Cinéma : Les bodin's en Thaïlande, par Guilhem de Tarlé
À l’affiche : Les bodin’s en Thaïlande, un film français de Frédéric Forestier, avec Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet (la mère Bodin et son fils Christian, fermiers berrichons)
Hier, lundi 14 mars, les mesures covidistes du mondialisme qui nous gouverne, avec la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le sous-gouverneur Macron, ont été « suspendues »…
Une « suspension », c’est comme une « interruption », c’est un « arrêt momentané » (à l’exception de la novlangue qui a inventé l’Interruption – définitive - Volontaire de Grossesse).
La « suspension », donc, peut être elle-même « suspendue ». Je ne doute pas que la « 6ème vague » et le « nouveau variant », dont on parle en même temps que de la « 4ème dose », sans compter les ayatollahs du masque, seront les prétextes suffisants pour recommencer à faire mettre un genou à terre (Covid lives matter) et un voile sur la figure à un peuple déjà largement soumis avant même d’être totalement « grand-remplacé ».
Notons d’ailleurs que les suspensions du masque et du pass ne sont que partielles puisque le premier reste de mise dans les transports en commun tandis que le pass sanitaire, qui impose le maintien des tests à répétition, est toujours obligatoire dans les établissements de santé et médico-sociaux. Notons aussi que les « suspensions de contrat de travail et de rémunérations » ne sont apparemment pas « suspendues » pour les soignants et autres agents ou salariés qui ont refusé la 1ère dose, ou l’une des suivantes, de Pfizer ou Moderna…
Je demande à ces victimes, ces « gaulois réfractaires », ces « emmerdés » de Jupiter, de me pardonner d’avoir, néanmoins, voulu profiter immédiatement de cette liberté provisoire d’aller au cinéma.
D’ailleurs le film était nul, qui ne mérite pas d’en parler, et ne valait – pour être bienveillant - que par la dépaysement… dépaysement que nous avons prolongé en allant dîner… au restaurant évidemment… et au restaurant vietnamien…