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Sur Sacr TV, les enseignements des Guerres de Vendée.


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NOS RAISONS CONTRE LA REPUBLIQUE : https://fr.calameo.com/read/000869313...
 
Nous allons commencer par ce refus de la part des Chouans et Vendéens d’aller se battre pour la république en rejetant la conscription. La levée en masse de 1793 n’est que l’ancêtre de ce qu’on appellera plus tard les fameuses « mobilisations générales » devenues malheureusement célèbres avec les deux conflits mondiaux du XXè siècle. Pourtant, seuls les Royalistes de 1793 la refuseront, alors que ceux de 1914 et 1939 s’y soumettront. Au final, le constat est là. En refusant de se battre pour la république, et ceux qui l’incarnent, les chouans et les vendéens, qui n’étaient pourtant que de simples paysans pour la plupart, ont mené l’une des plus farouche et héroïque résistance contre le régime républicain. Mais stratégiquement parlant était-ce une bonne chose d’agir ainsi, sachant que la France était attaquée de toute part par les forces ennemis de l’extérieurs ? L’historien Claude Mazauric spécialisé dans la révolution de 1789 et encarté PCF, avait formulé cette réponse lors d’une interview faite par le magazine « Historia » de décembre 1998 sur le génocide vendéen : Il parlait de « … la trahison en pleine guerre des prêtres, nobles et chefs de village qui créèrent en 1793 une « Armée catholique et royale » au service de la coalition antifrançaise qui envahissait le pays. »
 
Claude Mazauric – Historia N°624 décembre 1998 - p47
 
Beaucoup comme lui doivent avoir cet avis. Mais alors ? Y-a-t’il eu trahison de la part de cette « Armée catholique et royale » envers la France ?
 
Mais pour Charles Maurras, la priorité était avant tout de chasser l’ennemi de l’extérieur. Priorité somme toute logique et légitime dans un conflit entre deux ou plusieurs nations. Mais lui qui disait si justement que la république était le règne de l’étranger, il aurait dû admettre qu’au côté de cet ennemi de l’extérieur qu’était la Prusse, il y avait aussi et surtout un ennemi de l’intérieur qui était le parti républicain. Et qu’avant de chercher à combattre le premier, il fallait d’abord se débarrasser du second. C’est ce qu’avaient compris les contre-révolutionnaires de 1793, mais Charles Maurras, aveuglé par sa germanophobie, n’hésita pas à faire alliance avec cette incarnation du règne de l’étranger qu’est la république, au détriment de la vraie Patrie décrite par le général Charette. Il alla même jusqu’à écrire dans l’article cité précédemment :
« …nous saluons les Carnot, les Cambon et tous ces membres de la Convention qui réussirent le sauvetage de la Patrie. Nous n'avons jamais ménagé nos hommages au souvenir de cette dictature du salut public. »
 
Charles Maurras – L’Action française du 11 septembre 1914
 
Tous les combattants contre-révolutionnaires de 1793 apprécieront de là-Haut, d’autant plus de la part d’un penseur contre-révolutionnaire…
 
Notre combat, pour affronter efficacement les vicissitudes de demain doit se faire, pour Dieu, la France et le Roi ! Voilà une formule qui a fait ses preuves ! Il ne tient qu’à nous de ne pas réitérer les erreurs passées afin d’être plus efficace dans notre combat.
 
Notre jour viendra !
 
 
 
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