique du Nord.
Plus récemment, comble de l’absurde, EDF racheta cette branche deux fois le prix de vente pour une entreprise de taille réduite avec un carnet de commande en berne ainsi qu’un savoir-faire parti à l’étranger.
L’Action française témoigne de son soutien aux travailleurs touchés par ce scandale et dénonce la désindustrialisation massive de la France, l’affaire Alstom n’en étant qu’une parmi d’autres.
C’est dans les urnes, en ne renouvelant pas le mandat d’Emmanuel Macron les 10 et 24 avril prochain, que les Français pourront faire entendre leur voix pour que soit mis un terme à la destruction de notre pays.