UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les Tweets du jour...

IMG_0096.jpg 

( pour consulter "l'Intégrale" - 412 tweets... - c'est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d'Accueil, en-dessous de la page Facebook...) :   

 

Baisser encore les crédits militaires serait une folie pure: il faut au contraire les faire passer à 4% du PIB

L'Armée, c'est du travail et des emplois, un savoir-faire technologique irremplaçable, notre indépendance et notre place dans le monde

Dépenser pour l'Armée c'est faire tourner l'économie française, faire travailler nos entreprises, ouvriers, ingénieurs, chercheurs :

Dépenses militaires = un des meilleurs usages de l'argent public, leurs retombées/retour sur investissement assurent avenir/progrès/sécurité

 

dernière minute :

Le Drian a sauvé l'essentiel: le budget militaire reste insuffisant mais le pire est pour l'instant évité. Bien joué, mais affaire à suivre

 

Commentaires

  • Dépenses militaires : un gâchis inimaginable, de l'argent fichu en l'air pour rien (force de frappe) ou pour des objectifs ridicules (chars Leclerc, conçus pour une attaque du défunt 'Bloc de l'Est").
    Que fichent les soldats au Kosovo, en Afghanistan, en Centrafrique, supplétifs de l'impérialisme bancaire et des billevesées étasuniennes ?
    Le vrai combat est à la porte des Cités peuplées de bandes ethniques, dans la lutte contre les trafics et les violences en FRANCE, pas ailleurs...
    Il n'y a rien de surprenant que, désormais, la "botte" de Saint-Cyr choisisse la Gendarmerie. Les meilleurs de nos soldats choisissent désormais le vrai front...

  • Mon cher Pierre, je suis globalement de ton avis sur le rôle de supplétif de l'impérialisme américain que notre armée joue ici ou là. Par contre,la force de frappe doit être préservée comme arme de dissuasion (mais aurons-nous la force de caractère de nous en servir le moment venu?).
    Quant à "l'ennemi intérieur", c'est une simple affaire de volonté politique. Les moyens de police et de gendarmerie sont suffisant, encore faut-il leurs donner les bonnes instructions et les couvrir dans l'exécution de leurs missions, ce qui est loin d'être le cas.
    Le "vrai front" n'est pas qu'à la porte de nos cités, mais plutôt en territoire germanopratin, où sévit depuis trop longtemps la ploutocratie médiatico/politique qui nous gouverne.

  • Plus d'accord avec Thulé qu'avec M. Pierre Builly.
    L'afghanistan, le Kosovo, le Mali et la Centrafrique, on ne peut pas les mettre dans le même sac. Et la force de frappe est à conserver même si elle n'a pas d'objectif immédiat.
    Cédric

  • Sur la simple question de la dissuasion nucléaire : j'ai été bouleversé de bonheur lorsque le Général, en février 1960, a poussé son "Hourra pour la France" en annonçant que la France venait de réussir, quatrième puissance au monde, son premier essai nucléaire.
    Et alors que les milieux réactionnaires se gaussaient de ce qu'ils appelaient avec mépris "la bombinette", ne pensant trouver de secours que sous la parapluie de leurs "alliés" étasuniens, j'ai été de longue date supporteur acharné de la "Force de frappe", de la dissuasion dite "Du faible au fort", de la "Sanctuarisation du territoire national" et, d'une façon générale, des thèses du général Pierre Gallois.
    Mais le monde a changé, non ?
    Il y a quatre ou cinq ans, une tribune dans "Le Monde" du général d'Armée aérienne Bernard Norlain, ancien chef du Cabinet militaire du Président de la République, ancien Directeur de l'Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN), Président de la "Revue de Défense nationale" (en gros, un mec qui sait de quoi il cause) m'a ouvert les yeux.
    Qui est l'ennemi ? pourquoi nous réfugions-nous derrière une sorte de ligne Maginot composée de nos SNLE ?
    Qui va nous attaquer ? L'Inde ? La Chine ? Le Brésil ? La Russie ?
    Soyons sérieux et mettons nos sous où ils doivent être mis : espionnage, contre-espionnage, Renseignement, protection de nos intérêts économiques, protection de nos centres vitaux (si facilement destructibles par une attaque terroriste).
    Le Chassepot a fait merveille... en son temps. Dieu merci nous n'avons pas eu à faire appel à notre force nucléaire. Mais qu'en doit-on faire aujourd'hui ?
    Quant aux Opérations extérieures... Quand cesserons-nous de penser que l'Afrique est notre arrière-cour, aux grands bénéfices de MM. Bolloré et Louis-Dreyfus ?

Les commentaires sont fermés.