Les Huns et les Autres, par Guy Adain
Nous, les Autres, sommes bien plus nombreux, mais les Huns font la loi ! Et pire encore, nous, les Autres, faisons des lois favorables aux Huns ! Notre Justice est Hune.
Nous tremblons devant les Huns ! Les Huns envahissent notre pays avec notre complicité apeurée et y installent leurs us et coutumes, leur mode de vie… Notre République est Hune et indivisible comme se plaisent à l’affirmer nos « Socialhuns » !
Les Huns ont colonisé des territoires, des pans entiers de notre pays devenus terre étrangère pour nous les Autres.
En revanche, les Huns deviennent Autres pour tous les avantages, garanties, soins, entretien, logement… L’ Hun chez l’Autre, ils connaissent !
Nous venons de traverser la Covid, les incendies, la canicule, et l’on tente de nous cacher l’ Hun derrière l’autre et encore derrière, le Pouvoir d’achat et autres billevesées ; mais le vrai danger, danger mortel qui nous menace le plus sérieusement, bien plus que le réchauffement climatique ou la nouvelle pandémie, la vérole simiesque ; l’Hunique catastrophe imminente et inévitable si nous ne changeons rien dans notre aveuglement obstiné :
« C’est la fin des Autres. »
Il est temps de réagir, les Huns ont déjà tenté par le passé d’instaurer leur empire hunnique et nous les avons écarté. Ils se croyaient :
« Le fléau de Dieu » et Sainte Geneviève par sa foi les a repoussé.
Dieu ne pactise pas avec les Barbares !
Paris est en danger, la Patrie est en danger, les Huns s’amalgament en Cours des Miracles d’où ils ne sortent que pour assaillir, détruire, désagréger, dépecer, souvent tuer ! Il répandent la haine, la violence et signent de leur marque : « derrière eux, le pavé ne repousse plus ! »
Ils transforment la Beauté en hideur. La Nature ayant horreur du laid refleurira « plus belle aujourd’hui qu’hier et bien moins que demain. »
Aujourd’hui ces barbares nous terrorisent, mais finalement sont moins à craindre que ceux d’entre-nous qui les cautionnent et n’osent les affronter
Ceux-là les installent à notre place, et demain, c’est nous qui devront partir !