Pourquoi les Russes sont intervenus en Ukraine, par Dragana TRIFKOVIC
"Ayant déjà raconté un nombre prodigieux de sottises, la Révolution en a fait dire encore davantage..." Vraiment, cet aphorisme de Jacques Bainville dont la "colonne lumineuse", selon l'expression de Marcel Proust, consacrée la plupart du temps à ce qu'il convient d'appeler les "Affaires étrangères" trouve un écho tout à fait étonnant et ô combien illustratif dans cet article de Dragana Trifkovic.
Qui est Dragana Trifkovic ?
Directrice du Centre des Études Géostratégiques de Belgrade, cette voix qui crie dans le désert intellectuel et doctrinal d'une Europe bureaucratique qui n'en finit plus d'agoniser pour se montrer sous son vrai visage, celui d'un monstre froid, est l'une des rares intellectuelles encore dignes de ce nom dans cette Serbie qui refuse de se rendre et de se soumettre aux diktats de Bruxelles, de Strasbourg comme de Washington.
Dans cet article, l'auteur met en lumière les très nombreuses contradictions, les manipulations, les mensonges de l'OTAN, de l'Union Européenne et de ce "système" que nous combattons jour après jour en étant réellement d'opposition, c'est-à-dire en prônant ouvertement la subversion du régime.
Loin de choisir un "camp" ou un autre, celui de Poutine et de ses projets de Grande Russie comme celui du pitre Zelinsky, le Hanouna ukrainien, téléguidé par le grand frère "Oncle Sam" et la grande soeur "Ursula"; restant maurrassiens, restant intégralement d'Action française et ainsi appliquant l'adage "La France...SEULE la France...", nous avons voulu offrir à nos lecteurs un article qui a été censuré en France précisément pour délit d'opinion.
Nous n'aimons pas le délit d'opinion, délit d'ailleurs inventé par cette république idéologique et jacobine prétendant être la suprême garantie des libertés...
Ainsi, en exclusivité, repoussant d'un revers de manche les menaces de représailles, LFAR propose à ses lecteurs une analyse intégrale du contentieux russo-ukrainien, dont les conflits armés ultra médiatisés depuis des mois ne sont que la conséquences d'une multitude de crimes de guerre et de conflits "larvés" durant depuis 2014...
La Rédaction