Paris, ce lundi : venez écouter notre ami Antoine de Lacoste...
Exceptionnellement, la conférence aura lieu 23 rue Jean Goujon, 75008 PARIS (Métro 9 station Alma-Marceau) à 20h.
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Exceptionnellement, la conférence aura lieu 23 rue Jean Goujon, 75008 PARIS (Métro 9 station Alma-Marceau) à 20h.
Exceptionnellement, la conférence aura lieu 23 rue Jean Goujon, 75008 PARIS (Métro 9 station Alma-Marceau) à 20h.
Au sommaire :
COMMUNIQUE DE PRESSE
Paris, le 30 mars 2022
L’affaire Alstom, une haute trahison macronienne
Pour dénoncer le scandale d’État qu’est l’affaire Alstom, les militants d’une quinzaine de sections de l’Action française ont apposé dans la nuit du 29 au 30 mars une série d’affiches sur différents sites français de l’entreprise Alstom.
La vente de la branche énergie d’Alstom au géant américain en 2014 n’est ni plus ni moins qu’un acte de trahison de la part de nos élites, à commencer par Emmanuel Macron alors ministre de l’Économie, et pour qui cette vente fut un tremplin vers la présidence. Cette affaire représente la quintessence des maux de la République : corruption, mensonge, intimidation, prise d’intérêts, trahison, destruction d’emplois.
Ce sabotage industriel commença dès 2012 quand Emmanuel Macron, tout frais secrétaire général adjoint de l’Élysée commanda aux consultants d’A.T Kearney une étude sur les avantages d’une fusion Alstom-GE, fusion qui permit à Jérôme Pécresse de gagner 430 000 euros et une promotion et à Julien Denormandie, collaborateur dans cette affaire, de devenir président de l’association de financement de la campagne d’En Marche ! puis ministre.
À travers cette action, c’est toute la trahison de nos élites néo-libérales que L’Action française dénonce.
Monsieur Macron et d’autres avec lui – dont beaucoup sont passés par la moulinette Young Leaders, le programme des États-Unis destiné à circonvenir et s’attacher la fine fleur des jeunes dirigeants étrangers – sont responsables de la vente d’un secteur hautement stratégique pour notre industrie nucléaire, qui conduisit à la dilapidation de nos brevets technologiques, à la destruction de 3000 emplois sur le sol français, à la délocalisation de la production de cette industrie en Amérique du Nord.
Plus récemment, comble de l’absurde, EDF racheta cette branche deux fois le prix de vente pour une entreprise de taille réduite avec un carnet de commande en berne ainsi qu’un savoir-faire parti à l’étranger.
L’Action française témoigne de son soutien aux travailleurs touchés par ce scandale et dénonce la désindustrialisation massive de la France, l’affaire Alstom n’en étant qu’une parmi d’autres.
C’est dans les urnes, en ne renouvelant pas le mandat d’Emmanuel Macron les 10 et 24 avril prochain, que les Français pourront faire entendre leur voix pour que soit mis un terme à la destruction de notre pays.
Le 20 avril prochain sera l'anniversaire de la naissance de Charles Maurras; et le 16 novembre, le 70ème anniversaire de sa mort, du moins si l'on emploie un langage "humain", ou "terrestre" : Boutang n'écrivait-il pas, avec raison :
"Ce qu'on appelle vie est de ne pas te voir,
Ce qu'on appelle mort, c'est regard qui commence..."
Chaque jour, nous protestons dans nos colonnes contre le stupide et criminel interdit jeté par la Mairie de Martigues - qui vit encore à l'époque de Staline - sur la maison de Maurras, au Chemin de Paradis; et nous recensons par ailleurs ce qui se publie sur Maurras, pour donner à ces écrits un maximum d'audience, dans la limite de nos moyens, hélas, toujours trop faibles...
Pour continuer à faire connaître le plus possible "l'homme et l'oeuvre Maurras", nous commencerons à sensibiliser nos lecteurs dès lundi, en publiant chaque jour une ou plusieurs photos de notre "Album Maurras" :
Une visite chez Charles Maurras...
Nous serons, ce lundi, à près d'un mois de l'anniversaire de la naissance, et ce sera un excellent moyen de commencer à se préparer pour célébrer, comme il se doit, ces deux anniversaires...
