Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Le premier "sparadrap" du gouvernement (le sparadr'Abad) n'était finalement rien comparé au deuxième : celui du Stade de France et de ce qu'il révèle et reflète de la lamentable et inquiétante situation dan laquelle le Système a mis la France, par sa politique voulue et imposée, depuis près de 50 ans, d'immigration/invasion...
Guillaume Poingt, dans Le Figaro, relate des témoignages accablants de témoins (spectateurs et policiers) dénonçant des agressions sexuelles : "J'ai vu des femmes se faire toucher..." Agissant en bandes, des voleurs en ont vraisemblablement profité pour "peloter des jeunes filles et des femmes"... Vols à l'arraché, spectateurs dépouillés lors d'un samedi soir cauchemardesque : "...C'est un truc de fou ce qui s'est passé. Je n'avais jamais vu ça, des équipes de blédards de Barbès, de Saint-Denis... J'ai vu des femmes se faire toucher la poitrine, ils ont arraché des sacs... J'ai vu des filles de moins de 12 ans pleurer parce qu'elles ont été touchées par ces monstres..."
Entendu par le Sénat, Darmanin a refusé de donner la nationalité des délinquants interpelés au stade de France, jugeant que cela serait "nauséabond" ! Pourtant quand il s'est agi d'accuser faussement les Anglais, il n'a pas hésité une seule seconde...
Laissons le mot (temporaire) de la fin au toujours excellent Goldnadel :
• "On commence à sortir de la Seine Saint Déni...
On peut néanmoins faire confiance à nos féministes de la Nupes de Rousseau à Autain pour tenter de nous endormir à l’eau de Cologne."
• "Comme prévu, Saint Déni sur Radio Paris. Comme prévu pas un mot des violences sexuelles sur l’odieux visuel de sevice public féministe. Pas 1 mot sur les femmes qu’on a déshabillées entièrement. Trop de couleurs pour la photo. France Inter a lavé l’info à l’eau de Cologne."
