UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

En hommage - désolé - à nos paysans : tout à fait d'accord avec le courriel de Jean-Patrick Debaire...

...dans le Courrier des lecteurs du Figaro magazine du 25 octobre :

Scan.jpg

Commentaires

  • L'exemple des paysans est bien mal choisi...Je ne dis pas que certains paysans, surtout les éleveurs, n'ont pas de mal à joindre les deux bouts mais il ne faut pas trop lire La Bruyère. Il n'y a pas qu'eux loin de là qui sombre dans la difficulté de tous les jours.

  • Chaque paysan est un emploi et entraîne d autres emplois, ,,, il faut assurer une meilleure retraite aux paysans

  • La misère de pans entiers de l'agriculture est bien réelle, et on peut soulager les cas sociaux, mais il faudrait se pencher sur le modèle économique. C'est le job des chambres d'agriculture et des services du Génie rural. Mieux vaut éviter les "lumières" du ministère fraîchement débarquées de l'ENA.
    Au premier rang des problèmes est la sous-capitalisation chronique des exploitations, compensée par le guichet ouvert du Crédit Agricole qui est véritablement l'arsenic du paysan.
    En fait les fermiers se sont faits agriculteurs sans en avoir les moyens financiers et intellectuels, poussés dans le dos par des facilités et des subventions qu'ils finissent par intégrer comme des acquits définitifs. Ca marche dans un pays disposant d'un Etat riche, le nôtre est en faillite.
    Il faudrait donc que les professionnels remettent tout à plat dans les secteurs touchés.
    Tous ne le sont pas heureusement, mais aucun n'est à l'abri si la PAC disparaît.

Les commentaires sont fermés.