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(Communiqué) 1er TOUR DE L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE : LE CHOIX DE L’ACTION FRANÇAISE

Paris, le 1er février 2021

 

1er TOUR DE L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE : LE CHOIX DE L’ACTION FRANÇAISE

 

Union européenne et nations

Comme tous les cinq ans, la France, en avril prochain, jouera à pile ou face son avenir, en élisant le président de la République. Comme chaque fois, l’Action française regrette que le Bien commun de la nation soit ainsi livré aux ambitions des partis politiques et soumises au vrai pouvoir qui gouverne en République, l’Argent. Pour autant, convaincue que la politique du pire est la pire des politiques, l’Action française refuse de se désintéresser de scrutins nationaux aussi lourds d’incertitudes que de conséquences. C’est pourquoi l’Action Française, désireuse d’éviter les plus grands maux au pays, engagera les Français à choisir entre les candidats dont le programme, l’action et la personnalité seront des gages de patriotisme et traduiront un vrai sens de l’intérêt général.

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1) L’INDÉPENDANCE DE LA NATION ET LA SOUVERAINETÉ DE LA FRANCE


- Le futur chef de l’État devra refuser l’intégration toujours plus poussée de la France dans une Union européenne qui signifierait sa dissolution comme nation indépendante. Si la sortie de l’euro et de l’Union européenne demeurent aux yeux de l’Action française des objectifs à plus ou moins long terme, elle souhaite que, dans un premier temps, le futur président mène, à l’exemple des Allemands, dans le cadre des institutions européennes actuelles qui sont appelées à évoluer, une politique reposant sur le seul souci de l’intérêt national.
- Au point de vue du droit, il devra prendre les moyens pour faire prévaloir les lois françaises et récuser tout diktat tant de la Commission européenne que de la Cour de Justice de l’Union européenne et de la Cour européenne des droits de l’homme.
- Afin d’assurer la souveraineté de la France, le futur président devra récuser également tout engagement ou prétendue alliance qui soumette le pays à d’autres intérêts que les siens au plan international comme au plan militaire. La sortie du commandement intégré de l’OTAN est une première étape indispensable, prélude à une sortie complète d’une alliance que la disparition de l’Union soviétique a rendue caduque. La France doit pouvoir dialoguer librement avec tous les États, au gré de ses intérêts et de ceux de la paix dans le monde. À cette fin, il conviendra de redonner tant à notre diplomatie qu’à nos armées les moyens adéquats.


2) LA RESTAURATION DES LIBERTÉS


Instrumentalisant la pandémie autant que la menace islamiste, le pouvoir macronien, avec la complicité des fausses oppositions de la droite et de la gauche, a achevé d’imposer à notre pays sa dictature. On ne compte plus les nouvelles lois scélérates qui, s’ajoutant à toutes celles qui ont été adoptées depuis 1972, ont été votées sous Macron, pour davantage brider la liberté d’expression, notamment sur internet, interdire l’école en famille, rendre obligatoire l’endoctrinement républicain et mettre la liberté religieuse sous surveillance. De plus, la création du passe vaccinal, après celle du passe sanitaire, ouvre la voie à une surveillance généralisée de la population à la mode chinoise. C’est pourquoi le futur président devra s’engager :
- à restaurer toutes les libertés bafouées ;
- à déjudiciariser la liberté d’expression et la recherche historique ;
- à rendre à la famille la responsabilité première en matière d’éducation et d’instruction.


3) LE BIEN COMMUN ET LA JUSTICE


Alors que cinq ans de Macronie se sont traduits par un mépris généralisé des Français et par une violence sans précédent de la part de la caste au pouvoir, qui n’a cessé d’entretenir une guerre civile larvée, la restauration de la paix sociale est une nécessité. Dans ce but, le futur président devra :
- procéder à un véritable réaménagement du territoire rompant avec une métropolisation ruineuse aux plans écologique, économique, social et des libertés communales ;
- engager la réindustrialisation du pays afin d’assurer à la fois la souveraineté économique du pays et, à nos compatriotes, un pouvoir d’achat digne qui soit le fruit de leur travail ;
- lutter par des mesures efficaces contre l’immigration invasive, un communautarisme importé, prélude au délitement de notre société, une insécurité toujours plus grande et un laxisme judiciaire entretenu par la mollesse de notre législation.


L’Action française n’ignore pas que le régime républicain, indépendamment de la bonne volonté de patriotes sincères, interdit toute politique efficace de long terme dans ces domaines. Elle soutiendra toutefois tout candidat qui fera siennes ces exigences d’intérêt national, puis tout dirigeant politique qui les mettra en œuvre dans le souci du Bien commun. Elle n’en continuera pas moins de lutter pour préserver l’héritage et ramener l’héritier, la monarchie royale étant seule à même d’assurer une politique pérenne garantissant le salut de la nation et la prospérité des Français.

Le tribunal constitutionnel polonais ayant déclaré que les traités européens contreviennent à la constitution polonaise, voilà que la Commission s’exclame que l’Union européenne est en danger et rappelle, rageuse, que n’importe quelle constitution de n’importe quel état membre n’est rien au regard des traités européens. Mieux, que n’importe quelle décision judiciaire n’a aucune valeur par rapport aux décisions judiciaires des organes de l’Union. Alors que l’Union européenne fait sans cesse la preuve de son incapacité à défendre les intérêts de l’Europe, et encore moins ceux de ses États membres, l’exemple polonais est brandi pour affirmer aux peuples qu’ils ne sont rien par rapport à la volonté fédéraliste des technocrates apatrides de la Commission. Pour eux, aucune histoire, aucune culture, aucune loi ne peuvent être opposées à la volonté de l’Union. Ils l’affirment en oubliant même de respecter les convenances, c’est-à-dire d’invoquer le fantoche parlement européen. En France, les juristes des cours suprêmes expliquent que le droit européen ne prévaut sur la souveraineté législative nationale que parce notre Constitution – et leurs interprétations – le permet. Fausse élégance ! Dans les faits, les lois qui nous gouvernent, et surtout nous diminuent et nous fragilisent, ne sont plus faites à Paris mais à Bruxelles, qui impose son libéralisme économique et ses fantasmes libertaires. Et les Français, fonctionnaires, députés et présidents, ont contribué activement à installer la suprématie européenne et à affaiblir la France.

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