Au cinéma : La maleta, par Guilhem de Tarlé
Arts & Ciné : La Maleta, un film espagnol (VOSTF) de Jorge Dorado, avec Alvaro Morte (Mario, l’agent des Objets trouvés)
La Maleta… Un long-métrage sur le trafic d'enfants et la vente de bébés sur catalogue, comme produit dérivé de la prostitution.
A tout prendre, s'il est évidemment condamnable, ce commerce, ce "recyclage" des enfants conçus dans des hôtels de passe, paraît préférable à celui de l'avortement, de la PMA et de la GPA que les progressistes, les « déconstructeurs », les « wokes » et autres écolos gauchos imposent, ou veulent imposer, comme des "droits" et inscrire sur les Tables de la Loi.
Car ils sont dans ces trois acronymes IVG, PMA, GPA les premiers actes de la "décivilisation" – en français la barbarie - dont parle le Gouverneur de la zone France, alors qu'il en est le premier coupable, soumis à l'Union européenne, à l'OMC et à l'OMS.
La Maleta est sans doute un thriller de série B, mais celui-ci se laisse voir, et il est l'occasion de se poser la question des "maleta", des valises de billets que transportent les lobbies mondialistes de ces prétendus "droits » des femmes.