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C'était beau, c'était grand, c'était généreux, croyait-on à Valence et à Madrid, de recevoir les 626 pauvres types de l'Aquarius dont personne en Europe n'avait voulu. Courageuse Espagne ! Idéaliste Espagne ! Mais les conséquences ont vite suivi dont l'attentat de Cornellà, non loin du fleuve Llobregat, hier lundi à l'aube, n'est qu'un épiphénomène. Nouvelle porte d'entrée des migrants en Europe - « la voie d'eau espagnole », selon l'expression de François d'Orcival - voici que l'Espagne doit réclamer le soutien de ses partenaires européens pour faire face à des flux inédits, qu'en réalité l'Espagne ne peut supporter, et voici que ces mêmes partenaires européens s'inquiètent de ces flux irradiants qui finissent en grande partie par aboutir chez eux ... C'était le but des rencontres de Pedro Sanchez avec Emmanuel Macron et Angela Merkel. Alors, cadeau empoisonné pour l'Europe que la générosité espagnole ? On dit à Bruxelles, sous l'emprise d'un évident désarroi, que dans la situation où l'on se trouve, « on ne peut pas perdre l'Espagne ». Mais pour quoi faire ? Le sait-on seulement ? La vérité est qu'en Europe presque plus personne ne veut des migrants. Cela s'appelle être crucifié. Quant à l'opinion espagnole, elle commence à réagir... ■LFAR
Les faits
L'attaque du commissariat de Cornellà de Llobregat hier lundi était un acte terroriste a déclaré la police. Un Algérien de 29 ans armé d'un couteau s'était attaqué aux agents d'un commissariat de Cornellà de Llobregat, ville proche de Barcelone, dans le nord-est de l'Espagne et avait ensuite été abattu.
« Un homme armé d'une arme blanche est entré ce matin dans le commissariat de Cornellà pour attaquer les agents, l'agresseur a été abattu », a annoncé la police régionale de Catalogne sur son compte Twitter. Interrogé par l'AFP, une porte-parole a refusé de confirmer les informations des médias locaux selon lesquelles l'attaquant était algérien et avait crié Allah akbar (Dieu est le plus grand) avant d'être abattu dans la réception du commissariat. Le quotidien El Periodico ajoute qu'il s'agissait d'un habitant de Cornellà.
L'attaque s'est produite juste après le premier anniversaire des attentats djihadistes qui ont fait 16 morts les 17 et 18 août 2017 en Catalogne.
On ne peut pas accueillir les loups dans la bergerie et pleurnicher après qu'ils s' attaquent aux brebis. les biens pensants auto proclamés veulent bien des clandestins, mais chez les autres, PAS CHEZ EUX
Il fallait s'attendre avec ce gouvernement de gauche, de bric et de broc, dirigé par ce dadais de Sanchez que les vannes allaient être ouvertes aux migrants illégaux.. Le résultat ne s'est pas fait attendre. Au secours ! crie-t-il à l'adresse de l'Europe, venez partager ces malheureux. L'Espagne n'en peut plus d'autant qu'à ses frontières il y a foule de noirs et de maghrébins qui tentent chaque heure du jour et de la nuit de pénétrer clandestinement. La générosité du pouvoir socialiste a des limites. A l'intérieur du pays la colère gronde contre Sanchez et ses idéologues. Une élection aujourd'hui l'enverrait dare-dare aux enfers; De toute façon, tôt ou tard, il est voué à la disparition. Entre-temps il aura commis une série de fautes notamment celle de vouloir corriger l'histoire et de ranimer les spectres de la guerre civile.
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On ne peut pas accueillir les loups dans la bergerie et pleurnicher après qu'ils s' attaquent aux brebis. les biens pensants auto proclamés veulent bien des clandestins, mais chez les autres, PAS CHEZ EUX
Il fallait s'attendre avec ce gouvernement de gauche, de bric et de broc, dirigé par ce dadais de Sanchez que les vannes allaient être ouvertes aux migrants illégaux.. Le résultat ne s'est pas fait attendre. Au secours ! crie-t-il à l'adresse de l'Europe, venez partager ces malheureux. L'Espagne n'en peut plus d'autant qu'à ses frontières il y a foule de noirs et de maghrébins qui tentent chaque heure du jour et de la nuit de pénétrer clandestinement. La générosité du pouvoir socialiste a des limites. A l'intérieur du pays la colère gronde contre Sanchez et ses idéologues. Une élection aujourd'hui l'enverrait dare-dare aux enfers; De toute façon, tôt ou tard, il est voué à la disparition. Entre-temps il aura commis une série de fautes notamment celle de vouloir corriger l'histoire et de ranimer les spectres de la guerre civile.