Une école catholique d'Amiens doit partir : l'épuration islamique ethno/culturalo/religieuse en bonne voie...
Dans Valeurs actuelles, on peut lire :
Des habitants du quartier Etouvie jetteraient leurs ordures dans la cour au point de ne plus garantir la sécurité des élèves.
Des poubelles, des canettes, même un micro-onde ou une machine à laver… L'école primaire privée Monseigneur Cuminal, située dans le quartier Etouvie à Amiens, va devoir fermer ses portes dès la fin de l’année scolaire, en juillet 2021.
La raison ? La direction de l'enseignement catholique de la Somme a estimé que la sécurité des enfants n’était plus garantie, rapporte France Bleu ce jeudi 18 février. La cour de récréation est placée en bas d’un bloc d’immeubles appelé les Coursives. Certains résidents n’hésiteraient pas à y balancer leurs ordures voire l’électroménager dont ils veulent se débarrasser. Une habitante du quartier a confié à France Bleu que cette pratique n’était pas nouvelle : « Ici, certains jettent de tout par la fenêtre. Ça peut aller jusqu'à des frigos ou des machines à laver. Je vous assure, c'est grave ! »
« Un jour, j'ai failli me prendre un micro-onde sur la tête »
Les employés de l'entreprise de nettoyage l’ont confirmé. D’après France Bleu, il est possible de trouver dans la cour extérieure des poubelles éventrées, des bouteilles, des couches, les pots de peinture, des canettes, des vêtements etc. « Un jour, j'ai failli me prendre un micro-onde sur la tête. A quelques mètres près, je ne serais plus là pour vous parler », a déploré un employé. Un « téléviseur » a même déjà été retrouvé dans la cour selon Sylvie Seillier, la directrice diocésaine de l'enseignement catholique de la Somme. Pour elle, devoir fermer l’école est inévitable : « Notre présence ici avait un sens. Nous voulions être au service de familles qui ne sont pas les plus favorisées d'Amiens. Mais là, nous n'avions vraiment plus le choix : la sécurité des enfants et du personnel ne peut pas être négligée, c'est notre premier devoir. »
Pire encore, l'Enseignement catholique de la Somme a relaté dans un communiqué dont France Bleu se fait l’écho que « des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour participent à l’insécurité ». Cela empêcherait « l’école de fonctionner normalement ». Alors que de « nombreux aménagements (...) et travaux de sécurisation » ont été « effectués entre 2015 et 2020 », rien n’aurait « permis de mettre fin à ces difficultés », rapporte France Bleu. Pour la rentrée 2021, les 82 élèves de l’école Monseigneur Cuminal seront transférés vers d’autres établissements catholiques d’Amiens dont l’école Saint-Jean au faubourg de Hem.
Et, dans Le Point :
Amiens : envahie par les déchets des riverains, une école catholique doit fermer
Élèves et personnel de l’établissement privé catholique Monseigneur-Cuminal sont aussi victimes d’agressions et d’insultes, explique « Le Figaro ».
De l'électroménager qui vole, des insultes qui fusent… Le quartier Étouvie, à Amiens, pâtit d'une insécurité galopante dont, développe Le Figaro, un lieu particulier est devenu le symbole : l'école catholique privée Monseigneur-Cuminal, qui va devoir fermer ses portes à la fin de l'année scolaire en cours.
Sylvie Seillier, la directrice diocésaine de l'enseignement catholique de la Somme, résume la situation dans un communiqué : « Depuis plusieurs années, la sécurité de l'école ne cesse de se dégrader, avec une accélération depuis la rentrée de septembre 2020. » Elle poursuit : « Cette annexe de quatre classes de l'école Saint-Jean, ouverte en 1997, subit quotidiennement les jets d'objets et de déchets en tout genre lancés depuis les étages au pied des classes. » Sylvie Seillier assure aussi que « des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour, des rodéos près de l'école participent à l'insécurité et empêchent l'école de fonctionner normalement ».
Le bailleur social du bloc d'immeuble Les Coursives, la SIP, souligne que « les équipes de proximité passent beaucoup de temps à nettoyer les abords ». Un employé d'une entreprise de nettoyage se souvient avoir, un jour, « failli [se] prendre un micro-ondes sur la tête ». La même mésaventure est arrivée à une journaliste de France Bleu Picardie, cette fois avec une boîte de conserve.
Du côté de la mairie d'Amiens, « on regrette profondément que l'école quitte le secteur », mais on constate aussi que « le trafic de drogue dégrade fortement le climat ». Les services municipaux rappellent toutefois qu'ils ne peuvent « intervenir ni dans l'immeuble ni dans la cour, car ce sont des propriétés privées ». Par ailleurs, les caméras publiques « ne peuvent filmer que le domaine public. Il nous est interdit de filmer les fenêtres, donc impossible de verbaliser les contrevenants », dit-on encore.
Le premier adjoint à la mairie, Hubert de Jenlis, souhaite « que se tienne une table ronde avec l'État, le procureur de la République, les polices nationale et municipale et le bailleur ». Mais, pour l'heure, les 82 enfants de l'établissement catholique vont devoir trouver de plus paisibles classes que celles du quartier Étouvie.
Là, c'était... "avant". Avant quoi ? Avant Qui ?
Poser la question, c'est y répondre...