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  • JUSTICE IMMANENTE, par Guy Adain

    La théorie de la justice : épisode • 1/4 du podcast Lectures de "La  République" de Platon
     
    Nous sommes nombreux à ne plus comprendre notre Justice !
     
    La Main de Justice semble se tendre plus, aux agresseurs qu’aux agressés. La compassion va presque toujours aux offenseurs, rarement aux offensés. Les victimes, si elles survivent, auront droit à la Cellule Psychologique, et dans le cas contraire, si elles périssent, au grand jeu : Marches blanches, petites bougies, allocutions ministérielle voire présidentielle, et décorations !!!
    La Justice de notre Pays nous paraît bien complaisante !
     
    Mais bien heureusement, il en est une autre, et à celle-ci, personne n’échappe ! 
    Une Justice qui n’est soumise à rien ni à personne, ni politique ni préférence ; celle-là est vraiment indépendante, elle est en nous, inaltérable !
    Une Justice qui présentera la facture à chacun !
    Le Peuple de France souffre de l’injustice régnante, le Peuple de France perd espoir, le Peuple de France ne comprends plus, l’esprit pays a disparu, le Franc a disparu, il est devenu Euro, la France aussi a disparu, elle prend ses ordres de l’ Europe !
    D’aucuns s’en satisfont et y trouvent certainement intérêt, mais l’ensemble du Peuple de France, la majorité, endurent cette détresse en perdant peu à peu l’espoir… 
    L’espoir de pouvoir laisser à leurs enfants une France d’Avenir !
     
    La Justice immanente, qui surviendra demain, présentera la facture à ceux d’aujourd’hui, tout sera réglé rubis sur l’ongle !
    Certes il faut être patient car comme le disait Pierre Dac : 
    « La justice immanente est rarement imminente; »
    Mais tout se paie et tout vient à son heure.
    Le Peuple de France retrouvera sa place, la France également ; 
    laissons la parole aux âmes, aux cœurs, le bon sens reviendra et avec l’Amour qui solutionne toujours tout, nous marcherons demain  à marche triomphale pour faire de la France 
     
    « ce qu’elle a été, ce qu’elle est et ce qu’elle veut être.» (Sic)

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Toujours excellent, l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
     
    "...Y-aura-t-il des crèches à Noël ?...
    ...Effacer l'empreinte chrétienne de la France c'est faire le jeu de ceux qui, aujourd'hui, ont le plus la laïcité en horreur : les dévots de la guerre sainte que mènent les islamistes. Le petit santon de la crèche n'est donc pas une menace, mais un rempart..."
     
    Nous, nous accusons carrément la République idéologique, le Système, d'avoir affaibli et désarmé spirituellement la France en particulier, l'Europe en général, en menant contre l'Église catholique une lutte à mort, une "guerre d'extermination" comme l'a dit le député socialiste Viviani en 1906...
    Se prenant elle-même pour la Nouvelle Religion Républicaine, la Révolution et sa République idéologique n'ont eu de cesse de démolir le christianisme, autant qu'elles le pouvaient; sans y parvenir, toutefois, elles l'ont considérablement affaibli, et voilà qu'arrivent les masses musulmanes de la troisième invasion islamique de l'Europe, après les deux précédentes qui, elles, étaient militaires : celle de 711, par l'Espagne, et celle de 1453, par Constantinople...
     
    Le couple révolutionnaire LFI Garrido/Corbières, avec leur fille convertie à l'Islam, est la parfaite allégorie de cette guerre anti-chrétienne menée par la Révolution, la République idéologique, le Système, contre nos Racines chrétiennes, notre héritage judéo-chrétien, notre Être profond... et le grand remplacement spirituel qu'elle induit : "Ôtez le christianisme, vous aurez l'Islam", disait ce grand royaliste de Chateaubriand. Les révolutionnaires Garrido/Corbières ont leur fille convertie à l'Islam. Pour la Révolution, c'est : "Mission accomplie, chef !"...
     
    Mais le christianisme n'est pas mort et ne mourra pas...
     
    La France est chrétienne, et elle le restera... 
     
    Et, oui, il y aura des santons à Noël !
     
    En avant-première (puisqu'elle ne sera faite que demain, premier jour de l'Avent) la crèche de lafautearousseau :

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Sur Europe 1, l'hommage de Gaspard Proust à Thomas :

    https://x.com/QueenFirmAction/status/1729826616975503658?s=20

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  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (54)...

     

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    1989 : René Sédillot vient présenter, dans notre local du 50, rue Pavillon "Le coût de la Révolution française"...

     

    1A.jpgComment mieux présenter cet exceptionnel ouvrage ? Voici un document d'archive, rare, voire exceptionnel : sa qualité technique est loin d'être fameuse, mais il date de 1989 ! C'est évidemment son fond qui en constitue l'intérêt, et nous demandons aux auditeurs de passer sur les imperfections techniques évidentes, pour aller à "la substantifique moelle...".

