Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français...
lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre...
Ensuite, après les élections, nous verrons quelles orientations donner à notre campagne pour la réhabilitation/réouverture au public de la maison/jardin de Maurras...
: Aujourd'hui, retour sur la donation de la Bastide à la Ville de Martigues...
Les parents de Charles Maurras eurent trois enfants (trois garçons) : le premier, François, ne vécut quasiment pas, et Charles, non marié, n'eut pas de descendance. Seul son frère Joseph eut des enfants (cinq) : quatre filles - de son premier mariage - et un garçon, Jacques, de sa seconde union.
A la mort de leur père - son frère Joseph - Charles Maurras adopta trois des enfants de celui-ci : Jacques, Hélène et Jeanne.
De nièces et neveu, ces trois enfants de Joseph devinrent donc "fils adoptifs" de Charles lorsque leur père, "médecin des troupes coloniales" mourut au Viet Nam, à Saïgon, en 1924.
A la mort de Charles Maurras, en 1952, la propriété du Chemin de Paradis couvrait toujours les deux hectares et demi de ses débuts, mais il fallut évidemment la partager en trois, entre Jacques et ses deux soeurs.
Jacques Maurras fit en sorte d'obtenir la "partie centrale" de la propriété, ses deux soeurs recevait les terrains situés à droite et à gauche de la maison, qu'elles vendirent par la suite et qui furent urbanisés.
Or, Charles Maurras, de son vivant, avait lui-même résolu d'offrir sa maison, son jardin et l'oeuvre qu'il y avait créé à sa chère ville de Martigues ( "...Mon Martigues plus beau que tout"...).
Jacques Maurras, le 27 septembre 1997, ne fit donc rien d'autre que réaliser le voeu de son oncle et père adoptif en "remettant les clés" de la bastide au Maire de la ville...
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