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Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?

La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 1 : l’état des lieux, un peu désabusé...)
 
Aujourd’hui, malgré les efforts des militants monarchistes de toutes tendances et les nombreuses publications écrites comme audiovisuelles de notre Groupe d’Action Royaliste, le royalisme lui-même semble presqu’invisible aux yeux de nos contemporains, baignés dans l’ambiance distractionnaire de la société de consommation, jadis rebaptisée (avec une certaine prescience) “consom-nation” par Louis Pauwels.

 
Cela se traduit par une marginalisation évidente dans le paysage politique français, aujourd’hui monopolisé par les tenants du “tout démocratique” et du “politiquement correct”, de Mélenchon à Le Pen, en passant par Macron ou Hidalgo. Cette situation gêne, il faut bien le reconnaître, la perception des idées royalistes, trop souvent limitée, dans l’esprit de nos concitoyens, à quelques mondanités ou à des anecdotes, mélanges d’activisme et de folklore...
 
Pourtant, au moment où la Ve République doit affronter les défis de la globalisation et de la logique globalitaire (néolibéralisme, idéologie consumériste, démocratisme élitaire...), mais aussi les effets d’une série de crises (sociale, sanitaire, géopolitique même) ; au moment où les intelligences les plus vives ressentent un “malaise de civilisation” (prémisses d’une crise de civilisation ?), l’idée d’une instauration monarchique, si elle apparaît certes lointaine (autant dans le passé que pour l’avenir), doit revenir dans le champ des possibles : la Monarchie royale, au regard des données politiques et institutionnelles actuelles, reste (et sans doute, de manière plus précise, redevient) nécessaire pour notre nation aujourd’hui moins sûre d’elle-même (malgré l’agitation macronienne) et fragilisée par des forces externes (diplomatie états-unienne de Biden, règlementarisme européen, activisme ottoman en Méditerranée...) et internes (ethno-nationalismes séparatistes, communautarisme religieux ou sociologiques, « politiquement correct »...)

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