    Il s'agit ici d'une conférence prononcée à Marseille, au siège de la Fédération Royaliste Provençale, juste avant les célébrations du bi-centenaire de 1989, par un René Sédillot très en forme.

    On rappellera juste que René Sédillot fut, pendant de longues années, le directeur de La vie française, l'un des principaux journaux économiques de l'époque.

    Dans son Discours aux Lucs sur Boulogne (le premier de nos Grands Textes), Soljénitsyne explique la malfaisance de toute révolution, de la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationalistes du bonheur du peuple"....

    Il écrit, entre autres :

    1A.jpg"...C'est le XXème siècle qui a considérablement terni, aux yeux de l'humanité, l'auréole romantique qui entourait la révolution au XVIIIème. De demi-siècles en siècles, les hommes ont fini par se convaincre, à partir de leur propre malheur, de ce que les révolutions détruisent le caractère organique de la société, qu'elles ruinent le cours naturel de la vie, qu'elles annihilent les meilleurs éléments de la population, en donnant libre champ aux pires. Aucune révolution ne peut enrichir un pays, tout juste quelques débrouillards sans scrupules sont causes de mort innombrables, d'une paupérisation étendue et, dans les cas les plus graves, d'une dégradation durable de la population.

    Le mot révolution lui-même, du latin revolvere, signifie rouler en arrière, revenir, éprouver à nouveau, rallumer. Dans le meilleur des cas, mettre sens dessus dessous. Bref, une kyrielle de significations peu enviables. De nos jours, si de par le monde on accole au mot révolution l'épithète de "grande", on ne le fait plus qu'avec circonspection et, bien souvent, avec beaucoup d'amertume.

    Désormais, nous comprenons toujours mieux que l'effet social que nous désirons si ardemment peut être obtenu par le biais d'un développement évolutif normal, avec infiniment moins de pertes, sans sauvagerie généralisée. II faut savoir améliorer avec patience ce que nous offre chaque aujourd'hui. II serait bien vain d'espérer que la révolution puisse régénérer la nature humaine...."

     

    Comme en écho à ces propos, René Sédillot se penche, lui, justement, sur le coût de la révolution.  Le mot "coût" ne devant bien évidemment pas être pris dans sa seule acception économique...

    René Sedillot est "présenté" par Pierre Chauvet, Président de l'Union Royaliste Provençale (à droite, sur l'écran) et par François Davin (à gauche)

    (Conférence tenue dans les locaux l'Action Française de Marseille en 1989, dans le contexte des célébrations du bicentetaire de la Révolution française)

  • Au cinéma : The old oak, par Guilhem de Tarlé

    The Old Oak - film 2023 - AlloCiné

    Cannes 2023 : The old oak, un film anglais de Ken Loach, avec Dave Turner (TJ Ballantyne, propriétaire du pub, The old oak) et Ebla Mari (Yara, migrante syrienne).


    Contre le feu, je ne manifeste pas avec les pyromanes...
    Et ceux-ci d'ailleurs manifestent pour ne pas agir.
    C'est donc sans aucun complexe que, ce dimanche 12 novembre, nous sommes allés au cinéma, nous abriter de la pluie sous un vieux chêne.
    Hélas le vieux chêne de Ken Loach n'est pas celui de Vincennes au pied duquel St Louis rendait la justice .
    .
    The old oak est le 3ème opus d'une sorte de trilogie filmée dans le Nord-est de l'Angleterre qui fut le théâtre d'une grande grève des mineurs sous Margareth Thatcher en 1984.
    Dans MoiDaniel Blake le réalisateur dénonce une bureaucratie incapable de se mettre à la place d'un malheureux artisan qui a travaillé toute sa vie et se retrouve au chômage à la suite d'une maladie.
    Dans Sorry, we missed you, il dénonce l' « uberisation » c'est-à-dire l'exploitation de travailleurs que l'on qualifie d'indépendants alors que, sans aucune protection sociale et avec des revenus misérables, ils sont soumis à des cadences infernales imposées par des employeurs sans foi ni loi.

    Ken Loach est évidemment un militant de gauche, très à gauche, un anglais opposé aux gouvernements conservateurs  des Tories, ou social-démocrate de Tony Blair. Il n'empêche que ses deux premiers films, décevants par ailleurs, mènent des bons combats... ce n'est pas le cas du troisième qui n'est qu'un prospectus cinématographique manichéen pour l'accueil des migrants. Sylvie Binet, Secrétaire général de la CGT, en a d’ailleurs fait l’éloge – « un film comme ça, ça vaut 100 000 tracts » -, ce que confirme « le journal des curés de gauche » (de Gaulle),  La Croix, qui lui attribue 4 étoiles (« chef-d’œuvre »).

    A vous de juger.

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