Municipales 2026 : OBJECTIF MARTIGUES ! LIBÉRATION !

Ça tangue et ça barde, à gauche, pour la municipalité d'union de la gauche, haineuse, sectaire et, tout simplement, bête, qui prive Martigues et les Martégaux de leur Académicien; qui laisse pourrir sur pied, en attendant qu'elle ne s'écroule, la magnifique Bastide du Chemin de Paradis, trésor du Patrimoine local et national, et qui pourrait - DEVRAIT ! - devenir un centre de rayonnement national et international, un lieu de Colloques, de Congrès, de Rencontres et d'échanges entre intellectuels du monde entier sur la pensée et l'oeuvre du Maître de Martigues...Les choses ne se présentent pas bien, en effet, pour une gauche qui "tient" Martigues depuis des décennies, mais qui se déchire, qui se hait, se divise chaque jour un peu plus...
Et l'actuel Maire, communiste, perd ses nerfs, car il voit bien que - ENFIN ! - une victoire des non-révolutionnaires, des Patriotes est possible, cette fois-ci, lors de la prochaine élection.
Perdre ses nerfs, c'est mauvais signe pour Charroux et son équipe, c'est bon signe pour ceux qui - nous l'espérons, à lafautearousseau - libèreront la Ville au Printemps prochain, et feront tomber "le mur de Berlin" invisible qui enferme la Bastide du Chemin de Paradis...
François Davin, martégal
(dans La Provence, article d'Audrey Letellier, extrait)
"Diffamation" : le maire de Martigues Gaby Charroux assigne trois élus et un citoyen en justice

Mis en examen pour "favoritisme" dans l'affaire de la Sémivim, le maire, Gaby Charroux assigne en justice opposants et citoyen qui l'ont accusé de faits plus graves encore.
Martigues
Après la révélation de la mise en examen Gaby Charroux pour "favoritisme" dans l'affaire de la Sémivim, le maire de Martigues assigne, le 14 octobre 2025, trois de ses opposants et un citoyen pour leurs propos, sur les réseaux sociaux, qu'il juge diffamatoires.
Si l'affaire n'est pas reportée, le 14 octobre prochain, il devrait y avoir du monde dans l'une des salles d'audience du tribunal correctionnel d'Aix-en-Provence. À condition, bien sûr, que plaignant et "attaqués" fassent le déplacement. Le plaignant c'est Gaby Charroux. Le maire (PCF) de Martigues assigne, en effet, en sa qualité de maire, trois de ses opposants politiques devant le tribunal correctionnel d'Aix-en-Provence.
Dans sa ligne de mire, Jean-Luc Di Maria, élu d'opposition (divers droite) et candidat aux municipales de mars 2026. Ce dernier comparaîtra pour avoir "diffamé publiquement" le maire, le 21 juillet 2025, "en publiant sur son compte Facebook des allégations portant atteinte à son honneur". En l'espèce, le maire lui reproche d'avoir écrit qu'il était, non seulement mis en examen pour favoritisme, mais également pour "prise illégale d'intérêt, dans l'affaire de la Sémivim". Rappelons que Gaby Charroux, à ce jour, ne doit répondre que de "favoritisme".
"Réduire au silence l'opposition"
Dans une vidéo publiée sur cette même page Facebook, l'opposant persiste (presque) et signe. Il explique que le maire lui offre ainsi, à 59 ans, "l'occasion de découvrir le tribunal correctionnel..."
la page facebook de Jean-Luc DI Maria
"On ne dirige pas une ville avec des assignations, mais avec des convictions : je ne me tairai pas."