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En France depuis le 27 avril, six mois déjà : quand défèrera-t-on Salah Abdeslam devant une Cour martiale pour trahison ?

 

Mur-bleu gds.jpgEn temps de guerre, toujours et partout, les traîtres - normalement... - on les fusille. Or, il paraîtrait, selon notre président à 4% (pas de matière grasse, de « satisfaits » : c'est le record du monde !) que la France est en guerre.

 

Donc Salah Abdeslam, Français mais « de plastique », qui s'est fait soldat de l'armée ennemie, est un traître : il a fait la guerre à son pays. Les traîtres, dans toutes les guerres, on les traduit devant une Cour martiale qui, généralement, les condamne à être fusillés. Et ils sont fusillés quasiment sur le champ.

 

Pourquoi donc, depuis six mois, traiter Salah Abdeslam de façon différente ? Parce qu'il est d'origine algéro-marocaine ? Mais, ne serait-ce pas du racisme ? Egalité ! Il serait scandaleux de discriminer un immigré - devenu français par la grâce d'un Système idéologique et anti national - sous prétexte qu'il est d'origine maghrébine : en traitant Salah Abdeslam de la façon qu'on sait (salle de sport privée, cellule isolée par deux cellules vides...) l'Etat républicain-idéologique vient d'inventer une nouvelle forme de racisme inattendue.

 

Ce scandale doit cesser, Salah Abdeslam doit enfin être traité comme tout le monde, comme tous les Français, sans discrimination ni stigmatisation aucune, et non comme un étranger. Il doit immédiatement être déféré devant une Cour martiale, dont on attend avec impatience le verdict... et surtout l'application de ce verdict : le peloton d'exécution. 

 

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