L'apocalypse ukrainienne
Comme Emmanuel Macron était persuadé entretenir une relation spéciale avec Poutine, il a cru, ou voulu faire croire, qu’il arriverait à retenir la Russie. La France est donc le seul pays occidental à ne pas avoir encouragé son millier de ressortissants à quitter l’Ukraine. On ne sait pas s’il faut rire aigrement de la naïveté du président français, croyant être diplomate tout en humiliant régulièrement la Russie depuis cinq ans, ou s’indigner d’un calcul purement électoraliste, d’ailleurs salué par un grotesque visuel du parti présidentiel osant proclamer, quelques jours à peine avant l’invasion de l’Ukraine, que Macron avait ramené la paix. La suite ICI
La guerre (par Hilaire de Crémiers)
Il est difficile de savoir si Poutine a réfléchi à toutes les conséquences de sa décision d’envahir l’Ukraine. Les premiers résultats sont là. Le sentiment national ukrainien s’est ressaisi. Plus il y aura de morts, plus il y aura d’attaques de villes – et ce n’est pas fini –, plus la population dans sa majorité se rebiffera devant de tels procédés. Il devait penser que l’affaire serait expédiée en un rien de temps. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Si la guerre s’installe dans la durée, il n’échappera pas à une résistance qui trouvera dans le passé des motifs puissants de se durcir. La suite ICI…
Conseil constitutionnel : l’OVNI de la République ? (par Jean Bouër)
En 1958, lorsque de Gaulle mit la Constitution sur les rails, le Conseil constitutionnel ne devait pas être cette instance influente où l’on place certains proches. En 2022, à l’heure de la démocratie d’opinion et des nominations verrouillées, il en va autrement, alors même que cette institution rend des décisions importantes. Avec le Conseil constitutionnel, nous avons un « cocktail » qui résume certaines tares des démocraties modernes : opacité, expertocratie, fait du prince, recasage… La suite ICI…
L'Homme nouveau, mythe moderne (par Christophe Boutin)
Les actuels débats sur le transhumanisme imposent de s’interroger sur sa généalogie. Entre les deux guerres, c’est la notion d’« homme nouveau » qui traduit la volonté d’adapter l’homme aux nouvelles conditions de son existence et, notamment, de tirer les conséquences d’un rapport à la technique redéfini lors du Premier conflit mondial. Un ouvrage collectif fait découvrir les réflexions convergentes venues de sources diverses, et rappelle que les régimes totalitaires furent loin d’avoir le monopole, ou même la primauté, de cette quête. La suite ICI…
Dans actuBordeaux :
Rendez-vous sur la page fb de nos amis d'Arras :
L'année dernière, pour le premier anniversaire du départ de Guy pour le vrai Royaume, sa famille avait organisé une Messe en la cathédrale Saint Sauveur d'Aix, suivi d'un repas familial, et m'avait convié; invitation que j'avais, naturellement, acceptée.
J'en avais informé les lecteurs récemment : la famille a décidé de fonder une tradition en renouvelant cette année Messe et retrouvailles autour d'un repas privé, et m'a de nouveau convié; j'ai de nouveau accepté, bien évidemment, et, avec Jean-Baptiste Collomb (deuxième en partant de la gauche sur cette photo) nous avons représenté ceux qui ont connu et apprécié Guy pour ce qu'il était : un franc et bon camarade, un ami, un frère...
Jean-Baptiste Collomb est Rédacteur en chef de lafautearousseau, et s'occupe très activement et très efficacement de nos pages facebook. Dans l'impossibilité absolue de venir, l'année dernière, il a tenu à être présent cette année, ce qui m'a permis de le présenter aux deux soeurs de Guy, Florence et Bénédicte (que je tiens par les épaules, ici), au mari de Florence (le premier à gauche), à Hugues (frère cadet de Guy, troisième en partant de la droite)... Il manquait l'autre frère, Pierre, retenu à Bordeaux...
Jean-Baptiste est également, avec ma nièce et filleule Marie-Dominique (fille de mon frère Jacques) l'un des deux juristes de lafautearousseau : tous les deux relisent chaque jour tout ce qui parait sur le Blog, les pages et fb et le compte tweeter, afin d'éviter toute "formulation" maladroite, qui pourrait nous attirer des ennuis...
L'amitié d'Action française, vraiment, c'est une belle chose, et qui ne "passe" pas...
A l'an que vèn !